Ceci est un petit recueil que j'avais intitulé au départ INEDI (Inventaire Non Exhaustif D'Inepties), mais que j'ai renommé, en attendant la renommée, "Flâneries". (sans rapport aucun avec "Âneries". Quoique..).

La numérotation, ajoutée pour des raisons pratiques, est en cours. (à ce jour, mais lequel..(?), jusqu'au 100 (sans blague).

Non. Je continue au fur et à mesure.

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1- Un dernier, pour la route..    (le choix du dernier, pour débuter, est un clin d'oeil..)

Vous aurez beau être favorables aux campagnes de sensibilisation des jeunes aux méfaits de l’alcool, on reste un peu sur sa soif, si j’ose dire. De là à dire que c’est en vain, pour ne pas dire en vin.. !

 

2- Plates-bandes

Si les jeunes ont parfois besoin qu’on leur lâche les baskets, les vieux méritent aussi qu’on leur lâche les pantoufles.

 

3- En attendant qu’il fasse beau..

Déjà, commencer par dire « Elle pleut » ou « Elle neige ». Ce serait la moindre des choses, puisque c'est la pluie qui pleut, et la neige qui neige. On verra plus tard la météo, tant qu’elle reste au féminin...

 

4- Décote

Ceux qui ont pris de l’âge aimeraient bien pouvoir le rendre. Mais personne n’en veut.

 

5- Chrysalide

La crise d’adolescence n’est peut-être que la crise-‘alide’ de la chenille pour se métamorphoser en papillon.

 

6- Latéralité

Les gens de droite ont des principes, mais pas au point de renier les avantages sociaux acquis par les gens de gauche. Ils ont l’esprit large.

 

7- Résolution d’un vieux problème

L’âge de la capitaine s’obtient en ajoutant celui de la lieutenante à celui de la commandante, puis en divisant par deux. Je parle en général.

 

8- Pot de vache contre pot de chagrin

Le pot de fer a toujours fait le malin devant le pot de terre. Désormais, il ne la ramène plus trop devant le pot de plastique qui certes est moins dur et incassable que lui, mais incomparablement plus souple et léger.

 

9- ‘Matamorphose’

Quand le torero entre dans l’arène, ce n’est pas pour jouer les matamores, car il sait ce qu’il encourt, mais néanmoins il se matamorphose en matador.

 

10- Les autres prés ne sont pas loin..

A force de brouter le quotidien, on oublie d’aller voir si l’herbe n’est peut-être pas finalement meilleure ailleurs. Voir si les autres près ne sont pas aussi loin, si les champs ne sont pas clôturés, et si le ciel y est toujours aussi bleu.

 

11- Dommage..

La vie de certaines personnes ressemble à celle de ces nuages qui traversent le ciel sans donner de pluie. Et pourtant, il y a tant de lopins de terre qui l’auraient appréciée..!

 

12- Consolation

Aux losers je dis : Ne vous découragez pas car, si l’échec, comme on le dit, est instructif, vous devez avoir une bonne culture générale.

 

13- Délit de (profil de) faciès

Ne dites pas à un Asiatique ou un Africain qu’il ne voit pas plus loin que son nez. Il aurait, non pas une mais deux bonnes raisons de vous en vouloir.

 

14- ‘Mes rites’ ou les tiens.. ?

Quel est l’imbécile, l’enfant gâté ou l’arriviste qui a dit qu’on (n’) a que ce qu’on mérite.. !? Allez le dire aux quelques milliards de gens qui auraient bien aimé naître dans les conditions qui sont les nôtres. Le concerné (en seul mot) n’aura raison que quand il aura tout perdu, ce que je ne lui souhaite pas forcément.

 

15- Des hauts et débats

Les idées sont moins importantes que la bonne foi, car elle seule permet de se remettre en question lorsqu’on accepte de les confronter.

 

16- Désenchantement

Peut-on parler de « Désenfantement », comme de la douleur de porter le poids de ne pas l’avoir porté.. ?

 

17- Potiche

Dans un monde où l’image est un gage, postiche, il y a ceux qui s’affichent et ceux qui s’en fichent.

 

18- Hommage à Brassens et à sa « Supplique pour être enterré à la plage de Sète ». (entre autre, par ce mot qu’il m’a appris)

Le jour où la Camarde canarde, à l’heure où la pendule a pris trop de recul, la loi des probabilités se fait souvent réalité..

 

19- Mais oui, tu es beau…

Faut-il qu’on doute de son image, à voir le besoin qu’on a de regarder son reflet sur la moindre vitre dans la rue !

 

20- Propriété

Posséder un "geai" ne sert à rien, puisqu’on l’a déjà. Posséder une pie, c’est pire, car même en cas de pis-aller vous n’avez pas de retour. Certains proposeront le corbeau, mais même si le corps laid, pardon, ‘l’est’, ça vous fait une belle jambe. Pourquoi pas la buse, même si elle en abuse, parfois…

 

21- Aux innocents les mains vides..

S’il y en a quelques-uns qui pensent,

Y-en a beaucoup qui s’en balancent,

Mais attention quand vient le soir,

Au retour de balançoire..

 

22- Faux-semblants

En attendant de trouver des vrais, toujours se méfier des fossoyeurs.

 

23- Matière à réfléchir

Qu’est-ce qu’un congénère ? C’est plus facile à expliquer pour un littéraire que pour un scientifique, qui ne peut plus avancer la théorie obsolète de la 'génération' spontanée. Pourtant la réalité semble parfois la réhabiliter...

 

24- Courant d’air

Si une bouteille à moitié pleine restera toujours à moitié vide, une porte entrouverte ne sera jamais entrefermée. Mais ça ne change rien au courant d’air.

 

25- Journée de garde ordinaire dans la famille Audisset

Pendant que la fille au pair s’occupait de la petite Yliad, le fils, Omer, s’occupait de son cadet. Les parents étaient en voyage.

 

26- Meilleurs Voeux

Si vous avez raté le 22 février 2022, c’est trop tard. Ce 22022022, c’était le moment ou jamais de faire un voeu..

 

27- Rapport de taille..

Quel rapport entre un créateur et sa création, son œuvre ? D’abord, certes, celui de causalité, c’est-à-dire de cause à effet. Quant au deuxième rapport, ça ne peut être qu’un rapport de taille, de grandeur. Et si l’oeuvre peut dépasser son maître, comme les pyramides sont plus grandes que les architectes, contre-maîtres et ouvriers qui les ont bâties, on a du mal à imaginer que l’univers soit plus grand que son créateur, vu qu’on ne connaît pas encore les limites de celui-ci, dans l’espace comme dans le temps. Si on pousse le raisonnement pour faire un parallèle entre ce qui sépare l’univers et nous, d’une part, et ce qui sépare le créateur de sa création, si tant est que notre univers soit sa seule création, on imagine.., non, on ne peut pas imaginer. Car c’est inimaginable pour l’esprit humain. Cela sort du cadre de la raison, de l’entendement. Je me coucherai plus bête ce soir..

 

28- Sans manières

Quand quelqu’un de louche vous interpelle, il vaut mieux qu’il vous le dise à sa manière qu’à sa tanière..

 

29- Ah merle !

J’aurais bien vu le mâle du merle en ‘perle’. Et donc, ‘Le perle’ et ‘la merle’. Avec leurs mirlitons. Mais la merlette s’en est mêlée..

 

30- Mauvais genre

On ne dit pas « LA dictionnaire ‘Larousse’ », comme on ne dit pas non plus « LE chicorée ‘Leroux’ ».

 

31- Airbag

Baguer un oiseau, ce n’est ni lui mettre un ‘airbag’ ni un antivol. Le premier serait un affront, le second, un comble..

 

32- A la bonne heure.. !

Remettre à l’heure, c’est remettre à jour l’heure, alors que remettre à jour, ce n’est pas remettre à l’heure le jour.

 

33- Regrets traîtres

Les hormones ne prennent pas leur retraite. Est-ce que ça se traite ? Est-ce qu’il faut qu’on le regrette..?

 

34- Coeur bio

Certains n’ont un coeur que pour la pompe. La tendresse ne risque pas de leur valoir un infarctus.

 

35- Chantage

Les démagos accepteront de ne plus l'être qu'en échange des magots.

 

 36- La paradoxe de l’incompatibilité

Comment mentionner, sur une vitrine, « Défense d’afficher ».. ?

 

37- Se méfier de la nostalgie comme de la cosmétique. L’une, parce qu’on vous dit que c’était mieux avant, l’autre parce ce sera mieux après. A vrai dire, rien ne vaut le présent. (tant qu' il est meilleur que le passé..)

 

38- Lèse majesté

Les privilèges que vous accordent le statut d’éminence, grise ou pas, dont ceux de la bonne 'chère', vous amènent avec le temps à acquérir des proéminences là où vous n’auriez pas souhaité qu’elles soient.. Ce n’est pas l’apanage des puissants, mais chez eux, leurs autres privilèges devraient les consoler, dont celui de la bonne 'chair'..

 

39- Sans blague.. !

C’est pas à un musicien que vous pourrez parler de ‘facétie’.. ! Même s’il a le sens de l’humour.

 

-40- Considérations distinguées

Considérant qu’un con est toujours sidérant, je préfère ne pas être distingué, sauf d'un con.

 

41- Dans l’ordre..

La pré-retraite se situe avant la retraite, et la retraite avant l’après-retraite. Ne brûlez pas les étapes..

 

42- Juronssik Park

Nous sommes tous des adeptes du juron, comme exclamation à causes ou intentions multiples. Son support se rattache le plus souvent aux femmes, à Dieu ou à la scatologie..! Une trilogie cocasse, et dans le désordre, c’est-à-dire sans priorités. Pour ne parler que de la dernière, - la plus triviale mais pas la moins grossière, et qui s’associe très bien aux deux premières, - rappeler que sans le fumier, la terre ne nous aurait pas autant nourris..

 

43- Soyons positifs

Un échec n’est qu’un acte ou une situation qu’on a réussi à manquer. On a donc bien réussi quelque part.. Mais on n’est pas obligés de toujours le réussir.

 

44- No limit ?

Chacun est limité, à sa manière. Le tout c’est que ce ne soit pas flagrant d’emblée. ( Les seuls illimités sont les illuminés, qui le restent tout le temps, avec un rayonnement curieusement limité.)

 

45- L’eau d’ici

L’eau de la bouteille à moitié pleine sera appréciée par le plaisir d’en avoir encore, celle de la bouteille à moitié vide, par le souci d’en être bientôt privé.

 

50- Alchimie

L’amour-altruisme ferait presque penser, toutes proportions gardées, à une forme de cancer, puisqu’il se multiplie en se divisant. Mais le premier se remplit en semblant se vider, s’enrichit en donnant l’impression de s’appauvrir. Toujours se méfier des apparences. Les scientifiques n’ont pas encore trouvé son origine, ni son équation mathématique. Faut-il le souhaiter..?

 

51- Noms d’oiseaux

S’il est des mots qui ne veulent rien dire, c’est bien les gros mots. Je ne parle pas des exclamations triviales, - auxquelles on fait appel faute de traduction réaliste, - mais des qualificatifs d’autrui. Car rien ne vaut le mot juste pour qualifier quelqu’un, pour faire mouche. Et l’on s’aperçoit alors qu’il faut plus d’un adjectif si l’on veut être exhaustif. Ce qui est l’objectif.

 

52- Exit

La rançon de la dérive de notre alimentation, c’est que le dessert nous dessert, sans compter que, déjà l’entrée pourrait nous servir de sortie. On n’en est pas sortis..

 

53- Les cinq vérités

Autant j’adhère à la vérité, surtout quand elle ne me concerne pas, autant je déteste les quatre vérités, surtout quand elles me concernent.

 

54-"Oxy"-"more"

Pléonasme..

 

55- Lambda

La première lettre de l’alphabet est comme le désir. Elle transforme une fille lambda en une fille lambada.

 

56- Prématuré

Si toutes les naissances, heureusement, ne sont pas prématurées, tous les décès le sont, malheureusement..

 

57- Jeu de dupe

J’ai mis du temps à réaliser que l’employé permet à son employeur de gagner plus qu’il ne lui coûte. Comme quoi, j’ai l’esprit un peu lent..

 

58- Laide

L’ampoule électrique est bien le seul féminin qui mérite ce qualificatif. Pour le reste, on dira que c’est celui qui le dit qui l’est.

 

59- Nuances ou compromis ?

On a beau se prétendre anticonformiste, on ne refuse pas de faire partie de certaines majorités. Nul n’est besoin de vous préciser lesquelles. Vous devez les partager avec moi..

 

60- Qu’on se le dise

Rien de déconcertant à ce que les concertistes se concertent avant un concerto.

 

61- L’homme et le loup

Dire que l’homme est un loup pour l’homme est un euphémisme. C’est à la fois irrespectueux vis-à-vis du loup, et inexact. Ce dernier ne s’attaque à l’homme que pour se défendre ou, quand il est affamé, pour survivre. L’homme ne s’attaque à son prochain que par cupidité, lubricité, méchanceté gratuite ou par idéologie primaire. L’adverbe « bêtement » ou l’adjectif « bête » ne reflètent pas la « bêtise humaine » mais la part humaine de notre humanité. Il n’y a finalement rien de plus humain que notre inhumanité..

 

62- Pas de bal, pas de bol..

Alors que, quand y’a pas de bal, y’a vraiment pas de bal, quand y’a "pas" de danse y’a de la danse, puisque quand y’a de la danse y’a des pas. Sans compter la cadence. Mais je ne vous en parlerai pas.

 

63- Convoyeur et conbuveur

Les deux convoyeurs étaient torchés. Ils avaient confondu la Brinks et la Drinks..

 

64- La leçon du temps

Le temps est le moins prétentieux des pédagogues, car il ne se braque pas sur les réfractaires.

 

65- Tournesol cultivé, tournesol ‘culturé’, et tournesol acculturé..

Tant qu’il y aura des tournesols, il y aura parmi eux des tourne-le-dos.. aux tournesols, pour faire la nique au soleil prétentieux.

 

66- Flon-flon

Se faire enguirlander par un Irlandais, c’est pas très brexcitant.

 

67- Affirmatif

Si un ouistiti n’est pas un béni-oui-oui, une nonce-Titi n’est pas une bénie-non-non, comme sa vocation pourrait le faire croire.. Quant au frère Gros-Minet, il attend de se faire prier..

 

68- Ma juscule à moi

Il est des mots que je préfère voir écrits en minuscule, comme ‘humanité’.

 

69- Destin à-rides

Si pour aller prier dans le désert il faut avoir le profil d’un ermite, pour aller prêcher dans le désert, il faut la trempe d’un moine trappiste comme celle d’un Charles de Foucauld. Comme quoi,  ‘prêcher dans le désert’ n’est pas une expression si négative et désespérée qu’il n’y paraît. Encore faut-il trouver les Touaregs de service..

 

70- Ascendance :Taureau

Ne leur dites surtout pas. Les hommes sont toujours assez grands pour savoir ce qu’ils ont à faire..

 

71- Les sept péchés-capitale..

ne sont pas les sept péchés capitaux. Les sept péchés de la capitale sont, et je récapitule, la pollution de l’air, le bruit, la circulation, la promiscuité, la solitude, l’insécurité, et la cherté de l’hébergement. Vous allez bien m’en trouver d’autres, mais faut dire que j’habite pas en ville. J’ai capitulé..

 

72- Soeur Âme

Soeur Âme, dessine-moi une âme, je te dessinerai un ciel, même si le bleu du ciel n’est pas le bleu de l’âme. Le bleu de l’âme est bleu marine.

 

73- Rimes

Une femme en flamme est un peu comme un homme, en somme. Je n’en dirai pas plus.

 

74- Infrarouge

« L’infractus » est à « l’infarctus », ce que « excétéra » est à « et-caetera ». Et si l’excé-téra n’est pas nocif pour le coeur et les artères, l’excès-de-gras peut vous mener sinon au supractus, du moins à l’infra..

 

75- Âme frère et corps sœur..

Parmi ceux qui vous disent qu’ils recherchent l’âme sœur, il y en a qui, à vrai dire, recherchent plutôt le corps frère. Genre mis à part. Et sans vouloir faire le platonique, s’il est vrai que le ‘corps sert’, n’en faisons pas, par excès, un pirate borgne ..

 

76- Exemples.. à ne pas suivre

En poésie on distingue la rime pauvre, comme par exemple « Femmes battues, ça continue.. », de la rime riche, comme : « Femme battue, homme abattu.. ».

 

77- Un euro symbolique

En plus d’être le principe d’un dédommagement qui a valeur de symbole, l’euro symbolique devrait devenir le minimum à donner à ceux qui osent l’aumône, ne serait-ce que parce que sa valeur représente le prix de la survie d’un jour, la somme qui vous permet de tenir la journée avec une baguette de pain.

 

78- A la lettre

Hériter n’est pas Mériter, même si ce n’est pas démériter. Il ne faut pas le prendre à la lettre. Mais c’est vrai qu’on ne peut être fier que du second. A chacun de faire son rangement, ou ses arrangements.. Et là, je vois venir les gens de mauvaise foi, les ingrats et les orgueilleux. Quand ils ne sont pas les trois à la fois.

 

79- Quand l’in finit, l’autre commence. Mais où ?

Deux miroirs en vis-à-vis donne une idée de l’infini. Mais ce sont eux qui donnent le départ, dans les deux sens, inverses. Or, il n’y a pas de point de départ pour l’infini. L'homme a aussi de l’infini en lui, mais uniquement vers l’infiniment petit, très loin au-delà de la molécule, de l’atome, de ses électrons, et tout ce qu’on a découvert depuis. Il est donc, curieusement, un point de départ. Mais que dans un sens.. ! Dans l’autre sens, l’infiniment grand est hors de lui, et hors de portée.

 

80- Toutes proportions gardées..

Je n’ai pas un égo surdimensionné. Je n’ai que deux égales proportionnées.

 

81- Est-ce que mon épouse sera veuf ?

Le seul avantage de la grammaire, c’est qu’elle rend votre partenaire, immortel, puisqu’il ou elle, ne sera, dans l’ordre des choses, jamais veuve ou veuf.

 

82- Retenue à la source..

Si Mme Garonne a ‘Mal à la deta’, c’est qu’elle se l’est bien cherchée..

 

83- A défaut de qualités..

Si même vos défauts font parfois votre charme, en tous cas au départ, imaginez un moment ce que pourraient faire vos qualités.. !

 

84- Chasse à courre.. d’idées

En ce qui concerne leur approche de la chasse à courre, les chasseurs, je parle de ceux qui devraient changer leur fusil d’épaule, sont ceux qui le feront le moins. L’ambidextrie d’esprit n’est pas leur qualité première.

 

85-      ( - + - = + ) ?!

C’est pas parce qu’on roule à gauche et en marche-arrière qu’on roule à l’endroit. Ou parce qu’on a mis sa culotte à l’envers deux fois de suite en suivant, qu’elle est bien mise. (Je le dis pour les esprits matheux qui iraient jusqu’à dire que lorsqu’on est deux fois négatif, on redevient positif..).

 

86- Talent, tu..eux..

Le talent, on en a tous un peu quelque part, même si certains ont du mal à y croire, je veux dire, à croire que les autres en ont.

 

87- Epitaphe

Je me suis absenté,

 Le temps d’une éternité..

 

88- Nonce non apostolique

Nonce, n’était pas le Radeau de la Méduse, ce bateau..

 

89- Brise-coeur

Je crains qu’un jour, on ne soit amenés à expliquer à nos petits-enfants ce qu’était un brise-glace. A savoir, que ce n’est pas une brise qui a cassé la glace du pare-brise, mais un bateau qui ouvrait la voie glacée à l’approche des pôles. Ces rafiots rouilleront dans un vieux port, vestiges de notre propre rouille.

 

90- Spirale vicieuse

La spirale pose problème, en tous cas une fois sur deux. Elle ne tourne pas autour du pot, comme le cercle, de manière routinière, monotone, affligeante, quoique rassurante. A moins qu’il soit dit vicieux pour cela. La spirale, elle, ne retourne pas sur son point d’origine, en tous cas de si tôt. Elle s’élargit, prend de la hauteur peu à peu, pour atteindre son acmé – son acné, elle l’a franchie quelques années auparavant – sur laquelle elle tourne autour de sa terre-mère comme un satellite, avant d’entamer son retour, sa descente en douceur, en restreignant au fil du temps son diamètre, son rayon d’action. Le seul inconvénient, par rapport au cercle, c’est sa chute, pas forcément sur le point de départ.. C’est elle, donc, qui a un côté côté vertueux, tant qu’elle est ascendante, avant de devenir vicieuse. Mais on le lui pardonne un peu. Cela valait le coup, de monter haut, au septième ciel. Pour le reste, on ne fait pas mieux que les oiseaux, qui doivent tôt au tard revenir sur le plancher des vaches. C’est la loi de la vie, et de la pesanteur. Mais c’est vache, quand-même..

 

91- Cornélien

A choisir entre un homme laid et un homme beau, un fille prendra le beau. Entre un jeune beau et un vieux beau, elle prendre le jeune. Entre un jeune laid et un vieux beau, elle prendra son temps.

 

92- Plat..mais relevé

Il aimait tellement les plats épicés, que quand sa femme parlait de son mari radiologue, elle l’appelait son marie-curie. Mais avec l’âge, c’est tout ce qu’il lui restait, de relevé..

 

93- Sans-coup-férir :

mitrailleuse à gaz hilarant. (je vous l’accorde, ça ne fait rire que le mouette rieuse, quand elle est de bonne humeur.)

 

94- Balade en chameau..

Ne cherchez plus lequel a deux bosses, du chamadaire ou du dromeau ! Dites-vous que le chameau a deux bosses, comme le nombre de ses syllabes, et le dromadaire, pareil, c’est-à-dire trois, dont seule celle du milieu permet de s’asseoir car inversée.. Quant à savoir si vous emportez le baladeur pour écouter des ballades tout en faisant une balade, faites-vous le, ou faites-vous la une fois par semaine, c’est-à-dire de manière hebdomadaire sur le dromadaire, et deux fois s’il y a une promo, sur le chameau. Pour ce qui est de l’âne, j’ai bien vérifié son dos mais n’ai pas trouvé les deux bosses dessinées sur les panneaux « dos d’âne ». Il a bon dos, le pauvre.. !

 

95- Les deux côtés des choses..

Une bonne leçon de sagesse nous avait été donnée un jour par l'histoire d'une « blonde », bouc émissaire de l’époque, et qui répondait à une personne qui l’interpellait, de l’autre côté d’un cours d’eau, pour savoir comment elle, la blonde, avait fait pour passer de l’autre côté.. Et que cette dernière lui avait répondu : « Mais vous y êtes.. de l’autre côté !! ». Comme quoi la vérité n’est jamais d’un seul côté..

 

96- Avertis

Je n’ai jamais compris la justification de la répartition des lettres de l’alphabet sur un clavier d’ordinateur.. Même les Anglais ont le même ! A moins que ce soit nous qui ayons le même qu’eux.. A part les deux premières, QW chez eux, et AZ chez nous. Le nôtre, on l’appelle un clavier AZERTY. Vous voilà prévenus, surtout si vous remplacez le Z par le V..

 

97- Ou comment se prendre un savon..

 ll a relavé la vaisselle,

 Celle qu’il avait lavée la veille.

La veille, elle était encore sale,

 Mais ça, le seul qui le savait

C’était bien lui qui, l’avant-veille,

 De trop de vin s’était gavé..

 Et le matin, pas surveillé,

 Il a eu un mauvais réveil,

 Et donc il a tout mal lavé..

 Il ne savait plus que le savon

 Ne lave pas bien les couverts..

 Alors que nous, nous le savons,

 Y-a longtemps qu’on l’a découvert..

 

98- Contre-courant

Le saumon est le summum de l’anti-conformisme.

 

99- Rabat-jour

Il est de drôles de jours où les nuits ne sont pas drôles.

 

100- Contre-temps

Dans un monde à contre-temps, même le passé est incertain.

 

101- Problème d’horloge

A l’aube de mon crépuscule, j’ai enfin compris l’origine de ma tendance congénitale au retard endémique. Je suis né avec un décalage horaire lié au changement de fuseau existant entre mon lieu de naissance et celui de mon activité..

 

102-- Sans Déconner, Fichtre.. !

Beaucoup de SDF aimeraient être mis en demeure, alors que ceux sont eux qui ne le sont jamais. Le monde est mal fait..

 

103-- Appuyer sur pause..

Les ménopausées ne sont pas des ménoposées, et encore moins des méno-reposées, même si, au fil du temps, elles peuvent parfois donner cette impression.

 

104-- Si tu veux jouer au plus con..

S’il est un jeu pédagogique pour apprendre à perdre, c’est le jeu du plus con, dans lequel le but n’est pas forcément de gagner..

 

105-- Porte de secours

Quand je m’insupporte, Je prends la porte, Tout en essayant de l’éviter, Pour ne pas me la prendre sur le nez..

 

106- Qui perd gagne..

On ne dit pas « S’il se perd, on l’a trouvé !», mais « S’il se trouve, on l’a perdu ! ».

 

107 -Tollé rance..

Faute de m’en servir, j’ai depuis longtemps le tollé rance. Mais je l’avais, depuis longtemps déjà, troqué contre son féminin. Et je compte sur vous pour l’utiliser à mon égard…

 

108 - Procheté..

« Prochain » et « proche » doivent avoir la même racine. Pourtant les deux mots sont parfois aussi éloignés que la racine de l’arbre de ses feuilles, car on n’est proche que de ceux dont on se rapproche.

 

109 - Nymphomammie

Reprise du feu, suite à des braises encore incandescentes.

 

110 - Mode         

Les canons ne devraient servir qu’à la mode. Avec l’avantage, en plus, qu’ils se démoderaient régulièrement.

 

111 - Bien entendu

On n’a pas besoin de moralises, et encore moins de religieux, pour nous dire ce qu’on peut faire de notre corps, malgré les malentendus qu’il peut entraîner. C’est l’apanage de toute relation humaine, et même l’esprit n’y échappe pas, bien entendu.

 

 112 - Salaupe ?

Curieusement, le terme de « salope » n’est pas le féminin, ou en tous cas n'a pas le même sens que « salaud ». Mais s’il fallait choisir, je préférerais encore être une salope.

 

113 - Homo sapiens ? Ou Homo tolérantus ?

L’homo erectus nous avait préparés à être un homo sexuus, un être sexué, mais moins bien à être aussi un « homo sexualis ». On y revient. Et heureusement.

 

114 - Trois petits tours et puis s’en vont..

Les trois grandes religions nous ont conditionnés à nous méfier du sexe. Mais ce n’est pas de lui qu’il faut nous méfier, c’est d’elles.

 

115 - A noter..

Cela commence à l’école, et ça vous suit toute votre vie. La connotation porte bien son nom..

 

116 - Bol d’air

A tous les rustres, les mufles, les primitifs, les grossiers, les bruts de décoffrage, les ‘je-fais-pas-dans-la-dentelle’, à tous ces rentre-dedans, je dis : « Allez rentrez-dehors, ça vous changera le peu d’idée que vous avez. Et à nous, avec un peu de bol, ça nous fera de l’air aussi, un bol d’air, dedans..

 

117 - Après réflexion..

Je ne suis pas loin de penser, d’ailleurs je m’en rapproche, qu’on pense plus qu’on ne réfléchit. C’est vrai que c’est plus facile. Demandez au miroir !

 

118 - Dos d’âne

Utiliser cette expression, qu’on remplace parfois par « Gendarme couché » n’est pas très heureux, surtout pour les gendarmes. Remarquez, pour l’âne non plus, lui qui en classe avait déjà son bonnet (son baudet, il l’a déjà dans la nature).

 

119 - Comprenons-nous bien..

Dire que le boucher est ouvert est impropre. D’ailleurs, c’est pas qu’il ne soit pas propre, mais on parle de la boucherie, en supposant qu’elle le soit, propre, évidemment. Par contre il peut très bien être bouché tout en ayant sa boucherie ouverte. Comme quoi une boucherie ouverte peut avoir un boucher fermé, et une boucherie fermée, un boucher très ouvert.. Je dis pas ça pour les végan, qui parfois sont très fermés, d’ailleurs.

 

120 - Des hauts et débats..

Que ce soit sur le plan individuel ou collectif, on a tous des passages à vide et des périodes fastes. Des décennies d’après-guerre aux trente glorieuses, des années de crises pétrolières aux crises financières, et crises sanitaires.. Il va nous en falloir, des jeux vidéos, pour oublier notre vide existentiel.. Et quant aux vidéos et leur monde virtuel, plus on vit-des-hauts, plus on vivra des bas. Et plus dure sera la chute..

 

121 - Sandra

Quand Sandra dort, est-ce qu’elle dort sans draps ? Mais je parie que son mari, Jean-Marie, quand il dort avec Sandra, avec ou sans draps, d’ailleurs, son mira dort. Euh, pardon, son mari dort.

 

122 - Père durer..

Parce que contrairement à la femme, l’homme n’a pas l’assurance d’être le père de ses enfants, et surtout, parce qu’il ne les a pas portés, il aura moins de remords à se défausser de leur prise en charge. Est-ce la principale raison de la tradition culturelle monogamique depuis la nuit des temps, par nécessité d’harmonie sociale et de transmission du savoir, donc de survie, avant son acceptation tribale puis son officialisation religieuse ?

 

 

123 - Miroir

 

Pour combien de ces gens,

 

Miroir est infidèle,

 

Se montrant indulgent,

 

Au lieu d’être cruel.. ?

 

Au lieu que de vous dire

 

Qu’il a honte de vous,

 

Il vous fait un sourire

 

Pour d’autres rendez-vous..

 

 

124 - Privilèges

L’avantage du flic, même incompétent, mais plus encore quand il est gradé, c’est qu’il est inamovible. On dit que.. commilssaire.. !

 

126 - Rot scélérat

Qu’on poireaute en rotant ou qu’on rote en poireautant, ce n’est pas le poireau qu’on rote. C’est le rot. C’est le poids du rot scélérat. Mais ce ne n’est pas le rat. D’ailleurs, est-ce que le rat rote ? Non. Le rat dote. Ou plus exactement, c’est moi qui radote..

 

 

127 - Ma theuse

Fille d’émigrés Espagnols, elle s’appelait Pépita. Mais comme elle était un peu plus petite que la moyenne, on l’appelait Petita. Bien vite, on s’aperçut que sa moyenne en math compensait largement, et elle eut droit à se faire appeler Petit-B.

 

128 - Dictée..Exercice d’orthographe..

Les vrais riches se bâfrent d’argent mais pas de nourriture, du moins dans les restos huppés, où le nombre d’étoiles est inversement proportionnel à la quantité proposée. (Je viens d’apprendre à l’instant, que se bâfrer peut s’écrire baffrer, bâffrer, ou bafrer.. ! Mais aussi, que restos peut s’écrire restaux, et même restau au pluriel.. !) J’ai bien fait de vous écrire.. Quant à « huppé », j’ai failli l’écrire « U.P. », Uniquement Privilégiés..

 

 

 

129 - Aube

 

Quand se lève l’Eve d’Adam,

 

L’Adam, d’Eve, n’est que la sève,

 

De la vie qui coule dedans..

 

 

 

130 - Rigène

Tout le monde abhorre Rigène, depuis les Aborigènes à nos jours, en Autralie comme ailleurs. Pourtant, même la vie l’est, je veux dire quand-c’est-Rigène. C’est même le facteur le plus aggravant.

 

131 - Sextant

En amour, plus on sex-halte, plus on sex-pose. Mais, halte ou pose, ce serait dommage de s’arrêter. Il faut qu’on sex-prime, et ce n’est pas en prime. Ca en est l’un des socles, l’un des deux piliers. A vrai dire, il en faudrait même trois, car c’est la base d’un équilibre sur une surface et non pas sur un axe. L’amour a trois dimensions. Je vous laisse exprimer la troisième..

 

132 - Droite et confiture

Il n’y a pas plus de rapport entre la Droite et la droiture qu’entre Confit et confiture, même si la cuisine est toujours présente quelque part..

 

133 - Dans le blanc des yeux..

Le blanc des yeux des Noirs est plus blanc que le blanc des yeux des Blancs, par contraste. Par contre, et non par contraste, en ce qui concerne le noir des yeux des Noirs, je ne saurais vous dire s’il est plus noir que le noir des yeux noirs des Blancs. Et en ce qui concerne les cernes, je peux me risquer à dire que la nuit, les cernes des yeux des Noirs sont moins visibles que ceux des Blancs. Néanmoins, le délit de faciès aidant, si on peut dire, les Noirs sont plus cernés que nous, de jour et surtout de nuit. Mais cernés par qui ? Je ne parlerai pas des concernés..

 

 

 

134 - Grand-Poucet

 

Il est des larges routes qui mènent à des impasses

 

Et des petits sentiers qui s’ouvrent à l’océan,

 

Des modestes chemins qui inventent l’espace,

 

Pour les Petits-Poucets qui deviennent géants..

 

 

135 - Bout-à-bout..

Quand l’infini, l’autre commence..

 

136 -Hésitations

Parmi mes réflexions célèbres, je veux dire, qui le deviendront, j’ai du mal à choisir..

 

137 - De bonne humeur..

Il vaut mieux être deux bonnes humeurs qu’une.

 

138 - Intransigeance

Condamné, il les prévint : « Je veux bien mourir, mais c’est la première et dernière fois ». Par chance, le bourreau était bien luné ce jour-là. Il s’exécuta..

 

139 - Vieux pieux ?

Dire qu’ "un vieux peut" n’est pas un vœu pieux. Même s’il est un peu vieux. Et qu’il soit pieux ne change rien. C’est pas mieux.

 

140 - La Camarde

Quand j’aurai fini d’agacer les gens de mon entourage et qu’ils me renverront à mon expéditeur, Dieu ne pourra même pas dire : « Oh, celui-là, je l’ai assez vu.. !! »

 

141 - Les buffles

Quel pourcentage de Mufles chez les hommes ? En fonction des lieux et des époques ? Est-ce une espèce en voie d’extinction ? Je crains que non. Les femmes ont le droit de les préférer aux buffles, puisqu’il y a des beaux Mufles. Même si je comprends la préférence. Que feraient-elles d’un buffle.. !!

 

142 - La classe

Les maîtres qui ont de la classe ont plus souvent une maîtresse que les autres. Mais ils ne seront pas mieux notés, en tous cas par l’Education Nationale..

 

143 - A votre corps défendant..

Que malgré tous vos efforts pour le ralentir, l’âge vous rattrape, ça vous dépasse.. ! Mais consolez-vous, même quand il est parti devant vous, c’est vous qui finissez par le rattraper, et comme on dit, à votre corps défendant..

 

144- Colors

On devrait pouvoir trouver une solution au problème des racistes en repeignant les Noirs en blanc, ou en tous cas en couleur chair, étant admis que la chair, même si elle est faible, par définition, est claire. Je parle d’une peinture à l’huile, évidemment, même si, se lavant moins souvent que nous, une peinture à l’eau tiendrait assez longtemps. Quant aux Arabes, ils ont eu le mauvais goût de choisir une couleur intermédiaire bâtarde qui peut induire en erreur, se rapprochant de nos touristes bronzés, pour ne pas dire des Latins, qui ne tiennent pas à leur être assimilés. Donc, soit on les repeint eux aussi en clair, en interdisant aux Blancs de prendre des vacances au soleil des pays de ces gens-là, soit on se repeint nous aussi en couleur basanée, au grand dam des racistes purs, blanc albinos, qui ne veulent pas partir en vacances alors qu’ils en ont les moyens. Et les métis me direz-vous ? A repeindre aussi, sauf à interdire les mariages mixtes. Idem avec les Ultramarins, ultras ou pas. Reste l’épineux problème des Indous, Pakistanais et Chinois, pour faire simple. Je ne propose pas de solution, actuellement, mais à étudier..Vu leur nombre, ils finiront par devenir la norme..

 

 145 - Requiem pour un ‘re’

Donnez-moi le ‘la’, je vous donnerai le ‘re’.. Ce n’est pas une provocation. Tout musicien bien né, si on lui donne la hauteur du ‘la’ va vous trouver le ‘re’, en remontant la gamme à partir du ‘la’, pour s’arrêter à la 4ème note.. Ceci dit, j’en profite pour vous lister la famille du ‘re’, qui comprend, outre le ‘re’ majeur et le mineur, mais qui n’est pas plus jeune que lui, le ‘re’ dièse’ et le bémol, qui n’est pas plus raté que son frère. Par contre, le ‘re’ quiem n’est pas le plus gai..

 

146 - Nul..

Il est dommage d’assimiler le nul au zéro, même non pointé. C’est faire offense aux deux. Le « nul » ne l’est jamais autant que celui qui s’en sert pour qualifier l’autre, et le zéro est lié à l’infini par une relation mathématique curieuse : c’est le rapport de 1 sur 0.. Le zéro est donc le seul chiffre à avoir un rapport à l’infini. (Vous pourrez le vérifier dans la série « Les maths pour les Nuls »).

 

147 - Babillages

J’ai appris d'ailleurs, que le chiffre zéro nous vient des Babyloniens, avant que les Mayas puis les Indiens de l’Inde, avant les Arabes, nous l’apportent, à nous Européens..(Un rappel parfois utile pour certains..)

 

148 - L’importun, c’est l’épine..

Par les temps qui courent, et Dieu sait s’ils courent vite (..à leur perte, c’est-à-dire à la nôtre), les climato-sceptiques sont des opportunistes inopportuns, mais surtout importuns (pour employer un euphémisme). Et si le poète a pu dire que « L’important, c’est la rose.. », le prophète dirait que l’importun, c’est l’épine..

 

149 - A plus..

Par ces périodes virales, nous dirions « A plus, si affinités.. et à moins, si confinités.. » (osons des mots nouveaux, que diable ! puisque les anciens sont parfois covidés de leur sens..)

 

150 - Apophtegme.. que m’a fait passer une amie.

(Du grec « apophtegma », avec un accent sur le o, « précepte, sentence » est une parole mémorable ayant valeur de maxime). Et de m’en citer quelques unes dont j’ai retenu :

« Les moulins, c’était mieux à vent ? »,

« Si le ski alpin, ..qui a le beurre et la confiture ? »,

« Je m’acier, ou je métal ? Que fer ? »,

« Si Gibraltar est un détroit, qui sont les deux autres ? »

.. Allez, j’ose en sortir une qui me vient de la réponse que j’allais lui faire :

« Si l’ex est lent, est-ce que le nouveau est plus rapide ? ».

(Oui bon, elle m’est venue peut-être trop vite..)

 

 

151 - Vue de l’esprit

La vie de l’esprit n’est pas une vue de l’esprit, mais celle qui vous élève à la beauté du monde et à l’importance de l’émotion.

 

152 - Être et avoir

Même pour les humanistes, il vaut mieux avoir des CD dans son salon, qu’être décédé dans sa chambre. On peut faire l’inverse. Mais rien ne vous empêche de faire les deux. Pour ceux qui aiment les écouter dans leur chambre par contre, ça ne fera pas forcément de la musique de chambre.

 

153 - Comment il s’appelle, déjà.. ?

Comment il s’a pelé déjà, ce grand footballeur brésilien.. ?!   Non, c’est pas Diégo Maradona. Lui, il était argentin. Pas Messi non plus, Lionel Messi. Lui aussi il est argentin. C’est drôle, je ne me rappelle que de son prénom, Edson Arantes do Nascimento.. !

 

154 - Esprit mal tourné..

Quand au décours d’une conversation contradictoire, un homosexuel vous dit qu’il faut le prendre comme il est, n’y voyez pas d’arrière-pensée.

 

155 - SVP..

Combien de jeunes filles et jeunes mamans connaissent ou même, mesurent, l’apport de Simone Veil en ce qui concerne leur féminité.. ? Alors, par un subterfuge qui paraîtra bien dérisoire mais qui vaut plus par sa finalité et son côté mneumo-technique que par sa symbolique, je dirai « S’il vous plaît, à l’occasion, pensez à elle, à Simone Veil Pensez, SVP.. ! »

 

156 - Jeu de dames

Aux Jeu d’Echecs on rencontre toujours des dames, comme aux Jeu de Dames, des échecs. Tant que ça reste un jeu..

 

157 - Vu sous cet angle

Avec les dames, nul besoin d’arrondir les angles. Ils le sont déjà.

 

158 - Transparence et trans-parentalité

A l’heure où les LGBT sont enfin reconnus dans leur spécificité, entrant dans le cercle longtemps fermé des gens respectables, je me demande, sans aucune arrière pensée, si les trans ont, comme plus facilement les trois autres, tendance à envisager la responsabilité d’être parents. Non, c’était juste pour placer que, dans ce cas, ils deviendraient « trans-parents »..

 

159 - Autocensure

On est plus nombreux à pratiquer la critique que l’autocritique. La différence, mis à part l’auto, c’est le mobile..

 

160 - Errance

Contrairement au beurre vieux, quand la tol..érance, on est bien content d’en profiter, alors que l’Extrème-Droite s’en est toujours gaussée. Il faut dire qu’elle a toujours fait son beurre en la caricaturant. D’ailleurs je ne devrais pas l’écrire avec deux majuscules..

 

161 - Au bout du fil..

Quand on parle d’infini, on pense surtout à l’infiniment grand, puisque le mystère du ciel, surtout la nuit, nous y invite en nous donnant une idée. Cet infini est hors de nous, extérieur à notre enveloppe humaine. Par contre on a en nous, à portée de main, un deuxième infini, l’infiniment petit, et dont l’idée, le concept, est aussi vertigineux.. Sur le fil de l’infini donc, l’homme se situe entre les deux, comme un maillon qui relie, qui permet l’existence de ses deux extrémités, extrémités qui n’en sont pas puisqu’elles n’existent pas, par définition. Existeraient-elles, qui pourrait les ‘’penser ‘’?!

 

162 - Pie osée

Pourquoi les rimes ne se feraient-elles pas à l’envers. Comme une siepoé, ou une pie osée.. ? Covoiturage rimerait avec covid, par exemple.. L’avantage c’est que les poètes seraient plus nombreux, même sans dictionnaire.

 

163 - Corps et lation

Il n’y a pas plus de corrélation entre le volume des seins d’une femme et sa taille, sauf si elle a de l’embonpoint, qu’entre.. Vous allez me dire : « Je vous vois venir.. ». Vous pouvez me tutoyer.

 

164 - Mystère..

 

Quand les amoureux s’aiment..,

 

Mais qu’est-ce aimer vraiment ?

 

L’amour lui, il essaime,

 

Quelque soit le comment,

 

Ses graines s’ensemencent,

 

Quelque soit la saison,

 

Pour que tout recommence,

 

Quelque soit la raison..

 

165 - Droit devant..

Avec tous ces gens qui se foutent de tout, les proctologues ont encore de beaux jours ..devant eux.

 

166 - Sauf votre respect..

Il vaut mieux avoir la mort dans l’âme, que dans tout ce qui n’est l’est pas.

 

167 - Tacite Reconduction

Procédure électorale romaine, reprise par nombre de pays depuis, en particulier en Afrique, qui permet de se faire réélire régulièrement. (tacite : de « tacere », se taire.. NDLR). Ici, l’adjectif « tacite » n’a rien avoir avec l’historien-sénateur et philosophe romain Tacite, auteur de cette remarquable remarque : « Jamais les lois ne furent plus multipliées que quand l'État fut le plus corrompu » .

 

168 - Subtelle ou subtil ?

Si je doute parfois de ma foi, c’est parce que j’ai foi en le doute, qui renforce régulièrement ma foi. Comme deux sœurs qui s’aiment malgré leurs différences, qui se respectent grâce à elles.

 

169 - Insignifiance

Chacun sait, ou ressent, que la valeur d’une personne ne se mesure pas à ses idées, et moins encore à ses paroles. J’ajouterai, mieux que de le retrancher, que si donc elle ne se mesure qu’à ses actes, c’est dans les gestes les plus discrets, les situations les plus anodines, les détails parfois les plus insignifiants qu’elle se révèle, comme un reflet sur l’eau sous un rayon de soleil.

 

170 -Halle Zheimer

Même si vous êtes encore capable de l’écrire comme ça, c’est pas trop grave..

 

171 - Responsables mouvants

Pour beaucoup de responsables politiques, la notion de responsabilité est moins un état d’esprit, un trait de caractère, qu’un statut, une fonction, même si elle a été légitimement acquise. Ce qui l’amène souvent à lui devenir antagoniste..

 

172 - Bon point

L’embonpoint n’est pas forcément un bon point. Mais ça dépend pour quoi. Ceux qui en bénéficient sont souvent plus joviaux que les maigrichons, plus ronchons.

 

173 - Valeur humaine

J’ai découvert récemment que la vie humaine avait une valeur monnayable, puisqu’il fallait bien trouver une base de discussion lors de l’indemnisation des personnes décédées lors d’un crash d’avion par exemple. Vous dire que cette valeur dépend de la nationalité ne vous surprendra pas, les compagnies d’assurance n’ayant pas les mêmes valeurs selon le PIB du pays concerné. Je n’ai pas dit que cette valeur dépendait de la ‘valeur’ de la personne concernée. Par contre ça ne me surprendrait qu’elle soit liée à son « genre ». Mais pas besoin de vous faire un dessin. Et quand je dis « dessin », c’est une image. Et le terme d’ « image », je l’emploie à dessein. Car dessiner ce type de « genre » risque de compromettre votre image.

 

174- Scato

Pour un homme de sciences, l’exonération fécale est un pléonasme. Pour l’homme de la rue, l’exonération fiscale est un fantasme. (les hirondelles volent bas ce matin. Le temps va changer..)

 

175 - Ce que j'en pense..

Il vaut mieux rire de ses blagues que d’en pleurer.Même si parfois je me demande..

 

176 - Activisme ?

J’ai parfaitement conscience, mauvaise conscience, de ne pas participer comme il le faudrait à la vie politique de mon pays, pour ne pas dire à la vie publique locale. Ou alors très modestement. Il faut dire que je suis modeste..

 

176 - Apprêt ?

Appréhender la subtilité de notre langue pourrait commencer par ce même verbe. D’abord parce que l’appré d’appréhender est paradoxal, puisqu’il concerne l’avant, et que pour ne pas trop appréhender la réalité, il faut justement bien l’appréhender..

 

177 -

Il y en a qui doutent de rien. Moi je suis un grand douteur de moi-même.

 

178 -

Propreté On ne dit pas « J’avais ‘lisé’ Les Caves du Vatican », surtout quand on sait que c’est André Gide qui s’y est collé, mais « j’avais ‘lu’ Les Caves du Vatican ». D’ailleurs, paraît-il, plutôt que du javel, c’est un bon coup d’aspirateur qu’il faudrait, un dépoussiérage. Et quand je dis poussière..

 

179 - Inconcevable

Finalement, on peut tous se mettre d’accord sur point. Dieu est inconcevable. Parce que irrecevable pour les uns, irréel pour les autres, inutile, pour ceux qui restent, les plus nombreux.

 

180 - Branle-bas de combat !

Je me suis parfois demandé d’où venait cette expression curieuse.. Avec l’âge, ça m’est passé.

 

181 - Désiré..

Prénom quelque peu ambigu, en tous cas difficile à porter parfois. Ce qui est sûr, c’est qu’il vaut mieux être désiré que laisser à désirer. Même s’il faut laisser à Désiré le soin de l’être.

 

182 - Outre-Amer..

Quand on dit, parfois, qu’on est amer, c’est peut-être parce qu’on y a vu que du bleu..

 

183 - Question de langage..

Même s’il a été dit que « Partir, c’est mourir un peu », il vaut mieux « s’adresser Adieu qu’ Assassin.. »

 

184 - Réflexions mélancolo-politiques

Je pense parfois à la priorité des qualités que j’attends d’un homme politique.. ! Comment choisir et dans quel ordre, entre compétence, honnêteté intellectuelle, bonne volonté, sens de la justice, de l’anticipation, du dialogue, courage politique, etc.. Je me dis que finalement, après l’honnêteté c’est surtout la clairvoyance, pour s’entourer des personnes qui possèdent, à elles toutes, les autres qualités..

 

185 - Est-ce que c’est grave, docteur ?

Est-ce grave, docteur, que je n’aie pas besoin de vos services pour l’instant.. ? Mais accepterais-je le vieux principe chinois de ne régler le médecin que tant que je suis en bonne santé, pour m’arrêter de le faire dès que je suis malade et qu’il me faut passer entre ses mains jusqu’à ce qu’il me guérisse définitivement.. ? Dès lors on aurait tendance à penser que ce sont eux, les médecins, et non le Conseil National de la Résistance, qui ont été à l’origine de la Sécurité Sociale, en sous-main..

 

186 - Inconscientum

J’avais toujours écrit la formule latine « à volonté » par « ad libidum », au lieu de « ad libitum » comme il se doit. Comme quoi.. ! Bref ! A chacun ses libites. Pardon, ses limites..

 

187 - Vous avez dit quelque chose ?

Il semble, au vu de l’utilisation de l’expression « S’il m’arrivait ‘quelque chose’.. », qu’il ne puisse, dès lors, plus rien vous arriver.. Vous me le direz..

 

188 - Top là !!

On n’enterre pas un espion infiltré pour la bonne raison que, en tant que taupe, il l’est déjà.

 

189 - Ca pourrait être un dicton

Père qui trop tempère, mère finit amère..

 

190 - Tutos scientifiques

Pour ceux qui craignent la maladie de Lyme, je conseille les vidéos zéro-tiques.

 

191 - Destinée

Pierre Dubois a longtemps hésité entre tailleur de pierre et ébéniste. Il a fini par faire des cheminées. En pierre.

 

192- Psychanalyse de boulevard ?

Une personne vraiment modeste est quelqu’un qui a un différend avec son égo.

 

193 - Peut-on renvoyer un apatride « chez lui ».. ?!

Je fais confiance à l’administration de mon pays.. Comme d’autres ont eu l’occasion de le faire à certaines périodes de notre histoire..

 

194 - Dans le bon sens..

Il est plus facile de caresser un homme dans le sens du poil, qu’une femme. Je veux dire que c’est plus accessible. Mais je parie que vous l’aviez deviné..

 

195 - A voir..

Dans la vie, soit on se presse pour prendre de l’avance sur son temps, en se disant qu’on le distance, et que la Mort aura du retard.. Soit on prend son temps, en pensant que celle-ci le prendra aussi.. Mais j’ai bien peur qu’on ait toujours tord..

 

196 - A l’ouest..

Il y a deux moments où il faut se méfier du soleil. En milieu de journée car c’est là qu’il est le plus fort, et en fin de journée, parce qu’il est à l’ouest..

 

197 - Bête

En attendant de tuer la bête, il faut tuer le temps. Mais ce dernier résiste beaucoup mieux. En tous cas plus longtemps..

 

198 - Mais pas que..

Nécessité fait loi, mais pas que. Elle fait aussi courage, puisqu’elle est parfois sa raison, sa cause.

 

199 - Piment d’Esquelette

Rien ne ressemble plus à un squelette qu’un autre squelette. Non, je dis ça pour ceux qui ont une haute opinion d’eux-mêmes.

 

200 - Meilleure marque

Pour les musiciens, les meilleurs synthés sont les synthés Milion .. (c’est nul. Mais je n’ai jamais dit que je ne l’étais pas.)

 

 201 - Printemp...

Quand vous voyez passer un couple d’oiseaux dans le ciel, comment distinguer le mâle de la femelle ? C’est simple. Hors période de reproduction, le mâle est devant..

 

202 - Distingo

« Distingo » peut s’écrire aussi « Distinguo ». J’ai vérifié. En Argentine, ils préfèrent « Distango » qu’un seul..

 

203 - Je ne pense pas donc je ne suis pas..

Le hasard existe bel et bien, puisque ce n’est que l’ignorance des causes.

 

204 - Testeur de poivre

Peut-on comparer deux poivres différents, en dehors de leur force ? Chez les hommes, c’est plus facile.

 

205 - Changement d’heure

Pour ceux qui se compliquent la vie inutilement, ceux qui vont toujours chercher midi à quatorze heurs, le changement d’heure bi-annuel n’arrange rien. Même si ça les améliore un peu mieux six mois par an.

 

206 - Noblesse oblige

Noblesse, terme social presque désuet pour parler d’une classe de la société qui s’était arrogée un terme qui lui seyait moins qu’aux gueux qu’elle exploitait.

 

207 - Curieuse expression

Dans l’expression d’obsèques « Partir plus tôt que prévu », remplacer « plus tôt » par « plutôt » n’apporte pas une grande consolation, puisque c’est toujours prévu, même si je préfère plutôt « prévu » que « partir »..

 

208 - Ciel, mon voisin !

Ne lève les yeux au ciel que pour l’admirer, pas pour râler contre ton voisin.

 

209 - Homme à femme

L’ Homafam est un homme qui commence par avoir les moyens de ses envies et finit par subir les envies de ses moyens.

 

210 - Contage

La vie est la plus belle des contagions. Ne vous soignez pas. Mieux, transmetttez-la.

 

211 - Fumisterie

La vie est la plus belle fumisterie. Mais elle fait toujours un tabac.

 

212 - Contrariété

On part toujours à contre-coeur, surtout un cardiaque.

 

213 - C’est beau un homme

C’est beau un homme, quand il plie le genou devant ce qu’il croit être plus grand que lui. C’est triste quand c’est devant celui qui croit être plus grand que l'autre.

 

214 - Tolérance zéro

L’une des causes de l’athéisme réside dans l’intolérance, justifiée, aux maux de l’Humanité, dont l’orgueil et la cupidité en expliquent la plupart. Mais quel est le degré de tolérance à l’injustice ou au malheur qu’on est capable d’accepter pour entrouvrir son esprit à une forme de transcendance, à un mystère qui nous dépasse et qui pourrait tout expliquer.. ?

 

215 - Miss Terre

La Terre reste un mystère, même pour ceux qui ont les pieds sur terre et ne veulent pas se poser de questions autres que terre-à-terre. Miss Terre reste un mystère.

 

216 - Infinitude

Que l’Univers soit infini ou pas ne change rien à l’affaire. Unis ou désunis vers l’univers, on y va, on y va vers. Vers quoi, je n’en sais rien. C’est là qu’est le mystère.

 

217 - Aller simpe

La mort est tellement étonnante qu’on n’en revient pas.

 

218 - Loi de la pesanteur

Il en est de la taille comme de l’orgueil. Plus on est haut, plus la chute sera conséquente.

 

219 - Trous blancs

Dans les galaxies intersidérales, si l’on n’a pas rencontré de trous blancs, on a découvert les trous noirs, qui sont troublants autant que sidérants. Dans les galaxies extrasidérales, ça reste à voir. Il y fait tellement noir !

 

220- Hypercrisie

C’est ce qu’on devrait dire de l’hypocrisie quand elle devient insupportable.

 

221 - Allez, Gault !

Je croyais que le choix des' toqués' étaient réservés aux seuls Messieurs Gault et Millau. Il paraît que les psychiatres le font aussi. On m’a expliqué que la différence était que pour les premiers ça se voit sur la tête, et pour les seconds, à l’intérieur. Déjà, ça ne se voit pas à leur tête, ce qui me rassure un peu..

 

222 - Ils n’ont pas tous cessé..

La Guerre de Sécession de 1861 aux Etats-Unis opposa les Etats abolitionnistes du Nord, appelés les Etats d’Amérique du Nord (favorables à l’abolition de l’esclavage), ou « l’Union », dirigés par Abraham Lincoln, aux Etats confédérés d’Amérique, états du Sud, esclavagistes. Comme quoi les cons savaient déjà se fédérer.

 

223 -Vice de procédure

Est-ce que le mécanicien peut se faire écrouer pour vis..?

 

224 - Chut.. !

Chuter n’est pas dire « chut », même si faire chuter quelqu’un c’est parfois le seul moyen de le faire taire.

 

225 - Trahi..

Après coup, le mensonge renseigne sur son auteur peut-être plus que la vérité. Comme un négatif de photo, un message en creux, il dit de vous la faille, la fracture qui vous fragilise, sur les actes ou les intentions que vous n’assumez pas, que vous repoussez sans cesse, comme par peur de vous découvrir.

 

226 - L’homo Zoïde

Toutes choses égales par ailleurs, comme se plaisaient à dire mes professeurs, un homme peut parvenir à produire une dizaine de milliards de spermatozoïdes, soit bientôt l’équivalent de la population mondiale, en quelques semaines ou quelques mois, selon les paramètres que chacun peut proposer.. Nous n’aborderons pas le côté pratique.

 

227 - Qui pro quo ?

Si avec des « si » on peut mettre ’’Paris en bouteille’’, avec des « qui » on peut mettre aussi ’’Âneries en éveil’’, du genre : « Qui trop trotte, mal galope », ou « Qui trop brille, mal éclaire ».. Même si en cherchant bien, ce n’est pas « si sot que ça »..

 

228 - Fausses fosses..

Si on parle de fausse modestie, on ne parle jamais de fausse vanité. Normal. On conçoit mieux une fausse qualité qu’un faux défaut. Par contre, on sera moins gênés de parler de faux sceptiques que de fausses sceptiques.

 

229 - Oignon

Il y a des hommes qui ont le coeur tellement sec que même un oignon ne ferait pas pleurer.

 

230 - Bénéfice

Je sais la différence entre chiffre d’affaires et bénéfice, un peu comme entre ce qu’on a appris à l’école et ce qu’on a retenu.. Mais si j’avais pu bénéficier du « bénéfice du doute » chaque fois que j’ai pu douter, j’aurais accumulé une petite cagnotte.

 

231 - Queue de poisson

Dans les grands restaurants, les serveurs en queue-de-pie servent les servis en queue-de paon. Les seconds sont les plus enviés, même si une fois couchés, ils ne font pas la roue mieux que les autres.

 

232 - Mal à digérer

Avant ou après Brexit, mieux vaut être Français qu’ « étranglé »..

 

234 - L’amante religieuse

Si vous tombez sur ce cas particulier, méfiez-vous quand-même car, si elle ne dévore pas son partenaire officiel, puisqu’elle n’en a pas officiellement, elle peut mettre à mal son mâle, vu qu’elle a dû prendre longtemps son mal en patience..

 

235 - Euro qui comme Ulysse..

Nos euro-députés sont-ils des heureux députés ? En tout cas, ils ne semblent pas euro-dépités.

 

236 - 19,99

La 1ère raison pour laquelle les prix étiquetés des produits industriels se terminent par neuf, et même par neuf-neuf, vous vous en doutez. Mais la seconde, c’est tout simplement parce que ces produits sont neufs, doublement neufs si on peut dire. Je profite de « l’occasion » pour vous le dire..

 

237 - Urgentélisme

Autant un « client » peut « s’impatienter », autant un « patient » n’a pas le droit de « s’inclienter », puisque par définition il est patient. S’il ne l’est plus, il devient éventuellement un « impatient » mais jamais un « urgent », et s’il « s’insurgente », il peut s’insurgenter et même s’insurger où il veut, mais pas dans les services d’urgences. En effet, ces derniers n’admettent plus que les personnes et non leurs comportements déplacés, même si elles se sont déplacées exprès.

 

238 - Toujours retors

Au Parlement Européen comme au nôtre, je ne sais pas si les absents ont toujours tord, mais ils ont toujours leurs indemnités.

 

239 - Reste-en-bureau

De nos jours, il y a d’autant plus de faucons, de boutefeux, que ceux qui décident les conflits non seulement ne sont plus en première ligne comme « au bon vieux temps », mais qu’ils vendent souvent les armes qu’eux-mêmes fabriquent loin du front. Les va-t’en guerre sont devenus des reste-en-bureau.

 

240 - Pas que rettes..

Il y en a qui pensent tellement à ras des pâquerettes qu’on devrait plutôt dire qu ‘ils broutent. Pour ne pas dire qu’ils pansent..

 

241 - La téralité..

Mieux vaut passer larme à l’oeil que l’arme à gauche, même pour un droitier, sinon il ne vous en restera même plus pour pleurer.

 

242 - Bête et indiscipliné

A être bête, autant être indiscipliné, histoire d’emmerder les sages et les intelligents.

 

243 - Vous avez dit Nyctalope

Curieux mais respectable énergumène qui voit la nuit. (Alors que c’était plutôt mal parti pour ce qui est de la respectabilité..)

 

244 - Plates-bandes

Sans empiéter sur les plates-bandes des diététiciens, on peut avancer qu’un plat tonique n’est pas la meilleure façon de rester platonique.

 

245 - Faut le fer..

Ne raillez pas les rails, c’est le meilleur exemple géométrique de la fidélité. Par contre, ceux qui la partagent peuvent heureusement se rejoindre, dans cette fidélité..

 

246 - Cupidon

Est-ce que Cupidon est cupide ?! Ca ne se voit pas sur.., sur sa figure. En tous cas il est stupide, comme la fois où il est venu m’embêter pour une fille qui finalement m’a planté..

 

247 - Comme un accord, ou commun accord.. ?

Tacite était un historien romain peu bavard, très conciliant semble-t-il puisqu’il donnait son accord facilement, au point qu’une fois acquis, on le reconduisait automatiquement.

 

248 - Un peu courts..

On est devenus un peu courts en courtoisie, au point qu’on a transféré cette notion à certains véhicules. Peut-être parce que ce concept d’ »homme courtois » remonte au Moyen-Age, et qu’on craint d’être traités de « has-been »..

 

249 - Ca vole bas..

'L’athée rit' plus souvent qu’il ne décolle..

 

250 - Les harassé..

Dans les haras, chevaux qui ont un trot trop lent.

 

 251 - La deuxième fois.. (Quand j'ai repris cette phrase pour la numéroter, j'avoue qu'il m'a fallu y réfléchir à deux fois avant de la comprendre..!!)

La 2ème fois, c’est la 1ère et dernière fois où l’on peut dire que la dernière fois.., ça a été la première.

 

252 - Pargnes

Petits lutins connus pour leurs caisses, où ils recueillaient les noisettes pour les écureuils en prévision de l’hiver.

 

253 - Vous avez dit « odeur ».. ?

Quand l’argent aura une odeur, les poules auront des dents et moi des cheveux (et des implants dentaires, vu leur prix.).

 

254 - Génération spontanée

L’athée est quelqu’un pour qui « Rien » peut donner « Quelque chose », comme par exemple l’ordonnancement des planètes, avec ses lois d’astrophysique universelles et pratiquement immuables sur quelques milliards d’années(-lumières ou pas), avec l’Homme en prime. Mais tout ça par un hasard absolu, sans la moindre matière initiale.

 

255 - Humain ? Nom ou adjectif ?

Les deux mon adjudant. (j’en ai marre des capitaines, commandants et autres colonels). Mais quand on voit certains humains de notre espèce, force est de constater qu’ils constituent une drôle d’espèce, et n’ont d’humain que l’état-civil et leur capacité à procréer.

 

256 - Genre de problème

Même encore de nos jours, certains genres font mauvais genre. Pourtant, il va falloir s’y habituer. Selon une étude réalisée pour l’Obs, en 2019 14 % des 18-44 ans se considèrent comme non-binaires (c’est-à-dire n’appartenant pas au schéma classique homme ou femme). Et ça va encore évoluer. Prenons donc notre mal, pardon, notre bien en patience, ça ne pourra que nous ouvrir l’esprit et enrichir notre coeur, au grand dam des hypocrites, des gens obtus et des religieux de tous poils..

 

257 - Vrai ou faux

Personne n’admettra d’être un vrai faux-cul. Et c’est normal. C’est logique. Un vrai faux-cul est donc un faux faux-cul. Mais libre à vous d’en déduire que les deux négations « faux faux » équivalent à une affirmation, et donc à un vrai cul.. Moi, je ne l’ai pas dit. D'ailleurs il mérite mieux.

 

258 - Malentendu

Du musicien qui a une haute opinion de lui-même, ’’qui joue une octave plus haut’’, on ne dira pas que c’est un « m’as-tu-vu » mais un « m’as-tu-entendu ».

 

259 - Envoyez la musique : Mon copain Kader (sur la chanson de Cadet Roussel)

 

Kader Oussel a trois enfants

 

Ils sont v’nus du Moyen-Orient,

 

Voir si le ciel était plus bleu

 

Que sur la terre de leurs aïeux,

 

Mais ils avaient les yeux trop noirs

 

Pour rester sur le territoire..

 

Ah, ah, ah oui vraiment,

 

Kader Oussel est un migrant..

 

260 - A son corps défendant..

Rien de plus banal, et de plus génial à la fois, à son corps défendant, que le « génie » du géniteur..

 

261 - Pas trique

Le problème de la théorie, c’est que dans la pratique, c’est pas pratique.. Heureusement qu’elle n’est pas faite pour ça. Par contre, inversement, la pratique ça marche d’elle-même, même si théoriquement c’était possible.

 

262 - En mal d’attente

A faire appel à un professionnel, évitez le pro en procrastination.

 

263 - ..?!

S’il fallait se poser une seule question dans sa vie, ce serait bien celle-ci..

 

264 - L'anti-raciste de base

La beauté de l’arc-en-ciel se trouve dans la diversité de ses couleurs. Cela me rappelle quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Je veux dire quelques uns. N’en déplaise aux daltoniens d’esprit...

 

265 - Prenez-le au mot..

Quand quelqu’un vous dit qu’il est hétéro, vous êtes en droit d’avoir un doute.  Mais s’il vous dit qu’il est homo, vous pouvez le prendre au mot.

 

266 - Dysléxie

Ne pas confondre « vœu pieux » et « vieux peu ». Même si pour un « vieux peu », tout est vœu pieux. Par contre, le vieux pieu s’en sort mieux, en tous cas, de la terre.

 

267 - Chant du salut

Y-en a qui ne vous saluent que quand ça leur chante. Autant vous dire qu’ils ne chantent pas souvent..

 

268 - Meilleur vœu

Mon vœu le plus cher, c’est d’avoir à donner le plus d’argentpossible au fisc. Même si ça revient cher..

 

269 - Fantasmes

Il y aura toujours des grands benêts et des petits malins, je veux dire, des malins, petits. Mais il faut bien avouer qu’à capacités intellectuelles égales, ou à charme égal, ou à « réussite » sociale égale, les grands regarderont toujours les petits avec condescendance, dans les deux sens du terme. Y-aurait-il un subconscient freudien, une symbolique concernant certains 'attributs des abrutis'.. !? Fantaisie des fantasmes..

 

270 - Lutte des classes

La lutte des classes, la lutte des classes.. !! Mais que font les les instits et les profs.. !!??

 

271 - Apple

Quand les pommiers perdent leurs feuilles, c’est pour les remplacer par des pommes. Mais quand les hommes perdent leurs cheveux, ils ne les remplacent pas toujours par des idées. Newton et Steve Jobs n’ont pas attendu leurs chutes.

 

272 - Pouce ou majeur

Autant le pouce joue un rôle « majeur » et convivial dans le relationnel et les réseaux sociaux, autant le majeur, quand on en fait ostentation,   « pousse » à l’affrontement dans les frictions souvent futiles entre individus.. Heureusement, pour compenser, c’est aussi le doigt des caresses..

 

273 - Naturel

La vie n’est qu’un miracle auquel on s’habitue, parce qu’il est tellement courant qu’on le croit naturel. Nous dirons donc que la vie est naturelle..

 

 

274 - Mi-temps thérapeutique

Il passait la moitié de son temps à chercher l’autre moitié. Il a demandé un mi-temps thérapeutique..

 

275 - Enferiorité

La différence peut être vécue comme une infériorité, mais l’architecte ne saura pas construire sa maison tout seul. L’ouvrier lui, plus facilement. L’orchestre pourrait plus facilement se passer du chef d’orchestre, même du soliste, que l'inverse. Un homme de bon sens a de quoi remettre en place ou ramener à la réalité n’importe quel grand esprit, en lui rappelant qu’une pièce de monnaie n’existe que parce qu’elle a deux côtés, et que le côté pile n’a pas à se voiler la face.

 

276 - Revendication féminine

L’homme qui revendique sa part de féminité ne fait que reconnaître sa part d’humanité, c’est-à-dire déjà une bonne moitié.. Et quelque part aussi, la moitié de son 'patrimoine' génétique, qu’on pourrait très bien appeler dès lors, son « matrimoine » génétique.. Mais c’est vrai que « moine » est au masculin. Alors disons, sa « matrimoniale », puisque « moniale » est le féminin de moine.

 

277 - Chihuahua "chat"

Pour ceux qui cherchent des animaux domestiques bonsaï autres que le chien, je propose à la place du chien chi-ouawouaw (ou chi-ouahouah) le chat piss-miaoumiaou.

 

278 - Ceux qui ont tord et adorent..

Même s'il vaut mieux que ça n'arrive pas souvent, il vaut mieux avoir raison avec les sots que tord avec les bien-pensants. Mais c’est le point faible des gens qui pensent, le fait, par habitude, d’avoir souvent raison. La différence, c’est que les sots ne le font pas exprès.

 

279 - Âaah ! No name.. !!

Comme disait un anonyme, « Pour devenir célèbre, il faut déjà être connu. ».

 

280 - C’est pas demain la veille..

Comme le dit si bien ma prochaine célèbre chanson concernant notre « Liberté, Egalité, Fraternité », « C’est pas demain la veille, comm' ce sera pas hier le lendemain »..

 

281 - Chemin faisan

Si chemin faisant vous en croisez un, pas un chemin, un faisan, ce ne sera pas un faisan sauvage. Alors que si vous croisez un chasseur, surtout un chasseur de faisans, ce sera sûrement un chasseur sauvage..

 

282 - Le paradoxe du pas

Le paradoxe du pas, que vous marchiez au pas ou pas, c’est que c’est un pas possible.

 

283 - Une chance sur deux

Les statistiques auront beau vous prouver que dans votre cas, vous avez une chance sur dix d’attraper le cancer du col de l’utérus, du pic du sein ou de la vallée du pli fessier, comme de toutes manières il y a une chance sur deux que vous fassiez partie de l’un des deux groupes, au bout du compte vous n’avez bien qu’une chance sur deux d’avoir ce cancer, comme n’importe quel autre. Comme vous avez une chance sur deux de mourir chaque jour de votre vie..

 

284 - Va-et-vient

Tout ce qui vient de soi va de soi. Et quand l’amour s’en mêle, ça va chez les autres..

 

285 - Agrippa d’Aubigné

Nul ne sait vraiment, hormis les Nuls, au vu de la collection du même nom, si c’est Théodore qui agrippa d’Aubigné ou si c’est D’Aubigné qui agrippa Théodore. Ce qu’on sait c’est qu’ils laissèrent leur nom à l’Histoire, alors que cette dernière n’en avait cure.. Mais les hommes ont besoin de marquer leur passage sur cette terre, comme les canidés leur chemin..

 

286 - Saturne pas rond..

Je sais pas Saturne, mais moi quand je sature, ça turne pas rond..

 

287 - Trivialité botanique

Si le pissenlit est une plante diurétique qui mérite donc bien son nom, la chienlit n’est pas un plante purgative..

 

288 - Autodérision

L’autodérision c’est comme la modestie : parfois, vous n’avez pas d’autre choix..

 

289 - Une tonne ? La vache !!

Quand je demande si ça les étonne qu’une vache puisse peser une tonne, certains me répondent « Pas plus que ça ». Effectivement. Par contre, encore plus que ça, ça m’étonnerait que ça ne les étonne pas..

 

290 - Presbytie

Beaucoup trop de femmes ont eu le tord de prendre trop longtemps leur mâle en patience. Mais on connaît, je ne dirais pas l’aveuglement de l’amour, mais pour le moins sa myopie.. Il faut dire qu’avec le temps, c’est la presbytie qui prend le relais. C’est peut-être pour ça que le féminisme prend le dessus..

 

291 - Abscisse et ordonnée

Mon problème, avec le calcul, c’est que je ne retiens jamais les retenues. Et avec la grammaire paternelle, c’est que je suis né sous X.

 

292 - L’ambivalence de l’ambulance..

Se retrouver dans une ambulance, c’est toujours ennuyeux, mais c’est toujours mieux que de ne pas pouvoir en profiter quand on en a besoin..

 

293 - Relativité sentimentale

Pour certains, ce n’est pas la fidélité qui est difficile, c’est plutôt l’infidélité. Mais ce n'est pas toujours bon signe..

 

294 - Aux innocents les mains pleines..

Mais pleines de quoi ? Et qu’est-ce qu’un innocent ? Est-ce que les gens simples sont des simples d’esprit ? Sont-ils plus près du bonheur que ceux qui le cherchent ? Je vous laisse à votre intelligence..

 

 

295 - Beauté fatale

Elle était belle Zébuth.. !! Mais pour être honnête, elle était trop belle pour être honnête.. !

 

296 - Train-train

Si te train de la vie vous mène parfois en bateau, le train de vie vous enchaîne au bateau.

 

297 - Liechten..quoi ?!!

Si vous savez écrire « Liechtenstein », sans vous mélanger les pinceaux, les ‘’ cht’’ , les ‘’ss’’ et les ‘’ein’’, c’est déjà que faites partie des premiers de cordée, non pas sur le plan de l’orthographe mais sur celui des placements lucratifs et discrets.. Et même si vous ne savez pas situer cette petite enclave entre la Suisse et l’Autriche.. Mais qui-est-ce qui a dit « On triche » .. ?? Ah, « Autriche » ! pardon.

 

298 - Poisson rouge

Le poisson rouge n’est rouge que de colère, qu’on l’enferme dans un si petit espace et dans un bocal rond pour le simple plaisir de voir tourner, en bourrique, un poisson qui n’a rien demandé..

 

299 - Bref. Ou le bref..

Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi il y avait plus de prénom « Clémentine » que de « Mandarine » ? Renseignez-vous auprès d’un pépiniériste, vous comprendrez..

 

300 - Orgelet

L’orgelet je l’ai, mais l’or je l’ai pas.. C'est d'autant plus dommage que je l'avais à l'oeil.

 

301 -Fidèle castré..

Ceux qui ont du mal à rester fidèles, et ils semblent nombreux, et forcément dans les deux sexes pour que ce soit possible, auraient tendance à penser que la fidélité est une forme de castration. Et si au castrat, autrefois, il arriva que ça lui fît une belle voix, au castré, désormais, ça lui fait un beau pied-de-nez. Quant à l’éconduit, aujourd’hui comme jadis, ça lui fait une belle jambe..

 

302 - Au feu !!

S’il vous arrivait d’être agressée en pleine nuit en centre ville, ne criez pas « Au secours !!». Personne n’ouvrirait ses volets avant de descendre éventuellement ou d’appeler la police. Criez plutôt « Au feu !! » .

 

303 - Apparemment

Comme tout ce qui est faux-semblant, tape à l’oeil, il paraît que « l’apparat » ment. J’ajouterais : pas apparemment, certainement !!

 

304 - Le dictateur

Le dictateur n’a rien à voir avoir un autodidacte, mais plutôt un autodictate.

 

305 - Viral.. ?

Les infections vous affectent plus que les affections ne vous infectent. Même si l’amour et contagieux..

 

306 - Tant que le temps passe..

Entre le temps qu’il fait et le temps qui passe, je préfère le temps qu’il fait, même s’il passe.

 

307 - Jean's tonic

A l’heure où la mode nous fait porter des jean's déchirés au genou ou sur le haut des cuisses, pourquoi ne pas garder ceux dont l’usure se manifeste le plus, à savoir dans la partie arrière de l’entre-jambe.. Cela sauterait moins aux yeux, mais c'est l'inverse que recherche la mode. On n'en est pas là.

 

308 - Quand la vague abonde..

Que vaut le vague à l’âme d’un vagabond ? Vaguement rien, il a toujours l’humeur vagabonde..

 

309 - Urgence

Le SAMU a été appelé d’urgence. On a trouvé une personne sans connaissance. Le SDF allait bien - si on peut dire - mais comme il n’était pas du coin, il était juste sans connaissances.

 

310 - Le versant du vers-à-soi

Toute parole, quand ça vient de soi, ça va de soi. Mais quand elle vous revient à la figure, ça mal augure.

 

310 - Eh bé non !

Y-a que les gens qui ont mauvais esprit pour penser que les autres l’ont. Et ils aimeraient avoir raison.

 

311 - Appétit

Empathie pour les aliments.

 

312 - La poire

Lorsqu’on coupe la poire en deux, il y en a toujours un qui est un peu plus poire que l’autre. Il ne lui reste plus qu’à se rattraper sur le fromage, et choisir entre la vache et la chèvre.

 

 

 

313 - Cause toujours

Parmi les causes à défendre, il y aura toujours les faussement justes, et pire, les justement fausses. Et on trouvera toujours des hérauts pour les exalter, des raisonneurs pour les justifier, et des adeptes pour les servir, quitte à mourir pour elles. Quant aux sympathisants, ou du moins aux tolérants, leur dire que le sacrifice - qui n’est ni un critère de vérité ni un argument de conviction - n’est respectable que s’il n’implique qu’eux seuls, sinon ce n’est qu’un suicide criminel.

 

314 - Obsolescence

On ne devrait changer de pompes que lorsqu’elles sont funèbres.

 

315 - Trac

Le trac est un truc qu’on troquerait bien contre un trek.

 

316 - Gondoliers

Dans le monde très cloisonné des portes, les « gonds » supportent que ce soit les femelles qui soient sur les mâles.. Et que ceux que ça fait sortir de leurs gonds prennent la porte.. !

 

317 - Le soleil se lève à l’ouest

Quand ils ont mal dormi, mais pas que, vos enfants chéris, que dis-je, vos soleils, se lèvent déjà à l’ouest.

 

318 - Loue lit, mais pas ma Lilou

Annonce : Loue lit, à l’heure ou à la nuit, de jour comme de nuit, en semaine comme en week-end, en cours d’année comme en vacances. Mais je ne procure que taie d’oreiller, draps et couvertures inclues. Qu’on se le dise..

 

319 - Porsche Cayenne

Quel beau clin-d’oeil, pour une Porche Cayenne, que de s’appeler Cayenne, point de chute des parias, des exclus, du rebus de notre belle et vieille France pour servir de main d’oeuvre gratuite dans les plantations de Guyane. Ici, ce sont aussi des exclus, mais de la pauvreté.

 

320 - Clown triste

Je préfère voir un humoriste rire pour de faux, qu’un clown pleurer pour de vrai.

 

321 - Manifestement

Manifestement, les manifs ne sont plus ce qu’elles étaient, comme diraient les soixante-huitards. Quoique.. ! Mais eux non plus.. Reste quand-même à se méfier, car c’est bien l’une des rares choses qu’il nous reste pour se sentir solidaires et défendre nos libertés, chèrement payées par nos aînés..

 

322 - Ténor mâle ?

Le terme de ténor est-il réservé aux hommes ? Sinon, il faudrait préciser « ténor mâle ». Et donc, si on dit de toi que tu es ténor, c’est que « t’esnor-mal » ..

 

323 - Faillite

Le problème, dans l’estime et la confiance que les autres ont pour vous, c’est qu’il suffit de faillir une fois pour que tout s’écroule, comme un château de cartes.

 

324 - Personnage

Le comédien « perd-son-âge » quand il joue.

 

325 - Docteur Surtémin

Le docteur Surtémin se faisait gentiment chambrer par ses collègues à propos de son nom, et l’appelaient le médemin Surtéssin.

 

326 - Monsieur de Leuvia

Monsieur de Leuvia, Duc de Millau, architecte visionnaire de grands ouvrages, ponts suspendus et aqueducs. Très en avance sur son temps, on lui attribua longtemps la construction du Pont du Gard, jusqu’à ce que la datation au carbone 14 restitua la paternité de la construction aux Romains.

 

327 - Le Duc de Tête

Le Duc de Tête n’en faisait qu’à sa guise. Certains historiens disent l’inverse.. Ce qui est admis, c’est qu’il fût non pas encorné mais poignardé – Monsieur Joseph Ignace Guillotin n’étant pas ‘’encore né’’ - sur ordre du Roi Henri III, pour une banale affaire de succession du trône. Il expira donc en gardant toute sa tête.

 

328 - Chat U.S.

Quand le « minet sauta », il eut beau retomber sur ses pattes, il vit néanmoins « cinquante » étoiles.

 

329 - On est tous pouet

L’amour est à la banale réalité du quotidien ce que la poésie est à la prose. Comme quoi on est tous un peu poètes..

 

330 - Gilles et John

Gilles et John sont dans un bateau. Gilles tombe à l’eau.. (!?).

C’est pas possible ! Ils étaient sur le rond-point pour la manif contre la hausse du prix des carburants.. !!

 

331 - Warning

Un clignotant tuait le temps,

Attendant que tourne le vent,

Mais y-avait que l’ heure ‘qui tournait..

Alors, lassé de ce planning,

Lui et son frère firent ‘le warning,

Faisant au vent un pied de nez..

 

332 - Passé simple

Avec les pommes qu’on ramassa au jardin, et qu’on fit au four, on se régala, avec les pommes confites. C’était un passé simple, mais que du bonheur..

 

333 - Vivre Sanchez..

Certains sont tellement cyniques ou donneurs de leçons qu’ils vous feraient croire que c’est parce que vous restez assis que vous n’arrivez pas à joindre les debouts..

 

334 - Chasse ‘’à courre de moyens’’

S’ils continuent à négliger l’intérêt de la biodiversité et la survie des espèces, les grands de ce monde ne pourront bientôt plus s’adonner à leurs petites joies simples et plaisirs innocents de leurs chasses privées, en Afrique ou ailleurs. Que leur resterait-t-il à chasser, à part le naturel.. ?

 

335 - Pachelbeau

Si elles sont belles, les canons de Pachelbel, est-ce-qu’ils sont beaux, les canons de Pachelbeau ?

 

336 - Tu t’y colles, pour voir ..!

L’école, on n’en est jamais content. Soit on ne la trouve pas assez maternelle, soit on la trouve trop primaire. Certains vont même jusqu’à la trouver secondaire, comme si on était tous capables de devenir des self-made men..

 

337 - Requin chagrin

Les éléphants ont eu le tord d’avoir des défenses en ivoire, et les requins, des ailerons (il y a plusieurs espèces de requins..). Deux cas de figure étonnants, parmi d’autres exemples (à ne pas suivre) où le prix de la partie convoitée n’est pas plus chère que la totalité de l’animal, puisque le reste est abandonné sur place. De quoi vous en boucher un coin, et poser un problème au boucher du coin..

 

338 - Mère Matrie

J’ai rêvé que la Patrie était Matrie, plus maternelle, que les Droits de l’Homme étaient droits et non plus tordus par une administration tordue, que notre devise nationale et républicaine n’était pas que trois rimes et « té ». Mais je me suis réveillé, pour aller botter – c’était jour de botte – et j’ai botté en touche, droit dans mes votes.

 

339 - Colère froide

Pardon, mais j’en veux bêtement aux Pesticides, Insecticides et autres ‘Choléricides’, ‘Lèpricides’ et tous les mots qui trucident, ‘homicident’, ‘fratricident’, ‘infanticident’ sous le regard complice d’actionnaires lucides qui se suicident en même temps qu’ils suicident leurs proches. Quant à ceux qu’on a convaincus ou forcés à les utiliser, je respecte et déplore ce choix qui leur est quelque part imposé. Et quant aux initiateurs et à leurs protecteurs, que grand bien leur fassent, les miettes qu’ils en retirent et qu’ils ne pourront jamais manger tellement il en tombe de leurs tables bien garnies..

 

340 - Bof.. !?

Vaut mieux passer sous un porche que sous une. Quant au reste, c’est-à-dire la voiture, comme dirait vulgairement mon beauf, pour ne pas me nommer, je m’en torche..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Florilège « Peste, diantre, crotte, fichtre, flûte et zut.. » Ne soyez pas vulgaire. Avec tous les jolis mots de notre vocabulaire, si vous êtes contrariés, surpris ou en colère, restez ‘’classe’’, merde, on vous regarde !!

 

- Le papa d’Opoulos Le médecin avait beau le rassurer au vu de son analyse de sang, le papa d’Opoulos se demandait si son origine n’était pas en relation avec son excès de cholestérol.

 

- Graine de dictateur Pour ceux qui ont réussi leur entrée dans le cercle fermé des grands leaders psychopathes de la planète, « béton armé » et « armée-béton » sont compatibles, et non ‘combattibles’, comme par ces ‘’pas si pacifistes’’ que ça, puisqu’ils sont surtout atlantistes, et attentistes à la fois.

 

- ‘’Déléterre’’ Qu’on soit agriculteur ou jardinier, pas besoin d’être anglophobe pour détester la terre en glaise.

 

- Belle Hélène             L'inconvénient de s'appeler Hélène quand on est belle, c'est de se faire appeler la Belle Hélène, ce qui vous rattache souvent à un fruit évocateur.

 

- Prurit et paradoxe Plus on est gâté, moins la gratitude nous démange.

 

- Super ? Tout ce qui est perçu comme super donne un superbe aperçu de notre dérive sémantique, comme diraient les linguistes, qui n’ont pas la langue dans leur poche quand il s’agit de celle des autres (langue, pas poche). Et comme disait ce gars (..Zoual ?), même l’essence n’est pas super.. !

 

- Aimant si passion.. Ne pas dire « De nos jours les femmes s’aiment en slip » mais « s’émancipent », même si elles ont le droit de trouver qu’elles sont belles en slip, et les hommes aussi.. Je veux dire « Les hommes aussi peuvent s’aimer en slip ». Oui, parce qu’on va encore m’accuser de je ne sais quoi.. !

 

- Harmonie Les hommes sont comme des notes de musique arrachées aux instruments. Elles ont une valeur propre, mais elles sont faites pour s’assembler. Et lorsqu’elles le font, et qu’elles trouvent l’harmonie, alors elles communient pour donner le meilleur d’elles-mêmes en de sublimes mélodies.

 

- V de Voler Les oiseaux pérégrinateurs volent en-joli-vés.

 

- Herbert Herbert a toujours été un peu illuminé, au point qu’on disait de lui : « Il rêve, Herbert »..

 

- Petits zozios - Dans la famille ‘’Zozio’’ je demande Unsio. - Non ? - Alors Deusio. - Non plus ?! Bon, alors Troisio, mais ce sera ma dernière chance. Oui, parce que s’il y en a davantage, c’est que ce ne sont pas des bébés-oiseaux mais des bébés-lapins. Mais vous les reconnaîtrez parce qu’ils n’ont pas de bec. Sinon, c’est que les pesticides sont passés par là.

 

 

 

- On l’appelait Armande.. La policière avait beau avoir des yeux en amende, le contrevenant l’avait amer.

 

- Jeux de mots débile.. Dans la famille des Bill, ..jedemande ‘’Jeudemo’’.

 

- Tiré par les cheveux..(!) - Allo, Ween ? - Non c’est Pessy.

 

- Qui blesse femme blasphème Celui qui blasphème n’est pas celle ou celui qui va boire au puits d’un croyant différent, mais celui qui le dit. Car qui blesse femme blasphème, et la femme étant mère de l’homme, de tous les hommes, quand je dis femme j’embrasse tous les hommes, comme dirait Oscar Wilde en verlan..

 

- Est ce que ça déchire ? Si porter un jean déchiré « déchire », est-ce que porter un jean normal fait mal ?

 

- Saisons Il y a un âge pour les billets doux, un autre pour les billets de couleur, et enfin celui pour les post-it sur la table ou le frigo.

 

- Proposition.. Et si on remplaçait les cons par des migrants à l’essai.. ?! Oui mais ça ferait beaucoup.. !

 

- - Reli-gieux

 

Qui reli-gieux

 

Relit Dieu à sa manière de faire,

 

Et ce faisant,

 

- le faisan ici n’ayant rien à y faire -

 

Renie Dieu,

 

Pour le pouvoir et l’éphémère..

 

- Epices et cu-cu Je ne sais pas si vous avez essayé de rajouter par exemple dans une soupe, un mélange de curry et de cumin. Bon, ça fait un peu cu-cu, mais j’aime bien.

 

- Husband Si une Anglaise vous présente son « husband », et qu’il soit bel homme, ne vous méprenez pas, mesdames..

 

- Qu’on se le dise Quand vous dites à quelqu’un « T’es pas con », vous faites toujours une litote. Si vous lui dites « T’es un con », vous faites parfois un euphémisme.

 

- Plaie ou plaisir Vaut mieux un plaisir solitaire qu’une souffrance en commun. Mais s’il me fallait choisir entre les deux, je préférerais encore le plaisir en commun.

 

- Fils de quoi ? « Fils de p... » Je me suis souvent demandé ce que signifiait cette expression qu’on retrouve sur certains articles, et qui semble être une précision sur la personne interpellée. En effet, le dernier mot n’est mentionné que par la première lettre mais les suivantes sont omises ! Comment en savoir plus. J’ai listé quelques mots qui me viennent à l’esprit, mais j’ignore quel est le bon, parmi les policier, professeur, patron, plombier, poissonnier, pompier, psychologue.. J’avoue mon incompétence. Toute information sera la bienvenue. Merci.

 

- Comment taire.. Quand on s’arrête aux pourcentages de gens malhonnêtes, d’égoïstes, d’incompétents, d’irresponsables, d’inciviques, de tire-au-flanc, de profiteurs, d’arnaqueurs, d’immatures, de psychopathes, de pervers, de prédateurs et autres bons Français bien de chez nous, mais pas que.. - même en Espagne - on devrait pouvoir relativiser la pertinence des thèses racistes ou anti-immigration.Certains diront que justement, on a assez affaire (et pas « à faire », j’ai vérifié..) avec les nôtres.. Le migrant lui, pour reprendre la chanson de son frère de coeur, se dit comme Georges : « Qu-je m’ démène, ou que j’ reste coi, Je passe ‘pour un je-ne-sais-quoi.. ».

 

- Changement de réveil Je ne pense pas être le seul à me mélanger les pinceaux (j’aurais tendance à écrire pinsots) quand il s’agit d’expliquer aux autres ma façon d’interpréter le changement d’heure, même si parfois une lueur de clarté, fugace, traverse ce que j’appelle mon esprit. Je ne sais jamais ce qui avance et ce qui recule. Comment voulez-vous que je ..comprenne ! Il n’y a finalement que lorsque je me réveille, au matin, que la lueur se fait. Et je ne parle pas de celle du jour, même si, pour l’heure d’été, les deux lueurs coïncidences.. Non, c’est l’inverse. C’est pour l’heure d’hiver qu’il fait jour plus tôt !?

 

- Mort posthume J’aimerais avoir une mort posthume, si possible par contumace. Même si, à choisir, je préfère qu’on tue Max.

 

- Empreinte de printemps Si une hirondelle ne fait pas le printemps, combien en faut-il ? (ou en faut-elle ?). Moi je dirai, la moitié du nombre d’ailes. Le martinet, n’étant pas concerné, vous fait dire « Poil au nez ». Quant au gypaète barbu, le plus grand de nos rapaces, j’ai préféré ne pas le lui demander..

 

- Gare au Loup-Garou Je verrais mieux un Kangoo jouet dans la poche d’un kangourou qu’un kangourou jouer dans un Kangoo. Quant à Garou, je le verrais mieux dans un 4x4, SUV ou Crossover.

 

- Roumain Romain roux, qui n’est autre qu’un latin teint.

 

 - Chasse à courre tout court

Il court, il court, le furet, ….. Le furet du bois, Mesdames, ….. Un jour, un jour, la forêt, ….. Risque de connaître drame.. (2ème version : Risque de connaître flammes..)

 

 

- Sachez le dire aux chasseurs Un chien sachant chasser sans son chasseur est un bon chien lui-aussi.

 

- Lacs Lémans Le lac Léman est composé de deux bassins : le Grand Lac (à l’Est), fruit d’un plissement tectonique, et le Petit Lac (à l’Ouest), résultant du retrait du glacier du Rhône après la dernière période glaciaire. On appelle aussi depuis peu ces deux lacs frères, les Lacs Lehman Brothers. Toute association d’idées ne serait que mauvais esprit.

 

- Bouteille à la mer Il est demandé aux désespérés de tout poil de ne plus jeter de bouteille à la mer, vu l’état de nos océans..

 

- Honneur de manchot L’honneur, il y en a qui n’en ont plus que dans un bras.. Certains arrivent même à le concentrer dans un doigt, le majeur tant qu’à faire. Mais ça demande une grande capacité de concentration.

 

- Ca va jaser.. Parmi les musiques jazzy, on distingue le jazz aisé, le jazz osé, et le jazz usé. Quant au Jizz, ou Jizz-us, ce n’est que le Gospel, où « Jésus » est mis à toutes les sauces..

 

- Echec et pat Si l’échec était patent, l’échec et mat. S’il vous fait mûrir, l’échec épatant, alors l’échec et pat.

 

- Pluto que Dingo Plutôt que de dépenser longuement son passé, mieux vaut dépasser largement sa pensée.

 

- A toutes fins inutiles Je signale à toutes fins inutiles, que les personnes qui n’utilisent pas les clignotants ou ne ramassent pas les crottes de leur chien ont à votre disposition une carte de dispensation délivrée par la Préfecture ou la Mairie pour services rendus à la Collectivité, appelée également Certificat de Civisme. Le seul reproche qu’on pourrait leur faire, c’est celui de vivre sur leurs acquis.

 

- Sillage Quand vous voyez une traînée de bave blanche dans le ciel, c’est plus un avion-cargo qu’ un escargot. Dommage. J’aurais préféré ce dernier. Il a tellement raison de prendre son temps.

 

- Premiers pas L’argent nous brûle les ailes comme un lampadaire ses papillons. Notre individualisme forcené, rançon d’un égoïsme collectif, nous assèche le coeur et l’esprit, comme notre orgueil exacerbé, à fleur de peau, appauvrit le peu de sens de l’autre qu’il nous reste. Où est l’enfant que nous étions, celui de nos premiers pas, qui souriait aux inconnus et disait « merci » à la personne qui acceptait l’objet tendu..

 

- Coq au vin S’il y en a qui passent du coq à l’âne, y-en a qui passent du coq au vin. Pour revenir, en fin de repas, du coq à l’âne..

 

- La mouche du coche Vous avez tous entendu un jour ce célèbre avertissement saignant d’un enseignant : « Je ne veux pas entendre une mouche voler ».. Tout ça parce qu’il avait pris la mouche.. En réalité, ça signifiait curieusement l’inverse, à savoir qu’il aimerait bien entendre une mouche voler, preuve que le silence de la classe est absolu. Mais si vous aviez pu lui faire la remarque, l’argument aurait fait mouche. Et vous l’auriez mouché.. !! Mais faut être assez morveux.

 

- Hors d’atteinte Je n’aimerais pas être originaire de Thessalonique ; et le fait qu’on l’appelle aussi ‘Salonique’ (les deux se disent) (ndrl) n’y change rien. Même si eux, rien ne peut les atteindre, contrairement aux Athéniens..

 

- Vache à dire J’ai toujours eu l’impression que les vaches s’embousaient (pour ne pas dire s’emmerdaient) dans leur pré, le nez fourré dans l’herbe à longueur de journée, et la queue à chasser les taons. Jusqu’à ce que je réalise qu’elles pansaient. Respect.

 

- Rolling Stones Les seuls à avoir contredit le proverbe « Pierre qui roule n’amasse pas mousse ».. Et les seuls à avoir osé dire que noir c’est noir. Fallait oser !

 

- Scoop Le jour où Benjamin arrêta Franklin, il y eut un moment de flottement dans les médias. Mais très vite l’arrestation s’arhéta là, et la vie reprit son cours.

 

- Panier à crabes Voir le verre à moitié vide n’est pas l’apanage des pessimistes, mais aussi celui des gens de mauvaise foi, dont le milieu politique est saturé. Dans ce panier à crabes, on ne sait marcher que de travers, pour donner l’illusion qu’on avance.

 

- Radin gon Ce n’est pas parce qu’on n’est pas radin pour un sou qu’on ne l’est pas pour deux (surtout qu’ils savent bien compter). Par contre, ceux qui sont économes pour un sou le sont pour deux. (pour deux sous comme pour deux personnes d’ailleurs..). (Ne pas confondre un radin gon et un ragondin.)

 

- Théorie de l’Evolution (le point sur) Maintenant que les couleurs de peau commencent à s’atténuer, et que l’homo sapiens peut être hétéro, essayons de récapituler les stades les plus récents de notre évolution, pour mieux nous situer. Parmi nos toutes dernières espèces, je me contenterai de suivre la lignée gallo-romanicus, enrichie (terme impropre pour certains) de l’homo europeus et leurs sous-espèces, ainsi que de l’africanus, l’arabicus, le maghrebus et autres asiaticus. A partir du dernier homo ordinarius (ou communis, ou normalus), laissons de côté le quatorzedizuitus, pratiquement éteint, pour passer à l’homo guerdequarantus, sur le déclin mais dont nous descendons tous. L’homo soixantuitarius a résisté aux récents jeunus et merdus mais nécessarius. Des mutations hasardeuses auraient donné naissance à l’homo consumérus, l’homo numéricus, ou geekus, l’homo cacquarantus et autres ratés.. D’autres pointent leur nez, l’homo démagogus, l’homo écologicus, l’homo migrantus, tandis que d’autres s’essoufflent, comme l’homo politicus.. Que nous reste-t-il ? L’homo bon-sensus . Les Darwiners auraient-ils raison contre les Darlosers .. ?!

 

- E pericoloso sporgersi , et autres sports.. Toujours prévenir les amoureux qui voyagent, que « Qui trop embrasse, mal en train ».

 

- Les Immortels et autres chrysanthèmes Il y a fort à parier que les Immortels de l’Académie Française, faute d’éternité, reviendraient bien à la mortalité de leur jeunesse.

 

- Malabar Quand tu en as marre et que t’as pas de malabar, tu te barres. C’est ce que fit Jean Bart, quand il reprit la barre, cap Zanzibar. (Cette phrase anodine et apparemment futile est chargée en réalité de références historiques sérieuses : Jean Bart, surnommé Rica, fut, en effet, un corsaire français du 17ème siècle ; et Zanzibar, une île de l’Océan Indien, partie de la Tanzanie, ancien comptoir marchand sur la côte orientale d’Afrique. Quant à savoir s’il y accosta, Rica.. ? J’en profite pour vous signaler que Malabâr est une partie de la côte sud-ouest du Deccan, sur l’Océan Indien aussi. Ne me remerciez pas.

 

- Dents longues Le jour où les poules auront des dents, les politiques n’auront plus les dents longues..

 

- S’il le faux c’est vrai !!! Il avait un air de faussaire. Finalement, c’était un vrai !

 

- Amourez-moi L’amour amoureux n’est pas plus lié à l’amour tout-court que le sourire n’est lié au bonheur.

 

- Etat des lieux On peut essayer de faire un jeu-de-mot nul – mais bon, je n’en suis plus à ça près – en se gaussant de l’état actuel de notre Etat majuscule. Mais même si comparaison n’est pas raison, je préfère encore le nôtre à l’état des Etats de nos voisins d’Outre-Atlantique, même si le problème n’est pas ‘’les Etats’’ eux-mêmes mais l’état de celui qui est « censé » les représenter.. (« sensé » se référant au bons-sens, est justement inadapté au personnage ..)

 

- Moncher Wattson : économiste célèbre, créateur du principe qui porte son nom, ou ‘’Principe élémentaire de Moncher Wattson’’, qui dit que , en économie capitaliste, la réussite passe par la trilogie des 3 principes : - Le 1er énonce que les entrées doivent être supérieures aux sorties ;- Le 2ème principe, et corollaire du 1er , c'est que, en ce qui concerne le concept de gain, sans parler « d’appât », "la faim, comme la soif, justifient les moyens." - Le 3ème principe, et corollaire du 2ème , c'est qu'il ne faut pas en avoir, de principes. Car soit les autres en ont pour vous, et vous n’avez pas besoin d’en avoir, soit ils n’en ont pas non plus. Pour résumer les principes des capitaliseurs : en dehors d’avoir le bras long, tout le reste leur fait une belle jambe..

 

- Allo Régine ? 1/ A l’origine, nos origines étaient claires comme l’eau était pure, puisque nous venions de nulle part. Par la suite c’était encore simple pour les premiers, puisque nous étions des « fils de.. », eux-même « fils de.. » (les « filles de.. » n’existaient pas, comme chacun sait, hormis pour faire des « fils de.. »). 2/ Ca se compliqua avec les migrations (déjà..). Aujourd’hui, on ne sait plus trop d’où l’on vient, et ça en arrange plus d’un, car de retrouver leurs ancêtres serait ‘’malvenu’’ pour certains. Tout ce qu’on sait, c’est qu’il semble que tout serait parti d’Afrique. Mais de là à conclure qu’Adam et Eve étaient noirs, faut pas exagérer non plus.. !!

 

- Slogan débile ..que vous finirez bien par voir passer .. « Vaccinez-vous. Personne ne vous prendra plus en grippe ! «

 

- Pourri Il vaut mieux une voiture moche avec un bon moteur qu’une… Oui, je disais donc : « Il vaut mieux une voiture moche avec un bon moteur qu’une voiture moche avec un moteur pourri. ».

 

- Médecin légiste Tant que ce n’est pas un médecin légiste qui s’occupe de vous, il y a de l’espoir.

 

- Ignoble Même si votre vin est déguelasse, ne dites pas « Le vin est ignoble ». Il n’est que « vignoble ». Certes, ignoble.

 

- Pomme retraitée Si les pesticides avaient existé au tout début, Adam et Eve n’auraient pas croqué la pomme, même à 1 € le kilo. Et on serait pas là, à se poser des questions métaphysiques, alors que le problème est mégachimique.

 

- Direction assistée Nous élisons, dans les pays qui ont déjà (ou encore!?) cette chance, nos dirigeants pour nous diriger. Il serait temps que les citoyens réalisent vers où ils nous dirigent..

 

- Re-ligieux Les gens religieux seraient deux fois moins ennuyeux s’ils n’étaient que ‘’ligieux’’.

 

- Croque-vie Les cimetières les moins tristes sont ceux des « saviedegarçon ».

 

- Bègue et ongles Eviter les prises de bec avec un bègue. Soyez classe, laissez-lui avoir raison. Surtout s’il l’a.

 

- Al Gèbre Nous sommes la somme de nos différences avec nos semblables. Sans blague.

 

- Méritocratie Je le dis pour les tenants de la méritocratie, les élitistes de tout poil, les premiers de cordée qui, quand ils donnent, ne donnent qu’à ceux qui ont déjà, et sont convaincus d’être cohérents vis-à-vis de ceux qui « ne le méritent pas »..

 

- Boucherie S’il vous arrive de ramener par erreur, de la boucherie, un rôti de veau au lieu d’un rôti d’agneau, il y en aura toujours pour vous dire que ça ne mérite pas d’en faire un plat ! Quel gâchis !

 

- Subtile idée « Cette personne ne me dit rien » peut vouloir dire : « Je ne veux pas lui parler. », comme son contraire : « Elle ne veut pas me parler. ». Subtile ! (je parle du langage. Quoique..! ).

 

- Ne peut pas qui veut Qui peut le plus peut le moins. Mais qui veut le plus ne veut pas forcément le moins.

 

- Peloche Qui peluche peut loche. (je sais, ça veut rien dire. Mais « intelligent », ou « beau », ça veut rien dire non plus.. Si vous préférez, je vais dire : Qui peluche, pelote.. Et rappeler aux maniaques du lave-linge, qu'un nounours peluche avant même le lavage. Mais pour son petit propriétaire, il sent moins bon après.

 

 

 

- Motus Il vaut mieux que ta pensée dépasse tes mots que l’inverse. Encore faut-il qu’elle ait les mots.

 

- Banalité prodigieuse ? 1/ Toute personne se sent le centre du monde, non par son importance (quoique, certains..?), mais de par son existence, son être intérieur, unique et original, puisque tout le reste, personnes comme nature sont à l’extérieur de soi et n’existent qu’à travers nos yeux. Vous me direz que vous ne m’avez pas attendu pour vous en apercevoir.. ! 2/ Peut-être. N’empêche, c’est d’une banalité désolante et d’une originalité prodigieuse à la fois.. Moi, je ne m’en suis aperçu qu’un beau jour, et depuis je m’émerveille d’être moi, et moi seul, tout normal que je suis..(enfin, j’espère!)

 

- Chance Ne tentez pas trop votre chance. D’abord, c’est pas la vôtre, et ensuite elle ne va pas craquer pour vous.. ! Y-en a trop qui la tentent, et qui l’attendent..

 

- Aventurier L’aventurier moderne est celui qui sort sans son portable. Et s’il le fait en vacances, c’est un aventurier de l’extrême.

 

- Monsieur Dupuits avait un bon fond. Y-avait que lorsqu’il était à sec..

 

- Anonyme Mon nom est personne

 

- Généralisation hâtive Quand vous flânez dans la campagne et qu’il vous arrive de constater, parmi les couples en ballade en vélo, que c’est monsieur qui ouvre la voie - au cas où elle serait fermée - n’allez pas généraliser et vous faire un a-priori. Vous seriez mis au pilori (par les hommes).

 

- Loi (très) physique Tout individu s’élève d’autant plus vite (ou plus haut) qu’il prend appui sur une surface (ou sur un autre individu) en exerçant une pression sur elle (ou sur lui), quitte à la déformer (ou à l’écraser).

 

- Vide-grosniais Vide-grenier : concept utile pour se débarrasser à tour de rôle de choses inutiles.

 

-Un vrai de vrai.. Vous reconnaîtrez un vrai motard au fait que c’est lui qui pilote, sa partenaire (Davidson) se contentant d’admirer la maîtrise de ‘’son mec’’ (Harley). Caractéristique : leur compteur NEC n’est plus ultra (NEC : Niveau d’Esprit Critique) car il est resté bloqué suite aux tempêtes de fin décembre 99. Ils prenaient l’eau. Autant dire qu’ils datent du siècle dernier.. (NDLR : les deux cyclones des 26,27 et 28 décembre 1999, restés tristement célèbres dans la mémoire de nos concitoyens).

 

- Ciel béni de notre enfance Vous n’aurez plus droit au ciel, au ciel limpide et pur de votre enfance, d’un bleu vierge même si parfois garni d’îles flottantes des crèmes anglaises. Les corbeaux blancs aux ailes d’acier se le sont partagés. Il ne vous appartient plus, loué par des touristes en mal d’exotisme, d’hommes d’affaires en mal de contrats, et de familiers en mal du pays. Il appartient désormais à ceux qui payent pour s’envoyer en l’air. Et les beaux soirs d’été, vous le verrez, votre ciel, enfermé derrière les barreaux blancs d’une grille fantasque et mouvante. Seule votre peine est émouvante, mais qui s’en soucie ? Ils vous diront que la nuit effacera tout ça..

 

- Encouragements pour les écolos (pas pour les écoliers) Si vous ne vexez plus les enfants chiants qu’on vous confie en les traitant de ‘’petites pestes’’, essayez avec ‘’pesticides’’. Si ça marche, c’est qu’on est sur la bonne voie. (je parle pas des gamins..)

 

- Ingratitude fatale La mort c’est toujours dommage, parce que c’était bien parti. On aurait pu vivre ensemble longtemps. En plus c’est ingrat, j’avais fait tellement de jeux de mots avec elle..

 

- Fumer tue Fumer tue. Par-fumer, non. Mettez-vous au parfum et changez d’odeurs, sans vous priver de dépenser..

 

- Théorie de l’Evolution (le point sur la) Maintenant que les couleurs de peau commencent à s’atténuer, et que l’homo sapiens peut être hétéro, essayons de récapituler les stades les plus récents de notre évolution, pour mieux nous situer.

 

Parmi nos toutes dernières espèces, je me contenterai de suivre la lignée gallo-romanicus, enrichie (terme impropre pour certains) de l’homo europeus et leurs sous-espèces, ainsi que de l’africanus, l’arabicus, le maghrebus et quelques asiaticus.

 

A partir du dernier homo ordinarius (ou communis, ou normalus), laissons de côté le quatorzedixuitus, pratiquement éteint, pour passer à l’homo guerdequarantus, sur le déclin mais dont nous descendons tous.

 

L’homo soixantuitarius a résisté aux récents jeunus et merdus mais nécessarius. Des mutations hasardeuses auraient donné naissance à l’homo consumérus, l’homo numéricus, ou gikus, l’homo cacquarantus et autres ratés.. D’autres pointent leur nez, l’homo migrantus, l’homo démagogus, l’homo écologicus, tandis que d’autres s’essoufflent, comme l’homo politicus..

 

Que nous reste-t-il ? L’homo bon-sensus ?

 

Les Darwiners auraient-ils raison contre les Darlosers .. ?!

 

- Miam ! Après avoir été biberonnés et petit-potisés dans notre prime enfance, puis biscuités et nutélisés au primaire, nous voilà enfin prêts à poursuivre sur de bons rails ! Papa, maman, je vous pardonne. C’est parce que vous nous aimiez ! Mais c’était trop bon.. !!

 

- L’eau vive, de Guy Béart (sur l’air de.. )

 

L’in-dustrie est ca-melot,

 

Elle est comme lobbi-es,

 

Elle court comme un ruisseau

 

 

Qu’ les actionnaires ‘poursui-vent..

 

 

Cou-rez, cou-rez,

 

 

Vite si vous le pouvez,

 

 

Ja-mais, ja-mais,

 

 

Vous ne la rattraperez..

 

 

 

- Cause toujours.. Cause toujours, tu verras bien la conséquence..

 

- Mâle malade Un mâle bien malade est un mâle en point. Même qu’il aurait préféré, tant qu’à faire, être mal malade que bien malade. Sa partenaire vous le confirmera.

 

- Mon point fort L’autodérision, pour être crédible, exclue un physique avantageux. C’est mon point fort..

 

- A l’adresse des grandes gueules.. Tout ce qui brille n’est pas or, comme tout ce qui braille n’est pas fort..

 

- Sourire Il est des sourires qui valent largement un bonjour. Mais c’est encore mieux en le disant.

 

- Au Pays de Candy « Rien ne se perd, rien ne ‘’sucré’’, tout se transforme.. » (..en miel et en oseille, au pays de Candy ..).

 

- Déclaration ’’Universatile’’ des Droits de l’Homme Lisez-la. On en rirait si elle ne prêtait à en pleurer. Trente articles. Il en manque un, un dernier : « Nul n’est tenu de la respecter, dans la mesure où il en a les moyens. ».

 

- Avantage au cycliste L’avantage du cycliste sur le marcheur c’est qu’en cas de panne, il peut continuer à pied. Alors que le marcheur n’a pas l’alternative du vélo pour continuer. Vous me direz qu’un marcheur tombe moins souvent en panne. C’est vrai. D’ailleurs il tombe moins souvent tout court, n’ayant pas à se mélanger les pédales. Et le marcheur étant l’ancêtre du cycliste, ce dernier lui doit le respect. (j’espère que dans ce domaine le cycliste s’y connaît un rayon..!).

 

- Incopiable Si vous n’êtes pas très original, vous êtes néanmoins incopiable (même si beaucoup d’entre nous aimeraient bien être copiés). D’autres sont impayables, et aimeraient bien se faire payer.. Par contre les imbattables n’aimeraient pas se faire battre. Quant aux intouchables, demandez-leur..

 

- Gai rieur Les guerriers étaient parfois des gais rieurs, mais à l’humour un peu noir, pour ne pas dire un peu rouge. Je ne sais toujours pas comment parler d’un guerrier, tellement les approches sont multiples. Mais je ne m’y approcherai guère.. Quant aux guéris-héros, il serait plus facile d’en parler, ne serait-ce que parce qu’ils luttent contre une majorité au pouvoir, qu’ils se rebellent.

 

- Dans les deux sens C’est ma minute pédagogique, comme la minute de Mr Cyclopède de Pierre Desproges, avec le talent en moins. Car il m’a bien fallu un jour, vérifier le sens de ces deux homonymes.. C’est fait. Je vous la livre, sterling ou pas, de peur de l’oublier. Pour faire simple, « censé » est toujours suivi d’un infinitif, alors que « sensé » c’est le bon sens. Comme a failli dire Coluche : « Bon-sens, mais c’est bien-sûr !! ».

 

- Tomber la veste En temps normal, il est plus facile de tomber la veste que le marcel, puisque dans ce cas il faut tomber la chemise en premier. Par contre il est plus facile de retourner son marcel. Mais faut croire ça rapporte moins..

 

- Lampe-torche Le terme de lampe-torche me gêne un peu. Moins par le côté ‘’torchon’’ que.. Bref, l’idée n’est pas des plus lumineuses..

 

- Des os pilés « Des os pilés » n’est pas le participe passé de « Désopiler », verbe qui n’existe pas, et c’est bien dommage. Ce serait désopilant.

 

- Caroline Caroline était toujours à l’ouest. Mais pas besoin de connaître les états ..des Etats-Unis, pour se douter qu’elle se faisait charrier sur deux des trois autres points cardinaux..

 

- Originalité de la copie On peut reproduire un original, c’est-à-dire le copier, et le recopier. Par contre on ne peut pas copier sa copie, puisqu’elle l’est déjà. On ne peut donc que la recopier, la reproduire. C’est donc là qu’est l’originalité de la copie : la copie est incopiable, alors que l’original l’est..

 

- Colle (pas celle qui colle) Le jour dure 24h, comme vous devriez le savoir. Mais si je vous demandais combien dure la nuit, vous seriez bien embarrassés pour me donner un nombre d’heures..

 

- Charlots Je ne sais pas si on est tous Charlie, mais on est tous des charlots.. (Je rappelle que charlots se met toujours au pluriel, vu qu’au singulier il n’y en eut, que dis-je !, il n’y en a qu’un. Et il s’écrit avec un C majuscule.) Merci.

 

- Etat des lieux On peut essayer de faire un jeu-de-mot nul – mais bon, je n’en suis plus à ça près – en se gaussant de l’état actuel de notre Etat majuscule. Mais même si comparaison n’est pas raison, je préfère encore le nôtre à l’état des Etats de nos voisins d’Outre-Atlantique, même si le problème n’est pas ‘’les Etats’’ eux-mêmes mais l’état de celui qui est censé (et non sensé, qui se réfère au bons-sens..) les représenter.. (et pas la peine de situer le personnage dans le temps, il est, et restera j’espère, unique dans cette fonction.)

 

- Interprétation de « .. » Quand vous voyez ce ’’..’’ en fin de texte, ici comme ailleurs, ça veut dire qu’on compte sur vous, sur votre imagination pour terminer la phrase.. Si vous manquez d’imagination - ce n’est pas grave, y-en a qui manque de tout - ne lisez donc pas les fins de phrases. Remarquez, le fait de l’écrire soit-même n’a jamais prouver qu’on en ait..

 

 

 

- Rendez-vous.. à l’évidence Les rendez-vous des seigneurs d’antan n’étaient pas que galants. Certains étaient diplomatiques, d’autres ressemblaient fort à une menace, quand leur château fort était menacé. Le « rendez-vous » donné était donc plutôt d’ordre, comment dire, de l’ordre, sans lieu ni date à préciser, généralement sans conditions. Le seul avantage étant que vous n’aviez pas à vous y rendre, puisque vous y étiez déjà, et disponible.. Mais vous leur auriez bien posé un lapin, pour le repas du chef..

 

 

 

- Signe Le canard parle mieux le langage des cygnes qu’il ne chante juste.

 

 

 

 

 

 

 

- Terre et mère La terre est un peu notre mère. Elle nous sert d’appui lorsqu’on apprend à marcher, nous voit grandir, nous accompagne toute notre vie, en nous berçant la nuit, jusqu’à nous accueillir en son sein quand le temps est venu. La mer est plutôt notre père. Elle nous voit moins souvent, mais quand elle nous voit elle joue avec nous pour se rattraper du temps perdu.. C’est elle qui nous apprend à nager, nous offre ses poissons quand on va au restaurant, ou nous reflète la lune les longs soirs d’été.. Finalement, terre et mer sont un peu notre ciel, à ras du sol..

 

- Alex Andrin Le terme d’alexandrin ne provient pas, comme ont pu le dire d’éminents spécialistes, du « Roman d’Alexandre » qui aurait illustré la vie d’Alexandre le Grand.

 

Il ne vient pas non plus de la célèbre chanson Alexandrie-Alexandra de notre regretté chanteur Claude François, où seuls deux vers de fin de strophe ont 12 pieds : « Je boirai tout le Nil si tu n’me retiens pas », et « Je te mangerai crue si tu n’me retiens pas ».. L’alexandrin existait bien avant le claudefrancien.

 

Il vient plus trivialement d’un agriculteur d’Occitanie, un dénommé Andrin, de prénom Alexandre, volailler-poète en heures creuses et poète-volailler en heures pleines. (ou l’inverse?). Comme il revendait ses œufs à la douzaine, il eut l’idée de composer des vers de 12 pieds pour faire un pied-de-nez à ses voisins incultes malgré qu’ils cultivassent leurs champs mais qui avaient du mal à dépasser le chiffre 10, facile à retenir avec les doigts de la main. Il lui suffit alors d’imaginer de rajouter ses 2 pieds aux doigts de ses 2 mains. D’où, d’ailleurs, l’expression qu’on lui doit également, lorsqu’on veut obtenir quelque chose : « Faire deux pieds et des mains ».

 

- A vélo, ou à vau-l’eau ? Tant que les villes n’imposeront pas d’aller à vélo, ça ira à vau-l’eau.

 

- Troisième degré Le 3ème degré est à l’humour ce que le 7ème ciel est à l’amour, le 2ème degré correspondant aux préludes..

 

- Question innocente Est-ce que les gens géniaux, à leurs débuts, ou en tous cas avant d’être reconnus comme tels, participent aux taches ménagères.. ?

 

- Coquin d’ours..

 

Au cours des nuits noires,

 

Les ours font croire

 

Qu’ils sortent de leur antre,

 

Alors qu’ils y entrent

 

En en sortant à reculons.

 

- Purs et durs Les purs et durs parfois, si vous leur rajoutez de l’eau deviennent des purées molles. Le problème c’est qu’ils n’aiment pas l’eau, ni le lait. En y rajoutant du vin pur, on peut faire chabrot, mais les puristes vont en avaler leur soupe de travers. !

 

- Les zézés Avant de le devenir, beaucoup des plus zézés d’entre nous ont du être des zozos migrateurs. Mais ils sont devenus amnésiques, pour regarder d’un sale œil ces nouveaux drôles de zozos, échappés de quelques zoos..

 

- Goût du jeu Il y a des jeux de dames qui conviendraient bien aux messieurs, et des croque-monsieur qui conviendraient tout à fait aux dames (je ne parle pas des jeux-de-main qui ne conviennent qu’aux vilains, bien sûr..). Avec le temps, on se contente des jeux-de-mots, sans prétendre aux jeux-d’idées. Quant aux jeux de quille, on finira bien par y arriver..

 

- Presbyacousie : période propice aux sous-entendus.

 

- Vieux loup de terre J’aimerais bien devenir un vieux loup de terre, mais les cheveux me barbent et la barbe est un peu tirée par les cheveux.

 

- Aah.. mon époque ! A mon épok-émon, on pratiquait l’aumône avec ses compatriotes, autochtones-indigènes-arborigènes-français bien de chez nous. On savait à qui on donnait. De nos jours on ne trouve que des étrangers ! Tout fout l’ camp..

 

- Larva migrans Maintenant que les sympathisants du FN ne sont plus muets comme des carpes, discrétion obligeait, je viens tendre une perche (wouaouh le jeu de mots !!) à leurs leaders pour qu’ils n’aient plus à cacher, pour certains, leurs opinions raciaux-protectionnistes derrière leur petit doigt mignon. Un certain Mr Lyme nous a permis d’inventer une expression très poétique, la « Larva migrans ». Les pré-cités n’ont plus qu’à en faire bon usage.

 

- Eloge funèbre On trouvera toujours un curé, lors de l’oraison funèbre d’une crapule éminente, pour en faire un panégyrique, un éloge cocasse devant son auditoire. Le prêtre est-il un traître, ou bien nous traite-t-il tous en égaux devant la mort ? Pour une fois, je ne suis pas pour l’égalité.

 

- Sans-abri(s) ? Est-ce que sans-abri au pluriel prend un « s » ?! En voilà une question qu’elle est nulle, comme dirait Coluche.. !

 

- Les deux caisses Il y a deux façons de voir - si on peut dire - quand on fermera les yeux : soit on s’arrête à la caisse, soit on passe ensuite à la caisse. Et votre carte bancaire sans contact ne vous servira à rien.

 

 

Athée souhaits Est-ce que les athées ont des souhaits, hormis quand ils éternuent ?

 

- Marabout Le marabout est plus souvent un sorcier qu’un guide religieux musulman. Mais rien que le mot est déjà suspicieux, vu qu’il regroupe deux façons d’exprimer son ras-le-bol : soit le marabout en a marre parce qu’il est à bout, soit le marabout est à bout parce qu’il en a marre.

 

- L’autre est l’hôte Rien ne vous est plus profitable que l’autre, soit, cyniquement, parce qu’il vous est utile, soit parce qu’il vous fait prendre conscience de ce que vous êtes. (conscience que « vous êtes », comme dirait le philosophe, que vous existez dans le regard des autres et à travers eux.). L'autre est l'hôte, dans les deux sens curieusement opposés du mot : celui qui reçoit et celui qui est reçu.

 

- Délit de faciès J’avais toujours pressenti une corrélation entre « délit de sale gueule » et « dégueule de sale lit », mais ça ressort mieux en l’écrivant..

 

- Service athée Notre association « Athée-rire-en-douceur », association Loi mille neuf cent et quelque, reconnue d’utilité publique, propose des cures de désintoxication religieuse sur plusieurs séminaires de quelques jours. Pour vous « désaddicter », leçons et dictées, mais aussi tout un choix de modules, bidules et autres techniques ludiques. Proposons cours accélérés, pour curés, et des stages ralentis, pour nantis (non, pardon, c’est l’inverse). Le prix est secondaire pour nous, car nous privilégions la qualité. « Satisfait ou remboursé » (si le chèque n’a pas été encaissé.), telle est notre devise, en euros. S’inscrire à « Athée-risques-et-périls », 101, Avenue des Dalmatiens, Paris Cedex 00.

 

- Message : Pourquoi sauver l’ours ? Lu à « La colline aux marmottes », Parc des Pyrénées à Argelès-Gazost 65 : « C’est avant tout une question d’éthique et de morale. Renoncer à une espèce c’est accepter la disparition de toutes. L’ours n’est ni utile ni nuisible ; il n’a pas à se justifier d’exister. ». Lu aussi : « Pour que les peluches de nos enfants ne deviennent pas de simples marionnettes de chiffon sans âme, mais restent de fantastiques objets de rêves et d’histoires merveilleuses en prise avec une vraie vie dans la montagne ».

 

- Avé le temps.. Avec le temps, avec le temps, vas, tout s’en va, ..sauf la nostalgie. (et la lombalgie ..?).

 

- CIU ou Centre Inhospitalier Universitaire Quand la technique prime sur l’humain, la médecine sur la santé, la rentabilité sur le service, l’Universitaire sur l’Hospitalier, le CHU devient un CIU.

 

- Casus belli : belle maison italienne de l’époque mussolinienne (Mussolini, de son prénom Benito, « Béni » - cela ne s’invente pas – n’en est pas l’architecte. Il n’est que celui de son ascension.)

 

- En castrais Parler de châtré ou de castré revient au même, mais on ne dit pas ‘’châtrat’’ mais castrat, qui n’est pas Castrais. D’ailleurs les Castrais n’ont rien à voir avec les Albigeois, qui sont plus des Cathares que des Qataris. Quant à la Castafiore, comme disent les Gold, « Laissez-la chanter.. ».

 

- Cache-cache Un cachalot peut en cacher un autre, surtout dans l’eau. Et donc un lot de deux cachalots peut en cacher deux autres, cachalots, pas lots.

 

 

 

 

 

- Bali Ballot Vous connaissez tous l’histoire de Bali et Ballot qui sont dans un bateau, quand Ballot tombe à l’eau.. et qu’on demande qui c’est qui reste ? Certains disent que c’est Bali, pendant que l’autre bat l’eau.. C’est ballot pour lui, pour Ballot ! A moins que ce ne soit balot, ou même balaud ? En tous cas c’est pas moi.

 

- Parachutiste Quand on vous parle de millions d’euros de parachute doré, vous avez du mal à réaliser le montant, voire la différence à un ou parfois deux zéros près (et non pas deux euros, bien-sûr). Le parachutiste non. (Certains parlent de parachuté, mais c’est péjoratif, car il y a ‘’chuté’’, dedans, même si c’est une belle chute. )

 

 

 

- Envol Si vous avez du mal à décoller dans la vie, pensez à ces oiseaux chez qui, plus l’envergure des ailes est grande, plus ils ont du mal à s’envoler.

 

- Nostalgie d’été On n’est plus ce qu’on était, surtout en été.

 

 

 

- Famille Mon frère est masseur, ma sœur, religieuse, et mon père est maire. Ma mère n’est que maman, mais elle le fait très bien.

 

 

 

- Révolution La révolution rêve d’évolution, quitte à en passer par la rupture, et donc par la violence. Je la croyais rotation pépère et invariable des astres pour repasser par leur point de ’’départ’’ (!). A moins que nos révoltes et rébellions, elles aussi, ne soient que répétitives, cycliques, et ne reviennent inlassablement rappeler aux puissants, amnésiques, notre aspiration vitale à la justice et à la liberté.

 

- Homo homo-héteropédus espèce animale qui est passée directement de l’état quadrupède à celui de bipède, en sautant l’étape de tripède. (« en sautant » étant une façon de parler.)

 

- Eglantines Si vous devez aller là-haut siffler sur la colline, pour l’attendre avec un joli bouquet d’églantines, laissez tomber. J’y suis déjà allé..

 

- Putois Putois : animal dépressif, qui apprécierait qu’on le vouvoie.

 

 

 

 

 

- Bavard C’est bien de dire toujours ce qu’on pense, mais si vous pensez trop, vous allez finir par saouler votre auditoire.

 

 

 

- Vanitas, all is vanitas Le dérisoire et l’illusoire sont les deux lames du rasoir qui vous coupe de la réalité.

 

- Himalaya, « Hymne à la joie » de la nature

 

 

 

- Salace L’humour ça lasse, surtout quand ça l’est (salace, pas salé). L’amour aussi, mais quand ça l’est plus (salé, pas salace).

 

-

 

- L’abri tue Même un abri tue un abruti..

 

- Erratum Les médecins se trompent bien, parfois. Un jour, ça va m’arranger.

 

- La vie est un long fleuve.. tant qu’il..

 

- Image De nos jours, quand on dit à un enfant : « Si tu es sage, tu auras une image », ce n’est pas une vraie image dont on parle. C’est une image.

 

- Anglais L’Anglais n’est pas sûr de lui quand il parle, n’est-il pas ?

 

- Les clients de Sa Majesté Au Royaume-Uni, les sujets de Sa Gracieuse Majesté la Reine sont aussi des clients. Est-ce que le fait que les clients soient rois pose un problème ? Il semble que le flegme britannique protège Elizabeth de toute concurrence déloyale.

 

- Contrat sous X Quand un illettré a la chance de trouver un contrat de travail, vu qu’il ne sait pas écrire, on peut dire que pour avoir ce contrat, il peut y faire une croix dessus..

 

- L’araignée noire

 

Sous un ancien lavoir,

 

La belle araignée noire,

 

De désespoir

 

S’était pendue,

 

Au bout de son fil,

 

Suspendue..

 

 

 

C’est pas du Baudelaire, mais ça en a l’air ..

 

 

 

- Monosomiques Chaque matin à ma boulangerie, par le hasard des coïncidences d’horaire de courses, je croise souvent un trisomique de mon quartier, avec qui j’ai sympathisé depuis le début, qui est bien le seul à me dire bonjour. Heureusement, les clients ne sont pas tous mongoliens ! D’ailleurs, la plupart sont monosomiques. Vous me direz, ils n’y sont pour rien !

 

- Alter-native Possibilité de naître où l’on veut. Paradoxalement, peu de gens font le choix des pays chauds, du sud, alors que la météo est estivale.

 

 

 

 

 

Rabat-joies Les gens réalistes, qui sont souvent des rabat-joie(s), vous diront qu’on ne reviendra jamais en arrière. Les humoristes eux, savent bien qu’on reviendra un jour en avant..

 

- Eternel été Si la plupart des humains des zones froides hivernent un peu l’hiver, en essayant de se mettre à l’abri du froid, les plus frileux hiberneraient carrément s’ils le pouvaient. Les touristes, eux, ‘’éténeraient’’ volontiers dans les pays chauds si le verbe existait..

 

- Carrément Il faisait toujours les choses à moitié, mais il les faisait bien.

 

- Calais « Arriver à Calais » n’est pas, malgré tout, de bonne augure pour un migrant.. Et c’est moins pour faire un jeu- de-mot facile et idiot, que pour un client d’oeil amical et respectueux envers des gens dont j’aurais pu faire partie, si le hasard s’était mépris.

 

- Le problème de l’âge c’est moins de devenir de plus en plus vieux, que d’être de moins en moins jeune.

 

- Chers amis Les amis, quand ils reviennent souvent, ils reviennent chers.

 

- Amis Avec certains amis, l’ame, pardon, l’âme, on se demande où on l’ami..

 

- Doigts d’une main Avec deux mains, on a assez de doigts pour compter ses amis. Et à partir du 11ème, on ne les retrouve que sur les réseaux sociaux. Laissez-les -y. Ils y sont bien.

 

- Problème de vocabulaire Les athées, autrefois dénommés mécréants, ne croient pas aux miracles comme de bien entendu. Par contre ils ne seront pas pris en flagrant délit de contradiction ou d’apostasie laïque s’ils avouent admettre que la science ne peut pas tout expliquer pour l’instant.

 

 

 

- Emile Zola Si l’on vous demandait, à brûle-pourpoint, combien d’écrivains-romanciers-philosophes à ce jour, en incluant les contemporains, vous diriez combien ?! Faute de culture générale, que j’aime bien Renaud dans le film Germinal, ainsi que les pirouettes-cacahuètes, je dirai « A peu près dans ’les mille’’, dans ces-’’-eaux-là’’.. ! ».

 

 

 

- Fleur de l’âge Etre dans la fleur de l’âge ne dit pas de quelle fleur il s’agit. J’espère que ce n’est pas le chrysanthème.

 

- Remords Pour ne pas avoir de remords dans la vie, jouissez de vos envies avant la mort.

 

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- Ik et A sont dans un meuble. Ik tombe à l’eau. Ah !?

 

- ‘Catholique’ viendrait du grec et signifierait ‘universel’. Mais curieusement, cet adjectif n'est accolé qu'au mot "Eglise" et autre concept la concernant, comme la doctrine, la foi, etc.. Devrait-on réserver l'universalité à cette particularité religieuse, aussi originale et respectable soit-elle ?! Cela ne me paraît pas très catholique.. Tout, dans son histoire, n'étant pas très glorieux, en particulier de ses responsables, un peu plus de modestie et de discrétion lui siérait mieux..

 

- Injures Si vous avez un jour à essuyer quelques injures, ne prenez qu’un vieux chiffon sale.

 

- En ce qui concerne les relations filiales, les mères sont souvent plus perspicaces que les pères (qui eux seraient plutôt mèrespicaces, ou mères-smicard, c’est-à-dire le strict minimum.).

 

 

- Sangsue Une sangsue exsangue est une sangsue sans sang.

 

- Bûche Une bûche se consomme définitivement quand elle se consume. Un homme peut aussi être consommé en se consumant ; l’avantage c’est qu’il est réutilisable.

 

- Maison à vendre Une maison à vendre n’est qu’une maison à acheter. Et finalement, un emprunt n’est qu’un prêt. Je devrais donc pouvoir demander à mon banquier de mettre mes sorties d’argent sur mon crédit plutôt que sur mon débit. Comme ils disent, c’est juste un simple jeu d’écriture. Et cela tombe bien, je suis très joueur..

 

- Quand la gloire posthume des grands hommes ne leur suffit pas, les hommes les statufient.

 

- Lorsqu’on me parle de ‘la mort’, je préfère l’entendre d’un Espagnol. Ah, l’amort, l’amort.. !!

 

- Méfiez-vous des journées portes-ouvertes chez les sous-mariniers

 

- Il n’a jamais eu de succès auprès des femmes, même la sienne.

 

- Si je m’entendais dire par un copain : « Tout est bon dans le cochon ; c’est comme toi ! », je le prendrais comme un compliment. Et si c’est d’une copine, je ne me poserais pas de questions longtemps..

 

- Pour les parents, laisser faire, c’est l’enfer. Les gosses eux, ils s’en gaussent.

 

- Impair Parfois j’ai l’impression d’avoir sauté quelques pages, dans l’histoire de ma vie. D’ailleurs, il y en a beaucoup d’impaires.

 

- Minime Une minime est une petite maxime, mais elle n’en est pas moins pertinente pour autant.

 

- Vélodidacte Qui a appris à faire du vélo tout seul.

 

- Amour Mac Cain L’amour, c’est ceux qui en parlent le plus qui le font le moins.

 

- Hypoténuse Le carré de l’hypoténuse est également égal au rectangle de l’hyperténuse, diminuée de la différence entre sa longueur et sa largeur, toutes proportions gardées.

 

- De fil en aiguille, il a fini par se piquer.

 

- Sans complexe Je possède une ignorance relativement développée. Je le dis sans vouloir vous complexer..

 

- Flamant Les flamants ne viennent pas de Flandre. En attendant, ils viennent de s’envoler.

 

- Enterrologue Ne pas confondre ‘enterologue’ et ‘enterrologue’, ou croque-mort.

 

- DifférenDs et DifférenTs Si au lieu d’avoir des différends avec nos semblables nous avions des semblables avec nos différents, le monde serait parfois moins immonde.

 

- A l’heure du co-voiturage, de la co-location et autre co-habitation, co-llaboration, co--pinage, ça fait du bien de se prendre de temps en temps une petite co-llation tout seul.

 

- Sommeil boréal : long sommeil.

 

- Une exception à la règle c’est quand la règlement.

 

- O.Q.P Je ne réponds jamais aux S.M.S. Je m’arrange toujours pour être O.Q.P.

 

- Ce n’est pas parce que le tambour a la peau dure qu’on peut se permettre de le battre inutilement.

 

- LRST bouche B ! (je m’entraîne pour quand j’enverrai des sms.)

 

- Rien ne se perd, rien ne se crée. Les créateurs peuvent aller se rhabiller.

 

- Ce croque-dames s’est éteint subitement, une seule fois. Pourtant, dieu sait si les femmes l’avaient allumé souvent.

 

- Si on me demande mon avis, je suis plutôt anticyclone.

 

- Encore de nos jours subsiste dans certains pays le principe de la dot qu’apporte la femme en se mariant. Je suis carrément antidote.

 

- Caïn eut une vie mouvementée, avec des rapports conflictuels avec les femmes, en particulier s’Abel.

 

- Mourir idiot Il paraît qu’il faut éviter de mourir idiot. A ce stade-là, vous me direz, quelle importance ! Le problème, c’est que ça n’arrive pas d’un coup.

 

- Il est mort âgé, d’une hémorr-agie.

 

- Les requins n’habitent pas que dans les Iles Caïmans.

 

- Comme l’indique Sionaire, le sioniste n’est pas un partisan de la guerre de Sécession.

 

- La voi avec un x c’est votre voix, avec un e c’est votre chemin, sans l’un ni l’autre, c’est votre faute.

 

- Qu’il y ait un grain de sable, et les plages se mettent en grèves.

 

- L’imbécile est mort sot. Tout d’un bloc.

 

- Je suis né il y a quelques années, à un an près.

 

- M.. M, ma consonne préférée. La moins jolie : N

 

- Faux nème Le phonème n’est pas un ersatz, ou un nem français. Mais alors que le nem est à base de riz, plus exactement de crêpe de riz, le phonème est à base de son.

 

- Entre l’Amour enchanteur, et la Mort désenchanteuse, l’Humour, maître-chanteur.

 

- - L’épreuve de la preuve Quand vous n’avez pas les preuves à l’appui, il vous reste l’épreuve, sans appui.

 

- Il faut que les décisions soient suivies des faits , c’est-à-dire d’effet, sinon ce sont pas des décisions mais des dérisions.

 

- En amour, on appré-cie parfois autant avant qu’après, ou en tous cas, différemment.

 

- Monnaie-du-Pâpe Il ne faut pas confondre ‘monnaie-du-Pâpe’ et ‘monnaie de singe’. Dans les caves du Vatican, on ne trouve aucune des deux..

 

- Le destin est parfois un peu gras, mais jamais gra-tuit ; et ce qui vous arrive est parfois un peu fort, mais jamais for-tuit.

 

- L’homme n’est jamais que l’aboutissement d’une histoire, le résultat d’une suite d’un concours de circonstances, où le hasard, les coïncidences, jouent plus que vos choix personnels et délibérés. Alors, s’il vous plaît, vous les gens importants, les hauts-personnages, jouez-la modeste, sinon la vie vous le rappellera cruellement un jour.

 

- Si le bébé tète trop, c’est qu’il s’entête. Et s’il n’en fait qu’à sa tête, c’est qu’il s’abouche au sein.

 

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- Pauvreté : la faim sans fin. Richesse : le pain sans peine.

 

- Chance inouïe J’ai une chance peu banale : j’avais une chance sur un milliard d’être génétiquement ce que je suis, ..et je le suis !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CODe ICILLE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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· Homo grosso « L'homo grosso » est un stade apparu fort tard dans l'évolution de l'homme, faute de conditions socio-économiques et environnementales favorables. Et sa forme « homo grosso modo », c'est-à-dire avec un paramètre « mode », ou « homo grosso americanus », ne date que de quelques dizaines d'années.

 

·A certains, il vaut mieux dire les choses plutôt deux fois qu’une, quand ce n’est pas trois ! C’est-à-dire qu’il vaut mieux les trisser que les bisser. Sans se stresser, bien sûr. (J’ai failli tomber dans la trivialité.) (et non la dualité.).

 

·A force de se faire appeler « Mon père » par ses ouailles, il y aura bien un ecclésiastique qui vous dira un jour : « Appelez moi papa.».

 

·Sa tombe mal A l'heure de partir définitivement, quelque soit le jour, le mois ou l'année, « sa tombe » toujours mal. Mais un rendez-vous ne serait pas plus souhaitable.

 

·A l’orée de la forêt A l'orée de la forêt, ..le goret, ..de son groin, ..forait.

 

·A quoi sert l'anis vert ? L'anis vert sert déjà à aromatiser les gâteaux et à se faire des tisanes. Il peut servir aussi à recevoir des cadeaux. Mais à la longue on s'en passerait. Surtout les dames.

 

·A son avocat qu'il connaissait bien et qui lui demandait les causes de sa volonté de divorce, Jules, un homme très dynamique et performant, avoua, entre autres « Mon ex est lente.. ».

 

· La belle époque A une époque c’était bien. On avait la vache dans le pré. On se mettait près de la vache, et on avait le lait. C’était pas beau, ça !! En tous cas c’était pas laid. Y-avait pas besoin de faire la queue, pas la queue de la vache, la queue au marché. Par contre, on marchait. On marchait jusqu’au pré, qui n’était pas toujours très prés. Aujourd’hui, c’est plus loin mais on n’a pas besoin de marcher. On pourrait y aller à pied ; mais c’est un pis-aller. Et ce n’est plus un pis à lait, mais une brique. Et il faut du fric. Bref, ça a changé..

 

·A une époque, pour une femme, avoir un gars nanti était une ga-rantie.

 

·Aigri : personne qui broie du gris.

 

·Alphonse allait, sans trop savoir où.. Mais il y est arrivé.

 

·Annonce Annonce parue sur la gazette des Retraités de l'Armée de terre : « Char donnerais contre perruche. »

 

·Anthropologis : logement qui sert d'entrepôt. .

 

·Attention, pour les Espagnols vivant chez nous, de ne pas dire, à propos d’un homme politique, qu’il escargot en tête des sondages, mais bien qu’il caracolle. L’autre expression serait plutôt péjorative.

 

·Au long cours n’est pas une litote.

 

·L’ombre d’un doute Aucun soleil ne peut faire de l’ombre à un doute.

 

·Autant un accessoire multitâches est perçu comme positif, autant pour une personne c’est plus ambiguë, parce que vous ne savez pas trop si ça s’écrit avec un accent circonflexe ou pas.

 

·Avant de farcir les tomates, il faut édidemment les évider.

 

·Avec tout le respect que je vous dois, il ne va bientôt plus m'en rester pour moi.

 

·Avoir de l'argent, c'est pas toujours dû à l'effort 'tune'. Par contre ne pas en avoir, c'est souvent avoir l'amère 'tune'.

 

·Avoir des ennuis pécuniaires ne signifie pas qu’on a des problèmes avec son papier-toilette.

 

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·Bactériologis : logement insalubre.

 

·Bakounine : révolutionnaire russe qui inventa les sociétés low-cost.

 

·Elle était une fois Bon, parlons beaucoup mais parlons mal ! Bref, je serai long. Il était une fois, mais il se peut que ce fut deux, ou même trois. Mais peu importe. Le tout c'est qu'elle ait existé. Entre parenthèses, on devrait dire : « ELLE était une fois », puisque ‘’fois’’ est féminin. Bon, on ne dira rien pour une fois. D'ailleurs, qui était-il cet « une fois », même s'il ne l'a été qu'une seule fois !? Et bla-bla-bla, et bla-bla-bla..

 

·Alcool C'est cocasse que ce soit les Arabes qui aient inventé le mot « alcool », eux qui sont les seuls à ne pas en boire.. !! Vous me direz, ce sont les riches qui ont inventé la misère, et ils n'y touchent pas non plus..

 

·C’est drôle comme on accepte plus facilement d’appeler une petite fille noire Blanche, que l’inverse..Même si ce n’est pas non plus évident.

 

·C’est l’intonation qui traduit la subtilité, la différence d’état d’esprit, entre « Ciel, mon mari ! » et « Essentiel, mon mari ! ». Et on peut dire qu’ici le contexte est essentiel.

 

·Tiroir, qu’est-ce ? Caisse devient début de ‘caisse-tionnement’ à partir du moment où l’on cherche à la remplir. En d’autres termes, elle devient source d’interrogation lorsqu’on en cherche la source.

 

·Caricature : carie dantesque.

 

·Ce fils-à-papa notoire l’était tellement, que lorsqu’il se laissa pousser la barbe, ses voisins dirent de lui qu’il avait mis la barbe-à-papa.

 

·Ce n’est pas parce qu’on ‘émet’ une hypothèse qu’on l’aime encore à ce jour.

 

·Ce n’est pas parce que vous ne fréquentez pas les vieux porcs que vous n’avez pas le droit de rencontrer les jeunes truies.

 

·La vie entre ses mains Ce qui est ‘’frappant’’ - en dehors de la main de l'homme, surtout quand il en a deux - c'est que dans sa main justement, ou plutôt entre ses deux, il a dix doigts. Et alors, me direz-vous ? Eh bien, que ses dix doigts représentent dans l'immense majorité des cas les dix décennies auxquelles il peut prétendre. C'est ce qu'on appelle « avoir sa vie entre ses mains. »..

 

·Celui qui manque totalement de poésie manque d’humanité.

 

·Amour propre Certaines personnes ne connaissent de l’amour que le propre.

 

·Certaines personnes sont à l’orée de la bêtise. Et comme l’arbre veut cacher la forêt, ils dissimulent mal leurs congénères.

 

·Ces coccinnelles !! Des éternelles ados, à promener leurs points noirs partout !

 

·Cher Monsieur : la pire façon de vous remettre en place poliment..C’est un peu comme quand un employeur vous ‘remercie’.

 

·Chevaleresque : amateur de chevaux ; rocambolesque : amateur de rock-en-boll ; abracadabrantesque : amateur de tours de magie politiques ; grotesque : genre particulier d'humour, assimilable à ce que je peux faire.

 

· Mens sana in coprore sano.. Comme disaient les étudiants latinistes de mon époque ( ! ) lorsqu’on leur demandait s’ils étaient prêts à faire leur service militaire : « Mince alors, incorporé, ça non !! ».

 

· A poil on naît Comme dit le sage, « à poil toujours on naît. ». Je rajouterai ‘poil au nez’.

 

·Comme les journalistes, mais avec une petite nuance, les Vénus callipyges sont payées à la pige..

 

·Chouette Comment choisir entre entre l’oiseau qui est trop glodyte et celui qui n’est pas sereau ? Il est plus simple de choisir entre un cor beau et un albe atroce ! Certes, je vous vois venir, vous allez me redire qu’un hibou, c’est chouette aussi..

 

·Culturisme : association de culture et de tourisme.

 

· Je ne citerai pas la région Dans certaines régions, on parle de couleur gris-ciel.

 

·Dans le Nord, au temps des grands-parents, c’était les hommes qui passaient aux Mines. De nos jours, il n’y a plus que les voitures.

 

·Pourcentage Dans tous les métiers, on retrouve un pourcentage constant de cons. De même, chez tous les cons, on retrouve un pourcentage des métiers à peu près similaire. Mais certains se démarquent à leur désavantage, à commencer par ceux qui ont un pouvoir sur les autres, à savoir ceux qui les dirigent les autres, ceux qui les emploient, ceux qui les soignent, et ceux qui les enseignent. Pardon pour ceux que j’ai omis. Par contre moi j’y suis.

 

·L’après-histoire Définir une période comme étant avant la préhistoire ou après l’avant-histoire n’a pas grande importance. On n’y était pas quand-même.

 

· Des tests Déjà les contrôles, c’est pas drôle, mais alors les tests, je déteste !

 

·Des crépitudes sont des crêpes ratées.

 

·Dialogue d’automne : - Il a plu ! – Ah ! – Ca t’a plu ? – Non ! – Moi non plus.

 

·Jolie par nature Dire qu'une femme est jolie par nature est à la fois un euphémisme et un pléonasme.

 

·Ecologis : logement économe.

 

·En amour, si l'homme n'est pas systématiquement plus fort en stimulation, la femme, elle, est facilement plus forte en simulation.

 

·En attendant que les propriétaires des chiens-crotteurs-de-trottoir aient une meilleure éducation que leurs bêtes, il vaut mieux marcher sur la chaussée.

 

·Mi-lourd En boxe, un mi-lourd n'est jamais un mi-léger.

 

·En hiver, il est prudent d'avoir les gants à portée de main.

 

·Généralisation En politique, la volonté d’être ‘’utile à son pays’’ entraîne de facto l’obligation de convaincre ses électeurs potentiels, et donc de contenter un maximum de personnes. Ce qui amène obligatoirement à faire des compromis douteux avec la réalité et des approximations tendancieuses. Cela vous fait pencher inexorablement vers des contre-vérités qui débouchent sur quelques mensonges et beaucoup d’hypocrisie. Le mensonge, qui n’est autre qu’une malhonnêteté intellectuelle, vous conduit tôt ou tard à la malhonnêteté tout court, défaut qui ouvre la porte à tous les courants d’air, .. et de pensée. Mais ne voyez là une généralisation abusive..

 

·Enfoncer une porte ouverte c’est comme essayer de fermer les maisons closes.

 

·Entre eux, les anthropophages ne le sont pas.

 

·Entre le calme et la tempête, c’est un peu comme entre l’eau dormante en amont d’un barrage et le torrent qui s’en suit en aval. En bas du barrage, ça fait rage..

 

·Entre le CDD et le CDI se situaient récemment le CDE, Contat à Durée Eventuelle, le CDF ou Contrat à Durée Forcée, le CDG ou Contrat à Durée Gaspillée, et le CDH, Contrat à Durée Honnête. (certains parlaient de Durée Habituelle, car le plus fréquent, puisqu’on ne vous demandait pas votre avis.).

 

·Moins-que-rien Entre les moins-que-rien et les plus-que-tout, il y a les gens normaux comme vous et lui, c'est-à-dire les moins-que-tout et les plus-que-rien.

 

·Epouiller : se faire dépouiller de ses poux.

 

·Epoussetter : enlever la poussière d'une poussette.

 

·Equitable : table pour chevaux.

 

·Encouragements Est-ce que les encouragements sont flatteurs ? Ce n’est pas sûr du tout, puisqu’on estime que vous pouvez mieux faire..

 

·Métrop Est-ce-que le métro met trop de temps ? Non, si en deux temps, trois mouvements.

 

·Vocation ratée Et dire que je n’ai jamais pensé à être professeur de lambada ..!

 

·Et je vous pose la question : « Lesboules, Quies ?! ».

 

·Evasion est féminin. C’est bien pour ça qu’on ne parle pas d’Adamasion.

 

·Fanatiques : fadas plus tocs que tiques..

 

·Faut pas jeter les jetons, sauf les faux.

 

·Faut-il ne respecter que les gens respectables ? C’est une question que ne se posent que les états dits démocratiques. Mais ils n’ont pas encore trouvé la réponse.

 

·Grenouillère : genouillère qui a un air de genouillère mais avec un R en plus.

 

·Il avait eu la mauvaise idée de naître un trente février. Je comprends pourquoi il paraissait toujours hors du temps.

 

·Nuit blanche Il est inutile de garder les yeux ouverts par une nuit noire. Idem si vous faites une nuit blanche.

 

·Mignon Il est mignon comme tout. A part que tout n’est pas mignon !

 

·Il était tellement distrait qu'il se demandait s'il avait bien son âge.. !

 

·Il n’y a piranhas que les petits poissons de l’Amazone..

 

·Lunettes Il portait des lunettes sans les verres, pour ne pas les casser. Il a fini par se prendre une porte et s’est cassé la monture. Depuis, il ne porte que les verres, sans monture.

 

·Cunni..quoi !? Il prétend que tout ce qui lui reste du latin c'est « cunnilingus », mais je doute que ce soit d'origine scolaire.

 

·Il semble que dans certaines administrations, les préposés à l’entrée, supposés vous proposer une solution, aient confondus « accueil » et « écueil ».

 

·Il vaut mieux être ‘quasi’ Casanova qu’un ‘nouveau’ Quasimodo.

 

·Il y a des personnes qui savent vous enlever le feu, lors d'une brûlure. Il y en a d'autres qui savent vous le mettre.

 

·Il y a deux sortes de filles : les câlines, et les alcalines, c'est-à-dire les basiques..

 

·Il y aura toujours des gens qui ne paient pas de mine. Mais pourquoi en payer deux si c’est pour ne vous en servir que d’une.. ?

 

·Il y en a qui ont plus d'une corde à leur arc. Moi je n'ai plus d'une corde qu'à ma guitare.

 

·Naturalisation Impossible n'est pas français, mais il n'a pas tardé à obtenir sa naturalisation auprès de toutes les préfectures et autres administrations.

 

·Inculte dès la naissance J'ai toujours été un inculte précoce. Déjà petit, je ne savais pas lire.

 

·Perfection J’essaie d’éviter la perfection, mais j’ai du mal.

 

·Le Cardinal J’ignore si Mirabeau était beau, mais Richelieu ne devait pas être pauvre.

 

·Je cherche un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout. Cherchez l'erreur..

 

·Je connais beaucoup d’hommes qui accepteraient d’être « l’objet » d’une femme, ne serait-ce qu’un moment, à moins ce que ce ne soit justement que pour un moment.

 

·Mantes religieuses Je ne sais pas si les religieuses mentent, mais je suis sûr que les mantes religieuses.

 

·Je préfère friser l’imperfection que la perfection.

 

·Rassuré Je suis rassuré. Je suis allé vérifier les champs de tournesols. Tous ne se tournent pas bêtement vers le soleil.

 

·L'argent corrompt jusqu'aux petites gens des corons.

 

·L'inconvénient majeur de la procédure d'une séquelle, c'est qu'elle dure.

 

·La ‘pingite’ n’est pas une affection plus sale qu’une autre, même si les femmes s’en passeraient bien, évidemment.

 

·La chance sourit aux audacieux, mais surtout aux inconscients.

 

· Même la girafe avait de l’eau jusqu’au cou.

 

·C’est blette La jardinière faisait la navette entre ses navets et ses blettes. Elle n’avait que ça. C’est bête !

 

· Montgolfière La manière.. la plus extraordinaire.. de s'envoyer en l'air.. reste la montgolfière. (ça c’était pour la rime). Mais on peut cumuler..

 

·Nostalgie La nostalgie est le grenier de la mémoire. Et quand elle s'éveille, elle soulève la poussière des souvenirs, et les toiles d'araignée des regrets.

 

·Parité La parité, dans le milieu interlope, c'est quand il y a autant de salauds que de salopes.

 

·La pensée sert aussi à panser les plaies de l’âme.

 

·La princesse n'avait de cesse qu'elle n'eusse de jolies fesses. Pendant ce temps, le Prince au bois dormait.

 

·La sur-population démographique se produit généralement suite à une sous-population socio-économique, comme si la société compensait quantitativement ce qu'elle n'avait pas qualitativement.

 

·Le but du foot c’est quand-même d’en marquer.

 

·Chenil Le chenil n'est ni le mâle de la chenille, ni sa maison.

 

· Dandy Le dandy est toujours un nanti. Et je croyais qu'il y avait un rapport étymologique entre dandy-né et dandiner. Or il n'en est rien. J'aurais jurer..

 

·Ciguë Le dire avec des fleurs est toujours ambiguë. Sauf pour la ciguë.

 

·Faux-filet Le faux-filet se vend tout-à-fait légalement sur les étals des bouchers. Et n'allez pas leur demander une réduction sous ce prétexte fallacieux.

 

·Le fils de tourisme est la personne qui vous renseigne sur les sorties, ballades et sites à visiter dans le coin.

 

·La Mère-Noël Le Père Noël ne fait jamais que distribuer les jouets qu’a achetés pour lui la Mère Noël.

 

·Main courante Le policier du commissariat était connu pour avoir la main courante.

 

·Le temps ne vous attend pas. Mais il vous attend au tournant.

 

·Troubadour Le troubadour, ..En mal d'amour, ..Préfère un jour, ..A un toujours..

 

·Arrière-pensées Les arrière-pensées vous empêchent d’aller de l’avant.

 

·Les coqs du Costa-Rica font cacarica. Les poules font toujours la même chose, ce qui arrange bien les costaux Ricains.

 

·Anthropophages Les Esquimaux sont anthropophages.

 

·Extrèmes Les extrêmes sont à l’orée de l’infini.

 

·Faux-monnayeurs Les faux-monnayeurs n'encourent la prison que si ce sont des vrais.

 

·Les féministes n'apprécieront pas que l'on dise que la « femme idéale » est la « femme iliale ». Moi non plus, d’ailleurs. E vous rassure.

 

·Les femmes de ménage allaient et venaient dans un balai incessant.

 

· Relou Les gamins sont tellement éveillés de nos jours, que si un père parle à son fils de trois ans « du loup », celui-ci va dire à son père qu'il est 'relou'.

 

·Les lessives qui lavent trop blanc risquent de décolorer votre habits noirs.

 

·Les lumières des néons paraissent d'autant plus blanches clair que la nuit est d'un noir foncé.

 

·Mort sûre Les morsures de morse ne sont pas morselles.

 

·Les musiques militaires font vibrer ma sœur.

 

·Les pauvres sont dépensiers. Ils dépensent tout ce qu’ils gagnent.

 

·Les préfectures font des migrants des ‘convaincus’ de la nationalité. Et là, je ne parle pas de la double nationalité mais de la double peine.

 

·Ressuscités Les seuls ressuscités que l’on connaisse sont ceux qui sont morts de rire.

 

·Un jour sans toit Quelque soit le plaisir d’être avec vous, et je n’en doute pas, je préfère un jour sans vous qu'un jour sans toit.

 

·Lorsqu’on a une haute opinion de soi-même, on est forcément et automatiquement condescendant, au moins gentiment.

 

·Lorsqu’on voit certaines personnes circuler sur les trottoirs en ville avec un parapluie ouvert, on se dit que le permis de port de parapluie pour citadin devrait être instauré.

 

·On a beau être beau Malgré la cocasserie de langage, il est permis de dire « J’ai beau être laid.. ». Mais vous ne l’entendrez pas souvent. J’avoue que je n’ai pas entendu davantage « J’ai beau être beau.. », l’esprit critique n’étant pas une constante de la personnalité des beaux mecs.

 

·Malgré sa dénomination ambiguë, on ne prend sa retraite que d’une seule traite.

 

·Même à un âge avancé, il ne reculait devant rien.

 

·Ceux qui se vantent d'avoir toujours les pieds sur terre, un jour les auront dessous.

 

·Même de l’essentiel, méfiez-vous-en, car parfois l’essentiel ment.

 

· Confit de connard Même en dehors des fêtes de fin d'année, il vaut mieux tomber sur un canard que sur un connard. C'est plus digeste.

 

· De long en large Quand le bateau est à quai, il prend le long. Quand il sort du port il prend le large.. Et quand il se le prend trop cool, parfois il.. (je vous laisse le mot de la fin).

 

·Même sans ses bottes, un beau chat est un chat beauté.

 

·Problèmes mineurs Mieux vaut avoir des problèmes mineurs avec une majeure que l’inverse.

 

·Ne jamais passer un dalmatien au lave-linge. Vous n’obtiendrez pas de résultat, je veux dire, sur les taches.

 

·Ne pas confondre ‘censeur’ et ‘sans cœur’, comme avaient tendance à le faire à notre époque les lycéens.

 

·Matt et Mattic Ne pas confondre « Matt » et « Mattic ». Matt est voué à l'échec. Pour Mattic, c'est pas automatique.

 

·Ne pas confondre damnation et dame Nation.

 

·Ne pas confondre l'échauffourée et les chats fourrés, sauf quand s'ils se sont fourrés dans un guet-apens.

 

·Ne pas confondre la maladie de Parkinson, qui s’attrape dans les parkings à force de vouloir piquer la place aux handicapés, de la maladie de Charleston, acteur culte de Ben-Hur, mais dont la conséquence a été une tendinite des bras, à force de retenir les charles, euh..pardon, les chars.

 

·Ne pas confondre un Antillais et un anti-gay.

 

·Ne pas jeter Saint-Vincent de Paul Sur la Voie Publique SVP.

 

·Pain perdu Ne proposez pas aux snobs du pain perdu. C'est peine perdue.

 

·On a tous fait des erreurs de jeunesse, mais l’erreur la plus fatale c’est celle de vieillesse.

 

·On avait beau le gronder, le chien n’en démordait pas.

 

·Retrousse-chemise On dit « rebrousser chemin », mais « retrousser chemise ». Mais on peut faire les deux, même dans le désordre.

 

·Esprit mal placé On dit que j'ai toujours l'esprit mal placé. Je sais pas, mais en tous cas le reste, ça va.

 

·Larron On dit que l’occasion fait le larron. Mais c’est surtout le neuf.

 

·L’espace d’un moment On ne dit pas « le moment d’un espace » mais « l’espace d’un moment », même si ni l’un ni l’autre ne prend l’autre.

 

·C’est l’amour qui compte On peut dire qu’il n’y a que l’amour qui compte. Comme on peut dire qu’il n’y a que l’amour qui ne compte pas. Mais je me demande si on peut vraiment compter sur l’amour.. !

 

·On peut se faire dépister sans s'être fait pister auparavant.

 

·On peut vendre son ammoniaque sans vendre son âme au Diable. Même si le Diable a du niaque.. (par contre, je ne sais pas qui ça peut intéresser..!)

 

·On remarque moins un lieu-commun dans un lieu-dit.

 

·Onoff : type de boutons que ne voient pas passer les dermatologues.

 

·Ôtez la différence, les plus grands ou les moins beaux, les plus riches et les moins intelligents, et vous aurez une uniformisation déprimante. Mais les moins quelque chose ne seraient pas contre.. Ils déprimeraient d’ailleurs un peu moins.

 

·Où peut bien aller se nicher un chien ?

 

·L'alimentaire aussi c'est élémentaire, mon cher Watson.

 

·Traire une vache c'est lui soustraire son lait.

 

·Paradoxalement, arriverd’chi n’est pas une expression d’arrivée mais de départ. Et vue l’origine, on s’attendrait plus à une arrivée d’air chaud, comme dirait mon gendre.

 

·Il y a ceux qui tirent sur le pianiste, et celles qui tirent le pianiste, qui pour le coup est moins à plaindre. Quant à celui qui tire l'autre, chacun aura son opinion, même s'il n'est pas besoin d'être méga fort en métaphore pour avoir sa petite idée..

 

- Ossature Paradoxalement, on ne peut pas dire, en parlant d’un squelette, que sa teneur en eau sature.-

 

- Jambon On ne peut pas faire de jambon sans cochon alors qu’on peut en faire sans glier.

 

- Quiès qui a sorti ça !? Parler de « Tampax pour oreilles » dénote soit un manque de vocabulaire, soit un excès d’imagination.

 

- Parler du temps est un lieu-commun, sauf quand c'est un météorologue.

 

- Pénélope n'aimait pas la poésie.

 

- Périnée et Pyrénées, ce n'est pas la même topographie.

 

- Personne sans gêne : personne à qui il manque le gène de la gêne.

 

- Personnellement, je serais pour des rapports platoniques avec les femmes. En tous cas au début. Disons, de quelques jours à .. quelques minutes au moins.

 

- Posez, posez.. Poser les questions vous évite de les porter.

 

- Pour beaucoup de gens malheureusement, l'alimentaire c'est élémentaire mon cher Wattson.

 

- Change Pour certaines personnes, quand elles se changent ça ne change rien. Pour d’autres au contraire, elles arrivent à donner le change.

 

- Pour le script, le scénariste avait fait au strict minimum.

 

- Pour ne pas perdre votre valise quand vous voyagez, prenez vous une Argos.

 

- Pour retrouver un objet perdu, sans aucune trace d’adresse sur ce-dit objet, il faut compter sur l’honnêteté de deux intervenants différents. Pour retrouver un objet volé, je ne vois pas trop sur qui vous pouvez compter.. !

 

- Pour se rappeler que c’est le chameau qui a deux bosses et non le dromadaire, il avait une méthode peu élégante, en faisant remarquer que les femmes ont plutôt deux bosses qu’une..

 

- Problèmes de siège Pour un juge, la vie d’un prévenu ou d’un condamné se résume souvent à un dossier, au point qu’on peut se demander si la sienne, vie, ne se résume pas parfois aussi à un simple dossier, dossier du siège. (Je parle du siège-fauteuil, pas du siège du tribunal). Pour l’avocat du barreau, c’est différent puisqu’il plaide son dossier debout, même s’il peut avoir un problème avec le barreau. (celui des avocats, pas du barreau du siège.)

 

- Pour un salaire « décent », il faut souvent que son niveau « monte ».

 

- Pour votre compagne féminine, soit vous ne prenez pas-du-tout part aux tâches ménagères et elle a fini par se faire à l’idée, soit vous y participez, et dans ce cas, soit c’est insuffisant, soit c’est mal fait, soit ce n’est pas fait au bon moment. Moralité, les machos ont encore de beaux jours devant eux..

 

- Qu'il se trompe ou pas, l'égoïste dira toujours : « Autant pour moi..! »

 

- Quand j'étais collégien, tout le monde savait que copier=collé. De nos jours, le copié-collé est une méthode de travail admis par les enseignants.

 

- Quand l'amour n'est pas un bonheur il est un malentendu.

 

- Quand l’in finit l’autre commence, vice-versa, inversement et ainsi de suite à l’unfini.

 

- Quand le mâle est réparé, la femelle s'y remet.

 

- Quand le maléfice, le père a du mal à être bien.

 

- Quand les enfants sont en cour de récréation, leur éducation n'a pas à être en cours de pose.

 

- Quand on se remémore tout ce qu’on a pu oublier.. !! C’est dingue !

 

- Quand tous les Musulmans seront Maures, et que tous les Chrétiens seront catholiques, y-aura du souci à se faire.

 

- Quand un cours d'eau est à cours d'eau, son niveau « d'haut » est au plus bas.

 

- L’hippopotame hypochondriaque Quand un hypocondriaque s'analyse, il est hyper anxieux. Si c'est un hippo-potame, hyper son temps.

 

- Quand vient l'heure de votre aller-simple, C'est là où les bêtes et gens simples décrochent enfin leur revanche..

 

- Quand vous connaissez une déconvenue, c'est pire que de ne pas la connaître.

 

- Quand vous dites quelque chose de désagréable à quelqu'un et que la moue tarde, c'est qu'elle ne lui est pas montée au nez..

 

- Quand vous êtes dans un état second, la première chose à faire c'est d'éviter de passer au troisième.

 

- Que celui qui a des broblèmes commence par se moucher..

 

- Pile ou face Les contraintes d’image étant ce qu’elles sont, de nos jours, celle qui ne s’épile pas s’efface !

 

- Quelle différence entre les notes d’une secrétaire et celles d’un musicien ? Ce dernier serait plus en mesure de vous l’expliquer.

 

- Qui m'attise trop me traumatise.

 

- Quitte à ne pas se faire pardonner, autant en faire le maximum.

 

- Réprobatteur : musicien à l'esprit critique.

 

- Roosevelt n’était pas plus roux que svelte.

 

- Le révérend S’il vous arrivait de lire ou d’entendre, que « le révérend a tiré sa révérence.. », n’ayez pas la vulgarité de l’interpréter comme une expression triviale d’un homme envers sa compagne. D’ailleurs il n’a pas à en avoir, à priori, la révérence n’étant pas la compagne du révérend.

 

- *

 

- Se méfier des couleurs. Ce n'est pas pour rien qu'on dit « Annoncer la couleur ». Par exemple, autant l'orange donne la pêche, autant si vous passez au rouge, vous avez droit à une prune. C'est comme la couleur de l'amande..

 

- L’art de séduire Séduire c'est dur. Mais quelque part vous comprendrez que c'est indispensable.

 

- Platonique Si « platonique » a un rapport avec l'amour, c'est avec l'amour sans rapports.

 

- Si créateur il y a, il existe forcément ‘infiniment’ moins de différence et par conséquent d’écart d’incompréhension entre deux espèces, l’homme inclus, qu’entre ces espèces elles-mêmes et leur créateur. Si donc l’escargot – je n’ai rien contre, à part en sauce – a du mal à ‘penser’ celui qui peut éventuellement le manger, comment pourrais-je imaginer mon créateur éventuel.

 

- Si la sagesse populaire n’est que bon-sens, la sagesse individuelle n’est souvent que désillusion.

 

- Quand le mâle est fait Si le mal est fait, autant que la femelle s'y fasse.

 

- Si les femmes sont plus équilibrées que les hommes, c’est parce qu’eLLes ont deux ailes. Lui, iL n'en a qu'un.

 

- Si les saules pleureurs poussent toujours à côté d'une source d'eau et autre cours d'eau, c'est bien parce qu'il leur faut bien de l'eau pour pleurer.

 

- Si ma première erreur a été de naître, ma seconde aura été de n’être qu’un être raisonnable, et ma troisième, de pouvoir donc déraisonner.

 

- N’insistez pas Si quand ça convient pas, vous avez tendance à insister, quand ce con vient pas, n'insistez pas.

 

- Foncièrement honnête Si un agriculteur est à priori foncièrement honnête, je ne vois pas pourquoi un statisticien ne le serait pas probablement aussi !

 

- On-off Si une personne vous paraît éteinte mais que vous lui trouvez un bouton, appuyez-y. On sait jamais.

 

- Confession Si vous allez vous confesser, n'avouez rien. Ca peut être retenu contre vous.

 

- Si vous n’êtes ni jeune, ni riche, ni beau, mais que vous avez une libido un peu au-dessus de la moyenne générale, vous êtes un pervers.

 

- Simili-mètre : accessoire qui peut remplacer le mètre, et qui mesure généralement plus de six millimètres.

 

- Son père, qui était tailleur, était un homme très présent, au foyer ; et il avait essayé de donner une bonne éducation à sa fille. Et en tant que commerçant, il tenait beaucoup à ce qu'elle soit polie, Esther.

 

- Souvent on relie-gieux à Dieu. Je dirais plutôt qu'on relie « gi-eux » à J.E, (et non pas à J.C, diraient même certains de ces religieux). Autrement dit, on relie-gieux à « Je », c'est-à-dire à soi-même, en l'appauvrissant d'autant. Mais peut-être que la religion n'est pas faite pour enrichir qui que ce soit. Elle sert même, parfois, pour enrichir certains autres. Comme tout ce que l'homme prend en mains, pour ne pas dire manipule.

 

- Olga Sur la Volga, Olga buvait de la vodka en dansant la polka.

 

- Juste milieu Tant qu’il n’y aura pas de justes extrémités, il n’y aura pas de juste milieu.

 

- Un « anti » systématique est un nanti qui veut se faire passer pour un intellectuel.

 

- Accessoirement Un accessoire peut ne pas l’être.

 

- Un borné est quelque part un mort-né.

 

- Un chaud lapin est un lapin qui a de l'avance à l'allumage. Ceci dit, connaissez vous des froids lapins ? Peut-être alors que « chaud lapin » est un pléonasme.

 

- Un dyslexique est quelqu’un qui n’arrive pas à dire « anticonstitutionnellement » en verlan.

 

- Un faux billet ça donne vraiment le change, mais vous aurez du mal à en obtenir l'échange.

 

- Fringale Un mal fringué est souvent accompagné d'une bonne fringale.

 

- Un rationaliste pur et dur est, en fin de compte, borné.

 

- Qu’once le dise Une douzaine d’onces correspond à onze once plus une. Mais si vous n’avez pas une once de cervelle, en avoir une douzaine ne vous avancera pas plus que ça !

 

- Une femme n’accepte d’être l’objet que de toutes les attentions. L’homme préfère être l’objet de toutes les intentions.

 

- Une gamme de do sur un piano a toujours sept blanches et cinq noires. Un polygame, pas souvent.

 

- Mensonge par des faux Une vérité partielle (et intentionnelle) est un mensonge par défaut, à défaut de la preuve du contraire.

 

- Une vieille table de chevet s'appelle aussi une table achevée.

 

- Vallonné : quand la plaine est pleine de collines.

 

- Vaut mieux se faire faire un avoir que se faire avoir.

 

- Imbécile heureux Vaut-il mieux être un imbécile heureux ou une super-doué tristounet ? Moi, j'ai choisi mon camp. (le bonheur n'a pas de prix..).

 

- Vincent et Wenceslas Vincent : prénom à deux chiffres. Wenceslas : prénom à deux balles.

 

- Regard torve Vos verres de lunettes ne risquent rien quand vous regardez au travers, même en courant. C’est quand vous les regardez de travers qu’ils courent un risque, même à l'arrêt..

 

- Vu sous un certain angle, une femme qu'on dit carrée a quand-même des rondeurs.

 

- Plainte contre Y X en a marre qu'on dépose plainte contre lui, sans aucune preuve. Il va porter plainte à son tour contre Y.

 

- Dénouement Le bonheur nous ment, car le dénouement est toujours le même, c'est le dénuement, dénuement devant le départ de l'autre, bon gré mal gré, malgré toutes nos simagrées.

 

- Quand ils ne sont pas trop moches, les garçons qui font la nique aux filles s'en tirent assez bien. Et quand je dis « s'en tirent », je ne voudrais pas être vulgaire.

 

- Nos grands-mères, quand elles faisaient un pot-au-feu, faisaient un pot-au-feu-de-bois.

 

- La taupe, malgré sa vue basse, est une sportive qui court les galeries., mais pas les « La Fayette ». De là à la qualifier de « taupe-chrono », il n'y a qu'un pas. De taupe.. !

 

- Un industriel vous dira que plus un article est fabriqué en quantité, plus ça diminue son prix de revient. Et c'est ce qui fait que le client revient.

 

- A Marseille, patacaisse est une caisse de commerçant qui rend la monnaie en fonction de la ville d'origine du client . Et vous aurez compris dans quel sens..

 

- Charrue avant les bœufs Je vous accorde qu'il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs, mais c'est dans le cas bien précis où l'on désire faire avancer le tout, et en particulier la charrue. Mais accordez-moi que si les chats ruent après les bœufs, on sera pas plus avancé..!

 

- Décharge Quand les éboueurs se mettent en grève, il faut dire, à leur décharge, que leurs conditions de travail sont d'autant plus dures qu'elle est souvent située loin.

 

- Hélas Avec le temps, quand l'homme est là, sa femme est lasse ; mais quand c'est l'homme qui est las, sa femme est encore plus lasse, hélas.

 

- Sur le champ Quand les vaches ont les mamelles pleines de lait, il faudrait les traire sur le champ, autant dire sur le champ.

 

- Hasard-mania Certains pensent que le hasard manie tout. D'autres, que même le Grand Manitou n'y peut rien, n'y peut rien du tout. Personnellement, je pense qu'il mani-pule, comme il manie Paul, Pierre, et les autres..

 

- Effet de manche Celui qui fait la manche sait qu'il peut davantage compter les gens qui passent que compter sur les gens qui passent.

 

- Banyuls En bagnole, évitez le Banyuls, et la gnôle en général.

 

- Il faudrait y mettre un therme Dans certaines stations thermales, il se passe parfois des choses sulfureuses.

 

- A ses souhaits C'est l'histoire d'un funambule qui s'est mis à éternuer..

 

- Varius et son violon Depuis qu'il a été extradé, Varius, il ne veut plus jouer du violon.

 

- Problème de musiciens Vaut mieux se faire battre par un batteur que violer par un violoniste.

 

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- M’as-tu-vu Un « m'as-tu-vu » est généralement aussi un « m'as-tu-entendu », ou alors c'est un mal-entendu.

 

- Marin du dimanche Pour un marin du dimanche, il est plus facile de remonter le pantalon que de redescendre la Manche.

 

- Pain Pinpon : pain préféré des Pompiers, généralement bien cuit.

 

- Public ou privé Je me demande ce qui est le plus pathétique : un spectacle public privé de son, ou un spectacle privé de son public ?

 

- Licorne : lit propice aux infidélités.

 

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- Hygiène Elle était sale et le portait sur elle. Même dessous, d'ailleurs.

 

- L’addition Au resto, Bénédicte n'était pas une addicte de l'addition. Pourtant elle était expert comptable. Ou peut-être parce que.

 

- Un artisan n'a pas besoin d'être couvreur pour essuyer une ardoise.

 

- Lever le pied Quand on vous coupe l'herbe sous les pieds, pensez à lever le pied, ne serait-ce que pour prendre le temps de réfléchir à votre manque d'anticipation. Et aussi pour reprendre la main.

 

- Le pissenlit est aussi un diurétique. Mais on s'en serait douté.

 

- Au printemps, il n'y a pas que les boutons d'or qui repoussent. Parlez-en aux adolescents..

 

- Grammaire Si j'aurais su, j'aurais forcé sur la grammaire.

 

- Eclectique : tique qui pique sans discernement, c'est-à-dire aussi bien quelqu'un de bien qu'un garnement.

 

- Une ecclésiastique est une tique touchée par la grâce, ou par la foi, ou par les deux à la fois.

 

- Alors qu'un Crétois vit sur les crêtes, un valétudinaire vit dans les vallées., où l'air est moins pur.

 

- L’heure des paons A tous ceux qui m'ont dit qu'ils ont appris « à l'heure des paons », je n'ai jamais osé demander quelle était cette drôle d'heure. Ce que je sais c'est qu'il n'y a pas d'heure pour apprendre, même à ses dépends. .

 

- A la sécu et ses slogans je répondrais que les tomates n'ont plus, c'est pas au-tomat-ique, surtout au prix où elles sont.. !

 

- Anti-sceptiques : personnes qui sont contre les gens qui doutent. Autant dire qu'ils ne doutent de rien.. !

 

- Ses yeux pour pleurer « Il ne lui restait que ses yeux pour pleurer. » pléonasme, et idiotie. On ne voit pas quoi d'autre pourrait le faire pleurer.

 

- Bourde : maladresse parfois lourde de conséquences. Gourde : maladroite souvent lourde de nature.

 

- Si en temps normal vous aimez traiter quelqu'un d'aimé de « mon chou », ne l'appelez pas « mon chou-fleur » au printemps. Ce n'est pas la même plante. Ou alors vous ne l'aimez plus du tout..

 

- Myope Ne pas reconnaître quelqu'un de loin, ce n'est pas grave. Il n'est pas à ça près.

 

- Quand je serai grand, je vous aurai menti.

 

- Lorsqu'un expert se trompe, il commet un inpert.

 

- Cow-boy Genoux ça prend un X, sauf pour les jambes de cow-boys. (où ça prend plutôt une parenthèse.).

 

- Film X Film au pluriel prend un S, et non un X comme certains films pourraient lefaire croire, films d'un genre très singulier d'ailleurs contre lesquels on pouvait, à une époque, porter plainte. D'où l'expression « porter plainte contre X », et ce pour atteinte à la pudeur, aux bonnes mœurs, et aux bonnes sœurs.

 

- J'aime les cerises, même sur un gâteau. Sauf si c'est un gâteau aux cerises.

 

- Il y a des femmes qui sont tellement naturelles qu'on les verrait bien dans leur plus simple appareil.

 

- Dire d'une femme nue qu'elle n'a rien dessus est une insulte à la nature.

 

- Freux Un corbeau n'est pas plus affreux qu'un freux n'est beau.

 

- Bourgeois Est-ce-qu'il y a plus de bourgeois à Bourges que de nantis à Nantes ? Je parie que moins que chez les Luxembourgeois, vu la suspicion de paradis fiscal.

 

- Petite amie Beaucoup de grands homme ont une petite amie. Mais ça n'empêche pas les petits d'avoir une grande amie. Vous me direz, oui, mais il y a amie et amie. Merci, je m’en étais aperçu..

 

- Vocation Ce grand cardiologue avait une passion pour son métier, depuis tout-petit. Il avait ça dans le sang. Vous me direz que les dermatos, ils l'ont parfois dans la peau..

 

- Faisan Chemin faisant, le chasseur en avait trouvé trois. (d'ailleurs ils ne s'écartent même pas pour vous laisser passer, soit dit en passant..).

 

- Il s'en est fallu d'un poil qu'il n'arrive pas à l'allumer !!

 

- Quelles que soient ses tribulations, on est toujours tributaire de quelqu'un , ne serait-ce que de sa tribu.

 

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- Je ne suis pas certain que la pingouine soit la femelle du pingouin. Vous me direz qu'on trouve aussi de drôles de pingouin. C'est aussi ce qui fait le charme de la nature. Les pingouins qui sont pas drôles, c'est pas drôle..

 

- Pourquoi faut-il enterrer un défunt ? Parce que c'est pulture.

 

- Il n'y a pas que les anglais qui gagnent leurs pennies péniblement. Chez nous aussi, on ne gagne nos sous que sous conditions, et quelque soit la monnaie dont on veut mériter les centimes, cela ne se fait jamais centimentalement..

 

- J'ai appris que le pénil est le terme anatomique du Mont de Vénus. c'est là aussi qu'on voit que Mars et Vénus sont complémentaires, à la lettre.

 

- Non pas que j'épluche le Larousse à mes moments perdus, mais j'ai appris que « se pelauder » signifiait, en vieux français, se battre à coups de poing. Comme quoi qui aime bien châtie bien..

 

- En français, on ne meurt pas vraiment, on "est" mort, après « être mort ». Autrement dit, on attend que vous ayez fini d'être en train de mourir pour dire que vous venez « d'être mort », que vous êtes bien devenu mort ; ce qui qui est quand-même rassurant pour tout le monde. En Espagne, on ne meurt pas non plus mais on « a mouru », ou on a « défuncté », comme d'autres ont disjoncté, et lorsqu'on vous demande des nouvelles du défunt – non pas de son état de santé..mais parce que le questionneur ignore son décès – plutôt que de vous répondre qu'il est toujours mort, comme chez nous, on vous répondra qu'il « a mouru » une nouvelle fois, comme si c'était sa deuxième tentative et réussite. Comme quoi c'est compliqué la mort. On ne sait jamais dans quel état on est, je veux dire, dans quel état est le défunt, même si on s'en doute un peu.

 

- Quand je serai grand, j'aurai les yeux bleus, si la météo ne s'en mêle pas trop.

 

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- Drôle de zèbre - Selon que le zèbre est blanc rayé de noir ou qu'il est noir rayé de blanc, son avenir ne sera pas le même..

 

 

 

 

 

- A priori Quand vous partez sur un a priori, vous risquez de revenir sur un a posteriori, dès que vous aurez laissé la priorité à la post-.

 

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- Gyrique : poisson qu'on trouve généralement pané dans le commerce, mais dont le terme, justement lorsqu'il est pané, est un peu excessif

 

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- vaut mieux une paix chaude qu'une guerre froide.

 

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- Arriviste Il arrive qu'un arriviste n'y arrive pas. et ce n'est pas moi qui vais le plaindre.

 

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- Maléfice : bénéfice qui a mal tourné. Se dit aussi d'un bien mal acquis.

 

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- si vous ne tenez pas à dévoiler votre homosexualité, ne dites pas à une personne de l'autre sexe qui vous drague : "vous n'êtes pas mon genre".

 

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- Dénouement On n'aura jamais le temps. c'est lui qui nous aura.

 

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- L'amour aussi, c'est ceux qui en parlent le plus qui en font le moins.

 

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- Noyer Peut-on dire que le noyer est mort faute d'eau ?

 

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- Les arbres ont l'habitude de se faire souffler dans les branches.

 

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- Quand la muse fait mu-muse, le poète fait pouet-pouet.

 

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- Vieux On voudrait vivre vieux sans en être.

 

- Le chat et la souris Quand le chat chasse, la souris ne sourit pas. Mais quand la souris chasse, le chat sourit.

 

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– Prévenu Si un homme prévenu en vaut deux, un homme prévenant en vaut trois. Mais que vaut alors un homme prévenu prévenant ? Je dirai que, en tant que prévenu, il vaudrait mieux qu'il prenne un bon avocat.

 

- Les mauvais conducteurs devraient faire leur autocritique.

 

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- Tout est relatif. Même un échec patent ne l'est pas tant que ça.

 

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- Quand elle doit appréhender un suspect, la police devrait s'y prendre plus tôt, car apprè c'est trop tard.

 

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- Recettes de grammaire : A quoi sert la virgule ? La virgule sert à virguler, autrement dit la virgule régule le sens d'une phrase, dans le bon sens. Et ceux qui vous disent, ''Virgulez y-a rien à voir..!!'' n'ont aucun sens du sens de la circulation. Exemple terre-à-terre, ou plus exactement asphalte-à-asphalte : "La ruelle est plus petite que la rue. Ce qui fait que la rue elle est plus grande.''. Si vous omettez la virgule, ou si vous mettez la virgule en lieu et place du point - expression par ailleurs qui équivaut à un pléonasme - vous allez me prendre pour un facétieux, ce que je suis d'ailleurs, faute d'avoir réussi à être un pilétieux..

 

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- En chair Ne faites jamais les enchères avec votre chérie, car si quelqu'un surenchérit vous allez avoir du mal à la récupérer, en tous cas pour ce qu'elle vaut vraiment.

 

- La mort est tellement surprenante qu’on n’en revient pas

 

 

 

- Il n'y a pas plus lieu de se 'venter' d'annoncer le Mistral, que de 's'épouvanter' d'annoncer la Tramontane.

 

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- Plat de côtes : partie du bœuf situé entre le plat, la partie plate de celui-ci, et la montée située après le plat. Ce qu'on appelle le plat de descentes se situe du côté opposé.

 

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- Paradigme

 

- Vous serez considéré comme une personne cultivée quand vous saurez ce qu'est un paradigme, dont je rappelle la définition : ensemble des formes fléchies d'un mot pris comme modèle. On vous pardonnera néanmoins si vous dites que c'est l'ensemble des unités qui appartiennent à la même classe grammaticale, lexicale ou sémantique, et qui peuvent être substituées les unes aux autres dans un contexte donné.

 

- Pourquoi faut-il que le PQ soit rose ? Comme s'il avait quelque chose de féminin ?! Pourquoi ne le font-ils pas vert, au lieu de ce rose pervers ? Vert prairie, pour qu'il se fonde mieux dans la nature, et que la nature en rit ?

 

- Si tout est relatif, rien ne l'est pas.

 

- Play-Bach Il n'y a pas si longtemps, vous demandiez à un musicien classique s'il lui arrivait de jouer en play-back, il vous aurait répondu qu'il en jouait forcément de temps à autre. C'est vrai que Jean-Sébastien Bach est toujours présent, malgré ses fugues innombrables.

 

- Idylle Elle avait eu une idylle avec lui, mais lui ne pouvait pas dire qu'il avait eu une idelle avec elle, même s'il avait plus qu'une idée d'elle.

 

- Certains parents sont des parangons des parents.., comment dirais-je, les parangons des parents peu intéressants..

 

- Même l'homme le moins susceptible a, comme les objets creux, mais caché par leur partie concave, un côté qu'on vexe.

 

- A chacun sa tâche. Et à chacun sa tache..

 

- Il est plus facile aux violonistes d'accorder leurs violons qu'aux pianistes, surtout si on leur tire dessus, comme aux ambulanciers.

 

- Quand l'Etat devient ingouvernable on dit que le Gouvernement est dans tous ses états.

 

- A l'impossible nul n'est tenu, ni au possible non plus d'ailleurs, puisque c'est aussi une définition de la liberté.

 

- Pour certains, la vieillesse peut sembler une déchéance, mais ce n'est qu'une échéance de l'une des facettes de notre vie, à savoir que nous sommes aussi légume, avec tout le génie de sa physiologie et de sa biologie.

 

- Nul ne préférera partir à la force de l'âge plutôt qu'à sa faiblesse, même si on laisse une meilleure image.

 

- Balle au camp : Quand on vous dit : « Réfléchis un peu dans ta tête.. !! », répondez que ça s'appelle un pléonasme. La balle est alors dans l'autre camp. Cela vous laisse le temps de foutre le camp.

 

- Drôle de personnalité que celle de cuisinier, qui fait constamment revenir l'oignon alors que c'est le seul légume à le faire pleurer.

 

- Quand le temps n'est pas au beau, le météorologue ne s'en vente pas.

 

- C'est pas parce qu'un facétieux vous dit que c'est un beau restaurant que c'est un 'bo-bard'.

 

- Déprime Quelqu’un qui veut partir d'ici, où qu'il soit, est quelqu'un qui est las d'être ici. Et pas la peine de lui dire qu'ici ou là, c'est pareil. C'est ainsi ! Voilà.

 

- Un string, pour une petite différence té-nue.

 

- Point d'interrogation

 

- Il n'est point d'interrogation plus mystérieuse qu'un point d'interrogation seul.

 

- Bonne figure Quand vous vous faites casser la figure dans la rue, deux cas de figure peuvent se présenter. Soit c'est peu banal vu le contexte, et il se peut que ça figure le lendemain sur les journaux du coin, soit c'est banal et vous faites figure d'innocent malchanceux, innocent étant pris au sens propre et non au sens ''figuré'' évidemment.

 

- Pas besoin d'être sexologue pour comprendre que quand ça ramollit, ça rame au lit..

 

- A voir certains couples, c'est vrai que l'amour est aveugle. On se demande même s'il n'est pas sourd et muet, parfois. Finalement, c'est un handicapé assez lourd.

 

- La nuit détend Depuis la nuit des temps, on apprécie davantage le jour. Pourtant, la nuit détend.

 

- Pardon de ne pas vous pardonner, mais je suis rancunier. Quoique.. !?

 

- Décadance ? Je coince toujours avec les danses, et ce n'est pas une coincidence. Par exemple, la valse, ça centrifuge trop pour moi ; le tango, vous l'avez deviné, ça tangue pas mal ; le cha-cha, c'est parce que j'aime pas les chats, surtout les siamois ; le rock, c'est trop dur, c'est pas un roc pour rien ; le slow, autant resté couché ; quant aux danses modernes, comme on dit, on dirait que tout le monde est en quarantaine, qu'on est tous contagieux tellement il ne faut pas se toucher. J'aimerais bien les danses folkloriques, mais vous sentez dans le regard des autres que vous êtes ringard, que vous avez une bobine de has been.. Quelle décadence.. !

 

- Ce n'est pas parce que ''voyager forme la jeunesse'', qu'on acquiert des connaissances encyclopédiques en cyclo ou à pied.

 

- Où qu'on soit et quoi qu'on fasse, quand ça rame, c'est pas gai.

 

- Quelqu'un de rabat-joie c'est quelqu'un qui tient mordicus à être mortifère.

 

- Afrodisiaque : africain chaud.

 

- Si la cuisinière fait cuire longtemps les fruits au sucre, c'est pour que la confidure.

 

- Un gendarme couché préférerait que ce soit les conductrices des voitures qui lui passent dessus.

 

- Coquin J'ai l'esprit coquin, mais que l'esprit. Tout le reste est sein, pardon, saint. ..Je veux dire, sain.

 

- A y réfléchir, la date la plus nulle pour une bataille, surtout une victoire comme Marignan, c'est 1515. (j'ai bien dit : « A y réfléchir.. ».) (à ne pas confondre avec Marignane qui elle, n'a pas de date. Non, je vous le dis parce que ces Marseillais Marignanais , ils sont capables de vous faire croire que la bataille a eu lieu chez eux..!).

 

- Avec leur goût pour les superlatifs, super, extra, génial et compagnie créole, les collégiens avaient demandé à leur prof de math s'il pouvait remplacer ''hypoténuse'' par ''hyperténuse''., pour rendre le cours plus fun.. C'est à l'étude. Quant à l'hippocampe, c'est plutôt du ressort de l'Académie Française.

 

- Il n'y a pas de point commun, m'a-t-on dit, entre la pâte de coin et la patte du canard, même si le canard fait coin-coin.

 

- A quoi rêve un poète ? A quoi rêve un poète ? A quarelle ? Non, à des vers à l'envers, à des vers en verlan, où le rêve se lit vêre, et se libère, et où ver se dit rêv, ce doux rêve, où l'on ne voit pas la vie pas en ver, en vert formida, ni en rose, mais bien en bleu, en bleu formida. ..

 

- Conseil aux pessimistes : Il ne faut jamais dire jamais. Conseil aux optimistes : Il ne faut jamais dire toujours. Par contre on peut toujours dire ''Si jamais. .''.

 

- Postillon : ancien synonyme de postier distributeur de courrier, retiré de l'usage suite à une revendication syndicale des représentants de La Poste.

 

- Qui persiste bêtement perd-syst-ématiquement.

 

- Ciné Quanone, le cinéma incontournable..

 

- Urbain Urbain au milieu de sept tadins sont sur le toit d' un grand immeuble à attendre qu'on veuille bien parler d'eux. J' arrive. Mais Urbain et l'un des sept mercenaires en tombent, de haut comme on dit.. Qui reste-t-il ? Six tadins.. Suite : Qu'en reste-t-il ? Vous avez le choix entre ces 4 réponses : 1/ rien ; 2/ des os broyés ; 3/ des os pilants ; 4/ un souvenir. La bonne réponse est : Un regret. Regret d'avoir à vous farcir ces inepties.

 

 

 

- Persévérance Il persévère à prendre son vermifuge.

 

- Toutes les postures sont des impostures ; mais toutes les confitures ne sont pas des déconfitures, comme toutes les cures ne sont pas des sinécures.

 

- Il avait eu un prémunition, et savait qu'il n'allait pas s'en ''tirer'' comme ça.

 

- Avec le jar et l'oie, peut-on avoir l'art et la joie ?

 

- Au changement d'heure bi-annuel on ne change pas de jour. Je le dis pour les distraits.

 

- Un seul coup de fusil suffit pour abattre un paon ! Paradoxalement, il en faut deux pour un coucou.

 

- Pour certains animaux, on ne parle que des femelles, alors que les hirondils annoncent aussi le printemps, que les gazils sont rapides et gracieux. Inversement vous n'entendrez jamais dire que les goupelles sont rusées !

 

- Dans certaines boulangeries, si le blé sert à faire du pain, on voit que le pain sert à faire du blé. Juste retour des choses.

 

- Test-amant Êtes-vous un bon amant ? Sans faire de concurrence aux notaires, les sexologues ont mis au point un nouvel outil, le test-amant. Un appel à candidatures a été ouvert pour former des collaboratrices.

 

- Coquille et lapsus.. Ne pas confondre ''coquille'', erreur typographique qui consiste à remplacer dans un mot une lettre par une autre involontairement, et ''lapsus'', qui consiste à substituer un mot par un autre, ce qui est parfois révélateur psychanalytiquement. Par contre, si vous oublier une lettre, ce n'est pas une coquille mais ça peut être une maladresse, comme si vous sautez le '' q '' dans '' coquille ''. D'autant plus gênante oralement. Avec ''lapsus'' c'est encore plus gênant avec le '' p ''.

 

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- Corsaires, vous qui inspiratent tant d'écrivains, de romanciers, poètes, chanteurs et troubadours, soyez-en remerciés, d'avoir fait rêver tous les enfants du monde, Nouveau comme Ancien.

 

- Les souvenirs, nul ne peut vous les ravir. Ce sont eux qui vont vous ravir avec le temps.

 

- Un fumeur de cigares troquerait bien sa caravane contre un car à Havanes.

 

- Professionnel : personne qui a suivi une formation de même nom, de même adjectif si vous préférez, et qui risque de subir une déformation du même nom, ou de même adjectif si vous préférez toujours, mais vous n'êtes pas obligés.

 

- J'ignore si un gros billet se dissout, même si beaucoup l'affirment au vu de la rapidité avec laquelle il disparaît. En tous cas je suis certain qu'une pièce de monnaie se dit sou.

 

- Continuité Pour un jeune père, avoir la même maîtresse que son enfant trahit une curiosité intellectuelle et une soif d'apprendre toujours intactes.

 

- Aussi extraordinaire que ''ça paraisse'', il n'était pas vaillant, ni au travail ni ailleurs.

 

- Quand vous dites que les lézards pénètrent dans les lézardes des murs, vous trouverez toujours quelqu'un de tordu, ou de pas assez mûr pour aller l'interpréter à sa manière.

 

- Par une journée morose on voit la vie en gris, alors qu'on la voit en rose lorsque le ciel est bleu.

 

- Les meilleures choses sont les choses adéquates comme dirait La Palisse, sans malice. Mais même la meilleure chose adéquate a des couacs, parfois.

 

- La mort n'est pas contagieuse, même si certains prétendent que c'est l'incubation qui est très variable selon les individus.

 

- Homme à femmes J’aurais bien été un homme à femmes mais je n'ai pas le profil, ni la face. Je n'ai que le dos, le bon dos. En plus je suis très maladroit. Je n'ai jamais su dégrafer un soutien-gorge. Et comme je suis plus Rome-antique que New-Orléans, ça tombe à l'eau. Mais pas comme à Venise. Plutôt comme à St-Malo, ou Waterloo..

 

- Est-ce poire ? Il caressait '' l'espoir '' de croquer la pomme avec elle. La pêche par contre, c'était pas un problème..

 

- La recette des pains sans rire est une variété de pain d'épices mais sans épices, c'est-à-dire non épicé de rire.

 

- Les Geneviève commencent leur vie avec leurs deux premières syllabes et la terminent comme elles peuvent avec leurs deux dernières.

 

- Si vous n'osez pas leur avouer qu'ils semblent formatés pour mater, envoyez leur un texto pour leur dire qu'ils testent leur taux de testo..

 

- Que ce soit au niveau des fesses ou de la face, ce qui se gagne en graisse se perd en grâce.

 

- Pudibond A tous les croyants pudibonds je dis, bon : '' Si on a le bras assez long pour arriver à l'entrejambe, il doit y avoir une raison.. Sinon Il nous aurait fait les bras plus courts ''.

 

- Pourquoi faut-il que dans toutes les langues les injures et gros-mots soient liés au cul, sexistes ou scatologiques ? Peut-on parler « d'oecuménisme » ?.

 

- Au lieu de traiter certains de vos interlocuteurs ou personnes croisées incidemment de cons, il serait plus judicieux, pertinent au sens d'utile, profitable, de leur trouver le qualificatif adéquat. Vous serez moins vulgaire, approximatif, condescendant, et votre vis-à-vis sera plus ''touché'' puisque mieux cerné, pour ne pas dire concerné. En effet parmi les cons, il est instructif de distinguer déjà les cons occasionnels et les cons constants.

 

- ''Eliminons'' d'emblée les premiers, ou cons d'occasion, à savoir les Inconscients Irresponsables qui vont prendre des risques en en faisant prendre aux autres, et les Injurieux vulgaires qui après une contrariété n'appliquent que le peu de vocabulaire qu'ils ont, et sont donc les analphabètes du langage pour ne pas dire de l'esprit (et ne faisons donc pas comme eux..!). Laissons une place aux Lunatiques incohérents qui ne répondent à votre salut que lorsque leur météo interne est favorable.

 

- Parmi les cons longue durée ou rechargeables, les cons à vie, en tous cas parmi ceux qu'on rencontre dans nos relations sociales, quelques grandes catégories : les Bornés, qui le sont depuis toujours, qui ne voient pas plus loin que leur nez, même s'ils l'ont long, et sont donc myopes de l'esprit ; les GMF, gens de mauvaise foi, malhonnêtes intellectuellement, qui n'acceptent la discussion que pour mieux refuser le raisonnement ; les Abuseurs de pouvoir de tout genre, de quelque autorité que ce soit, enseignant, policier et autres fonctionnaires ; les Méprisants, qui le sont devenus en croyant avoir réussi, qui n'ont que leur orgueil à proposer aux autres et sont handicapés du coeur ; enfin les Nuisibles, à l'esprit retord, qui ont l'impression de ne pas avoir réussi et qui, frustrés du bonheur, mettent un point d'honneur à vous gâcher le vôtre. Quant aux Exploiteurs, dernière catégorie de cons à vie, c'est surtout gênant pour ceux qui travaillent pour eux.. J'espère n'avoir oublié personne, par respect pour la pluralité; mais toute réclamation sera prise en considération. Dans tous les cas, comme en politique, le cumul est possible.

 

- Distinguer l'adjectif du nom commun.

 

- On peut prédire, avec peu de chances de se tromper malheureusement, que pour un conducteur qui perd le contrôle de son véhicule ça va mal tourner.

 

- Pour reconnaître ses limites il faut déjà être intelligent Ce qui est un début de consolation..

 

- Si Chaban-Delmas s'était appelé Didier plutôt que Jacques, les journalistes n'auraient pas osé utiliser ses initiales comme pour JFK aux Etats-Unis ou DSK en France..

 

- Comment s'appellent ceux qui ne se revendiquent pas descendants d'Adam et Eve ? Des orphelins.

 

- Alors qu'on leur demande rien, et au lieu de remonter les cours d'eau qui n'en ont pas besoin, les saumons feraient mieux de remonter la mer quand elle est démontée.

 

- Demandez à Térapie. Tous les chemins mènent à Roma.

 

- Quand le ''chô-meur'' l'intermittent du spectacle n'a plus qu'à survivre en attendant le suivant.

 

- Avec deux tiers consentants on peut parfois constituer un couple, sans garantie de survie du couple évidemment. Mais avec trois tiers, si on peut reconstituer un individu, on est encore moins sûr qu'il survivra.

 

- Est-ce qu'on est ce qu'on devient, ou est-ce qu'on devient ce qu'on est ? Quoiqu'il en soit, je pense qu'il est déjà pas mal de devenir, quoiqu'on ait été..

 

- Si quelqu'un vous dit que Warrior était le prénom de Rimbaud, dites -vous bien qu'il vous mène en bateau..

 

- De même qu'on devrait essayer le principe des primes contre la déprime, il se peut que l'abattement fiscal soit un moyen de sortir de l'abattement moral.

 

- Ne pas confondre le Parti Québecois (ou PQ) et le Parti des travailleurs du Kurdistan ou PKK

 

- Quand une personne stressée va prendre l'air, elle n'a pas vraiment l'air de le prendre. Est-ce parce que dans son ''stress'' elle l'a déjà, ''l'air'' ?.

 

- A l'a-Préfecture, il vaut mieux y aller avant. Mais c'est juste un Conseil Général que je vous donne.

 

- Comme dirait le distrait en parlant de son pucelage : « Et si ça se trouve, je l'ai perdu !! ».

 

- Le litchi con carne est un plat où l'on remplace les épices, dont le piment, par le fruit qui donne son nom au plat.

 

- A propos des Pie, je ne parle pas des pies sauvages mais des Pie papes, ou papes Pie, on aura eu les numéros 9, le 10, le 11 et le 12. Quant aux numéros précédents, nuls ne sait où ils sont passés. Quand on sait que d'une part sur le dernier, le n° 12, contemporain d'Hitler, un certain malaise plane, et que d'autre part, sur le n° 13 c'est la superstition qui plane, on ne risque pas de connaître le Pape Pie XIV, ou Pie 14, qu'il ne faudra pas confondre en outre avec ''Pi 3,14''.. (comme quoi les papes Pie vont de mal en pis !).

 

- On aurait du mal à confondre la croix tout court ou croix chrétienne et la croix gammée, qui est une croix où les bouts ont été cassés et tordus perpendiculairement, sur la moitié, ce qui lui donne l'impression de tourner comme une hélice. Si on peut dire, c'est une croix qui a mal tourné. Donc, ne pas amalgamer la bonne croix avec celle qui tourne mal, la ''mal gammée'', même si on ne croit à aucune des deux.

 

- Il est plus facile d'aimer son lointain que son prochain.

 

- Poésie :

 

Croyant à une allergie à son ex,

 

Ils s'étaient séparés.

 

Mais c'était une allergie au latex.

 

La chose est réparée.

 

Que Dieu vous en préserve..

 

- Chassez le gaz naturel, est-ce qu'il revient au galop, au même prix ?

 

- Ce n'est pas parce que votre oncle est rempli de boutons que vous pouvez l'affubler d'un '' mon cher furoncle '' ..

 

- On n'est jamais totalement désintéressés, de même que nous ne sommes pas vraiment des intéressés.

 

- Quand vous vous faites insulter par un plus gaillard que vous, vous pouvez toujours lui répondre cette phrase triviale mais efficace ici : « Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd.. ! ». Une variante : « Il vaut mieux dire ça qu'être muet de naissance. ». Reste à espérer qu'il n'est pas susceptible.

 

- Ce qui prête à interprétation justifie que cette même interprétation se prête à son tour à la même démarche. Ce qui entraîne que l'interprète n'est pas plus crédible que l'auteur du propos s'il a tenté de se justifier et a regretté le malentendu provoqué, sauf si le premier est plus influent, auquel cas l'abus de cette influence le décrédibilise totalement et définitivement.

 

- Les p'tites pépées ne risquent pas de ''m'aimer'', se disait le pépé pensif, pour ne pas dire poussif..

 

- J'ai autant de chances de gagner au loto que de me faire pulvériser par une météorite. Ce qui fait que je ne veux pas jouer au Loto, car si je gagne je risque encore plus de me faire écrabouiller par elle.

 

- La bassesse d'un homme n'a d'égal que sa grandeur. Mais combien faut-il d'hommes nobles pour compenser les scélérats ? Combien d'action d'un même homme digne pour payer les vilenies ou les horreurs d'un monstre ? Qui accordera à ces derniers des circonstances atténuantes de jeunesse, d'éducation, de traumatismes divers ? Et pourtant, pour mériter cette dignité, cette grandeur, pour ce démarquer vraiment de ceux qu'on aimerait bien présenter devant les tribunaux il faut en tenir compte néanmoins. Mais Dieu que ce doit être dur !! Plaît au ciel que je n'aie jamais à participer au jugement des coupables !

 

- Lorsqu'un voyant vous contacte pour vous proposer ses services, si vous n'avez pas à lui dire d'aller se faire voir, puisque c'est lui qui est sensé voir, vous pouvez quand-même lui proposer d'aller voir ailleurs, surtout si c'est en plus un voyeur. Mais dans ce cas, c'est un dévoiement.

 

- Par pudeur, quand elle devait mentionner sa culotte de cheval elle parlait de son ''string de cheval''.

 

- Elle a perdu sa culotte de cheval mais elle ne sait pas où. Il lui reste quand-même la queue, la queue de cheval.

 

- Une hirondelle ne fait pas le printemps, est un un proverbe d'Aristote. Comme quoi il y avait déjà des hirondelles. D'aucuns diraient qu'au temps des hirondelles il y avait au moins un philosophe, même s'il ne faisait pas le printemps non plus.

 

- Dans un camp militaire, les premiers à se faire ''descendre'' sont ceux qui étaient les derniers à ''monter'' la garde.

 

- Nombreux sont ceux pour lesquels il faut attendre qu'une messe d'enterrement leur soit consacrée pour en entendre dire du bien. Mais comme on dit chez moi, il vaut mieux entendre ça que d'être sourd.

 

- Il était hypertendu, et hypocrite. Mais ça ne se compensait pas.

 

- La politique c'est parfois aussi subtile que la météo. On peut être contre les cyclones et pour les anti-cyclones.

 

- Est-il vraiment simpliste d'attendre, d'espérer que les parrains de la drogue s'autodétruisent mutuellement par le principe de la concurrence sauvage, que la crème du crime se crame d'elle-même, en quelque sorte ? Est-ce qu'elle ne renaît pas toujours de ces cendres, comme le Phénix ?

 

- J'accorde généralement très peu de crédit à mon banquier. Mais lui m'en accorde très peu aussi, surtout parce que son taux ne me convient pas. On est quitte. On ne se doit rien. Si, moi parfois, des frais de gestion.

 

- Félix Monsieur Deuscécendre, de prénom Félix, se faisait appeler René, par souci culturel, n’osant pas pousser jusqu’à Phénix. Mais peu de gens en saisissaient la subtilité grecque.. Mais avec celui de René, il s’était fait néanmoins une petite réputation, même si pas suffisante pour entrer à l’Académie Française..

 

- En politique, quelqu'un d'indépendant se fait souvent qualifier d'électron libre. Il serait plus adéquat de le traiter de neutron, qu'on ait des atomes crochus avec lui ou pas.

 

- Dans la mythologie grecque, au cours de la période de Mycènes et de la guerre de Troie, le roi Atrée eut deux fils, Ménélas, qui fut roi de Sparte, et Agamemnon, roi de Mycènes et qui, malgré son nom, n'avait pas le même nom, comme son nom l'indique, ou plutôt, comme il ne l'indique pas, puisqu'il indique l'inverse.

 

- Il faisait un court métrage, mais on ne pouvait pas dire pour autant qu'il était petit.

 

- Il est plus facile de se retrouver déçus avec les politiques que de se retrouver des sous avec les banquiers.

 

- Quand on utilise un escalier, il y a deux marches qu'il faut éviter de rater, c'est la dernière en montant, mais surtout la première en descendant. C'est comme dans la vie : les deux jours à ne pas rater, c'est le dernièr en partant, mais surtout le premier en arrivant.

 

- Les personnes les plus à plaindre sont celles à qui la seule chose que les autres leur donnent c'est leur âge.

 

- Comment convaincre les cons sans les froisser, les neutraliser sans les éliminer, avec quels arguments ou sur quels critères : voici, différemment de Brassens, une opinion qui n'engage que moi, sur une chanson que j'aurais bien aimé vous interpréter. C'est con !

 

 

 

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- Vous ai-je dit qu'un oxymore sonne comme un pléonasme. Certes, pour paraphraser je ne sais plus quel imbécile, certains racistes en profiteraient bien pour dire qu'un bon Maure est un occis Maure. C'est un fléau que ces racistes, je dirais presque un fléau nasme. D'autres leur répondraient qu'un bon raciste est un con vaincu.

 

- Une montre qui marche..peut donner des signes de faiblesse, mais vous ne risquez rien. Par contre une marche qui montre..des signes de faiblesse.. ! Attention.

 

- Une chute d'eau fait du bruit, surtout si elle tombe de haut. (C'est une blague sans chute, ou en tous cas, il ne faut pas la chercher là où on l'attend. Mais cherchez bien, elle y est. D'autre part, j'ajoute que c'est du 2ème degré, car au premier elle est pauvre. Pas nulle car ce serait du degré zéro, et qu'à cette température l'eau ne coule pas, et donc il ne peut pas y avoir de chute..).

 

- Si votre gamin de trois ans vous parle d'onomatopée en sortant de l'école, vérifier quand-même qu'il n'y a aucun gamin qui s'appelle Hono, auquel cas ça vaut le coup d'en parler à ses parents avant que ça ne se dégrade.

 

- L'infini c'est comme une grosse connerie, un peu plus un peu moins, ça ne change rien.

 

- Quoique l'hiver....... Puisse nous faire, …..... Les liserons...........Refleuriront.. (et on pourrait ajouter, à partir d'un certain âge, ''..Et si ce n'est pour nous-même, Ce sera pour pour ceux qu'on aime..'')

 

- Le pire côtoie toujours le meilleur, dans ce qu'on voit comme dans ce qu'on entend. Il y aura toujours Botticelli et Mochtécellelà, toujours Mozart et Mizert..

 

- Est-ce qu'il faut un ''s'' à plusieurs ? A y réfléchir, il n'en a pas vraiment besoin, puisqu'il le sous-entend.

 

- Le train ressemble plus à un tram que le drain a un drame. Et il vaut mieux.

 

- On finira bien par trouver un intégriste pour qualifier la recherche de l'âme sœur comme un inceste.

 

- Même quand je pars en avance je suis déjà en retard. Le temps m'a rattrapé, pour ne pas dire doublé.

 

- On ignore si le premier homme, l'Adam de la Bible, l'Adam de Dieu n'était pas noir. Ce dont on est sûr c'est que la dent de l'homme est blanche.

 

- Le meunier ne peut pas prétexter qu'il lui faut être au four et au moulin, puisqu'il est fourré au moulin.

 

- Pour que le fossoyeur soit vrai, il faut que le faux soit ailleurs.

 

- Dans un camp de nudistes, les hommes qui supportent le mieux d'être à poil, hormis les jeunes étalons, c'est encore ceux qui sont un peu ours. Quant aux femmes, je ne ferai pas de commentaires, pour ne pas être un peu vache.

 

- Si un jour j'achète un chiot, ne sachant pas trop comment se dit une femelle, je prendrai plutôt un mâle. On va pas s'emmerder !

 

- La cause de ta mort, accident, maladie, suicide, ne sera pas vraiment la cause mais le moyen, moyen ''qui était écrit sur le livre du Destin'', ou qui était voulu par Dieu si tu y crois. De même pour la manière, l'heure et le lieu.. Que personne, donc, ne s'en désole s'il croit y être pour quelque chose. Lui aussi fait partie du ''moyen''.

 

- Les chiens ne peuvent pas se cacher sous le voitures. Les chats, si.

 

- J'ai beau faire mes ablutions régulièrement, j'ai du mal à être en odeur de sainteté auprès de mes coreligionnaires. Mais oserai-je vous avouer que peu me chaut.. Surtout que j'ai l'odorat peu développé.

 

- La vraie noblesse n'a pas de titres ; l'autre, celle avec Majuscule n'a souvent qu'eux. Mais je n'ai jamais dit que titres rime avec pitres. Pourtant ça me démange. Mais c'est juste parce que je suis friand de poésie..

 

- Un petit fossé se franchit comme qui rigole.

 

- Même si elles ne sont pas très fraîches, les vieilles donnent plus de nouvelles que les nouvelles ne donnent de vieilles. (quand je dis ''pas très fraîches'', je parlais des nouvelles, vous aviez compris..).

 

- Pour un mordu de musique classique en tous genres, en attendant de savoir qui paiera l'eau, l'opéra.

 

- Comment écrit-on bonne santé ? Pareil, bonne, que vous en soyez ou pas. Par contre, le thé sans t, ça donne l'impression de ne boire que de l'eau chaude.

 

- Aux Etats-Unis, l'Oncle Sam me dit que Saturday n'est pas le jour où l'on sature, bien au contraire. Comme quoi, c'est comme chez nous. Par contre, lundi chez nous c'est pas Mon jour, alors que chez eux ça l'est, puisque c'est Mon day !

 

- La vie, ça dure quand-même toute la vie ! Les grincheux vous diront que ça ne dure que toute la vie ! Mais c'est déjà pas mal !

 

- C'est quand la dé prime que la bonnhu meurt.

 

- Quand la mauvaise herbe pousse dans de la bonne terre, elle donne de la bonne mauvaise herbe.

 

- C'est parce que l'air lui résiste que l'oiseau peut avancer, même si ça lui paraît plus facile quand il ne semble pas y en avoir.

 

- L'une des grandes différences entre un homme et une femme c'est que ces dernières ne regardent pas qu'à travers les carreaux. Il leur arrive de regarder les carreaux eux-même.

 

- Qui peut me dire pourquoi ''le foie'', masculin, prend un e, alors que ''la foi'', féminin, n'en prend pas !? J'aimerais bien qu'on me l'explique, pour une fois, fois qui prend un ''s'' alors que je le cite au singulier.. !!

 

- Péremption Elle était très attentive aux dates de péremption. L'une de ses rares tolérances, c'était le papier-toilette. Et encore, on sentait que ça la faisait, comment dire, que ça la contrariait beaucoup.

 

- Lors des traversées du désert par les caravanes, les chameaux faisaient des voyages hebdromadaires.

 

- Qui veut peu peut peu ? C'est peut-être l'inverse. C'est la conscience de son pouvoir qui incite à vouloir. Mais on va déplaire aux méritocrates..

 

- Pour franchir la montagne, ce n'est pas le cheval qu'on choisit, ni même l'étalon. C'est plus modestement l'âne, ou le mulet.

 

- Ce qui est agaçant avec les auto-écoles, c'est que non seulement elles se croient tout permis, mais qu'en plus elles vous le font payer.

 

- Pour bien montrer qu'il était pour la mixité, le masculin de lycée a accepté qu'on l'écrive avec un ''ée''. Attention à la dictée !

 

- Le coup du lapin concerne toujours le cou, mais pas forcément le lapin, sauf lorsqu'on prévoit un civet..

 

- Nul ne sait si Mirabeau, pour cueillir des mirabelles, montait ou pas sur un escabeau. En tous cas, pas sur une escabelle. Ni sur l'échafaud. A la rigueur un échafaudage..

 

- Pour la plupart des gens, il est plus difficile d'être honnête intellectuellement qu'honnête tout court. C'est peut-être pour ça qu'on a plus de facilités à analyser les problèmes d'autrui que les siens propres.

 

- Merci. Le deuxième mot le plus beau mot de la langue des humains, qu'on le prononce ou même juste qu'on le pense, après ''je t'aime''. Et encore ! Dans ''je t'aime,'' on risque d’en attendre quelque chose. Alors que dans ''merci'', on n'en attend rien. C'est comme une manière de dire ''au revoir'', sans nécessairement vouloir ''revoir'' le responsable. Merci à l'être humain, pour ce mot superbe.

 

- Lorsqu'il y a disproportion de moyens entre le chasseur et sa proie, le bon chasseur est celui qui ne tire que sa révérence.

 

- Selon le partenaire qu'on vous propose, il vaut parfois mieux être son double que sa moitié.

 

- C'est quand la religion se fane, quand elle devient presque profane qu'elle commence à m'intéresser ; quand elle a perdu ses dorures, sa parure, sa peinture, qu'elle retrouve sa pureté originelle. Avant que l'homme-artiste ne l'enjolive et ne s'en serve pour ses desseins et les confonde avec ses propres dessins.

 

- Le banal n'est que de l'extraordinaire auquel on s'est habitué. J'ai voulu réfléchir à la définition du verbe ''voir''. C'est finalement la capacité d'appréhender le monde extérieur à travers une surface de quelques millimètres carrés. Autrement dit, vous intégrer dans votre cerveau de quelques centimètres cubes l'immensité de l'univers, vous réunissez deux mondes différents, étrangers l'un à l'autre, dans un même ensemble. Et vous trouvez ça banal.. L'homme est un être peu banal !

 

- Le comble de la désinfection de votre plaie serait qu'elle vous laisse sceptique..

 

- Si l'heure est grave, changez-en.

 

- Des personnes de même valeur peuvent ne pas avoir les mêmes valeurs. Surtout quand elles sont différentes..

 

- L'art ridicule, s'il existe - mais vous trouverez toujours quelqu'un pour le défendre, sous prétexte que c'en est une expression – n'est donc jamais suicidaire. Si ça peut donc être un art ''à qui rit'', ce ne sera jamais un Hara-Kiri.

 

- Si un homme prévenu en vaut deux, un homme prévenant en vaut trois. Mais que vaut alors un homme prévenu prévenant ? Je dirai que, en tant que prévenu, qu'il prenne un bon avocat.

 

- Les mauvais conducteurs devraient faire leur autocritique.

 

- Echec patent : ne pas confondre avec ''échec patent que ça''.

 

- Quand elle doit appré-hender un suspect, la police devrait s'y prendre plus tôt, car ''apprè'' c'est trop tard.

 

- Pour se changer les idées de temps en temps, encore faut-il en avoir.

 

- Comme dit l'autre, il vaut mieux que ça vienne de soi.

 

- Vous vous voyez, vous, en train de vouvoyer vos parents ? Moi oui. Par contre avec les miens, non.

 

- Les gens simplistes n'ont qu'une simple liste des interprétations. C'est vrai que les inters prêtent à tion..

 

- Il y en a qui n'ont pas l'appré-hension de l'aven-ture. Peut-être aussi qu'ils savent s'organiser et anticiper. C'est l'avan-tage de la-pré - paration.

 

- Avec le temps, on fait de plus en plus fréquemment de l'hypoglycémie mentale. On aura beau prendre du sucre dans ces moments-là.. Mais on peut continuer à prendre du sucre tout en prenant de l'âge.

 

- On est toujours plus forts pour régler les problèmes des autres que les siens. On devrait se les échanger. Mais là on est moins forts.

 

- Au Moyen-Age, à court d'idées, le roi a inventé la chasse-à-cour. On peut dire aussi qu'il a inventé la chasse-à-court-d'idées.

 

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- Pourquoi le Gave de Pau s’appelle Gave ‘'de Pau’'' ? Le Gave de Pau s’appelle Gave ''de Pau’' parce qu’il passe par Pau, certes. Mais il ne passe pas que par Pau ! Il passe aussi par Monts et par Vaux ! C’est comme si on appelait la Garonne '‘la Garonne de Toulouse’' ! Pourquoi pas la Garonne de St-Gaudens !! ».

 

- Le jarre est à l'oie ce que l'art est à la joie '', sans contrepèterie. (en supposant que l'oie ne se soit pas gavée de féculents..).

 

- Peut-être que la joie est un art de vivre, un compagnon indispensable, un peu comme on dirait : Le jarre est à l'oie ce que l'art est à la joie ''.Ce serait peut-être dommage de l'analyser, de la décortiquer, comme avaient fait à notre époque vis-à-vis de la sexualité deux chercheurs américains, dans un ouvrage qui avait fait beaucoup de bruit. Leurs méthodes, forcément scientifiques et rigoureuses, avaient mis à nu, si j'ose dire, les mécanismes intimes qui déclenchent le désir et son assouvissement, avec la collaboration de 'cobayes', humains tant qu'à faire, et dont j'étais curieux de connaître les modalités de recrutement..

 

- Je suis de ceux qui pensent qu'il ne faut pas laisser la pensée aux seuls penseurs, ne pas abandonner les idées aux intellectuels, comme il ne faut pas abandonner les décisions aux politiques., les armes aux militaires, la santé aux médecins, l'enseignement aux professeurs.., même si l'amateur n'est pas un pro par définition. Mais le pro n'est pas infaillible, pas forcément compétent ou exhaustif, ni désintéressé.. Et il est plus souvent conseilleur que payeur..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sans rancune..

 

 

 

 

 

 

 

C’est bête, je suis sûr qu’il m’en reste encore à dire..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pétition

 

Quitte à faire mauvais genre, quel est son réel intérêt, au genre, sachant que la femme se distinguera toujours de l’homme, comme la poule l’est du coq..

 

Ces termes n’ont donc pas besoin qu’on leur accole un LE plutôt qu’ un LA, un UN plutôt qu’un UNE. Cela va de soi.

 

Et pour ce qui sort du cadre du vivant, c'est encore plus inutile puisqu' injustifié.

 

Dès lors, la différenciation par l’article ne sert à rien pour le monde animal, et à fortiori pour le monde végétal, la matière, les objets ou les mots abstraits. Autant n’en garder qu’un seul, article.

 

Et pourquoi alors, ne serait-ce que pour rattraper des siècles de domination masculine, ne pas garder le LA comme seul article, ainsi que le UNE.

 

On ne parlerait plus que d’UNE homme (on garderait L’homme, le L’ pour les mots commençant par un H ou voyelle), comme d' UNE monsieur, ou LA monsieur. Cela n’enlèverait rien à leur virilité..

 

Mais je vois déjà venir les machos de tous poils, puisqu’ils en ont, et pas que.., m’interroger sur l’intérêt d’un tel ‘’article’’ !!

 

Et que deviendrait le LE et le UN ?!

 

Je propose qu’on en fasse des synonymes de ‘’Ringard’ ou de ‘Haz been’ pour l’un, et de ‘Macho’ pour l’autre.

 

Si l’idée d’une pétition tente quelque lanceur d’idée, je la lui cède. On devrait pouvoir recueillir, au moins statistiquement, plus de 50 %..

 

Et si vous tenez vraiment à flatter mon égo, vous pourriez l'intituler : "Adiosadios à l'article-Le".

 

Vaut mieux être gagnant sur terre battue que battu sur terre gagnante.

 

Content de lui, il nous a dit qu'à la dictée il avait fait un cent-fautes.

 

Génial

 

Je déteste ce mot, tellement il a été vulgarisé, ainsi que tous les superlatifs. En ce qui me concerne, je ne l'utilise que pour moi.

 

Comme dirait le bébé momentanément sevré et qui veut finir son repas : "Où en était-on ..?"

 

Mêle-pêle veut dire ''en crav''..

 

L'éthique

 

Certaines personnes, plus que d'autres, se méfient de l'éthique plus encore que de la Maladie de Lyme. Méfiez-vous en, non pas de l'éthique, mais des personnes concernées. Et de la maldie aussi.

 

Un voyage au long cours n'est pas un oxymore, mais sur un navire ça pourrait devenir une balade de malades.

 

Déclaration d'impôts

 

Méfiez-vous des experts, surtout ceux désignés comme indépendants. Ils traînent tous des conflits d'intérêts. Certes j'en ai aussi, ne serait-ce que dans le domaine de l'éthique. Mais pas financiers. Sauf pour ma déclaration d'impôts.

 

Il y a des lieux-dits qui sont tellement petits qu'on ditait des non-dits.

 

Selon le principe que "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme", on oublie de dire de quoi on est parti pour ''transformer''.. Et comme beaucoup vous diront ''De rien..'', puisqu'à athées, on est donc partis de rien (que certains nomment le Big-Bang) (ne pas confonfre avec le Big-Band des jazzophiles) pour arriver à quelque chose. En conclusion : Rien ne se crée, même si tout est parti de rien..(!).

 

Rien ne devrait se faire dans la précipitation, sauf la pluie.

 

La fonction crée l'organe, et l'organe l'orgasme..

 

Se dépenser sans compter revient moins cher que dépenser en comptant.

 

L'adolescente qui lève les yeux au ciel après une remarque de ses parents n'est pas partie pour prier. D'ailleurs c'est peut-être l'occasion ou jamais de la prier d'aller prier dans sa chambre.

 

Achedeuso (ou achedeuseau) : nom savant de l'eau.

 

Pèse-''personne'' : objet inutile par définition, qui se vend, et même s'achète.

 

Catalogues La Redoute, Les 3 Suisses : catalogues dont les femmes regardent les articles vestimentaires, et les hommes, celles qui les portent.

 

Bière d'occaze

 

Je cherche une bière d'occasion, en vin. ..Pardon : en vain. Oui, parce que déjà que je n'aime pas la bière ! Pas un cercueil qui a déjà servi, bien sûr – quoique, une fois bien nettoyé..- non, je veux dire, un cercueil qui est resté sur les bras du croque-mort ! Un pour lequel celui qui devait mourir n'est pas mort ! Oui, parce que ..pour l'usage qu'on en fait ! C'est pas le temps qu'on y reste.. Je veux dire, en vie ! Enfin, je veux dire, en parfait état ! En tous cas , en état de non marche, .. d'arrêt. Bref, si vous m'en connaissez un. Pas un mort, ..ni un croque-mort. Un cercueil ! J'espère avoir de la chance. Je touche du bois..

 

Elle avait un appétit d'oiseau, mais de très gros oiseau.

 

Dis moi pour qui tu votes et je te dirai de quel bord politique tu es.

 

Du balai

 

Je veux bien commencer par balayer devant ma porte, mais encore faut-il que j'ai un balai.

 

L'indécis, le velléitaire, a parfois bonne conscience d'avoir mauvaise conscience.

 

 

Un prétentieux est celui qui, lorsqu'il croise quelqu'un de ''quelconque'', pense : "Quel con". Et comme nous sommes nombreux à être des gens quelconques, cette pensée le valorise. Et quand on pense que c'est une pensée..!

 

Le paradoxe de la tolérance c'est qu'elle ne supporte pas son contraire. Dans ce domaine, l'intolérance est plus cohérente. C'est d'ailleurs l'une des faiblesses des démocraties.

 

Si la vie était un interrupteur, il suffirait d'y appuyer une deuxième fois. Ou plutôt une troisième. (Mais sans passer par la case maternité, me fait dire ma femme..(!)).

 

Peut-être que pour une femme, un mauvais coucheur ne répond pas à la même définition que nous.

 

Quand vous parlez à une femme d'un mauvais coucheur, pour peu qu'il soit beau garçon, même si elle ne vous l'avoue pas, peut-être qu'elle demande à voir, en tous cas à vérifier..

 

Mieux vaut s'évertuer que se faire tuer.

 

Qu'un chapeau vous aille comme un gant n'est pas forcément un compliment.

 

Le boulot, ça coûte au salarié comme au patron, mais différemment.

 

A certains moments, savoir que la porte du WC est close est plus un désagrément qu'un pléonasme.

 

Vous aurez beau vous cacher derrière votre petit doigt, entre l'infiniment petit et l'infiniment grand, entre les deux, et de chaque côté des extrémités qui par définition n'existent pas, existe quelque chose de plus grand que nous, comme dirait La Palisse. Appelez-le comme vous voudrez, mais appelez-le. Au milieu, en plein milieu spatial, et je ne parle pas du temps, et des autres dimensions éventuelles que nous découvrirons un jour, il y a l'homme, avec sa dimension d'éternité, mais uniquement dans sa capacité d'aimer, d'un côté. Ou de ne pas aimer, de l'autre, pour ne pas dire haïr..

 

Destin tragique

 

L'oeuf-à-la-coque est à la poule ce que la poule-au-pot est au poussin, une fin tragique pour l'un des siens. Quant au coq-au-vin, comme dirait la poule aillée, ça lui reste bien, lui qui n'a pas que la crête, rouge..

 

L'amitié, c'est comme le courant, ça passe comme quand le courant passe, mais ça ne devrait pas passer quand c'est le temps qui passe..

 

Ambipédextre : qui se sert aussi bien du pied gauche que du pied droit.

 

Cherche personne qui ne parlerait pas de la météo quand elle n'a rien à dire.

 

L'eau de mer n'est pas amère, elle est salée. Et quand ça l'est, je veux dire amer, ce n'est pas de l'eau de mer, ni de l'eau salée. C'est ce que m'avait dit ma mère, quand j'étais-allé.. à la mer.

 

Un rétroviseur est un accessoire de voiture vous permettant de rouler dos au soleil tout en l'ayant dans les yeux.

 

Il vaut mieux trouver un compromis qu'un con promu. Mais il est vrai qu'on les retrouve souvent ensemble, comme dans un bureau de vote.

 

L'humoriste utilise souvent la caricature et la généralisation. Lorsqu'il caricature un général, par exemple, il généralise. Or, c'est connu, ce dernier manie moins bien l'humour que la discipline, en général. Cela dit-si-Pline était toujours vivant, il mériterait bien son surnom de Pline l'Ancien...

 

Dire qu'aucun homme n'est le moindre des hommes est la moindre des choses.

 

Il n'est jamais trop tard pour se lever tôt, mais toujours trop tôt pour se lever tard.

 

C'est pas parce qu'on est solitaire, et qu'on est Verseau, qu'on a le vers solitaire..

 

Il y a deux sortes de différences entre les hommes, celles qui sont des barrières, et celles qui sont des ponts.

 

Une cause juste ne porte pas forcément à conséquence. Mais ce qui est sûr, c'est qu'une conséquence ne porte jamais à cause.

 

Il faut toujours être fier de ses racines, et ne jamais avoir honte de ce qu'on est, même si ce n'est pas grand-chose. Il n'y a que de ce qu'on a, dont on peut parfois avoir honte, ou dont on devrait..

 

La logique voudrait qu'on puisse dire que moins le temps est pluvieux, plus le temps est moins jeune. Mais le temps que la pluie passe, le temps a changé. Et le temps que la pluie passe à changer, il s'est passé un certain temps. Comme quoi, quand le temps passe, la pluie passe, et le temps change. Mais vous l'aviez peut-être remarqué..

 

C'est pas parce que la mort ne plaisante pas avec nous qu'on ne peut pas plaisanter avec elle.

 

Si partir c'est mourir un peu, mourir c'est partir beaucoup. Il faudrait pouvoir trouver un juste milieu.

 

Il vaut mieux un petit déjeuner qu'un grand jeûne. Alors qu'il vaut mieux un petit jeune qu'un grand vieux. A vrai dire, ça dépend de ce qu'on pense en faire.

 

Il vaut mieux être radié qu'irradié, quelque soit la liste en question. N'empêche, ça ne vous rend pas radieux. !

 

La vraie modestie intellectuelle,c'est d'avouer qu'on est assez intelligent pour s'apercevoir qu'on ne l'est que moyennement. Et donc de se dire : " Ce n'est pas moi qui suis modeste, ce sont mes moyens ".

 

Macho nul Si on dit qu'un homme choisit sa voiture en adéquation avec sa compagne, c'est un goujat. S'il dit qu'il choisit sa femme en fonction de sa voiture, c'est un goujat et un macho. Si une femme dit la même chose, dans le premier cas c'est une femme autonome, dans le second, une femme libérée.

 

Cama sous l’ drap Et si le Kamasoutra n'était que l'art d'enjamber un bras pour embrasser une jambe !? Ou un jeu de jambes à tour de bras ?

 

De nos jours, autant les marquis ont rarement eu à faire le maquis, autan les comtes ont dû se mettre à faire leurs comptes.

 

Un mensonge c'est pas forcément grave, mais c'est juste que c'est faux.

 

C'est parce qu'existait l'intégration négative qu'est né le concept de discrimination positive.

 

Méfiez-vous des ''personnes morales'', on en trouve plein les tribunaux.

 

Un chien à qui on laisse le collier en lui enlevant la laisse, c'est comme un écolier de qui on écarte le cartable tout en le laissant sur la table. Il reste lié par le devoir de faire ses devoirs, et le chien, par le lien de propriété.

 

Les angles sont faciles à trouver. Ils sont toujours dans un coin.

 

L'endroit n'est que l'envers de l'envers, et l'envers, l'envers de l'endroit. Par contre, l'envers du décor n'est pas l'endroit pour mettre un décor à l'envers.

 

Mon frère est masseur-kinésithérapeute.

 

Chausseur & chasseur

 

Un chausseur est un chasseur de pieds, et un chasseur, un chausseur de bottes.

 

Si comme on dit, la fonction crée l'organe, certains doivent avoir une grande fonction.

 

Le problème de beaucoup d'hommes, c'est de ne pas avoir un physique à la hauteur de leur testostérone.

 

Je m'excuse par avance auprès de mes prochains lecteurs, de tout ce que je n'ai pas trouvé pour l'instant, mais que je me sentais capable de trouver à l'avenir.

 

Coucher ensemble : pléonasme consensuel

 

Surmoi Quand on perd du poids, on perd du moi, puisque le poids est à soi.

 

Petits défauts

 

Le seul intérêt des petits défauts, c'est de cacher les gros.

 

Je n'arrive jamais à me savonner le dos entièrement. Et ne me dites pas que j'ai bon dos..!

 

Dieu ne peut pas habiter l'univers puisqu'un créateur n'a pas à se trouver dans ce qu'il a créé, que ce soit l'espace et le temps, ou tout autre dimension.

 

Le sentiment est à l'amour ce que l'assentiment est à une amourette.

 

Se rappeler que pour avancer, dans les moment difficiles, il faut savoir commencer par reculer de quelques pas, afin de prendre de l'élan. Mais vous pouvez vous permettre d'être lent.

 

On apprend plus, sur soi, de la part de ses adversaires que de ses amis.

 

Comme l'humour, l'amour se décline au premier et au second degré. Je me demande même s'il n'y en a pas au troisième. (au fond du couloir à droite..). D'autres diront, au septième. Au septième ciel.

 

On dit que tout se paie, tôt ou tard, mais en faisant allusion généralement à tout ce qui est négatif. Ce qui est positif s'encaisse, par une gratification plus ou moins consciente, ou recherchée.

 

Il y eut une époque, épique, où après un affront, la personne mise en cause mettait son point d'honneur à laver son honneur, comme elle pouvait. Puis vint le temps où elle le portât au pressing. De nos jours, on achète directement du prêt-à-jeter.

 

Il avait l'air comprimé. Faut dire qu'il était sous pression depuis quelque temps.

 

On se pose plus souvent la question de la mort que celle de la vie, alors que la seconde est encore plus pertinente.

 

Il avait appelé son chien ''Ammo-niac'', parce qu'il mordait.

 

Il est des jours où l'on se heurte à la réalité des choses comme une grosse mouche se cogne à une baie vitrée ou à un miroir. Mais alors que dans un miroir l'on se heurte à soi-même, dans une baie vitrée, on ne voit pas à quoi on peut bien se heurter, si ce n'est aux limites de notre compréhension (ou de notre vue).

 

Rien ne vient de rien, tout vient de quelque chose. Donc ''Rien'' ne se définit que par rapport à quelque chose. ''Rien'' ne veut rien dire en soi. Rien ''quoi ?'', ou ''rien combien ?'' ou ''rien où ?'', ''rien comment, pourquoi..? Donc,ne dites rien, plutôt que de parler de rien, ce qui revient à parler de tout et de rien..

 

Le té-tard des marécages ne se couche pas beaucoup plus tôt que l'éléphan-teau des savanes tropicales, puisque lui se couche tard, pour profiter de la douceur du soir.

 

Dans le désert d'Atacama, moins d'attaques à mains armées que des aires de plage. Mais l'absence de vagues se fait vaguement sentir..

 

Ne pas confondre Rocco Siffredi et Freddy Sirocco.. Quoique, c'est chaud dans les deux cas..!

 

Quand il se cache, Dorian, on disait qu'il est tapi, Dorian..

 

Ne prévoyez rien entre deux choses, parce que c'est justement entre une chose et une autre qu'on n'a jamais le temps.

 

La grossesse ne devrait plus être que la concrétisation d'un projet-niture.

 

On l’a où on peut.. Ce n’est pas ce que vous pensiez.. Je voulais juste dire qu’elle avait son ex en Provence.

 

C'est qui le croque-mort ? -C'est Pulture !

 

Que faisait Dieu avant la création de monde ? Il avait l'esprit ailleurs.

 

Si la fonction crée l'organe, elle crée surtout l'état d'esprit, et parfois ses dérives, impulsives.. Je m'adresse là à tous ceux qui ont eu un patron sur le dos..

 

Si l'on vous propose une embarcation de fortune, ne prenez que la fortune.

 

La pré-vention devrait se faire avant, si on veut qu'elle soit efficace.

 

Des parents transparents, des enfants sombres. Des parents lumineux, des enfants radieux. Départ en courant, arrivés fatigués..

 

Excentrique

 

Elle était aussi maladroite qu'à gauche. Faut dire qu'elle était un peu excentrique.

 

Qui a passé la serpière en est dispensé pour demain..

 

Qui sème le vent récolte les pollens. Qui s'aime soi-même ne récolte rien.

 

Ne pas écrire : "Il avait jeté son dévolu sur elle, mais il ne l'a jamais retrouvé'', mais ''retrouvéE''..

 

Poltron

 

Les couturières voulaient en découdre avec leur patron. Mais c'était un poltron.

 

Les croyants les plus intellectuellement honnêtes sont ceux qui ne doutent pas qu'ils doutent.

 

Ado

 

Un ado n'est parfois qu'un missile adomicile.

 

Est-ce l'esprit qui flatte ce que le corps désire, ou bien le corps qui ne désire que ce que l'esprit embellit..?

 

Confit d'intérêts

 

Un conflit de canards peut aboutir à un confit d'intérêts.

 

Un raciste est un individu qui, par principe – et c'est peut-être le seul qu'il ait – préfère avoir un voisin invivable mais compatriote, qu'un étranger sympa. Faut dire que dans ''compatriote'', il n'y a pas que ''patriote''..

 

Une femme sans règles est une exception, ou une amorale. Un homme avec des règles est un honnête homme, ou un cas, dont peu d'exceptions confirmeront la règle...

 

Un citoyen raciste préfère un gouvernement de blancs malhonnêtes à un gouvernement de gens de couleur.. malhonnêtes. Par contre, un salarié raciste préfère être dirigé par un patron blanc exploiteur que par son homologue..euh.. Non, pareil !

 

Ce qu'on appelle insurmontable n'est souvent qu'insurmental.

 

Les jeunes joggers d'aujourd'hui, mais pas qu'eux, sont inséparables de leur brassard cardio-machin, quand ils n'ont pas les écouteurs de balladeur dans les oreilles. A se demander s'ils le gardent, le brassard, pour embrasser leur partenaire, et plus si affinités, histoire de voir si leur petit coeur va tenir le coup.. D'ici à ce qu'ils s'en servent pour vérifier leurs sentiments à leur égard..!

 

On ne dit pas '' Comme je me tue à vous le dire..'', car ça peut mal se terminer, avec un risque de culpabilité pour ceux à qui la phrase s'adressait. Il faut dire : '' Comme je m'évertue à vous le dire ..''. Même si vous risquez de vous évertuer longtemps..

 

Il serait ingrat de dire que la vie est une ''vraie mauvaise'', de finir par nous faire ''faux bond'' alors qu'on l'a tant aimée. C'est elle, qui nous a le plus choyés. Nous, on n'a fait que se laisser faire, comme des enfants gâtés.

 

Dupont

 

Il avait été un militant anti-raciste toute sa vie durant. Et Dupont aussi.

 

De part son taux de testotérone, il était plus raciste envers les hommes.

 

Sèche

 

L'encre de seiche sèche dès qu'on jette l'ancre. Mais elle sèche aussi si on jette l'encre.

 

Idées reçues

 

Même pour les distraits, qui n'ont pas de tête comme on sait, les idées reçues ont un cou, puisqu'on peut le leur tordre. Mais elles ont aussi un coût, et non pas pour celui qui les a envoyées, comme on pourrait s'y attendre, mais bien pour celui qui les a reçues.

 

Un arbître libre est celui qui a un bon libre arbître..

 

Un peu tordu..

 

Toute personne qui a ses raisons d'avoir eu tord a tord d'avoir eu ces raisons.

 

Dans la vie, il y a ceux qui se font avoir plus d'une fois, et ceux qui ne se feront avoir qu'une fois.

 

On ne fait pas l'amour. C'est l'amour qui nous fait.

 

Mettez-vous à sa place..

 

J'attends toujours qu'un gros riche s'excuse et me dise "Mettez-vous à ma place..!!.

 

Cataracte

 

Quand l'opération de la cataracte rate, c'est la cata.

 

Vaut-il mieux être empissé qu'emmerdé ? D'aucuns diront que c'est un pis-aller.

 

Celui qui peut payer comptant ne peut être que content. Celui qui ne peut payer qu'à crédit peut se sentir maudit.

 

Qui pait ses dettes ne s'enrichit que de sa propre estime.

 

N'oublie pas

 

N'oublie pas d'y penser avant que ta pensée n'oublie de te le rappeler..

 

Lorsqu'on vous dira que je suis mort, dites que je ne suis que décédé. Pour le reste, il n'en sait rien...

 

Affection

 

Il vaut mieux avoir une affection pour quelqu'un qu'une affection tout court. Vous n'aurez pas à la soigner.

 

Dans l'intelligence, ce qui est important c'est d'en avoir assez pour savoir reconnaître celle des autres.

 

Porain

 

Si vous voyez un mâle heureux, c'est peut-être Porain, car il est toujours content Porain.

 

Le jour le plus exceptionnel de votre vie, c'est celui où, comme par une sorte d'illumination, vous réalisez tout d'un coup que dans le monde il y a deux réalités bien distinctes : d'un côté, vous, votre corps et votre esprit, l'intellingence, la raison qui est en vous ; de l'autre, ce qui n'est pas vous, ce qui est en dehors de vous, le monde extérieur dont vos proches, votre environnement, la terre et l'univers. Et la disproportion de grandeur, le rapport de volume, l'inégalité d'enjeu qui existent entre les deux vous sidère littéralement, vous paralyse momentanément. Vous ne serez jamais quelqu'un d'autre, et personne ne sera jamais vous. Vous êtes condamné à être vous, à être en vous, sans possibilité de faire vraiment partie des autres, comme une immense solitude. Vous êtes absolument unique, irrémédiablement unique, et vous avez comme l'impression que les autres ne s'en sont pas aperçus..!! Et je me suis dit : "Il faut que je leur dise.."

 

Cause ou conséquence

 

Le destin transforme parfois la cause en conséquence, ou la conséquence en cause, alors que vous aviez interprêté ces deux facettes à l'envers. Par exemple, est-ce qu'on ne devient que ce qu'on est foncièrement au départ, ou bien est-ce qu'on n'est que ce qu'on devient..(Autre exemple, mais plus énigmatique : ''Est-ce le vers qui est lent, ou est-ce l'élan qui est vert ? '') (C'est plus facile si je vous demande : '' Est-ce que le vers lent... '')

 

Qualité ou quantité

 

On attribue une vertu à la qualité, alors que cette dernière n'est qu'un paramètre, comme la quantité. Ce qu'il lui faut,pour qu'elle le devienne justement, c'est une certaine quantité de qualité. Autrement dit, pour que la qualité mérite cet attribut, il lui faut paradoxalement une quantité.

 

Vipères

 

''Engeance de vipères ! Je vous réserve une vengeance de ipères !! (je sais, ça veut rien dire, mais c'est dommage, car j'avais là une réplique génialement harmonieuse par sa symétrie..! Tant pis, je me vengerai autrement.).

 

Devoirs conjugaux

 

Si en rentrant de l'école, votre gamin vous apprend qu'il a des devoirs conjugaux, ne vous affolez pas. Il se réfère à la conjugaison.

 

Zédéja

 

Cette Polonaise avait donné à sa fille le nom de Zédéja, et quand celle-ci était bébé, sa maman pour l'endormir lui répétait : "Dors, Zédéja, dors, maintenant..''

 

Mieux vaut que tu médites érranée qu'éronné..

 

Il avait tellement peur des aiguilles, qu'à la vue de son acupuncteur, il s'est tiré, à quatre épingles.

 

Problème que j'aimerais poser à une personne intelligente : "Classer par ordre de priorité, dans les relations humaines, les qualités suivantes (énoncées ici par ordre alphabétique) : l'Empathie, l'Intelligence, la Personnalité. Question subsidiaire : Classer de la même manière (citées dans le même ordre, ici) (et sans recours à l'argument de l'indissociabilité) : l'Autosuffisance économique, les Relations Humaines (familiales inclus), la Réussite socio-professionnelle. Je crains que cette personne intelligente, si elle doit se prononcer, n'hésite à faire passer l'intelligence et la réussite socio-professionnelle en dernier. Ce serait une preuve d'intelligence, mais qui traduirait son incohérence dans l'usage qu'elle en fait.

 

L'élitisme est le racisme des intellectuels.

 

La mort est à nos trousses comme une remorque attachée à la voiture qui la tracte, à la différence qu'elle ne la rattrape jamais, et la double encore moins.

 

Quand on croit en une transcendance, ce qu'on fait sur terre est moins important que la trace qu'on y laisse.

 

Zizi grec

 

Zyzy, ou zizi grec, semble vraiment le dernier mot du dictionnaire, et le dernier de mes soucis. Je parle en termes d'orthographe uniquement, évidemment..

 

Tréfonds

 

Dans le tréfonds de mon être, je me sens très foncièrement honnête. Le problème, c'est la surface.

 

Mauvaise question

 

Pourquoi la mort ? D'accord, bonne question. Mais pourquoi pas ?! (Vous me direz, c'est une mauvaise question.)

 

Café de la Place

 

Au Café de la Place, les jours où il n'y avait plus de place, il y avait encore du café.

 

Celui qui ne se prend vraiment pas au sérieux c'est encore celui qui en doute.

 

Contre les hyperactifs complexants, résistons. Soyons hyperinactifs!

 

Métempsycose

 

Mieux vaut une mauvaise métempsycose qu'une bonne méga-psychose.

 

Ne pas confondre les pays anglophones, où les voitures roulent à gauche, et les pays arabes, où les voitures roulent de droite à gauche.

 

Sexiste

 

Faire remarquer à une fille qu'une autre fille est jolie est indélicat. Le faire remarquer à un garçon, qui de toutes manières l'avait déjà remarqué, est sexiste. Et si celui qui le fait est vieux, c'est un pervers. Bientôt, s'il ne fait que le penser sans le dire, ce sera un client pour psy.

 

Dû

 

Le dû est important, surtout si c'est le vôtre. Mais le du aussi. Car si on dit de vous que "Il n'est pas tout jeune", ça peut être une litote. Mais si on dit de vous ''Il n'est pas du tout jeune'', c'est carrément une remarque désobligeante.

 

Marion Larrieu

 

Le dilemme de Marion Larrieu : "Rions, rions..!'' dit Mari-on, ''Soyons sérieux..!!'' dit Larri-eu..

 

Un intellectuel est quelqu'un qui se sustente de la substantifique moelle, sans avoir de tendance canine particulière.

 

Le Comte de Montalembert, de son prénom Charles, malgré que son nom rime avec le Roi Dagobert, n'est pas l'inventeur du verlan.

 

Ça mord

 

Quand ça mord, un poisson, c'est bien ; quand c'est un chat, c'est moins bien ; quand c'est la vie, .. c'est la vie..

 

Ne pas confondre ce que vaut le cheval, et ce que valent les chevaux. Et ce que vaut la grammaire..

 

Fleur de vigne

 

Je t'aime un peu, ça désaltère ; beaucoup, ça vous altère ; passionnement : c'est délétère ; à la folie : ça vous enterre ; pas du tout : c'est trop tard..

 

Empathie

 

L'empathie, c'est quand une mouette rieuse se pose sur sun saule pleureur.

 

Comptine :

 

(à ne pas lire aux enfants, ni même aux adultes.) Un-Deux-Trois, Je sais plus trop quoi..; Quatre-Cinq-Six, J' vais dire une bêtise; Sept-Huit-Neuf, Comme "Qui vole un boeuf..", Dix-Onze-Douze, ''Finit dans sa bouse..". (je vous avais prévenus..).(vous m'accorderez tout-de-même un souci pédagogique..).

 

Nul n'est nul

 

Nul n'est nul, et même les mules font des émules. Quant aux ânes, je leur tire mon chapeau, pas mon bonnet d'âne, mais celui de ''yes we can''.

 

Bastille amère..

 

S'il faut souhaiter à certains, dans certains pays, et comme nous, avant UN certain SEPT-HUIT-NEUF, d'avoir une Bastille à reprendre, comme une revanche, souhaitons leur de ne pas avoir trop de Robespierre au coeur de pierre, de Marat aux pièges-à-rat, ou de Danton, ''tonton flingueur'' plus que tonton..La Bastille, ce fût notre pastille amère, mais qui nous soigna d'une maladie royale.

 

Le problème du temps qui passe, c'est pas tant le temps qui passe que le temps qu'on passe avec le temps. Ce qui se passe n'est pas une impasse, puisqu-il passe. Le problème c'est que c'est nous qui passons, alors que le temps lui, s'en passe. Le temps n'a pas de passé. C'est comme s'il passait sans passer, alors que nous du passé, on ne peut pas s'en passer. C'est ce qui fait qu'on passe, c'est le passé.

 

Revers Ceux qui vous balaient tout d'un revers de main finiront bien par s'en prendre une. C'est vrai, quoi !! Merde !!

 

Délébile : Ne le cherchez pas sur le dictionnaire, « Délébile » n’est pas l’inverse de « Indélébile », comme l’est l’encre d’un tatouage. Par contre, si vous vous faites tatouer un pense-bête, vous ne risquez pas le synonyme, vu que le mot en question n’existe pas, mais plutôt l’homonyme, ou presque.

 

Champion diesel : Lancé, y-avait personne pour le devancer. Mais à l’arrêt, y-avait personne pour le faire démarrer..

 

Procrastination ou tendance à remettre à demain ce qu’on doit faire aujourd’hui , s’utilise peu souvent, sauf à vouloir impressionner son auditoire. Pour me rappeler ce qui est pour moi un trait de caractère, j’utilise un moyen mneumotechnique contestable : Procréation et Procrastination vont rarement de paire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INEDI

 

j'en suis à F

 

 

 

« Inventaire Non Exhaustif D’Inepties » eil d’Expressions, Définitions, Maximes, Sentences, Aphorismes, Proverbes et Réflexions diverses,Mises-en-rimes, Sketches, Poésies et autres Futilités reconnues d'utilité publique..

 

 

 

 

 

 

 

Pensée liminaire :

 

Même le génie, ininterrompu, lasse.

 

D’où l’adjonction de quelques rares banalités,

 

pour reposer le lecteur..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Est-ce qu’une intro, ici, serait de trop ?

 

 

 

Je ne sais.

 

Par contre, c’est trop tôt pour une extro,

 

si tant est qu’on puisse conclure.

 

 

 

Et donc, puisque clôturer d’entrée serait prématuré - même si les prématurés finissent par arriver à leur fin - je laisserai le postambule, la chute, pour plus tard, au cas où elle serait douloureuse.

 

 

 

 

 

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A

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A de : Attention çà va commencer..

 

Abracadabrandesque (Jacques-a-dit..), Abso-lu, Acéré, Achevé, Acide, Admirable, Adorable, Affranchi, Affûté, Agréable, Ahurissant, Aiguisé, Ajusté, Alléchant, Allégorique, Ambitieux, Amusant, Anarchique, Audacieux, Authentique, Avisé.. Ah, lala.. !

 

 

 

 

 

 

 

- Aa-ttention, ou Ah-tension : c’est ‘là’ que tout va se jouer, c’est l’A’ qu’il faut donner une bonne ‘impression’, d’entrée, car tout se joue dès les premières lignes, dans un bouquin comme au rugby. ( ’premières lignes’..)(oui, c’est pour vous mettre au parfum d’emblée) (l’Emblée n’est pas une fleur exotique.).

 

-

 

- A ce stade de l’entraînement, les joueurs réclamèrent un stade pour s’entraîner. (les premières lignes, je veux dire, celles du rugby, c’était pour la transition..)

 

-

 

- A celui, l’air outré, qui vous dit : « C’est le monde à l’envers ! », ne lui demandez pas, avec un brin d’humour : « ..allant vers où ? ». Il n’a pas l’esprit à avoir de l’esprit.

 

-

 

- A certaines personnes, on a effectivement besoin de le leur « répéter » « deux fois ». Et pour eux, ce n’est pas un pléonasme mais une nécessité.

 

-

 

- A ceux, pardon, à celles.., qui se plaignent d’avoir à faire la vaisselle, dites-leur que ça vaut mieux que de faire l’AVC.

 

-

 

- A chacune des deux extrémités de l’échelle humaine, il y a celui qui peut se payer un chef-d’œuvre, et celui qui ne peut pas se payer un hors-d’œuvre. Et à choisir, je m’en garderai bien.

 

-

 

- A chaque jour suffit sa peine, mais pas son bonheur.

 

-

 

- A choisir entre un faux-cul et un vrai cul, .. y-a pas photo, comme on dit ! Mais c’est sûr que si on a la photo, c’est encore mieux..

 

-

 

- A choisir entre un bien mal acquis et un mal bien acquis, je n’y vois pas vraiment dilemme ! Il y aurait peut-être les nymphomanes, pour préférer les mâles bien acquis !

 

-

 

- A choisir, est-ce qu’il vaut mieux traire le con que le contraire ?

 

-

 

- A défaut d’avoir des qualités, il avait des défauts, pour compenser.

 

-

 

- A dire vrai, je ne sais pas comment je pourrais mentir.

 

-

 

- A être immigré, soyez immigré fiscal. Vous serez mieux accueilli.

 

-

 

- A être invité, il vaut mieux que ce soit à dîner qu’à régler l’addition.

 

-

 

- A être licencié, il vaut mieux que ce soit en tant que sportif que salarié.

 

-

 

- A être tout seul à l’enterrement, autant être celui qui s’emmerde que l’autre.

 

 

 

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Tour de force..

 

 

 

 

 

- A force de : attention, ce début de phrase va être répété plusieurs fois d’affilée. Je demande donc au lecteur la plus grande compréhension, non pas pour comprendre ce qui est écrit, mais pour prendre patience, ça ne sera pas long.

 

-

 

- A force de jouer au Loto, l’éleveur de vaches avait fini par gagner le grelot.

 

-

 

- A force de lire des éditions de livres épuisées, il tomba dans une profonde fatigue.

 

-

 

- A force de mettre des étiquettes sur les gens, on ne va plus en trouver pour les enveloppes.

 

-

 

- A force de ne faire que se croiser, ils vont finir par croiser le fer.

 

-

 

- A force de remuer ciel et terre, il finit par agacer Dieu, qui le transforma en pelleteuse.

 

-

 

- A force de s’entendre dire que son devis était trop élevé, l’artisan-escaletier, agacé, proposa à son client de supprimer une marche sur deux.

 

-

 

- A force de sabrer le champagne, la lame finit par s’émousser.

 

-

 

- A force de trop mûrir on finit par mourir. La faute à qui ? Au ‘o’. On m’avait pourtant bien prévenu que dans la vie il y aurait des bas et des o. Je ne m’étais méfié que des bas.

 

-

 

- A huit clos dans cette petite pièce, et nous deux, ça fera dix : ça risque de faire beaucoup.

 

-

 

- A l’armée, une entorse au règlement peut vous valoir trois jours d’« immobilisation », mais qu’on ne peut pas considérer comme une hospitalisation.

 

-

 

- A l’époque de nos grands-parents, on n’attelait que les chevaux. De nos jours, on attelle aussi les chevilles ; et dans ce cas, pas les chevilles ouvrières, mais les sportives, ou les maladroites.

 

-

 

- A l’époque où les dames de la bonne société portaient des vertugadins sous leurs robes pour les faire bouffer, on se demande comment elles ne se prenaient pas plus de ‘gadins’, vu qu’elles ne pouvaient plus voir où elles mettaient les pieds. C’est vrai qu’au vu des lieux qu’elles devaient fréquenter, elles ne risquaient pas de trébucher sur un caillou ou dans une ornière..

 

-

 

- ‘A l’unanimité’ est quelque part et paradoxalement le contraire de ‘A l’unité’. La différence, c’est ce qui l’ « anime ». (car l’une ‘anime’ ité..)

 

-

 

- A la cantine, l’abbé responsable des plats nous restreignait tellement les quantités qu’il eut droit au surnom de « l’abbé-ration ».

 

-

 

- A la caserne comme dans les cours d’école, les feuilles mortes se ramassent à l’appel.

 

-

 

- Permissivité A la caserne, il faut une permission pour en avoir une.

 

-

 

- Pôle +, pôle - A la conception électricienne de l’amour, qui met en avant la symbolique un peu terre-à-terre de la prise mâle-femelle, et qui manque singulièrement de poésie, j’objecterai que dans l’amour, il faut paradoxalement que le courant passe avant tout, et surtout avant tout branchement.. (mais peut-être ne suis-je pas branché..).

 

-

 

- A la guinguette, la gaîté vous guette.

 

-

 

- A la Poste, contrairement à l’université, il faut avoir la maîtrise en lettres avant de pouvoir être licencié.

 

-

 

- A la saison des amours, les saumons remontent la rivière et les torrents, à contre-courant. Que ne ferait-t-on pas par amour ! Ce sont les premiers à vivre d’amour et d’eau fraîche.. !

 

-

 

- A la vanité, pas besoin de lui dire : « Va ! ». Car t’es sûr qu’elle y va.. !

 

-

 

- A le voir, on sent bien qu’un homme dynamique sommeille en lui.

 

-

 

- A les entendre, certains mots sont, à ‘proprement’ parler, des injures.

 

-

 

- « A little bit » : expression ambiguë qui peut complexer un non-anglophile, mais qui n’est pas désobligeante en soi.

 

-

 

- Doubler précaution Quitte à marcher sur des œufs, vaut mieux qu’ils soient durs.

 

-

 

- A Marseille, le projet fut reporté aux calanques grecques.

 

-

 

- A vos souhaits ! ..s’ils ne contrarient pas les miens.

 

-

 

- Comte

 

- « A moi » compte deux mots !

 

Effectivement. Je suis entièrement d’accord.

 

Alors que « A moi, Comte ! » en compte trois.

 

Et « A moi, Comte, deux mots ! » en compte cinq.

 

(pour les Ducs et les Marquis, c’est pareil.)

 

-

 

- Vol et vol A parler de vol, il vaut mieux l’effectuer que le commettre. (sauf si le butin est important et les chances de vous faire prendre, nulles) (et sauf si le vol est un retour en charter suite à une expulsion..).

 

-

 

- A part face à une horde d’indiens, il vaut mieux être cow-boy que cobbaye.

 

-

 

- A partir d’un certain âge, tout ce qu’un homme peut tirer c’est sa révérence.

 

-

 

- Effet culbuto A partir de quel degré d’imprégnation alcoolique un déséquilibré retrouve-t-il, par effet compensatoire, son équilibre ? Les spécialistes hésitent entre 6,9 et 9,6 grammes d’alcool par litre. Ils parlent d’inversion d’effet, ou effet ‘culbuto’.

 

-

 

- Hôpiteux A partir de quand les hôpitaux deviennent des hôpiteux ? A partir du moment où le niveau moyen d’exigence individuelle de qualité de services dépasse le taux de prélèvement obligatoire collectif prévu à cet effet. Autrement dit, quand vous êtes ‘hors la loi’ de l’offre et la demande. ( Il nous faudrait un shériff américain..)

 

-

 

- A première vue, il était myope. Mais à y regarder de plus près, il s’avéra qu’en plus, il était presbyte.

 

-

 

- Caractériel

 

- A première vue, le chien semblait caractériel. A deuxième vue, c’était le maître qui semblait caractériel. A troisième vue, il l’était.

 

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- A quoi panse une vache qui broute ?

 

-

 

- A refaire la faîtière, autant la faire entière, sinon vous risquer la tuile.

 

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- A se mettre au coin du feu, autant choisir le bon coin ! Mais, lequel est-ce ?.

 

-

 

- A son concours d’entrée à la Police, vu sa très bonne moyenne, le commissaire a été reçu haut-les-mains.

 

-

 

- Astronome : scientifique qui possède des connaissances astronomiques.

 

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- A tel point.

 

-

 

- « Chapeau » A tous ceux qui croient en moi, je leur dis ‘’chapeau’’ ! Ils le méritent ! »

 

-

 

- A tous ceux qui, en ce bas-monde, ont trimé ou sont brimés, à tous ceux qui ont une vie de misère ou de galère, je leur souhaite que le Hasard n’existe pas. Car IL n’aura aucune explication à leur donner.

 

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- A trop boire, on finit rebut de la société.

 

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- A trop rechercher le profit, on perd l’art d’en profiter.

 

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- A trop regarder le passé on en attrape un torticolis.

 

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- Merci

 

- A un certain âge, aux alentours de leurs deux ans, les enfants apprennent à dire merci, et vous le disent aussi lorsqu’ils vous donnent quelque chose au lieu de le recevoir. Ils ignorent alors qu’ils viennent de traduire et résumer la subtilité de l’amour.

 

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- A une époque pas si éloignée, les homosexuels devaient encore se cacher. Mais pour beaucoup, les proches finissaient tôt ou tard par découvrir le poteau rose.

 

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- A voir le placard-à-chaussures de ma femme, j’ai tendance à penser qu’elle a contracté le syndrome du mille-pattes.

 

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- A vouloir vivre trop vite, on dépasse son âge.

 

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- A vous emporter, emportez-vous ailleurs. Les autres ne s’en porteront que mieux.

 

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- Abjectif : adjectif abject.

 

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- Absinthe : extrémité d’une église, derrière le chœur, où l’on expose souvent les statues des saints. Autrement dit, lieu où les saints s’exposent à tous les regards.

 

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- Abstenez-vous du jeûne tant que vous l’êtes. Vous serez toujours à temps d’y penser.

 

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- Accompagné : (de a-, privatif) : privé de sa sompagne, célibataire, veuf.

 

D’où l’expression : « Il vaut mieux s’emmerder à deux, que mal accompagné. »

 

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- Acteur à la ‘petite’ retraite échangerait chapeau d’artiste château d’harpiste, contre pèterie ou tout autre chose, histoire de ne plus voir ce qu’on lui a fait porter..

 

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- Actuellement, il est archi tôt pour manger des artichauts. Il vaut mieux attendre la saison, ‘c’est plus chure’.

 

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- Ados : individus instables que les parents essaient d’éviter de se mettre à dos, malgré qu’ils les aient toujours sur le dos.

 

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- After moi le déluge. (expression anglaise caractéristique du flegme britannique)

 

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- Aïl : légume mal toléré et l’interjection qu’il provoque.

 

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- Aimez-vous les uns les autres, mais surtout les uns. Les autres, il vaut mieux s’en méfier.

 

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- Albert Einstein n’aimait pas qu’on l’appelle Franck.

 

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- A l'aise

 

- Alèse peut s’écrire aussi alaise. Elle peut se dénommer aussi ‘drap de dessous’ comme ‘drap de dessus’, selon qu’on parle de la personne ou du matelas, surtout quand le lit est sens dessus dessous.

 

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- Aligator : crocodile qui se trompe souvent, comme son cousin lointain, l’éléphant.

 

-

 

- Aller chercher des poils à un œuf, c’est comme aller chercher des coquilles à un bœuf.

 

-

 

- Toujours plus loin

 

- Aller loin, toujours plus loin !! Quel intérêt, si c’est pour rester au ras du sol ! Autant aller près mais allez haut ! Et même, aller haut pourquoi faire ? Si ce n’est pour retomber de haut un beau jour ! Et si vous ne tombez pas, vous finissez par regarder les gens de haut, et avoir le coeur à ras du sol ! Vous finissez même par ne plus savoir que vous en avez un, ni à quoi il sert ! Si vous voulez mon avis, vaut mieux aller près, près des gens.

 

-

 

- Alors que la science s’infuse, la bêtise se macère.

 

-

 

- Amérindiens : indiens d’Amérique du Nord, qui ont gardé un goût amer de l’arrivée du colonisateur Christophe ‘Colon’. (les historiens médicaux appellent aussi cet état le ‘syndrome du Colon irritable’)

 

- - ‘J’ai’ c’est avoir. Mais pas G, ou en tous cas c’est à voir. Quant au geai, celui qui en a un peut dire « J’ai un geai ». C’est son problème.

 

- Amour est déraison, humour est dérision. Mais est-ce qu’amour est dérision ?

 

- Amphoiré

 

- Amphoiré : mis, ou conservé dans une amphore. Comme ‘Empoté’, pour mis en pot. Ne pas confondre avec ‘Enfoiré’, personne s’occupant d’une foire.

 

-

 

- Amsterdam : femelle du amster

 

-

 

- Bulle

 

- Amusez-vous à faire un zéro, c’est-à-dire comme une bulle. Faites-en plusieurs à la suite : zéro, zéro, etc..

 

Je sais, vous allez me dire que c’est nul !

 

N’empêche, au bout d’un moment, vous allez avoir tout un tas de bulles.. C'est joli !

 

Comme quoi, à partir de rien, parfois.. !!

 

-

 

- Analphabète :

 

- rien que le terme, déjà, situe le niveau d’empathie du linguiste vis-à-vis de l’inculte. Il ne manque que l’accent circonflexe sur l’avant-dernier ‘e’, pour le confirmer.

 

- - Dictée Il avait lavé la vaisselle, la vaisselle étant sa vaisselle puisque c’était celle qu’il avait. Mais au juste, qui lavait cette vaisselle qu’il avait ? Le lave-vaisselle ? Auquel cas il ne lavait pas. C’est elle qui lavait. N’empêche, c’était bien lui qui l’avait..Et ce n’est pas qu’il voulait ménager son électro-ménager, c’est parce qu’il venait d’emménager. (Et ce n’est pas parce que ‘’dictée’’ prend un e que ‘’la récré’’ en prend un aussi.)

 

- Les Chevaux de l’Apocalypse Quand on ne verra plus les oiseaux que sur les enseignes d’Auchan, les champs ne seront plus que champs de ruine, et les chevaux, ceux de l’Apocalypse. (je suis pas d’humeur, aujourd’hui..)

 

- La poule rousse Après avoir pondu son œuf tout beige, la poule rousse a eu des ennuis avec son coq gaulois, un grand jaloux aux plumes noir-et-feu. Ce qu’il ignore encore, c’est que le jaune d’oeuf est orange et le blanc d’oeuf tranparent. Par contre le gynéco les a prévenus, le poussin sera jaune.

 

- Fusil à un coup La vie est un fusil à un coup, et de toutes manières vous n’avez droit qu’à une cartouche.

 

- Sidéral Le vide est toujours sidérant, mais chez certains il est presque sidéral. Il y a quelque chose d’infini en eux. Je veux dire, de « pas fini »..

 

- Glissement sémantique Attention au glissement sémantique Bécasse – Bêtasse – Pétasse.. Et je ne m’adresse pas qu’aux chasseurs.

 

- Par chemins La vie n’est pas toujours un chemin, mais plutôt une campagne qu’on traverse à travers champs tout en ayant le choix entre trois manières d’avancer. Soit vous passez votre temps à regarder où vous mettez les pieds, de peur de vous faire une entorse dans une ornière, soit vous levez votre nez pour profiter du paysage, soit enfin vous regardez l’horizon pour voir où vous allez. Bien sûr, on peut faire les trois à tour de rôle, et c’est de la répartition de l’une ou l’autre façon de marcher que le chemin s’ouvrira, même si personne ne vous oblige à avancer.

 

- Ana t’aime et ne t’en veut pas.

 

-

 

- Anémie : affection fréquente chez les visages-pâles d’Amérique du Nord.

 

-

 

- Anneau Rexy : sorte d’anneau que le chirurgien vous place en début d’estomac pour restreindre votre volume gastrique, en vue de diminuer votre appétit petit à petit.

 

-

 

- Année bitextile : année propice aux soldes.

 

-

 

- Annoncer la couleur : aide apportée à un daltonien qui hésite à passer au rouge ou au vert.

 

-

 

- Anonyme : âne inconnu.

 

-

 

- Anorak : âne des pays froids et pluvieux.

 

-

 

- Anti-douleurs : personnes opposées à la douleur. Dans les manifestations, elles s’affrontent souvent aux masoïstes.

 

-

 

- Apprécier moyennement : ne pas apprécier du tout.

 

-

 

- Appréhension : ce qu’il y a après l’hension, c’est-à-dire, une fois qu’on aura trouvé la signification de ce dernier terme.

 

-

 

- Après avoir trompé sa femme, il eut peur de se tromper en la détrompant.

 

-

 

- Après l’incendie, le cinéma était entièrement cal-ciné.

 

-

 

- Après la mort de sa femme, le mari qui, à première vue semblait fort, était fort marri.

 

-

 

- Après le déclin de l’Empire romain, les chemins s’affranchirent de sa tutelle et ne menèrent plus à Rome. Chacun reprit son chemin.

 

-

 

- Après les enfants, et les chevaux, il ne reste plus guère que la crème fraîche à fouetter.

 

-

 

- Après les gens, c’est maintenant l’air qui est conditionné.

 

Conditionné à quoi, d’ailleurs ?

 

Au paiement du matériel qui va avec.

 

-

 

- Après lui avoir soutiré les sous, il s’est tiré, saoul.

 

-

 

- Après que la situation de son entreprise n’ait cessé de se dégrader, son patron a péri clité.

 

-

 

- Après qu’il eut été amputé de la main droite, il ne pût faire de l’auto-stop qu’en Grande-Bretagne

 

-

 

- Après ravalement, la maison avait un air de façade.

 

-

 

- Après sa vie, il est dit qu’on est mort. Après sa mort aussi.

 

-

 

- Après s’être cogné, il prétendit avoir vu trente six chandelles. Ça ne pouvait qu’être faux, puisqu’il ne savait pas compter.

 

-

 

- Après son accident, il avait perdu son odorat. Au début il ne se sentait pas très bien ; par la suite, il ne se sentait plus du tout.

 

-

 

- Après son concert, on l’opéra.

 

-

 

- Après son tabassage, il s’endormit dans les bras de Morphlée.

 

-

 

- Après une journée de dur labeur, vivement une soirée de molle leconfiture.

 

-

 

- A qua sert l’eau ?

 

-

 

- Aragon a dit : « Aimer à perdre la raison.. ». Harpagon a dit : « Aimer à perdre la maison ».

 

-

 

- Arrêtons de nous regarder le nombril, on finira par attraper un torticolis.

 

-

 

- Ariane : fille qui monte facilement au 7ème ciel.

 

-

 

- Arrêt pipi. Je dis ça pour les prostatiques non traités..

 

-

 

- Arthrose : art où excellent les retraités.

 

-

 

- Asperche : longue asperge.

 

-

 

- Assoiffé : (de a-, privatif) : qui n’a pas soif.

 

 

 

 

 

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Your attention please..

 

 

 

 

 

- Attention à l’orthographe : on écrit : « Un individu complice est repassé. », mais « Un tissu qu’on plisse est repassé. »

 

-

 

- Attention à l’orthographe de ‘fèces’ ; vous risquez de confondre contenant et contenu.

 

-

 

- Attention à la contrepèterie avec ‘parachute’.

 

-

 

- Attention à ne pas dire : « Les choses étant ce caleçon.. » mais « .. ce qu’elles sont.. », ce qui, soit dit en passant, est d’une banalité affligeante, les choses ne pouvant pas être ce qu’elles ne sont pas.

 

-

 

- Attention aux dictées avec « rond-point », quand il y a une virgule juste après..

 

-

 

- « Attention au maître du chien »

 

-

 

- Attention aux ‘récipiendaires’, ils sont moins vides qu’ils en ont l’air.

 

-

 

- Attention, quand vous êtes dans une église, à ne pas dire ‘Hymen’ au lieu de ‘Amen’.

 

-

 

- Attention : L’assurance ‘Tous Risques’ ne couvre pas les rixes.

 

-

 

 

 

C’est fini. Vous pouvez détacher vos ceintures.

 

 

 

 

 

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- Attila Attila n’a pas fait la guerre de Troie avec les Huns, car il savait qu’il allait devoir s’y prendre à deux fois.

 

-

 

- Au cadet de mes soucis j’ai toujours préféré le benjamin.

 

-

 

- Au Canada, la Police Montée fait régulièrement des descentes dans les quartiers chauds.

 

-

 

- Au canular ou au calembour, le glouton préfère le calamar, ou le camembert, et son gamin, le carambar.

 

-

 

- Au concours de circonstances, le premier reçu le doit toujours au hasard.

 

-

 

- Au fil des décennies, et indépendamment de l’âge, on veut davantage d’avantages.

 

-

 

- Au fil des générations, des migrations et des croisements de populations, le métissage finira par faire naître un homme nouveau, mélange de tous les peuples de la terre, aboutissement d’une reconvergence vers l’homme le plus ancien, le premier homme. Et la boucle sera bouclée.

 

Mais que de temps bâclé, pour en arriver à comprendre que ce qui fait la richesse des hommes c’est leur différence, et que ‘sans tes frères terriens, t’es rien !’.

 

-

 

- Miroir Au fil du temps je me trouve moins beau dans mon miroir. Il faut dire qu’il est vieux.

 

-

 

- Au fil du temps, nos limites se rapprochent de celles qu’on a connues chez nos parents, et avant eux, chez nos grands-parents. La tolérance nous rattrape.

 

-

 

- Au fur et à mesure, l’usure connût la démesure. Et la vieillesse vint.

 

-

 

- Au lieu d’arrêter les voleurs, la Police ferait mieux d’arrêter le temps. Au moins, on verrait la différence.

 

-

 

- Au lieu de le faire vérifier par acquis-de-conscience ou par je ne sais trop qui, vérifiez-le par vous-même.

 

-

 

- Au lieu d’en venir au fait, ne vaut-il pas mieux s’en aller à la fête ?

 

-

 

- Au lycéen je dis : « Il vaut mieux que le bac te sourit plutôt que le bac te rit. »

 

-

 

- Au moment du grand départ, s’il me reste encore un peu d’humour, j’essaierai de vous faire un dernier clin d’œil, avant de Lui faire un clin D’ieu.

 

-

 

- Au Moyen-Age, en Occitanie, les médecins n’osaient pas soigner les cathares et autres rhumes.

 

-

 

- Au Moyen-Age, l’âge moyen devait se situer entre 30 et 40 ans. ( je veux dire.. de durée de vie. Oui parce que, plus la durée de vie augmente, plus l’âge moyen augmente en se décalant..). (c’est d’ailleurs ce qu’il faudrait à mon humour décalé, qu’il augmente..!).(à moins ce qu’il soit davantage ‘moyen’ que ‘décalé’.).

 

-

 

- Au Moyen-Age, la maison d’Anjou était réputée pour ses plantes à genêt et autres laitues d’or. (il faut un peu de ‘culture’ générale, ou du moins de l’Histoire de France..).

 

-

 

- Au Moyen-Age, il valait mieux pas demander à un sire d’être concis. Car, soit il l’était très tôt, soit il avait peu de chances de le devenir.

 

-

 

- Au Musée Grévin, le roi était en sir.

 

-

 

- Au ‘sot’ du lit, éviter les imbéciles. Ça en fait assez d’un..

 

-

 

- Au terme de sa cure thermale, le curé se sentit mieux, mais sa terre, mal..

 

-

 

- Au vu du nombre de femmes qu’il a eues, Barbe-Bleue était plutôt un barbecue, pour ne pas dire un barbecul.

 

-

 

- Au vu qu’à la vue de certaines femmes, certains hommes, pour ne pas dire tous, se mettent dans ‘tous’ leurs états, un martien ou un avrilien pourrait être amené à se demander quels sont ces états ?

 

A vrai dire, il n’y en a qu’un ; et il est vrai que c’est un état bien ‘singulier’.

 

-

 

- Aux casaniers, je dis : Circulez, y-a tant de choses à voir !

 

-

 

- Aux homosexuels, de nos jours enfin, on leur ‘lesbien’ la liberté de mœurs. Vous me direz : ‘Est-ce bien’ ? En tous cas, cette liberté ne peut les rendre que plus ‘gais’.

 

-

 

- Aux innocents les mains pleines..de coquilles vides.

 

-

 

- Imprécision Aux mendiants de toute époque, de tous âges et de tous lieux, tout ce que leur donnent les gens peu charitables, c’est un certain âge. Pardonnons à ces gens-là leur imprécision : c’est vrai qu’ un mendiant ne ressemble à rien..

 

- Verlan le verlan de mendiant est presque diamant.

 

- Aux vrais saints, les nichons ne leur font ni chaud.. ni chaud !!

 

-

 

- Aujourd’hui,

 

comme hier,

 

le lierre,

 

au buis

 

comme au chêne,

 

s’enchaine..

 

-

 

- Aujourd’hui les geais sont légers, et mon coeur aussi..

 

-

 

- Aujourd’hui plus que naguère, l’expérience des Anciens ne leur sert plus qu’à fulminer contre l’insouciance, l’inconscience, ou l’insolence des jeunes. Rien de nouveau sous le soleil, comme sous la pluie.

 

-

 

- Autant en cuisine un plat tonique est consistant, autant en amour un platonique vous laisse sur votre faim.

 

-

 

- Lassitude L’attitude qui consiste à se situer par rapport au Nord ou au Sud, s’appelle la latitude . C’est simple. Pour la longitude, c’est plutôt la lassitude, car les pays de l’Est ne le sont que pour nous, mais pas pour les Russes ; et le pays du Soleil Levant ne l’est que pour un Chinois, mais pas pour un Californien, qui voit la Chine comme le pays du Soleil couchant. Pour nous, pas de problème, on peut pas se tromper. On est au milieu.

 

.-

 

- Autel des Impôts : lieu symbolique où l’on procède aux sacrifices des contribuables

 

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- Auto-didacte : qui a appris à conduire sans voiture.

 

-

 

- Auto-tampons : tampons que les femmes peuvent s’appliquer sans l’intervention d’un tiers.

 

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- Avant d’être reçu à un concours, il faut être reçu par les examinateurs.

 

-

 

- AV ‘AV’ César, ceux qui vont te vendre te saluent.

 

-

 

- Avant de dire une bêtise il faudrait, paraît-il, tourner sept fois la langue dans sa bouche.

 

Est-ce à dire que rien ne vous empêche de la dire après ?

 

Et est-ce bien de votre langue maternelle dont il s’agit ?

 

-

 

- Avant de lancer une lessive, assurez-vous qu’il n’y a personne en face.

 

-

 

- Avant de reprendre leur migration d’automne, les hirondelles viennent recharger les batteries de leur GPS sur les fils téléphoniques.

 

-

 

- Avant l’invention du miroir, la banalité de son physique sautait moins aux yeux que de nos jours. On en avait conscience inconsciemment, si je puis dire, et ça m’aurait convenu..

 

La beauté par contre, devait déjà se percevoir par et dans le regard des autres.

 

Finalement le miroir ne sert donc à rien, hormis à se percer les points noirs, pour les filles, et à se raser pour les garçons.

 

-

 

- Avant le passage à l’euro, combien de lires italiennes fallait-il pour se payer un livre neuf, et combien de livres anglaises fallait-il pour s’offrir une lyre ancienne ? C’était un délire de calcul.

 

Quant à s’offrir la lyre, en euros comme en lires, il faudra toujours casser sa tire-lire.

 

-

 

- Avant même que nous aimâmes, nous nous émûmes.

 

-

 

- Avant qu’une digue relie le Mont Saint-Michel au continent, ses habitants en avaient raz la marée d’avoir à attendre le retrait des eaux.

 

-

 

- Avec ce caillou dans la vésicule juste avant de partir en vacances, il avait fait un mauvais calcul.

 

-

 

- Avec certaines personnes, n’attendez pas un retour d’ascenseur. Elles vous feront toujours le coup de la panne.

 

-

 

- Avec certaines personnes, quand elles n’en font qu’à leur tête, vous ne risquez pas grand-chose.

 

-

 

- Avec deux solitudes on peut parfois faire une compagnie ; mais avec deux flegmes on peut rarement faire un enthousiasme.

 

-

 

- Avec l’âge, même si on est resté sportif, il n’y a pas que le côté ‘pile’ qui s’use, le côté ‘face’ aussi.

 

-

 

-

 

- Avec l’âge, on apprécie le temps autant qu’on le craint.

 

-

 

- Avec l’âge, on réalise un jour que sans, c’est pire encore.

 

-

 

- Avec le caleçon, l’homme câle son…

 

-

 

- Avec le temps, on subit le modelage des maux de l’âge.

 

-

 

- Avec les progrès de la génétique, on peut envisager dans l’avenir de se faire remplacer un gène qui vous gêne.

 

-

 

- Avec les femmes, il y a au moins un domaine où il faut être ferme.

 

-

 

- Avec leur fer à friser, les femmes ne font parfois que friser le ridicule.

 

-

 

- Avec l’O on peut faire le T.

 

-

 

- Avec ma moitié, j’ai eu beaucoup de pépins. Quant à l’autre moitié, c’est-à-dire ma pomme, elle a du mal à la digérer.

 

-

 

- Avec ou sans croix, avec ou sans croissant, les croyants sont, je crois, lassants.

 

-

 

- Avec sa petite cigarette anodine, il s’en allait clopin-clopant vers un petit cancer sym-pa, non pas à cinq pas mais à deux pas du cimetière, là où les cyprès sont si près que leurs racines vous chatouillent les pieds, à dix pieds sous terre.

 

A l’ombre et au frais, ‘‘si Me Tiers’’ le veut bien. (c’est le surnom qu’on donne à Mr ‘Tiers’, celui qui concerne toujours les autres et jamais soi..)

 

-

 

- Avec tous les gens qui vous mènent en bateau, on se demande comment les transports maritimes ne sont pas saturés !

 

-

 

- Avec un comptable et un postier, on doit pouvoir faire le jeu des Chiffres et des Lettres.

 

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- Avocat, le seul fruit qui peut devenir un légume.

 

 

 

- Avoir des poux reste une manière de faire du co-voiturage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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- Avoir tout loisir de travailler, pourrait être la définition du bricolage.

 

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- Avoir un contentieux : avoir préparé sa place au paradis en y ouvrant un compte.

 

-

 

- Une chance sur deux Avoir une chance sur deux n’est pas toujours une chance ; tandis qu’avoir une malchance sur deux est toujours une malchance.

 

 

 

-

 

- Avoir une déconvenue : voir arriver des cons chez soi.

 

-

 

- Autant que ce soit vous qui remerciiez votre patron.

 

-

 

- Ayez confiance en vous, ça en fera au moins un.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

POT POURRI :

 

(peut-être qu’il porte bien son nom)

 

 

 

- L’après-retraite La retraite n’est que l’après pré-retraite. L’après-retraite elle-même, par contre, pose un problème d’avenir..

 

- Quitte à avoir une condition modeste, mieux vaut être cireur de bottes que lèche-bottes.

 

- Les crocodiles croquent plus facilement les femmes que les hommes, et parmi elles, plus généralement les ‘Odile’.

 

- Il semble logique que les écolos ne votent pas ‘conservateurs’.

 

- Le gratin de la société a plus souvent l’occasion de manger des petits fours que les autres.

 

- Les bronzés travaillent souvent au noir pour les blancs.

 

- Quand on ne peut plus compter sur sa moitié, il faut se résoudre à passer par un tiers.

 

- Si les mélomanes français jugent austère Litz, que devraient-ils penser de son collègue moins connu de l’époque, son triste concurrent Walter Loo ?

 

- Un rhume, c’est quand un nez se ‘gorge’ d’eau.

 

- La Mer Morte est le meilleur endroit pour apprendre à nager, paraît-il. La moins propice semble être la Mer Caspienne, surtout si l’on n’est pas patient.

 

- Distinguer les bébénageurs des déménageurs. Les premiers sont comme des poissons dans l’eau, les seconds, comme des armoires à ‘glace’.

 

- Plan “P” Si on parle du jour ’J’, on ne devrait pas avoir à parler de plan A, éventuellement remplaçable par un plan B, mais de plan ’P’. Si ce n’est que le ‘plan de remplacement’ serait alors le plan Q.. (ou ‘Quelon’, c’est selon..). Mais le plan Q, ça fait un peu scrabreux.

 

- Il y a des jours où je transformerais bien mon chat empâté en pâté de chat.

 

- Etre au ras des pâquerettes est d’autant plus frustrant que ce n’est pas le printemps.

 

- Salade Malekoum : salade d’entrée dans les repas musulmans.

 

- Rire de soi n’est pas rire de son humour, mais de son sérieux.

 

- Etre con est moins un handicap pour celui qui l’est que pour celui qui est amené à le fréquenter.

 

- Si en discutant, le poissonnier vous tend la perche, assurez-vous au préalable qu’elle est fraîche.

 

- Fugueuse Sa fille, d’un physique ingrat, fuguait souvent. C’était son seul moyen de se faire la belle.

 

- Vaut mieux une Marie-honnête qu’une Annie-mal-honnête.

 

- Un nez norme n’est pas, paradoxalement, un nez normal mais un énorme.

 

- Je n’ai jamais compris l’intérêt des affiches disant : « Pas de porte à vendre ».

 

- Règles S’il faut respecter les règles, il faut respecter plus encore celles qui les ont.

 

- Cette personne qui s’occupait de la cuisine n’était pas l’abbesse Chameau mais l’abbé Chamelle.

 

- La bonne case Sur un document administratif, il ne faut pas cacher la cause mais cocher la case, sauf en cas de crime avec préméditation.

 

- La mouche me semble l’insecte le plus morveux.

 

- Je ne me rappelle jamais si les stalactites sont les dents du haut ou celles du bas.

 

- Messieurs les maris, quand vous voulez vous féliciter, devant un ami, d’avoir fait le bon choix quand vous avez rencontré votre épouse, évitez de dire que « vous avez tiré le gros lot. ». C’est ‘triplement’ vulgaire : d’abord le ‘lot’, ensuite.. je ne sais pas quel est le plus gênant des deux autres.. !?

 

- Au téléphone, il est plus difficile de raccrocher au nez d’un asiatique que d’un occidental, vu le profil.

 

- Certaines personnes, on ne sait pas ce qu’elles font dans la vie, à part vous la compliquer.

 

- Le marin est celui qui mate l’eau, mais que dans l’un des deux sens du terme.

 

- Un chocolat chaud n’est pas un pléonasme, alors qu’un froidcola froid, si. Quant au chothé chaud, c’est ce qu’une fille dit à son mec à certains moments de la journée.. Et pour ce qui est du ‘froidthé froid’, elle ne doit pas avoir besoin de le lui dire souvent.

 

- D’antan, les femmes fortes pouvaient porter deux sortes de ‘ba-leines’ – certains insolents diront trois - mais par contre, une seule sorte de bas coton.

 

- Ne pas confondre un cachalot et une cave à vins, même si quand cette dernière est bien cachée, on pourrait l’appeler ‘cache-à-vins’.

 

- Quand un mille-pattes arrive chez son cordonnier, ce dernier fait son chiffre d’affaires de l’année.

 

- Parfois on n’a pas d’autre choix que de se persuader qu’il n’y a que la beauté intérieure qui compte.

 

- Comment pallier l’absence de couloir ? Par un palier.

 

- Paradoxalement, ce n’est pas dans la solitude mais quand il est en compagnie des siens que le peuplier peut pleurer.

 

- Décadanse : danse à dix pas. Quintessence de la danse, c’est l’alexandrin de la cadence.

 

- Avec les nouveaux matériaux, les vitrines des magasins sont d’une résistance en verre et contre tout.

 

- Une ignominie devient une ignomaxie lorsqu’elle est le fait d’un homme d’influence.

 

- On ne peut pas dire qu’un individu lambda est forcément grec, même si l’homme est ga. Par contre s’il est gaga, c’est qu’il est un peu béta.

 

- Insidieux Vous ai-je déjà dit que le diable est insidieux ? Pourtant le dieu n’est pas ainsi, diable !

 

- Depuis que j’ai laissé tomber le biberon, mes parents m’ont fait boire la tasse tous les matins..

 

- Il doit être sacrément demandé cet Ailleurs, avec tous les gens à qui on l’envoie lorsqu’on n’a pas le temps, ni l’envie, de s’en occuper !

 

- L’avantage de la mauvaise foi c’est qu’on a toujours raison ; l’inconvenient, c’est qu’on n’apprend rien.

 

- Modestie Certaines personnes ont du mérite à être modestes. Pour d’autres c’est une obligation.

 

- Si vous chercher à éviter les problèmes, même si vous êtes juif, ne vous abritez pas dans la tente à Sion.

 

- Vinarium : aquarium à alevins.

 

 

 

 

 

 

 

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B

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B de : Bon, comment çà se passe ? On continue ?

 

Badin, Balsamique, Batifolant, Beau, Bénéfique, Bêtisier, Bijou, Billevesée, Blague, Boff, Bon, Bouffon, Bravo, Burlesque..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Bac à sable : baccalauréat pour tous petits.

 

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- Ball-trap : ramasseur de balles sur un court de tennis.

 

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- Bal-trap : bal où l’on peut tirer ce qu’on attrape..

 

-

 

- Barbecue : barbe qui s’affesse.

 

-

 

- Barock : art musical dérivé du rock, avec prépondérance des basses, qui s’est développé dans les bas quartiers de Haarlem dans les années qui ont suivi la période précédente.

 

-

 

- Barreau (le -) : établissement pénitentiaire où sont emprisonnés les avocats.

 

-

 

- Ba-llons’ : bas que portent les foot-balleurs, et qui devraient plutôt s’appeler mi-bas, puisqu’ils s’arrêtent en dessous du genou. Les bas longs montant jusqu’à mi-cuisse ne s’appellent pas des mi-bas cuisse, mais des bas mi-cuisse. Les bas qui montent jusqu’à mi-ventre s’appellent par contre des collants.

 

-

 

- Batterie : instrument à percussions qui marche sans courant.

 

-

 

- Battre plutôt qu’abattre, un sportif plutôt qu’un arbre.

 

-

 

- Bazarnaüm : bazar à cafards.

 

-

 

- Beaucoup d’hommes ordinaires se sont comportés un jour ou l’autre en héros, sans qu’on ne l’ait sû. A tous ces ‘sombres héros’ je veux rendre hommage aujourd’hui, pour ne pas dire que je leur tire mon chapeau.

 

-

 

- Beaucoup de malheureux n’ont que ce qu’ils ne méritent pas.

 

-

 

- Beaucoup de personnes ont un penchant naturel à s’épancher ; avec l’avantage de pouvoir vider son coeur. Mais à trop s’épancher, on risque de tomber de haut.

 

-

 

- Beaucoup de personnes, suite à une épreuve, accusent le coup, sans preuve.

 

-

 

- Beaucoup de projets, d’inventions, ont vu la nuit avant de voir le jour.

 

-

 

- Beaucoup d’inventeurs, artisans, luthiers et autres, pas forcément célèbres, ont laissé leur nom aux instruments de musique qu’ils ont inventés : le plus connu est peut-être Ingres et son violon, mais on peut citer Jéricho et ses trompettes, Pain et sa flûte (qui est devenue par erreur : flûte de Pan), Barbarie et son orgue, Coulisse et son trombone (on devrait dire, d’ailleurs, « trombone de Coulisse »), Cuisine et sa batterie, Pourboire et ses cymbales. Et j’en oublie..

 

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- Belges (Moulins belges)

 

 

 

Pourquoi les Belges ont autant de vent, chez eux ? Van de Velde, Van der Mest, Van der Brugen, Van Cruist ...

 

C'est parc' qu'ils ont un plat pays, où rien ne peut l'arrêter, au vent, même pas les moulins à vent !

 

D'ailleurs, chez eux les moulins ont été construits uniquement pour l'occuper, au vent, pour lui donner du grain à moudre, mais pas pour l'arrêter ! Car, vous savez ce qu' c'est, les moulins, on y entre et on en sort, comme dans un .., oui bon ! Alors le vent, il y passe en coup d' vent !

 

Surtout que les moulins, "avant" , ils avaient des ailes ! Alors vous m'avez compris ! Un jour ils en ont eu marre, de servir de paravent, et ils ont mis les voiles ! Et le vent peut d'autant moins les rattraper, qu'il les pousse ! C'est une fuite en avant..

 

..Et pendant que son moulin va trop vite, pendant que son-moulin-son-moulin-va-trop-fort, le meunier, lui, que fait-il, il dort ! Comment voulez-vous que çà tourne rond !? ..

 

Alors, pendant que les blés patientent, "bonne pâte", les raisins s'impatientent, "en vain" ! ..Faudrait pas qu' çà tourne au vinaigre ! Viv'ment les "vents d'ange" !

 

-

 

- Ben : grande caisse métallique basculante montée sur un camion arabe, ou juif.

 

-

 

- Bénévole : personne qui aide gratuitement les autres moyennant le paiement d’une cotisation personnelle pour faire partie de l’association.

 

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- Berger allemand : contrairement au berger français, il a de la gueule.

 

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- Bidonville : ville où est né Diogène.

 

-

 

- Bien avant le concept commercial du « Deux-en-un », existait l’amour déjà… (les prosaïques diront que l’amour c’est plutôt le « Un-en-un », le ‘un’ n’étant pas le même ; auquel cas les ‘branchés’ ren-chéri-ront sur l’autre définition du « deux-en-un ».. !)

 

-

 

- Bien avant que la Poste ne voit le jour, l’homme vécut la période ante-poste.

 

-

 

- Bien distinguer si ce que l’on affectionne sont les ‘bals-en-soirs’ ou les ‘bals-en-soirée’, car c’est une manière différente de s’envoyer en l’air, et souvent pas au même âge. L’avantage de la première c’est qu’on peut le faire tout seul ; mais partager son plaisir n’est pas mal non plus, et certains diront même, plus altruiste..

 

-

 

- Bien et Mal ne sont pas les couleurs blanc et noir pures, mais tout le dégradé de la pallette.

 

-

 

- Bien mal acquis ne profite à personne ..d’autre qu’à son acquéreur. Alors que les biens malachite ne profitent qu’aux amateurs de pierres précieuses.

 

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- Bien qu’assistante de direction, elle perdit le contrôle de sa voiture.

 

-

 

- Blague à part, je ne fume plus depuis que j’ai vu comment le tabac ça t’abat un bûcheron.

 

-

 

- Blanc.. ! Je n’ai plus d’idée. Passez à la suivante..

 

-

 

- Blason : blouson pour blasé.

 

-

 

- Bon, c’est pas tous les jours que çà arrive, certes, mais.. quand on parle d’un ‘sous-lieutenant’ à un militaire anglais, toujours s’assurer qu’il ait bien compris ‘sous’ et non ‘saoul’, connaissant leur grammaire-à-adjectif-placé-avant-le-nom, et leur a-priori sur le goût prononcé du Français pour le bon vin..

 

-

 

- Bonaparte : appartement de valeur.

 

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- Bouddhisme : mode de préparation du cochon d’Inde.

 

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- Bouliste : personne qui est contente lorsqu’elle a les boules.

 

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- Brosse-ève : brosse-à-dents pour les filles, rose généralement.

 

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- Bruit sourd : seul bruit que vous êtes autorisé à faire après 22h.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Conserve avariée : (variante du pot pourri)

 

 

 

- Mur mûr

 

Si le mur tombe, c’est qu’il est mûr. Mais s’il dure, c’est qu’il est dur.

 

- Fêtard

 

Quand arrive la nuit, il se fêtard.

 

- Si la nuit tombe, ne cherchez pas à la relever ! Elle me fait le coup tous les soirs.

 

- Quoi de plus banal qu’un romancier se livre dans son œuvre.

 

- On ne peut pas dire « Les avions, nous les bateaux », alors qu’on peut dire l’inverse.

 

-

 

Ne pas confondre l’Etat Nazi et l’euthanasie, même si par le passé le premier a utilisé le second. Il eut fallu que le second soit utilisé sur le premier.

 

- Quand en parlant, un noir a un blanc, ça ne se remarque pas plus que chez nous.

 

- Un chapon n’est pas un chat qui pond mais un jeune coq chât-ré.

 

- Mettre à mal une femelle n’a jamais grandi le mâle.

 

- Il vaut mieux être un écrivain que pondre un écrit vain. Mais on peut cumuler.

 

- Un mot tabou n’est pas un mot laid, comme un mot laid n’est pas forcément tabou. D’ailleurs taboulet n’est ni tabou ni laid, alors qu’il semble les deux à la fois.

 

- La connerie, ceux qui en parlent le moins bien sont ceux qui la pratiquent le mieux.

 

- Amour ..humour, humour ..humeur, humeur ..tu meurs.. ! Oui, boff.. ! comme dirait mon beau-frère.

 

- Quand tu marches plus vite d’une jambe que de l’autre, tu finis par marcher l’amble.

 

- Je me suis souvent demandé ce que venaient faire les belli-gérants dans une guerre ? J’ai fini par comprendre qu’ils ne venaient pas pour ‘faire les beaux’ mais pour ‘compter’ les points.

 

- Faut-il en vouloir à un mourant ? Non ! Il ne le fait pas exprès.

 

- Suicideur

 

Peut-on suicider quelqu’un ? On est alors un suicideur. Mais ‘suicider’ est un verbe pronominal, c’est donc réservé aux pro nominés, c’est-à-dire non seulement à des pros, mais en plus nominés. Vous avez peu de chances. Contentez-vous donc de vous suicider.

 

- Le dicton dit : « Pour vivre heureux vivons cachés » (ou ‘couchés’ pour les autres), mais il ne dit pas comment mourir heureux. On sent comme un manque d’expérimentation..

 

- Que le Lux-embourg soit un paradis fiscal n’a pas de quoi surprendre. Le tout, pour le concerné, c’est de ne pas se laisser surprendre, c’est-à-dire prendre. Sinon c’est un con-cerné.

 

- Sénile

 

Vieillir sénile, c’est nul. Quoique, ça permet de ne pas s’en apercevoir.

 

- Caricature

 

Traiter un dentiste d’arracheur de dents est une carie-cature.

 

- Ascendant

 

Il est plus facile d’avoir de l’ascendant sur ses descendants, que l’inverse.

 

- Qui gagne des liasses est en liesse. Quelqu’un de plus vulgaire que moi aurait dit : « Qui a la chiasse est en chasse de liasses de papier.. ».

 

- Il y a le ver de pomme, il y a le ver de terre, mais il n’y a pas le ver de pomme de terre. Comme quoi l’union fait la force.

 

- Versa-t-il la somme ? Le témoin n’arrête pas de changer de version.

 

- Pour un chiffre rond, il vaut mieux recevoir la somme correspondante, même petite, que son chiffre inversé. Par contre pour un chiffre de pub, et si l’on enlève la virgule, c’est l’inverse.

 

- Si, pour les fêtes de fin d’année, vous recevez une lettre de votre nouveau patron vous proposant de participer au tapin de Noël, vérifiez bien qu’il n’est pas dyslexique.

 

- Et si la vie n’était qu’un rêve, et la mort son réveil !! Nous serions dans de beaux draps ..!

 

- Une descente de lit peut servir aussi de montée de lit. Même si vous avez une montée de lait.

 

- Halle halal : halle spécialisée pour les musulmans.

 

- Ne pas remettre à demain la pilule du lendemain.

 

- Mollet

 

Mollet est un joli mot.. Et si c’est un joli mollet, en plus, ça vous fait une belle jambe.

 

- Quand le chat-rogne un os, c’est que c’est un chien.

 

- Impasse

 

La vie est une impasse qui porte votre nom.

 

- Gepetto était le père de Pinocchio. Poil au dos. Gepetté, le père de Pinochet. Poil aux nez. (c’est mon côté primaire, dans le sens CM1-CM2.)

 

- Omelette

 

Si vous omettez de mettre les œufs pour l’omelette, elle est immangeable. Si vous omettez les ‘e’, elle est imprononçable.

 

- Il y aura toujours des ‘articles’ dans les journaux, sinon la compréhension des textes sera compromise.

 

- N’avez-vous jamais vu une vieille baignoire dans un pré ? Preuve que les vaches prennent le temps de se baigner aussi.

 

- Contrairement aux arbres à feuilles caduques, les résineux sont, comme certains vieux, durs de la feuille. La différence avec les vieux, c’est que ces derniers seront néanmoins tôt ou tard caduques, et pas que de la feuille.

 

- Mime

 

Que peut bien faire un mime sur une cime, à part servir de rime ?! Eh bien non. Il peut très bien mimer une scène de crime, dans laquelle par exemple il pousse l’amant de sa femme dans l’abîme ! Certes, c’est une probabilité infime, mais c’est mon opinion intime.

 

- Pénates

 

Faute de pouvoir gagner deux fois, l’une des rares choses qu’on peut regagner, c’est ses pénates.

 

 

 

 

 

- Inculte

 

Un inculte n’est pas un croyant qui ne pratique pas le culte mais un mécréant de la culture. A moins que ce ne soit, malheureusement encore et ailleurs, un éconduit de la scolarité.

 

- Pantois

 

Certains événements me laissent pantois. Pas toi ?

 

- Saleté

 

Votre saleté personnelle n’est que votre saleté propre.

 

- Les hommes ont beaucoup de facilité pour reproduire leur instinct de reproduction.

 

- Syracuse

 

Pour ceux qui aimeraient bien voir Syracuse, il vaut mieux qu’ils n’aient rien à se reprocher.

 

- Porte ouvertement Un enfant, ça fait irruption dans votre vie en laissant la porte ouverte.

 

- Si vous rajoutez un 0 aux 101 Dalmatiens, vous passez directement aux 1001 Nuits.

 

- A force d’être à moitié à poil, les anges finissent par avoir des angelures.

 

- Hypercondriaque se dit paradoxalement lorsqu’on est très hypocondriaque.

 

- Femme qui se refuse à se donner se dérobe. Femme qui ne refuse pas ne tarde pas à se « dé-rober ».

 

- Etiopathe : habitant d’Ethiopie.

 

- Dans la capitale espagnole, au petit-déjeuner, on prend des cé-réal-madrid.

 

- Dans tout canton, on retrouve à peu près le même quota de cathos.

 

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C de : C-tencourageant. Poursuivons !

 

Cabotin, Cactus, Cadeau, Calembour, Calembredaine, Cathartique, Caustique, Charmant, Chef-d’œuvre, Chouette, Clochemerle, Clown, Cocorico, Comique, Concis, Concluant, Concocté, Condensé, Considérable, Coquin, Coriace, Corrosif, Créatif, Croquant..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- C’est dans moments perdus qu’on se trouve le mieux.

 

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- C’est bête comme ce sont les petites bêtes qui nous embêtent ! Serait-ce la revanche des faibles !?

 

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- C’est bette comme chou, mais le jardinier n’en navet que pour ses salades. Il fallait qu’il les asperge à longueur de journée. Il était à leurs petits oignons.

 

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- C’est curieux de dire qu’on a un coup de pompe, lorsqu’on est fatigué !! Je dirais plutôt, à ce moment-là, que j’ai besoin d’un coup de pompe !

 

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- C’est curieux que les fumeurs aient tant de mal à s’arrêter de fumer. Déjà, rien que dans ‘cigarette’, ils sont prévenus qu’il faut qu’ils arrêtent.

 

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- Dans l’air du temps C’est dans l’air du temps, même les analyses de sang sont bio.

 

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- C’est déjà bien de réagir quand vous êtes dans votre droit. C’est encore mieux de le faire quand vous êtes ‘dans votre devoir’.

 

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- C’est des petites gens que viennent les grands hommes. Mais ils ont tendance à l’oublier

 

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- C’est difficile de ne pas grossir quand on n’est pas difficile.

 

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- Cheval avec un X C’est drôle d’avoir à dire que, ce que valent les chevaux, c’est plutôt ce que vaut le cheval.

 

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- C’est drôle la vie, je la croyais plus longue !

 

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- Histoire de chats C’est fou ce qu’on peut faire à un chat : on peut les chagriner, les chahuter, les chamailler, les chaparder, les chasser, les châtier, les chatouiller, les châtrer.. (Les dictionnaires sont sans scrupules et san--guinaires).

 

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- Merci les pauvres C’est grâce aux petits qu’il y a des grands. Ce qui est grave, c’est que c’est grâce aux pauvres qu’il y a des riches. (merci de ne pas inverser la formule.)

 

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- C’est l’histoire d’un mac, qui s’appelait Donald et qui, au lieu de mettre les pieds dans le plat, y a mis des frites et autres hamburgers vulgaires. Et il est devenu Picsou. (Comme quoi l’appétit des uns nourrit les autres, et vice versa.)

 

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- C’est la goutte qui a fait déborder le vase de Soissons.

 

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- C’est marrant d’apprendre qu’on est aussi continent lorsqu’on est peu bavard, taciturne. On a même la possibilité, avec le temps, d’être en même temps incontinent.

 

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- « C’est n’importe quoi !! » : bêtise faite par « C’est n’importe qui ».

 

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- C’est pas parce qu’il vous tarde de terminer ce que vous avez entrepris par cette journée maussade, que le temps pourri presse.

 

-

 

- C’est pas parce qu’ils font le tour des marchés que les commerçants concernés, c’est-à-dire ambullants, ne conçoivent leur vie ’’qu’en bullant’’.

 

-

 

- C’est pas parce qu’on a bu à la buvette qu’il faut aller pisser dans la piscine.

 

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- Tiers état C’est pas parce qu’on a un problème avec un tiers qu’il ne faut pas le résoudre dans sa totalité.

 

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- C’est pas parce qu’on parle de longitude, en mer, qu’on peut parler de latitude du marin.

 

-

 

- Légume C'est pas parce qu'un fruit ne donne pas de légume qu'un légume ne peut pas donner de fruit. Mais si un légume peut donner du fruit, un homme, lui, pour donner du fruit, ne doit pas être un légume !

 

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- C’est pas parce qu’un tapissier peut vendre des tapis qu’un pâtissier peut vendre des pâtis. A part à Marseille, bien sûr, mais là ce sont plutôt des pastis.

 

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- C’est pas parce qu’un tracteur tracte que son chauffeur chauffe.

 

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- Tiré par les cheveux.. C’est pas parce qu’une personne est lente qu’un jour elle sera pou.

 

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- « C’est pas très catholique’ » finira par devenir un compliment..

 

-

 

- C’est quand la lumière du jour se lève que les allumés de la nuit se couchent.

 

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- C’est toujours gênant d’avoir les yeux plus gros que le ventre, surtout chez un ventripotent.

 

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- Violon C’est un mendiant musicien qui fait la manche et qui demande aux passants : « T’as pas cymbale ? ». « Flûte, répond une jolie quadragénaire, j’ai pas un sou sur moi.. ! ». « Et dessous..? » C’est là que la police l’embarque, pas pour effronterie licite mais pour mendicité illicite. Il a fini au violon..

 

-

 

- C’est une fois que la messe est dite, que certains auraient besoin de prier.

 

-

 

- C’est uniquement quand la nuit tombait, que les Gaulois craignaient que le ciel ne leur tombât sur la tête.

 

-

 

- C’est vrai que le fainéant, il ‘fait néant’. Il y en avait d’ailleurs une proportion non négligeable chez les Aryens, en tous cas chez les bons.

 

-

 

- Il était une foie..(!) C’était la première foie qu’il en avait mare de manger, le connard ! Son vétérinaire lui prescrivit une cure d’orthographe, et le canard s’en remit.

 

-

 

- C’était un chanteur passionné de rock ; et comme il imitait toutes les stars, on l’appelait le perrockeur.

 

-

 

- Considérable C’était un considérable.

 

-

 

- C’était un fumeur invétéré. A sa mort, il fut insinéré.

 

-

 

- Monsieur Lépinceau C’était un métisse, Monsieur Lépinceau. Chez nous, on dit que c’est un sang-mêlé, Lépinceau..

 

-

 

- C’était un poisson solitaire, qui vivait dans sa bulle.

 

-

 

- C’était une belle plante, mais un peu empotée.

 

-

 

- C’était une confiture mi-prune, mi-figue mi-raisin.

 

-

 

- Ça faisait un bail qu’ils louaient cet appartement, sans y avoir fait le moindre entretien ou ménage. Même les plafonniers n’avaient pas vu passer un chiffon à poussière depuis des lustres.

 

-

 

- Calendes grecques : suite du calendrier romain.

 

-

 

- Camille Caze : personne pistonnée, casée par un ami à un poste risqué. (est-ce bien un ami, au fait ?)

 

-

 

- Camping : moitié de table de ping-pong, l’autre étant le campong.

 

-

 

- Canne à sucre : canne diabétique à force d’être gavée.

 

-

 

- Opérations “Portes fermées” « Caserne fermée jusqu’à nouvel ordre. »

 

-

 

- Catéchèse : chaise pour catholique.

 

-

 

- Catéchumène : énergumène pas très catholique.

 

-

 

- ‘Catholique’ viendrait du grec et signifierait ‘universel’. Merci les Grecs, mais restons modestes..

 

-

 

-

 

- Cartouche (la) :

 

 

 

J'ai calculé que, à 75 ans par exemple, si vous y arrivez, vous aurez respiré environ un demi milliard de fois, "l'air" de rien ! Autrement dit vous aurez "expiré" deux fois moins !

 

Ca fait pas mal quand-même !

 

Ca vous aura laissé le temps de vous préparer au 2ème sens du verbe expirer, c'est-à-dire non pas le sens du pneumologue, mais celui de ‘’l’enterrologue’’ !

 

Et dans ce sens-là, c'est un verbe qui ne vous sert qu'une fois, comme une cartouche, et à un moment où l'on est le plus à court "d'inspiration" !

 

L'avantage de la cartouche, c'est qu'on n'est pas sûr d'avoir à s'en servir ..

 

-

 

-

 

- Cause toujours, tu en verras les conséquences..

 

-

 

- Ce doit être ce qu’on nomme l’empathie : les gens que j’énerve, m’énervent.

 

-

 

- Ce jour-là, il faisait triste à en mourir. Même la Joconde en avait perdu son sourire. Il a fallu appeler le conservateur du musée.

 

-

 

- Avis de grand vent Ce jour-là la Mer Morte était agitée.

 

-

 

- Ce jour-là, le Père-Noël, grognon, marmonnait dans sa barbe : « L’an prochain, j’y envoie ma femme ! ».

 

-

 

- Ce n’est pas en rabattant l’abattant que vous allez pouvoir vous servir convenablement des toilettes.

 

-

 

- Sauf votre respect, cher Honoré Ce n’est pas honorer Balzac que de s’obliger à dire comme lui, qu’Eugénie Grandet. Il faut dire qu’Eugénie ‘grandissait’.

 

-

 

- Trot ou pas assez ? Ce n’est pas parce qu’un cheval n’est pas au trot qu’il fait trop de pas. Ce qui est sûr, c’est que quand il fait trop de trots, il ne fait pas assez de pas. Mais c’est trop sympa quand-même !

 

-

 

- Ce n’est pas parce qu’une fille n’a pas d’amour-propre que vous n’avez pas à utiliser de préservatif. Au contraire.

 

-

 

- Ce n’est pas parce que la Mésopotamie est le berceau de l’Humanité, qu’au crépuscule de son évolution elle finira en ‘Més-o-po-ta-mamie’.

 

-

 

- Ce n’est pas parce que les amis de mamie sont mes amis, que les amants de maman sont mes amants.

 

-

 

- Ce qu’il y a de plus bête à égarer, ce sont ses lunettes.

 

-

 

- Ce qu’il y a de plus touchant, chez une femme amoureuse, ce sont ses mains.

 

-

 

- Ce que cet agriculteur semait le mieux, c’était encore la zizanie.

 

-

 

- Ce que je pense de ma poésie ?

 

Oui, je sais, mais c’est pas parce que tout le monde s’en fout que je ne tiens pas à vous le dire ! Eh ben voilà : Que c’est la contraction de ‘poé-me’ et de ‘si..vous pensez que ça en est ’.Mais je suis un peu maso, puisque je me doute de la réponse..

 

-

 

- Ce que le gens célèbres donnent le plus généreusement, c’est des interviews.

 

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- Ce qui agace le plus la femme du berger, lorsqu’elle fait le grand ménage dans la maison, c’est de retrouver un tas de moutons sous le lit.

 

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- Ce qui différencie un misanthrope d’un philanthrope, c’est que le premier a des rancunes au cœur, alors que le second n’a de rancœur aucune.

 

-

 

- Nuance Ce qui distingue, à éducation égale, un homme fier d’un orgueilleux, c’est que le premier ne vous dira pas bonjour mais vous répondra si vous le lui dites.

 

-

 

- Ce qui est bien de nos jours, c’est que si vous voulez le double de vacances, au lieu de le réclamer à votre employeur il vous suffit d’en faire une photocopie.

 

-

 

- Ce qui est rassurant, dans nos exportations, c’est qu’elles continuent d’être françaises.

 

-

 

- Ce qui fait la différence entre une ligne blanche continue et discontinue, c’est parfois la dangerosité de l’endroit, parfois la qualité de la peinture.

 

-

 

- Ce qui s’oppose n’est pas incompatible : ‘Voyez’ la myopie et la presbytie, on peut avoir les deux ! C’est un phénomène généralement progressif, d’où le qualificatif des verres qui leurs sont proposés.

 

-

 

- Ce qu’on sait le moins, sur les politiques, c’est tout ce qu’ils savent en plus..

 

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- Ce rôle d’huissier lui sied bien.

 

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- Nul et non avenir Ce serait une bonne chose que les nuls s’annulent, en attendant qu’ils ne s’annihilent. (je sais, c’est difficile à dire) (je parle de la prononciation..)

 

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- Ce soir-là, pour recevoir ses invités, elle avait mis les petits pois dans les grands.

 

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- Ce sont surtout les propriétaires de magasins de porcelaine qui se méfient des gens lo-quaces..

 

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- Ce vieux tilleul, au fond du jardin, avait beaucoup de charme.

 

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- Celle qui déprime n’est pas une prophyl-à-xie mais un profil-à-psy.

 

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- Celui qui a des principes perd sa crédibilité si, en parlant de lui, il dit : ‘En principe, je..’.

 

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- Plus je connais les hommes.. Celui qui a dit : « Plus je connais les hommes, plus j’aime les bêtes. » aurait pu commencer par dire : « Plus je connais les gens cultivés, plus j’aime les analphabètes. »

 

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- Celui qui blesse la femme blasphème contre la vie, puisque la femme l’a mis au monde.

 

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- Celui qui croit ne plus servir à rien permet déjà à d’autres de se sentir utiles.

 

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- Celui qui fait mouche en tapant sur une mouche fait double-mouche. Et pour peu qu’il soit enrhumé..

 

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- Sagesse en laisse Celui qui laisse son chien en laisse peut être vu comme quelqu’un de sympa qui va le promener, ou comme quelqu’un de pas sympa puisqu’il lui refuse le plaisir de gambader à sa guise. Comme quoi, quoique vous fassiez..

 

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- Celui qui possède un lo-pin de terre a donc trois moyens de subsister..

 

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- Celui qui se suicide est-il lucide ? En tous cas ça rime.

 

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- Celui qui trompe son partenaire dans le plus simple appareil, ne doit pas s‘étonner qu’un jour il lui rende la pareille.

 

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- Celui qui vole un œuf ne vole pas forcément un bœuf. Sinon on dirait : « Va t’faire cuire un bœuf », ce qui est plus agressif, et plus indigeste.

 

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- Celui qui des idées rata, mais ses désirs réussit, sera plaint des intellectuels, mais pas des épicuriens.

 

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- Celui qui se plaint finira par se plaindre qu’il n’est pas plaint.

 

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- Ceux qui sont le plus enclins à contourner la justice sont forcément ceux qui en ont la plus grande facilité, à savoir ceux qui la représentent.

 

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- Certains arrivent parfois à leurs fins, mais tous arriveront toujours à leur fin.

 

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- Certains esprits simplistes peuvent être tentés de faire un rapprochement osé entre une femme voilée et une roue voilée, dans la mesure où, pour elles, il-y-a quelque chose qui ne tourne pas rond. C’est faux : une femme voilée marche, une roue voilée roule, en tous cas tant que ça marche..

 

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- Certains hommes hésitent entre le fait d’avoir un maître à penser ou une maîtresse à dépenser. D’autres préfèrent ne pas avoir à y penser, tellement le dilemme est problématique.

 

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- Certaines âmes seules ne demandent qu’à tomber amoureuses, mais elles n’osent pas toujours chercher, croyant parfois qu’ailleurs ‘tout épris’.

 

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- Certaines femmes savent mieux se déshabiller que s’habiller.

 

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- Certaines prétendues œuvres-d’art se situent entre l’ar-chaïque et l’art-ificiel, entre l’ar-rogance et l’ar-naque. Je les laisse aux ar-rivistes et aux ar-istocrates, aux ar--gentés de tous poils et aux ar-éopages de critiques artistiques. Entre l’art et la manière..

 

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- Certaines professions libérales, surtout dans le domaine du droit, vous font payer très cher un copier-coller. Mais ils en ont le droit ; ils ont fait des études pour cela. Ils peuvent même vous faire une ‘minute’ en moins d’une minute.

 

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- Certains érudits pensent que ‘Médecin’, en vieux français, serait une sorte de bustier.

 

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- Certains caressent le projet en attendant de caresser l’objet lui-même, quand ce n’est pas par faute de pouvoir le réaliser. (l’objet peut très bien être un sujet..) (c’est sujet à interprétation.).

 

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- Certains fruits annoncent la couleur, comme l’orange ; mais il ne faut pas attendre qu’elle passe au rouge pour la manger.

 

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- Ces flageolets, ça vous cajolait à l’entrée, mais çà vous flagellait à la sortie.

 

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- Cet amandier faisait des amendes honorables.

 

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- Cette année, la pluie a eu raison des raisins des vendanges.

 

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- Cette année, vu le manque d’eau, on ne trouve pas de champignons de pré, ni de loin.

 

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- Cette année-là, la journée de Carnaval fut une véritable mascarade.

 

-

 

- Cette fois-là, le chien regretta d’être tombé sur un os.

 

-

 

- Cette jeune-fille a eu beaucoup de mérite, après son accident. Elle était infirme hier, elle est infirmière aujourd’hui.

 

-

 

- Ceux qu’on qualifie d’obsédés, de pervers, ne sont peut-être que des séducteurs, des hommes à femme, mais qui n’ont pas les moyens de leurs ambitions.

 

-

 

- Ceux qui disent que certains mioches sont moches sont plus moches que les mouches.

 

-

 

- Ceux qui font de la peinture sur soie sont un peu égocentriques.

 

-

 

- Ceux qui font fi des défis ont parfois tout faux ! ..Mais il en faut.

 

-

 

- Loto Ceux qui jouent au Loto me font penser à mon chat qui, devant une porte fermée, quand il veut sortir, regarde fixement et patiemment la poignée de la porte en attendant qu’elle s’ouvre.

 

-

 

- Ceux qui jouissent d’une grande réputation ne jouissent forcément pas que de ça.

 

-

 

- Godemiché Ceux qui ont l’esprit tordu, et anglophile, vous diront que dans ‘godemiché’ il y a ‘God’... My God, où le blasphème va se nicher !

 

-

 

- Cijissui Ceux qui ont la manie de vous envoyer voir « Cijissui », ignorent que ce joli bourg se trouve en Roumanie, mais qu’à force, il est envahi d’emmerdeurs.

 

-

 

- Ceux qui ont du mal à prendre leur mal en patience ont longtemps su prendre leur bien, en patience, sans s’en être aperçu.

 

-

 

- Ceux qui ont la tête bien pleine ont souvent aussi le compte bien plein.

 

-

 

- Ceux qui ont traversé la Mancha savent qu’il n’y a pas de quoi y faire la manche : pas un manchot à l’horizon, que des pierres et des cailloux. Même les moulins-à-vent sont partis, avant que le vent ne les emporte. Mancha, Manche à balai, tu as tout balayé..

 

-

 

- Ceux qui répètent à l’envi le sempiternel ‘’..Je vous l’avais bien dit !’’ n’ont jamais rien dit d’intéressant.

 

-

 

- Ceux qui sont gros se défendent parfois en disant qu’il vaut mieux faire envie que pitié. Celui qui fait la manche pense le contraire ; mais il pèse moins dans la balance.. (et sur la balance aussi).

 

-

 

- Ceux qui sont nés bornés ne meurent pas borneurs, mais bornés. Par contre ceux qui naissent trompeurs meurent trompés, car on en trouve toujours un pour vous faire un pied de nez.

 

-

 

- Ceux qui touchent un treizième mois doivent sûrement travailler huit jours sur sept.

 

-

 

- Ceux qui vous donnent toujours des chiffres approximatifs avec « ..et des poussières.. ! » donnent une mauvaise image de leur intérieur.

 

-

 

- Ceux qui vous traitent avec morgue oublient qu’ils y seront un jour.

 

-

 

- Chacun sait qu’une pendule cassée donne néammoins la bonne heure deux fois par jour. Par contre, une pendule qui marche donne une heure fausse six mois par an.

 

-

 

- Chagrin : chat perdu par la mère Michèle quand j’étais écolier. J’espère qu’on l’a retrouvé depuis.

 

-

 

- Chambre de Commerce : lieu de passe.

 

-

 

- Chameau : chat du désert.

 

-

 

- Chanoine (on l’écrivait auparavant en deux mots : chat moine) : chat qui a fait vœu de chasteté, c’est-à-dire qui s’est engagé à ne plus toucher une chatte.

 

-

 

- Chaque année, il faisait vœu de veuvage, en vain.

 

-

 

- Chaque note de musique a son caractère :

 

le do est dominant, c’est lui qui donne le ton ;

 

le ré, révolté, d’être toujours le second ;

 

le mi, un peu mijaurée mais minutieux, effaré d’être entre le fa et le ré ; le fa, fataliste : toujours au milieu, personne ne le remarque ;

 

le sol est solitaire, mais obligé de composer ;

 

le ‘la’, toujours fatigué, car c’est lui qu’on sollicite lorsqu’on a perdu le ton ;

 

et le si, silencieux, ce qui est compréhensible quand on est derrière un dominant, mais regrettable lorsqu’on est fait pour être entendu.

 

Mais finalement, ils forment une bonne équipe, toujours prête à jouer, sinon à s’amuser..

 

De toute manière, dès la moindre anicroche, après la moindre fausse note, le moindre bémol, le besoin d’harmonie se ressent et ils finissent toujours par tomber d’accord.

 

-

 

- Chaque soir, le vieux médecin sortait son stéthoscope pour ausculter le ciel.

 

-

 

- Saint d’église Chaque village, en son sein, a une église. Et chaque église, en son sein, a son saint.

 

-

 

- Charabia : tank saoudien.

 

-

 

- Charlemagne enfant était un placide, pour ne pas dire un mou. Son père lui disait constamment de se dépêcher. Il lui est resté cette expression triviale : Allez, Charles, magne !! »

 

-

 

- Chassez le naturel, il revient au galop, disait-il. (je ne sais plus qui..). La poussière, c’est pareil.

 

-

 

- Chère Madame Homane, - puis-je me permettre de vous appeler directement par votre joli prénom, Nimphe, - à mon avis, hier soir fut bien, pour moi, je le vis, et un plaisir et un préavis. Aujourd’hui j’en survis, sachant que vous en avez à l’envi, des hommes, comme des envies.

 

-

 

- Chez la taupe, la vue c’est pas le top.

 

-

 

- Chez les petits actionnaires il y en a parfois de très gros. (par rapport à vous, en tous cas).

 

-

 

- Chez les tous-petits, mais pas que, les derniers gateaux sont toujours les avant-derniers.

 

-

 

- Chez nous on n’a rien à débourser mais on fait la fine bouche ; dans certaines contrées, on accède aux enseignants en se saignant.

 

-

 

- Chiffres :

 

Quel est le chiffre le plus original ? Un.

 

Le plus récent ? Neuf.

 

Le plus démonstratif ? Sept.

 

Le plus inutile, le plus futile ? Vingt.

 

Le plus sobre ? Cent.

 

Et le plus harmonieux ? Le zéro.

 

..C’est la revanche des nuls.

 

-

 

- Chienlit n’est pas lit de chien.

 

-

 

- Chopin : chaud lapin, mais qui avait le sens des préludes.

 

-

 

- Citron : fruit des gens pressés, ou peu exigeants, car un zeste leur suffit.

 

-

 

- Clafoutu : clafouti raté.

 

-

 

- Clopin-clopan.. On connaît tous le lien indéfectible qui unit ces deux-là. Mais comment Clopan est devenu le copain de Clopin ?! Mystère. Et c’est pas en chopant Chopin qu’on le saura.. !

 

-

 

- Cœur moqueur crée rancœur.

 

-

 

- Colibri : colis cassé, bris de colis, ou oiseau en miettes.

 

-

 

- Colimaçon : colis de briques, ou de parpaings.

 

-

 

- Collégiens, lycéens, ne damnez pas un pion, contentez-vous de le damer.

 

-

 

- Combien ‘vo-leur’ des services de certains artisans ou de certaines professions libérales ? Cela dépend si c’est la ‘bon-heur’ ou pas.

 

-

 

- Comme chacun sait, la Tour de Pise est penchée. La rareté du phénomène met en lumière le risque inhérent à toute tour. Les Egyptiens avaient dû avoir vent de l’histoire et ont préféré contruire des Pyramides. Certes, elles sont penchées elles aussi, mais de manière plus esthétique, car symétrique.

 

 

 

 

 

 

 

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Comme on dit, ou Comme tout cours

 

 

 

 

 

- Comme dirait La Palisse, il vaut mieux porter de beaux bas qu’un collant laid.

 

-

 

- Concierge Comme dirait mon concierge : Si les gens étaient moins malades, ils auraient une meilleure santé, et en plus ils se sentiraient beaucoup mieux.

 

-

 

- Comme disait la collègienne dont la grammaire n’était pas le point fort : « Eh bé les talons com-pensés que je les mettrais pas, eh bé y me vont très bien, et y me font plus grande ! »

 

-

 

- Léo ferré Comme disait Léo, je m’la Ferré bien !

 

-

 

- Comme disait mon père : Mange ta glace, elle va refroidir.

 

-

 

- Comme disent les mères à leurs enfants : « Tâche de ne pas te tacher ! »

 

-

 

- Comme disent les paroissiens : « L’homélie son député, mais pas son curé ».

 

-

 

- Comme dit le jardinier, les choses iront mieux quand mes potes-iront bien.

 

-

 

- Comme dit le mètre de la couturière : ’’Je vais faire un tour de taille et je reviens.’’

 

-

 

- Comme dit le moniteur de ski aux tout-petits : ‘Après moi, les dix luges’.

 

-

 

- Comme dit notre ami berger, que chacun vaque à ses affaires et les vaches seront bien gardées.

 

-

 

- Comme elle devait s’absenter pour le week-end, elle lui confit son canard apprivoisé.

 

-

 

- Comme il avait le profil de l’emploi, il resta chômeur.

 

-

 

- Comme il avait souvent le cafard, et qu’il avait tout essayé, à court d’idée il tenta l’insecticide.

 

-

 

- Comme il détestait le thon, il le mit en miettes.

 

-

 

- Comme il ne doutait de rien, il devint pape, et infaillible.

 

-

 

- Comme il ne lui restait que quelques minutes à vivre, il mit sa montre à l’heure d’hiver.

 

-

 

- Comme il savait qu’elle ne lui dirait rien, il lui dit tout.

 

-

 

- Comme l’aurait dit La Palisse, les faits prennet effet à partir du moment où on les fait. Mais la Police aussi en est bien capable..

 

-

 

- Comme l’infirmière lui avait piqué son malade, l’ambulancier rua dans les brancards.

 

-

 

- Comme le Mont Valé-rien, il a accouché d’une souris ; ..et le chat la bada.

 

-

 

- Comme le patient avait le cœur sur la main, son cardiologue lui proposa de l’opérer.

 

-

 

- Comme le veilleur de nuit refaisait la même ronde chaque jour, il finit par confondre le jour et la nuit. Il demanda alors de faire sa ronde de nuit, chaque nuit au lieu de chaque jour. Et tout rentra dans l’ordre.

 

-

 

- Comme on dit dans les Atolls : Qui n’a pas de coraux-n’a-rien.

 

-

 

- Comme on fait sa litière on se couche.

 

-

 

- Comme personne n’avait besoin de lui, le pain se rassît.

 

-

 

- Comme pour un médicament, un ‘plat-c’est-beau’ s’il y a quelque chose dedans.

 

-

 

- Comme Romus et Romulus voulaient chacun la pomme et qu’aucun ne voulait céder, leur mère finit par couper la poire en deux. C’est de là que vient l’expression « La pomme de la discorde » (qu’il ne faut pas confondre avec la pomme d’Adam, ni avec celle d’Api, son frère jumeau, et avec qui il se disputa la seule femme de l’époque, une dénommée Eve.).

 

-

 

- Comme somnifère, les scientifiques devraient expérimenter l’extrait de neurones de chat.

 

-

 

- Comment caresser une poule dans le sens du poil ? D’abord, ne pas lui dire qu’elle a du chien ; ce n’est pas son animal préféré. Ne pas lui dire, pour autant, qu’elle a du coq, c’est ambigü. Eviter également de la qualifier de poule-aux-d’œufs-d’or, ce n’est pas un compliment ! Pour ce qui est de poule-au pot, je n’ai pas besoin d’insister.. Préférer ‘poule-belle’ (même s’il faut, dans ce cas, bien prononcer le ‘le’ de poule) à ‘poulbot’, plus masculin, et un peu montmartre. Et bien sûr, ne faites pas de l’humour de chef-cuistot avec la poule-aillée, vous y laisseriez des plumes ! Il vous reste éventuellement ‘belle poule’, en espérant qu’elle ne soit pas instruite des mœurs concupiscentes de son maître.

 

-

 

- Comment dit-on ? « commandi-taire » ? ou « bavard insupportable » ?

 

-

 

- Comment faire pour ne pas se laisser faire ? Il faut parfois croiser le fer !

 

-

 

- Comment s’orthographie ‘soutien-gorge’ au singulier ? Vu qu’on n’a qu’une gorge mais deux seins.. ! Et au pluriel ? Ce qui est cocasse c’est que ce soit un mot masculin ! Ah ces hommes-grammairiens !!

 

-

 

- Comment se distrait un distrait ?! ..Je veux dire, quelles sont ses distractions ? Oui, parce que pour le reste, tout le distrait, forcément.

 

-

 

- Comment se dit ‘nouille’, en italien ? ‘Stupido’. (accentuer la 1ère syllabe, mais sans tuer, c’est pas une raison !)

 

-

 

- Comment tu t’appelles ?

 

o Je ne m’appelle jamais.

 

-

 

- Comment vous dire.., elle était l’été ! Et l’été fut torride..

 

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- Comparaison n’est pas raison, ni compas, d’ailleurs.

 

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- Comprendre ce qu’il nous faut entreprendre, c’est réaliser ce qu’il nous faut réaliser.

 

-

 

- Comte Humace : noble et juge célèbre d’avant la Révolution française, qui avait coutume de dire que les absents ont toujours tord. Quoi qu’il en soit, beaucoup furent condamnés par lui. Mais il valait mieux, tout compte fait, l’être par lui que par le Marquis de Sade.

 

 

 

-

 

- Connaissez-vous le verbe « seoir » ? Si vous vous considérez instruit, érudit comme on dit, il siérait que vous le sachiez ! (Personnellement, j’en ai rien à foutre..)

 

-

 

 

 

- Confesse : expression ecclésiastique pour dire ‘recto-verso’.

 

-

 

- Confesse : injure de gamins.

 

-

 

- Confucianisme : doctrine religieuse un peu absconce, ..abstruse si vous préférez, pour ne pas dire confuse..(j’espère que ces adjectifs vous ont impressionnés, c’était fait pour ça.).

 

-

 

- Confus, il était dans ses petits souliers. Cela lui fera les pieds !

 

-

 

- Congre : vieux terme, peu usité, et incongru, pour désigner quelqu’un de peu intéressant. Il a été raccourci (le terme) pour les besoins de la cause, cause juste au demeurant.

 

-

 

Conscience conscience..

 

Il n’a pas conscience

 

de ses carences,

 

L’esprit,

 

..Comme la bouche

 

De ses caries.

 

-

 

- Consolation : insolation stupide. L’eau de consolation (on écrit parfois, par erreur, ‘’lot’’) : liquide utilisé pour rafraîchir la personne ‘insoleillée’.

 

-

 

- « Constate, je suis d’accord.. » dit l’effrontée.

 

-

 

- Conte à rebours : conte en verlan.

 

-

 

- Contrairement à celui des croyants, au paradis fiscal il y a peu d’appelés – l’Armée étant devenue une armée de professionnels – ..et beaucoup d’élus, de tous bords politiques..

 

-

 

- Contrairement à la bouteille à moitié vide, en boxe, un mi-lourd n’est pas un mi-léger.

 

-

 

- Contrairement à la ceinture, la morale ne vous sert que si elle ne vous serre pas.

 

-

 

- Contrairement à votre voiture, quand vous mettez votre cœur en veilleuse, c’est comme si vous rouliez tous cœurs éteints.

 

-

 

- Contrairement au mieux, qui est l’ennemi du bien, le pire est l’ami du mal.

 

-

 

- Contrairement aux diplômes, dans les marchandises et autres produits de consommation, les premiers prix ne représentent pas les meilleurs.

 

-

 

- Contrairement aux rongeurs, l’homme qui a les dents longues est celui qui s’en est beaucoup servi.

 

-

 

- Contrairement aux sceptiques, qui gardent la faculté de douter, les athées de service, qu’il ne faut pas confondre avec ‘les services à thé’, sont comme les ‘anti-sceptiques’ : ils ne se posent pas la question de savoir s’il faut se la poser.

 

-

 

- Convocation : vocation innée de certaines personnes, plus nombreuses qu’on ne pense.

 

-

 

- Coqu-‘elicot’ : coq dont le battement d’ailes particulier lui permet de rester sur place en hauteur, un peu comme un épervier ou une buse avant de plonger sur leur proie.

 

-

 

- Coquelicot je t’aime.

 

J’aurais pu faire sur toi un poème, mais tu méritais mieux.

 

Tu rimes avec calicot, fragile comme lui, toi sur ta tige frêle, lui sur ses deux balais tendant la banderole, porté par ceux qui défilent pour combattre toutes sortes d’oppressions ou d’injustices.

 

Et tu étales tes pétales rouge vif comme le sang que les insoumis sont parfois amenés à verser.

 

Ton passage éphémère me rappelle la courte vie de ceux qui l’ont donnée pour défendre les justes causes, vie fauchée par la cupidité et la vanité des puissants.

 

Mais tu laisses à ce printemps qui passe lui aussi, un souvenir impérissabl..

 

Et je sais que tu reviendras, le moment venu, nous sortir à nouveau de notre torpeur hivernale.

 

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- Coquine : qui aime les coqs ; coq : qui aime les poules. (car ce n’est pas le ‘poulain’ qui aime les poules..)

 

-

 

- Vocabulaire Coranithèque : bibliothèque au Moyen-Orient.

 

Australopithèque : bibliothèque en Australie.

 

Métèque : bibliothèque pour étrangers.

 

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- Cour en dair : cour en revêtement poreux qui laisse passer l’air.

 

-

 

- Crise boursière :

 

poussée de fièvre épileptique, très contagieuse (on soupçonne le stafolie doré), qui touche aux parties intimes de votre patrimoine, et caractérisée par des convulsions tétaniques et titanesques de leur valeur, soubresauts qui aboutissent à la chute des bourses (le malade ‘’a les boules’’, parce qu’il n’en a plus..). Vous risquez des fluctuations du fait de marcher, qui entraînent l’effondrement des courts (les personnes longues les ayant plus hautes, sont moins touchées). Ceux qui s’en sortent le mieux sont encore les eunuques.

 

-

 

- Cruche : récipient qu’on regarde de haut.

 

-

 

- Décubitus : célèbre général romain de l’Empereur Auguste, qui mourut couché.

 

-

 

- Cul de sac ‘‘Cul-de-sac’’ n’a rien de grossier, sauf s’il vous sert de gros-mot à l’encontre de quelqu’un, auquel cas il est certes plus parlant que ‘’Impasse’’, ou ‘’Voie sans issue’’.

 

-

 

- Culbuto : ou l’art de se faire culbuter sans perdre son équilibre.

 

-

 

- Curriculum vitae : curry créé par les Romains. Il avait la réputation de redonner la vie, l’envie (de manger ..?).

 

-

 

- Curieusement, les retraités aiment encore moins que nous les fruits et légumes traités. Peut-être qu’ils savent de quoi ils parlent.

 

-

 

- Cycle bouclé ou cycle bâclé ?

 

 

 

Quand la Vie vous laisse tomber

 

Pour partir avec un autre,

 

Vous pouvez parier que ‘’l’autre’’

 

Ce n’est autre qu’un bébé..

 

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-

 

- Cyclope : personne à moitié aveugle, et qui fume un demi paquet par jour.

 

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- Cyclotourisme : tourisme pratiqué de manière cyclique, saisonnière, comme le ski, ou la chasse.

 

-

 

- Cygnes avant-coureurs : motards qui précèdent les coureurs du Tour de France, pour annoncer l’arrivée imminente des cyclistes.

 

-

 

- Cymbale : instrument de musique, ou plutôt à percussion, qui se caractérise par son prix très modique.

 

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- Cynique : personnage qui revendique sa deuxième syllabe.

 

 

 

 

 

 

 

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Melting pot :

 

 

 

- Mycologue Un mycologue qui se retrouve avec des champignons entre les doigts de pieds se l’est peut-être un peu cherché.

 

- Gratos C’est drôle de penser que la vie, c’est-à-dire ce qu’on a reçu de plus cher, nous a été donné gratuitement.

 

- Piano à queue : piano qui a pris l’eau. Comme quoi, il peut donner le La et prendre l’eau.

 

- décollage Ce n’est pas parce que l’avion décolle lorsqu’il s’envole qu’il recolle lorsqu’il atterrit.

 

- Instrument avant : ancien instrument de musique.

 

- Si votre partenaire vous confie qu’il veut rester avec vous ‘pour la vie’, faites-vous préciser comment il l’écrit.

 

- L’amant du moment ..peut finir par devenir ..l’amour de toujours. Mais il ne suffit pas que ça rime, pour que deux cœurs s’arriment..

 

- Perdus de vue Ils s’étaient perdus de vue, jusqu’à ce que le plus myope des deux retrouve ses lunettes.

 

- Coqsinul, mâle de la coccinelle.

 

- Et si les femmes étaient comme les pommes ? Si les meilleures étaient les moins bien calibrées.. !?

 

- Faux-culs Il y a des faux-culs partout. Heureusement qu’il y en a de vrais, aussi. (toute ressemblance avec de la trivialité serait purement fortuite)

 

- Casse-douilles : broyeur de balles utilisées.

 

- Les bonnes-sœurs c’est comme les belles-sœurs. Il y a les vraies, et les autres. Par contre, il n’y a que des beaux-frères. Je veux dire qu’il n’y a pas de bons-frères. Mais vous aviez compris..

 

- Partir c’est mourir un peu, mais mourir c’est partir beaucoup, surtout à partir de là.

 

- Les Pygmées n’ont pas de pigments. C’est leur couleur naturelle de peau.

 

- La bourgeoisie est déguelasse quand elle lasse les gueux qu’elle a contribué à créer.

 

- Impéritie : capacité à faire des impairs ici et là, mais plutôt ici..

 

- Dans le bâtiment, sans béton armé on se retrouve désarmé. C’est bien pour ça qu’il ne faut jamais laisser tomber le béton.

 

- Contrepètepleure : contrepèterie où l’on rate sa chute. Comme quoi, une chute peut être bénéfique.

 

- Pilule du lendemain La pilule du lendemain se prend le jour même.

 

- Les histoires drôles sont les rares cas de figure où il vaut mieux ne pas rater sa chute.

 

- Si la caravane passe, la carapasse elle, ne vanne pas.

 

- Les péripatéticiennes connaissent beaucoup de péripéties.

 

- Un taxidermiste n’est pas un chauffeur des pompes funèbres pour animaux domestiques.

 

- Misanthrope : jeune-fille qui gagne le concours de beauté de Saint-Trop.

 

- Menthe religieuse : variété de menthe cultivée par les moines.

 

- On peut acheter les œufs fermiers les yeux fermés. (peut servir d’exercice pour élèves d’orthophoniste.)

 

- Un napperon se remarque davantage sur une table carrée.

 

- Hasard ne prend un ‘z’ que par hazard.

 

- Parachute Attention à la contrepèterie

 

 

 

Quand tu mets-l’ancolie dans un vase, c’est encore plus déprimant.

 

- La mère des 101 Dalmatiens était bien conservée.

 

- J’ignore si les biscuits ont été cuits deux fois, mais ils ne se mangent qu’une seule fois.

 

- Alors que les vieux déjeunent, les jeunes ne dévieillissent pas.

 

- Sine qua nonne : nonne indispensable.

 

- Le pain de mie n’est pas le demi pain, sinon il serait deux fois moins cher que le pain.

 

- Quand les pompiers ont un pote au feu, ça leur coupe un peu l’appétit.

 

- Virose : affection de ceux qui voient trop la vie en rose. L’intérêt de se faire soigner se discute.

 

- Je ne me sens exceptionnel qu’exceptionnellement. Mais c’est déjà pas mal. Par contre, j’ai du mal à être objectif.

 

- Et dire que même le saint doux n’est que du cochon !

 

- Quand votre postier vous laisse la vie de passage, il ne fait que son bouleau.

 

- Le cancer est un ingrat : après que vous l’ayez mis en monde, c’est lui qui vous en sort.

 

- Les régimes alimentaires vous donnent un sâcré coup de jeûne.

 

- La condition humaine n’est humaine que dans certaines conditions, qui malheureusement ne semblent pas réunies pour bon nombre d’entre nous.

 

- Si la bonne fée l’a fait, est-ce que la méchante fée d’enfer peut le faire ?

 

- Lapintade : pintade à grandes oreilles. Se dit aussi d’un lapin à plumes. Par contre, un cochon dinde n’est pas un cochon à plume mais un cochon asiatique.

 

- Pour relativiser la valeur des choses, rien ne vaut un vide-grenier, ou une casse, s’il s’agit d’une voiture.

 

- Ephémère On a eu beau disséminer les cimetières sur tout le territoire, on ne prendra jamais assez la mesure de l’éphémère.

 

- Inepsie : paroles de psy.

 

- Devant leur nouveau-né, le papa razzit et la mère veille.

 

- Le SDF préfèrerait être sans vous que sans toît, mais il l’est dans les deux cas de figure, c’est-à-dire défiguré.

 

- Coutume Si une fois n’est pas coutume, une foi peut l’être, malheureusement.

 

- Si nous les hommes, cachons un cochon qui sommeille, en somme, dans tout ado se dissimule une mule.

 

- Il est une goutte ne fera jamais déborder la vase, sinon par la douleur.

 

- Boussole Un aimant vous fait trouver le nord ; un amant vous le fait perdre.

 

- La classe.. Il faudrait avoir l’élégance de mourir en refermant la porte derrière soi.

 

- Palais de justice Au vu de certaines affaires concernant des personnalités haut placées, on se demande parfois si, dans les Palais de Justice, on ne pratique pas une justice de palais.

 

- Quand je parie, je ris pas. Sauf en verlan.

 

- Vache-qui-broute Parfois on aimerait pouvoir se gagner sa croûte comme vache qui broute, quitte à regarder passer les trains.

 

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D de : Donc, c’est pas si mal que çà ! Merci, c’est sympa.

 

Décalé, Décapant, Décoiffant, Défoulé, Déjanté, Délecté, Délibéré, Dénoncé, Dérision, Desquamant, Diable, Diantre, Dialectique, Didactique, Dilettante, Dingo, Disert, Divertissant, Don Quichotte, Doué, Drôle..

 

 

 

 

 

- D’Issy-les-Moulineaux à Là-bas-Les-Moulinettes, il doit y avoir quoi ..? Quelques tours de pédale.. diraient les cyclistes.

 

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- Dame Nature a les pouces verts. Et heureusement. Car si la nature n'a pas attendu l'homme pour savoir ce qu'il faut qu'elle plante, l'homme lui, de par sa nature, se plante ..!

 

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- Dans Arsène Lupin, il y a quelque chose de ‘larcin’, mais qui ne sied pas au personnage, vu qu’un petit vol minable ne correspond pas au profil d’Arsène, lequel évoque plus Zorro que Zéro.

 

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- Dans « belliqueux », attention de bien mettre le « i »..

 

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- Dans certains cas la Justice est un peu juste..

 

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- Dans cette émission pseudo-politique, ces débats-là entraînaient toujours les mêmes déballages. Il n’y avait que des ballots pour la regarder.

 

-

 

- Dans cette entreprise de menuiserie, les ouvriers étaient triès sur le volet.

 

-

 

- Pécher mignon Dans cette histoire d’Adam et Eve et de leur pommier, j’y aurais mieux vu un pécher.

 

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- Jungle Dans notre jungle à nous, ceux qui s’en sortent le mieux sont les jongleurs.

 

-

 

- Chipoter Dans ‘chi-poter’, il y a déjà l’idée de ‘pot’.. Quant au reste, on va pas chipoter..

 

-

 

- Dans ‘copain’, il y a le ‘pain’ qu’on partage ; dans ‘l’ami’, la mie qu’on partage aussi.

 

-

 

- Dans l’attente de sa caravane, il se prit la tante.

 

-

 

- Dans l’expression masculine triviale « Tirer un coup », ‘coup’ n’a pas, du coup, la même signification que dans l’expression ‘Faire les quatre cent coups’, période qui prend plus de temps, comparativement et mathématiquement parlant..

 

-

 

- SD...F ? Dans l’expression ‘Sans Domicile Fixe’, l’adjectif est superflu. C’est le statut qui est fixe. Et donc, le domicile n’existant pas, il n’a pas être fixe ou non !

 

-

 

- Dans l’instruction d’une affaire juridique, on dit parfois que le prévenu a été confondu, mais on ne dit jamais avec qui. Car ça l’aurait bien arrangé.

 

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- Dans la bouche d’un ado, ‘vieux ringard’ est un pléonasme. Pour un adulte, c’est une précision.

 

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- Dans la gorge de la montagne, le train était sorti de sa voie éraillée.

 

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- Dans la Légion, même les plus taciturnes et les plus solitaires apprécient la compagnie.

 

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- Dans la nature humaine, c’est naturellement la nature qui a tendance à l’emporter sur l’humanité. Par ailleurs cependant, le retour à l’écologie nous rappelle qu’on a perdu sur les deux tableaux.

 

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- Dans la rubrique « lubrique » et en ‘ique’, je ne vois que « trique ».. (Tiens, je ne me savais pas aussi grossier ..!!) (c’est mon côté poétique, je veux dire, à la recherche de la rime.)

 

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- Dans la salle-à-manger, elle était la seule à manger.

 

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- Dans la salle de la bibliothèque, la panne de courant de l’après-midi allait déclencher l’ire des lecteurs.

 

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- Dans la vie, en tous cas pour ce que j'en sais, c'est comme en peinture : Si on veut arriver à ses "desseins", faut pas se mélanger les pinceaux !

 

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- Dans la vie, on n’est pas maître de tous les paramètres. Ni de sa maîtresse.

 

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- Dans la vie, on ne peut compter que sur ses doigts.

 

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- Dans la vie, on ne se fait pas que des amis ; on peut se faire des amants.

 

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- Dans le bonheur, ce qui importe n’est pas la réalité que vous vivez, mais l’impression que vous en avez. C’est comme pour une imprimante.

 

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- Dans le casque de la merdeuse, la musique passait en boucle. Dans celui de la coiffeuse, les cheveux passaient en boucles.

 

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- Dans le champ des possibles, les sillons sont millions.

 

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- Dans le congélo, l’eau se glace d’effroi.

 

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- Dans le domaine de l’amour, faire et défaire ne parlent pas de la même chose.

 

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- Dans le domaine de la santé, dire que c’est son organisme qui va payer est à la fois rassurant et inquiétant, selon qu’on parle de la prise en charge administrative ou de sa santé.

 

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- Dans le domaine les sciences de la nature, un mauvais classement des espèces peut aboutir à un constat des chèques.

 

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- Dans le fond Dans le fond, beaucoup de gens sont superficiels.

 

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- Bancal Dans le jardin publique, le SDF s’assît au banc de la société.

 

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- Dans le Jeu de dames, contrairement au solfège, une noire vaut bien une blanche.

 

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- Dans le monde, il y a deux sortes de gens : les détenteurs d’un compte, et les laissé-pour compte. (et dire que ça s’écrit au singulier !!)

 

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- Dans les affaires louches, on dit parfois ‘‘qu’il y a anguille sous roche’’ ; dans les affaires scabreuses, ‘‘qu’il y a anguille soutane’’.

 

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- Dans les anciens couvents, les religieux cultivaient la menthe religieuse.

 

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- Dans les dessins animés de Tom ‘et Jerry’, le premier aurait bien été inspiré d’avoir son ‘égérie’ pour contrer les coups tordus du second.

 

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- Dans les films d’épouvante, il est de bon goût de faire se dérouler les évènements dans des maisons en T, même si les architectes n’y sont pour rien.

 

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- Dans les films de science-fiction, les soucoupes volantes et autres dessous-de-tasse extra-terrestres sont oVniprésentes.

 

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- Dans les métiers les plus pénibles comme la maçonnerie, et contrairement à la Légion, les indigènes ne sont pas légion.

 

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- Dans les ‘Pompes’ Funébres, les chaussures des employés étaient sinistres.

 

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- Dans les repas de noces, même les réfractaires à l’alcool accepteraient bien la promise- cuitée.

 

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- Dans les services de contre-espionnage, quand on se fait muter, c’est pour ne pas se faire butter.

 

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- Dans les vaisseaux sanguins, naviguaient des marins, sanguinaires.

 

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- Dans mon ‘fort’ intérieur, je sais que je ne le suis pas vraiment.

 

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- Dans nombre de couples, les ressentiments finissent toujours par avoir le dessus sur les sentiments. Comme quoi on ne peut pas dire que le ressenti ment.

 

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- Dans nos sociétés occidentales, on mesure l’intelligence d’un individu au montant de ses revenus. C’est un peu comme si on mesurait sa générosité au montant de ses dépenses.

 

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- Dans notre histoire personnelle, individuelle, le ‘Moyen-Age’ n’arrive qu’après la ‘Renaissance’, c’est-à-dire l’adolescence. Dois-je en conclure que l’époque actuelle représente l’âge de la mâturité ? Dans ce cas, le troisième-âge serait l’avenir..( !)

 

-

 

- Dans notre régime de protection sociale, une fracture individuelle entraîne indirectement une facture collective.

 

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- Dans ‘puissant’, il y a quelque part, comme la connotation de ‘sang’, et ils avaient jadis le pouvoir (‘ je puis’) de le faire couler ; de nos jours il y aurait plutôt l’idée de ‘cent’, des mille et des cent, car leur influence réside plutôt dans l’argent. On va dire qu’il y a un mieux. Mais avant qu’il y ait la terminaison de ‘sans’, et son idée de restriction, les poules auront des dentiers en or. (je parle des vraies poules. Les leurs, il y a longtemps qu’elles en ont.)

 

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- Dans sa vie il avait tout fait, tout sauf s’étouffer. Jusqu’à ce qu’il finisse par le faire, une fois. Il était belge.

 

-

 

- Dans ses vieux jours, le capitaine était devenu un cas piteux.

 

-

 

- Dans ‘sponsor’, en cherchant bien, il y a une once, ou en tout cas une ‘ons’ de sport, ou en tout cas de ‘spo..r’. Mais il faut bien chercher..

 

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- Dans tonneau, il n’y a pas ton eau, mais son vin.

 

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- Dans toute approche matérialiste des choses, il y a matière à listes, à commencer par celle des ‘choses’.

 

-

 

- Dans tout couple, le problème de ‘sa moitié’ ne doit pas se poser en termes algébriques, car on trouvera toujours des moitiés plus grandes que d’autres.

 

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- Les “Je sais tout” Dans toute fratrie, il y en a toujours un qui n’a jamais tord et qui sait tout. Lors de réunions de famille, on se dit qu’on aimerait bien l’échanger, mais ailleurs personne n’en veut. Ils ont le même. J’allais dire qu’ils forment une grande famille.. Non ! Les familles ont déjà donné. Merci. J’allais dire : « Que ceux qui se sentent visés sortent du champ de mire ». Mais ils ne vont pas se reconnaître. Il faudrait plutôt les mettre dans notre champ de tir..

 

-

 

- Dans un courant politique, un électron libre ça peut être positif, mais c’est parfois plus que négatif.

 

-

 

- L’eau déviée Tout scientifique vous le confirmera, dans un évier, l’eau, même déviée, s’évacue toujours dans le même sens giratoire. On la comprend : au lieu de perdre son temps à réfléchir et tourner en rond, elle a décidé d’un sens une fois pour toutes. Cela coule de sens.

 

-

 

- Dans un haras, l’é-talon même haras-sé ne tourne jamais les talons devant une belle ju-ment qui a du jus.

 

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- Dans un hôtel cinq étoiles, d’emblée, d’entrée, hall is vanitas.

 

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- Dans un régime diététique, qui ne progresse pas pro-graisse.

 

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- A choisir.. Dans un resto, il vaut mieux payer la différence que l’addition.

 

-

 

- Dans un trousseau de clefs, on peut y trouver pas mal de choses : une clef de contact, ou un clé de sol, une clef anglaise ou à molette, une clef de voûte ou une clé en mains, une clé des champs ou une clairière, une clématite ou une clémentine ; on peut même y trouver la clef de la réussite. Si vous ne trouvez rien de tout ça, il ne vous reste plus qu’à mettre la clef sous la porte, après l’avoir prise (la porte, pas la clef.) ( Laissez la porte ouverte en partant..Merci.).

 

-

 

- Dans une certaine mesure, nous n’avons aucun mérite : ni à pouvoir, puisque celui-ci ne dépend pas intrinsèquement de nous, mais qu’il nous est donné (Ne peut pas qui veut) ; ni même à vouloir, puisque celui-la dépend de notre pouvoir à vouloir, de notre capacité à désirer (Ne veut pas qui veut). Nous n’avons finalement que la responsabilité d’utiliser l’un et l’autre à bon escient, et c’est déjà pas facile..

 

-

 

- Dans une satire, on peut y voir un pamphlet ; chez un satyre, on peut y voir un pan enflé.

 

-

 

- Faut s’ le faire Gusson ! Dans votre région, surtout en zone rurale, tous les kinés connaissent le dénommé Fergusson, ce client infatigable qui parcourait leur cabinet. D’ailleurs ils vous le diront : ils ont tous, tôt ou tard, massé Fergusson.

 

-

 

- Porain De celui qui aime son époque, on peut dire qu’il est content, Porain.

 

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- Perfection De même qu’on ne connaît pas de crimes parfaits, on ne peut pas honnêtement demander à leurs auteurs de l’être.

 

-

 

- Idolâtrie De même qu’on ne demande pas aux curés d’être des saints, ne demandez pas aux artistes d’être autre chose que des artistes. C’est souvent tout ce qu’ils savent faire, et c’est déjà pas mal, surtout que parfois ils le font très bien, quand ce n’est pas divinement. Mais c’est vrai que quand l’idolâtrie a pris, après on n’est plus à ça près.. !

 

-

 

- De même que la fonction sexuelle est dissociable de la fonction de reproduction, le désir physique est dissociable du sentiment amoureux. Mais les religieux de tous poils ont toujours tenu à nous faire croire que pour l’homme dit sociable, c’était indis-sociable.. !

 

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- De nos jours, les médias en général encensent trop les ‘incensés’.

 

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- De prime à bord De prime abord, il y avait déprime à bord ..du radeau de la Méduse.

 

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- Signe distinctif De toute évidence, c’était un clown. Ca se voyait comme un nez au milieu de la figure !

 

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- Débrouillard Débrouillard, il avait fini par entrer au service Météo.

 

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- Décadence : danse moderne sans règles et sans tabous.

 

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- Calotte pas glacière Décalotter et déculotter ne concernent pas le même sexe ; l’un concerne précisément le sexe, l’autre pas précisément.

 

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- Toujours les mêmes Pour certains, toujours les mêmes d’ailleurs, défendre ses intérêts c’est s’attaquer à ceux des autres. Autant vous dire qu’ils savent défendre les leurs..

 

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- Demandez à un canari s’il a un bon Q.I., il vous dira qu’oui !

 

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- Pierre et Paul Depuis le temps qu’on déshabille Pierre pour habiller Paul, on se dit que les deux doivent avoir une sacrée garde-robe, même si pour des raisons opposées.

 

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- Slovaques Depuis leur indépendance, les Slovaques n’utilisent plus que la carte bancaire.

 

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- Ma Reine Dagobert Depuis qu’elle a mis mon cœur à l’envers, je l’appelle ma Reine Dagobert.

 

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- Addiction Depuis qu’il a vu à Athènes, il est accro, Paul.

 

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- Depuis qu’il est passé à la machine, l’ex ample a rétréci.

 

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- Depuis qu’on a hébergé

 

le chien-berger,

 

le labrador

 

dort

 

dans la niche

 

du caniche.

 

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- Sabots Depuis que j’ai appris que les mammifères dont le pied se termine par un sabot sont des ongulés, je n’en porte plus ; on sait jamais ! Pour peu que je tombe sur un érudit mal embouché.. !!

 

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- Changement d’avis Depuis que j’ai entendu dire qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, j’arrête pas d’en changer. Mais c’est fatigant.

 

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- Depuis son torticolis, il accuse le cou. Pour le coup, il a tord, Ticoli.

 

-

 

- Derrière le mollet, c’est généralement là que le bas blesse.

 

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- Des finitions, c’est jamais définitif, sauf quand c’est en un seul mot.

 

-

 

- Dès lors qu’il intégra le projet Ariane, il connut une ascension fulgurante.

 

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- Dès qu’il y a deux boutons dans un appareil électro-ménager, ou électronique, j’ai une chance sur deux de me tromper, même si l’un est ‘On’ et l’autre ‘Off’.

 

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- Deux définitions de « desiderata » : soit un deshydraté, un assoiffé, soit un nul, quelqu’un qui n’a pas de suite dans les idées.

 

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- PV Deux flics, Flac et Floc, sont sur un bateau. Le premier tombe à l’eau. Qui reste-t-il ? Celui qui dresse le procès-verbal.

 

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- Devant certaines tragédies humaines, il faut accepter de participer, en mettant la main à la poche. Si possible, pas que pour prendre le mouchoir afin d’essuyer ses larmes..

 

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- Qui quête ? Devant la variété des motivations des personnes qui vous sollicitent dans la rue, et devant toutes les formes de sollicitations qu’a prises ce phénomène avec le temps, le sociologue est en droit de se demander : « Qui quête, et pourquoi ? ».

 

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- Sans défenses Devant les chasseurs, les éléphants se retrouvèrent sans défense. Après leur passage aussi, d’ailleurs.

 

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- Devant son encourage, il reçut les entouragements.

 

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- Devoir quitter ma terre m’atterre.. (formulation qui n’amuserait aucunement l’expulsé..).

 

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- Diable !! :

 

 

 

Les particuliers que nous sommes, pour faire nos courses dans les grandes surfaces, utilisons des chariots mis à notre disposition par le magasin. C'est pratique, et en plus c'est gratuit, les caddies ! ..c'est cadeau !

 

Les entreprises, elles, pour transporter les marchandises, matériaux, fournitures diverses, les répartissent sur des palettes en bois, qu'ils déplacent à l'aide d'un petit véhicule qui porte le joli nom de "Manitou", du nom de marque du fabricant.

 

Les Indiens d'Amérique du Nord seraient bien surpris qu'on s'adresse au Manitou pour ne pas avoir à porter de grosses charges sur nos épaules !

 

Ils seraient encore plus surpris qu'on fasse appel à un "diable", sorte de brouette, pour déplacer par exemple des cageots, ou des sacs !

 

Vous avouerez quand-même que, faire appel au diable pour nous porter les fardeaux, çà manque pas sel, ou de piquant !

 

..Quel est le petit .."malin" qui a eu cette idée, encore !!

 

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- Beau métier Attention à la contrepèterie quand vous dites : “Quel beau métier, professeur ! “

 

- Diem : carpe du Tibre, en Italie, qui prête à une préparation culinaire succulente.

 

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- Violon d’Ingues : violon moins connu et réputé que le Stradivarius, mais tout aussi impressionnant par son timbre. De là le fait qu’on l’appelle aussi un ‘Timbré’, en souvenir du célèbre peintre du 19ème siècle, qui l’a immortalisé, parce qu’il en jouait lui-même à ses moments vraiment perdus.

 

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- Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu hais.

 

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- Dispute Dispute : échauffourée entre une dizaine de prostituées.

 

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- Diurnambule Diurnambule : noctambule de jour, ou zombie.

 

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- Dites-le lui Dites-le lui. Vous verrez, c’est facile : « le lui ».

 

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- Douleur sourde : douleur qui ne vous entend pas, malgré vos gémissements.

 

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- Dromadaire : chameau qui ne boit qu’une fois par semaine.

 

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- Atention à la virgule.. Durant ses après-midi, il aimait se promener le long, Dupont.

 

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- Gâté Du sort comme de ses parents, plus on est gâté, plus on croit l’avoir mérité.

 

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- Branché Du temps de nos grands-parents, seuls les arbres étaient branchés.

 

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- Déluge Du temps du Moyen-Age on disait parfois qu’il tombait des hallebardes. Dans la Bible, il paraît qu’il pleuvait des luges.

 

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- Vendu Du vent, n’est pas que le verlan de ‘Vendu’ ; c’est parfois sa définition-même. On ne vous vend souvent que du vent.

 

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- Un peu de jeu Un peu de jupes n’est souvent qu’un jeu de dupes.

 

 

 

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Pot moisi :

 

 

 

- Pain pon : pain chaud.

 

- Si vous prenez le train pour Saint-Jacques, n’oubliez pas de composter.

 

- Pour un mal-voyant, le comble c’est d’être mal vu.

 

- Pleurésie : affection provoquée par un excès de pleurs, suite au fait qu’on vous ait soufflé dans les bronches.

 

- Vu que « violoncelle » est masculin, « violoncelui » devrait être féminin. Alors que « violon », c’est selon.. que vous êtes nul en français ou non.

 

- Lorsqu’on est très pauvre, certains diront qu’autant être aveugle, afin de ne pas voir sa misère.

 

- Les paroles de psy sont parfois des paraboles.

 

- Veuillez plutôt agréer l’impression de ma considération distinguée, vu que je considère qu’il faut distinguer entre les uns et les autres, et que dans votre cas, vous ne m’avez pas fait bonne impression.

 

- Tout ce qu’on sait de l’eau de là, c’est qu’elle n’est pas d’ici.

 

- Je dirais, au grand dam de ces messieurs, que les messieurs sont plus douillets que les dames.

 

- Un homme qui maltraite une femme est un infâme.

 

- Il faut savoir dire la vérité sans ambages, même si avec, c’est plus facile.

 

-

 

- En voyageant par avion à contre-sens de la rotation de la terre, vous pouvez arriver plus tôt que vous n’êtes partis. Si donc le pilote, au lieu de revenir à sa base en sens inverse pour le retour, contourne la terre en prolongeant son trajet dans le sens initial, il arrivera sur son aéroport d’origine plus tôt qu’il avait redécollé de son escale. On pourrait se dire qu’en continuant à ce rythme, il remonte le temps.. Mais ce n’est pas sûr qu’il rajeunisse pour autant, sinon il y aurait beaucoup plus de vols.

 

-

 

- Maintenant que la science nous a appris que nous sommes un assemblage de molécules, elles même constituées d’un sous-assemblage d’atomes universellement répandus dans la nature, atomes séparés par un vide sidéral, et que même les ondes ne sont que des particules en mouvement, je me demande si ma pensée n’est pas finalement qu’une construction matérielle personnelle, une production artisanale d’ondes électro-magnétiques dont on finit par perdre le contrôle une fois notre réflexion terminée, ondes qui vont alors elles-même se disséminer et se perdre, en se fondant dans la nature. On produirait de la pensée comme on produit de l’air, qu’après en avoir inspiré, et en utilisant l’air qu’on inhale pour l’exhaler dans la foulée, comme une effluve qui ne nous appartient pas mais que l’on module à notre guise, consciemment ou pas. Et cette pensée serait donc matière .. En attendant, elle reste matière à réflexion..

 

-

 

- S’il ne fallait garder qu’un seul jour de ma vie, je garderais celui qui suit le précédent.

 

- L’envergure d’une aile est la même à l’endroit qu’à l’envers, mais pas son efficacité.

 

- Un bateau ne coule que quand beaucoup d’eau s’y écoule. Pour jeter l’ancre par contre, vous n’avez pas besoin de faire couler beaucoup d’encre.

 

- On plante sa banderille où l’on peut.. Même le taureau.

 

- Quand c’est tout vu, on peut dire que l’affaire est entendue.

 

- Il n’y a pas que les mamies qui ont des manies. Mais les leurs sont plus jolies.

 

- J’en arrive parfois à penser que ma pensée n’y arrivera pas.

 

- Est-ce une loi de physique cosmique, mais j’ai l’impression que plus on est en retard, plus le temps s’accélère. Par exemple, quand je dois partir au boulot à 8h30, si j’ai le malheur de m’attarder bêtement, trois minutes après il est déjà 8h33 !! C’est fou !

 

- Entre les membres supérieurs et les membres inférieurs, peut-on dire qu’il y a des membres moyens, ou médians ? On peut déjà dire que dans un cas sur deux, il y en a un, et qu’il est bien singulier..

 

- Dormir dans les bras de quelqu’un, c’est une expression un peu réductrice quant aux membres concernés. Il n’y a que lorsqu’on parle de Morphée. Et encore, il paraîtrait que ce sont des ailes..

 

- S’é-vertuer à dire ou à répéter quelque chose n’a rien de vertueux, surtout chez un moraliste.

 

- Parler des « frais » de chauffage peut surprendre. Mais avec l’avènement de la « clim », ça passe mieux. (en tous cas, expression. Parce que pour ce qui est des frais eux-mêmes, ça ne passe toujours pas.. !)

 

- Gîtan : habitant d’un gîte.

 

- Aubergine : auberge d’intérieur.

 

- Le paresseux le paraissait vraiment.

 

- Si vous avez pris du poids, que les pantalons vous serrent et que vous n’y rentrez plus dedans, rentrez-les dehors.

 

- Ne pas dire « Ce sont les tiennes, Emienne » mais « Ce sont les miennes, Etienne ! ». (si ce sont bien les vôtres, évidemment..!).

 

- Les riches ne sont pas plus à condamner que les autres. Ils ne font que se défendre contre le lobbying des pauvres.

 

- Le pays de l’argent-roi n’est pas l’Argentine mais l’Argent-tune.

 

- Y-a-t’il un rapport entre la vitesse du temps et celle de la lumière ? Déjà, aucun rapport la nuit, puisqu’il n’y a pas de lumière. Le jour, ça dépend surtout de ce vous faites.

 

- Peut-on marcher l’amble avec nos deux jambles, je veux dire, nos deux jambes ? J’ai un doute.. Et l’idée de demander à un éléphant ou à un chameau ne permettra pas d’en savoir d’avantage, vu qu’ils ont quatre pattes.

 

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- On peut faire de la mie de pain à partir du pain de mie, mais pas l’inverse.

 

- Ce n’est pas par hasard si les lézards sont bizarres. Déjà, les arts, c’est suspect.. !

 

- Préférences Je préfère me retrouver entre la fin de la semaine et le début, que l’inverse ; inversement, je préfère me retrouver entre le début de ma vie, et sa fin.

 

- Socrate : philosophe grec, et prénom délicat à faire prononcer par un dyslexique.

 

- Roumain roux Un roumain teint en roux est un romain roux.

 

- Je ne te le répéterai pas deux fois ! Expression que vous n’entendrez pas souvent d’un bègue

 

 

 

- Qui veut garder ménage ménage sa monture.

 

- Ne pas confondre le maître de ballet et le maître du balai, lequel, soit dit en passant, a une longueur de retard sur la maîtresse.

 

- Celui qui se lasse de la vie peut être amené à passer au lasso, hélas.

 

- Se gagner la croûte coûte que coûte n’est pas que la devise du boulanger.

 

- L’âme de fond est celle qui vous envahit parfois à la vue de la misère de certains de nos semblables, semblables qui, pour le coup, sont nos dissemblables.

 

- Le geste et la parole Ne pas dire : « Associant le geste à la parole, il se tue. », mais : « Associant la parole au geste, il se tût. ». Cependant, vous n’êtes pas obligés de les associer pour vous taire. Ni moi non plus, d’ailleurs.

 

- Mettez les articles que vous achetez dans une poche à part, et non dans une port-apache.

 

- Echelle de valeurs : tout le monde en a chez soi, mais peu s’en servent, par flegme de monter les barreaux.

 

- Quand un canard marche avec une canne, c’est qu’il s’est trop gavé, et que la cirrhose n’est pas loin.

 

- Toute tentation entraîne une tension, si tant est qu’on y prête attention.

 

- « L’aillerus » n’est qu’une coquille d’impression pour « L’ailleurs ». Comme quoi « l’aïl russe » est bien de chez nous..!

 

- Charbonnier : personne qui a la foi. On n’en trouve plus. (à part chez les mésanges charbonnières, mais dont le suffixe ‘ange’ ne prouve rien..)

 

- Dialogue :

 

- Vous êtes fou ?

 

- C’est faux !

 

- Qui êtes-vous donc ?

 

- Je suis donc !

 

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E de : Et si on s’arrêtait un moment, pour souffler..

 

Eblouissant, Eclairé, Edifiant, Elégant, Espiègle, Essai, Essentiel, Estimable, Etourdissant, Excellent, Exubérant, Exutoire, Et caetera, Etc..

 

 

 

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- Ebranler, verbe à manier avec tact et circonspection. (et non circoncision.).

 

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- Echangerais jeu d’échecs contre jeu de réussites.

 

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- Ecole Normale : En France, personne ne trouve anormal qu’on ait une Ecole Normale. Ce n’est pas normal ! A quand une Mairie Ordinaire, ou un Café Logique ; une Poste Courante ou une Epicerie Naturelle ; pourquoi pas Eglise Classique, ou un Hôpital Banal.. ?

 

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- Eglise, tu t’enlises.. Il serait temps que tes ouailles le voyent.. Eglise, tu es une Tour de Pise, qui penche, mais pas du bon côté.. Eglise, tu nous joues toujours la Lettre à Elise, mais elle est démodée.

 

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- Egoïsme : addiction au je.

 

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- Eh, Marius, tu as beau dire, il n’est pas donné ton poisson, peu cher !

 

 

 

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Pluri-elles

 

 

 

 

 

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- Assemblée Nationale Elle ‘a semblé’ Nationale mais elle ne l’était pas tout-à-fait. En effet, toutes les minorités n’étaient pas représentées. Que dis-je, représentées ? Présentées !

 

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- Précoce Précoce, elle avait atteint sa minorité très tôt.

 

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- Si vous la retrouvez, prévenez-la Elle avait beau chercher partout, elle ne retrouvait plus sa virginité.

 

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- Elle avait beau se trouver belle, le miroir ne voulait rien savoir.

 

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- Bas laids.. Elle avait des jambes comme des balais, mais portait de beaux bas. Mais elle aurait porté des bas laids qu’on aurait pas vu la différence.

 

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- Ne faut pas confondre une femme bien en seins, et une femme bien enceinte ; les rondeurs ne sont pas en même nombre, ni au même endroit, ni du même volume, et ne tiennent pas la même durée. Par contre ce que contient l’une finira par profiter de ce que contiennent les deux autres. Rien ne se perd, rien ne se crée. Enfin, si ! La preuve.. Mais chut, c’est un secret.

 

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- Elle avait eu une ribambelle de gamins, avec une tripotée de maris.

 

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- Elle avait l’air tellement pincée qu’elle s’est emmêlée les pinceaux.

 

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- Elle avait plus d’un tour dans son sac-à-mains..

 

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- Carte d’infidélité Elle avait tellement l’habitude d’être trompée qu’elle lui prit une carte d’infidélité.

 

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- Egoïsme Elle avait tout pour elle, et rien pour lui.

 

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- A moitié Elle était à moitié habillée, ou plus exactement à moitié déshabillée quand il lui demanda si elle avait du feu. Elle en avait, et c’était le moins qu’on puisse dire..

 

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- Eufemmisme Elle était belle, et c’est un euphémisme. Elle ne l’est plus, et c’est encore un euphémisme.

 

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- Elle était d’humeur variable, comme la météo, quand elle est variable.

 

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- Elle était là, perdue, à trifouiller les oies, pour en faire des conserves qui ne se conservaient pas.

 

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- Elle était tellement ‘grêle’, qu’elle semblait traverser la pluie fine sans se mouiller.

 

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- Innocente Elle était tellement innocente qu’elle avait conçu à son insu.

 

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- Jusqu’où faut-il aller.. Elle était tellement jolie que je l’aurais suivie, même dans son raisonnement.

 

-

 

- Très enceinte Elle était très enceinte, car excessive dans tout ce qu’elle faisait.

 

-

 

- Au premier coup d’oeil Elle était très malade ; ça se voyait rien qu’à la voir.

 

-

 

- Mi-jaurée Elle faisait sa mijaurée, et elle ne l’était effectivement qu’à moitié.

 

-

 

- Belle mort Elle mourut entourée des siens, qui eux, n’étaient pas morts.

 

-

 

- Marie-Jeanne Elle peut à la fois fumer et être fumée, la Marie-Jeanne. Il peut à la fois fumer et être fumeux.. J’en connais.

 

-

 

- Elle retira ses dessous, pour finalement n’en tirer que trois sous.

 

 

 

- Elle s’attendait à ce qu’il la tende, et qu’il l’attende. Cà n’attendit pas longtemps.

 

-

 

- Ton eau Un tonneau ne contient pas ton eau mais son vin.

 

-

 

- Elle s’était faite ultra-violer en plein soleil.

 

-

 

- Elle s’était lassée, Lulite, de sa culotte.

 

-

 

- Elle se dégaina. Il dégaina à son tour.

 

-

 

- Chasse « à court » Elle se serait bien tiré le chasseur, mais il lui avait posé un lapin.

 

 

 

Fin du bruissement d’elles

 

 

 

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- Mi-grand ? Emigré rime trop souvent avec ‘dénigré’, alors que le ‘migrant’ n’est pas ‘mi--grand’ mais plutôt deux fois plus grand que nous, dans son mérite d’avoir quitter sa terre natale, et fatale, pour une terre lointaine et hautaine.

 

-

 

- Où wallon-nous ? En Belgique, un flamand rose se pose rarement sur un vallon bleu.

 

-

 

- Pas grand-chose En additionnant des gens qui ne valent pas grand chose, on n’obtient pas plus que pas grand chose. Souvent même on obtient pire.

 

-

 

- En apprenant, et l’ayant vu, qu’un tableau entièrement noir était évalué à une fortune, j’allais dire que j’ai vu rouge.., mais c’est surtout qu’on se dit que les critiques n’y ont vu que du bleu, même les daltoniens. La seule qualité que je lui accorde, c’est qu’on n’a pas besoin d’allumer la lumière pour en profiter.

 

-

 

- En architecture, le maître d’œuvre n’est pas le chef d’œuvre.

 

-

 

- En attendant de se faire la malle, il se fit la femelle.

 

-

 

- Compte en banque (-route) En ce bas monde, il y a ceux qui ont un compte, et les laissés-pour-compte.

 

-

 

- En cours des épreuves du Bac, le surveillant ne tolérait les copieurs que dans le cas des copies conformes.

 

-

 

- En dehors des gays, que sont les hommes qui ne sont pas des ‘hommes à femme’ ? Des hommes a-ffamés ? Quels sont les plus affamés des deux, d’ailleurs ?

 

-

 

- En économie, on ne peut pas faire l’économie du parallèle fréquent entre rationner et rationaliser.

 

-

 

- En France, depuis quelques années, on assiste à une campagne insidieuse contre la bière, vraisemblablement orchestrée par le lobby viticole, qui véhicule par tous les moyens, entre autres sur les boîtes-aux-lettres, le même message désobligeant à l’égard de nos amis anglo-saxons, à savoir : Pas de pub.

 

-

 

- En l’an 369 avant J-C, autant dire que ça fait un bail, les commerces fleurissaient déjà à Florence, même les fleuristes ; et les loyers étaient déjà prohibitifs, mais pas prohibés, malgré les loys.

 

-

 

- En Occident comme en Chine, les serfs ont longtemps courbé l’échine.

 

-

 

- En période de fortes épidémies de gastro-entérites, les médecins devraient reconvertir leur cabinet en toilettes.

 

-

 

- En politique comme dans la vie de tous les jours, on est passé de l’époque de la parole donnée, qui responsabilise celui qui la prononce, à l’ère de la parole reçue, qui n’engage que celui qui l’écoute.

 

-

 

- En préambule de son roman, l’auteur avait pris la précaution de signaler : « Toute ressemblance avec un personnage existant ou ayant existé est possible. Je ne connais pas tout le monde. »

 

-

 

- En prenant la porte, il se la prît maladroitement et s’emporta.

 

-

 

- En prévision de son enterrement, le tailleur s’était confectionné un costume posthume.

 

-

 

- En prévision des frais d’obsèques, il est prudent de demander, non obséquieusement, un ‘de-vis’ avant sa mort.

 

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- Moraliste En principe, un moraliste a des principes, sauf quand il est philosophe.

 

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- En Provence l’été, il est des jours où l’on se demande comment font les grillons pour ne pas griller, en plein soleil.

 

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- En recevant ses diplômes, l’impétrant avait l’air un peu empêtré.

 

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- En revenant des colonies, les fonctionnaires rapatriés avaient tendance, plus facilement que les autres, à envoyer leurs enfants en colonies de vacances. Le poids des souvenirs..

 

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- Cousin-cousine En taille, le cousin est au moustique ce que la cousine est à la petite nièce ; moustique et petite nièce étant, d’ailleurs, souvent aussi insupportables l’un que l’autre.

 

-

 

- En tombant de sa monture, il brisa ses lunettes.

 

-

 

- Excédents En toutes choses il faut se méfier des excédents. S’il en reste, c’est qu’ils ne sont jamais excellents.

 

-

 

- En vélo, on a tous un penchant pour les pentes.

 

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- En voulant épuiser son stock, le commerçant s’est épuisé lui-même.

 

-

 

- Kamasoutra

 

En voulant mettre en pratique les techniques du Kama-Sutra, il s’est fait une luxure d’épaule.

 

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- En voyant Renaud penaud, elle avait alors esquissé d’exquises excuses.

 

-

 

- Enarque : qui a plusieurs cordes à son arc. Expression d’ailleurs stupide, et qui provient d’un vieil énarque, en l’occurrence, qui n’y entendait rien en armes, et voulait parler des balles du barillet d’un revolver.

 

-

 

- Enchifrené : petit génie des mathématiques.

 

-

 

- Encyclopédie : triathlon où l’on a supprimé la natation pour ne conserver que la course cycliste et la course à pied.

 

-

 

- Endimanché : entiché du dimanche, autant dire ‘normal’.

 

-

 

-

 

 

 

- Sophisme vrai Enfin un sophisme vrai : Il n’y a pas de fumée sans feu, or il n’y a pas de tabac sans fumée, donc il n’y a pas de fumée sans fumée. (2ème déduction : il n’y a pas d’humour fumeux sans esprit enfumé.)

 

-

 

- Entre ceux qui ont des idées arrêtées sur tout, et ceux qui ne peuvent ou ne veulent en avoir sur rien, on peut revendiquer le droit de s’en faire une au coup par coup, en prenant le temps d’y réfléchir, même s’en garantir qu’elle sera définitive.

 

-

 

- Entre gourmet et gourmand, il y a la même nuance qu’entre déglutir et engloutir.

 

-

 

- Entre l’infiniment grand et l’infiniment petit, l’homme est-il l’infiniment normal, l’infiniment moyen ? Est-il juste au milieu ? Est-il le juste milieu ? Peut-on être entre deux infinis ? Cela n’a pas fini de me tracasser.

 

-

 

- Entre la bonne foi et la foi, il y a la même différence qu’entre une surface et un volume, c’est-à-dire entre un m2 et un m3.

 

-

 

- Entre remède et poison, ce n’est souvent qu’une question de dose : le premier est à prescrire, le second, à proscrire.

 

-

 

- Sommité Entre un sot et une sommité, il y a quelque chose de ‘mité’, de ‘calamité’ de la nature, une injustice du hasard. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas mépriser les sots, ni encenser les sommités.

 

-

 

- Entrée ou Sortie ? Entrée : partie la plus difficile à réussir, dans un tas de domaines. Pour la sortie, c’est moins grave. Si vous ne la trouvez pas, d’autres se chargeront de vous raccompagner.. Il n’y a que dans la vie, où l’entrée est plus facile à réussir que la sortie.

 

-

 

- Episode : moisson spécifique du blé.

 

-

 

-

 

-

 

- Epitaphe :

 

Un enterr'ment, c'est toujours éprouvant, c'est toujours émouvant, même le sien, ..surtout le sien !

 

D'ailleurs j'aurais pas pu le supporter ! Tel que je me connais, émotif, sentimental, ultrasensible ! J'aurai pas pu suivre le corbillard, mes jambes ne m'auraient pas soutenu ! Mes proches non plus !

 

Et puis, que leur dire, dans ces moments-là !? Les mots vous manquent !

 

C'est la raison pour laquelle, en prévision, je me suis composé un épitaphe ..

 

Et vous seriez sympa, si je meurs avant vous, - c' est peu probable, mais on sait jamais, il faut tout prévoir - , vous seriez sympa de vous cotiser, (à tous, çà fera pas trop cher !), pour pouvoir le faire inscrire sur ma tombe ..

 

J'en avais trouvé de plus marrants, mais finalement, pour la circonstance, j' ai préféré sacrifier à la solennité de l'évènement. Je pense même que ce sera le moment le plus solennel de mon existence, si on peut encore parler d'existence, dans un moment pareil !

 

Et dire que je s'rai même pas là pour en profiter !

 

 

 

 

EPITAPHE pompeux (puisque Pompes funèbres..) :

 

 

 

Si toute mort semble être une fatalité,

 

La naissance, par contre, tient plutôt du miracle,

 

Comme la vie d'ailleurs, mêm’ si, à l'açcepter,

 

Le poids de l 'habitude ‘nous fait parfois obstacle.

 

 

 

Si mon permis de naître me vient tout droit de Dieu,

 

Mon permis de re-naître viendra de lui aussi,

 

Et qu' importe la forme, le moment ou le lieu,

 

Le pourquoi, le comment, ce qui-importe ..c'est Lui !

 

 

 

Mais si c'est le hasard qui vraiment m'a fait naître,

 

Si personne là-haut n'a souhaité me voir,

 

Comment attendre alors quelque chose, peut-être,

 

Comment garder encore une lueur d'espoir !?

 

 

 

Je retournerai donc dans cette nuit béante,

 

Absurde et inutile, dans cette immensité,

 

Après avoir brillé* comme une étoil’ filante,

 

Une ‘ fraction de seconde dans cette éternité ...

 

 

 

(* quand je dis ‘brillé’, c’est une façon de parler..)

 

 

 

(Sinon, c’est beau hein !!..) (j’en ai la larme à l’œil.)

 

 

 

-

 

- Eprouvette : petite épreuve, même si elle est graduée.

 

-

 

- Epuisette : grosse fatigue des touristes de bord de mer.

 

-

 

- Ery t’aime. Cela se voit, il est tout rouge.

 

-

 

- Essayez de ne pas oublier de vous coucher tous les soirs : on voit encore beaucoup de gens à moitié endormis dans la journée. De même, toujours vérifier qu’on s’est bien levé le matin, car j’ai remarqué que je voyais beaucoup d’absents dans les rues.

 

 

 

 

 

+++

 

 

 

 

 

Est-ce que est-ce que vous pose un problème ?

 

 

 

 

 

- Est-ce qu’on entre en politique comme en religion ? En tous cas, pas avec le même désintéressement. Et avec le baptême en moins, en tous cas moins jeune.

 

-

 

- Est-ce qu’un daltonien peut voir la vie en rose ?

 

-

 

- Est-ce qu’une Nobel peut être jolie ?

 

-

 

- Est-ce que j’envie la vie d’un humoriste ? ..’Sans jeux de mots’, bien-sûr que non, puisqu’ils constituent leur finalité !

 

-

 

- Bêtise et hérédité Est-ce que la bêtise est héréditaire ? Autrement dit, est-ce qu’un congénère con génère un con ? Je pense que non, la génétique nous ayant appris qu’il y a des mutants, c’est-à-dire des gènes mutins. (Cela me rassure vis-à-vis de ma progéniture..)

 

-

 

- Est-ce que la mort passe en une seconde ou dure une éternité ? Faute de réponse, je préférais qu’elle passe en une première.

 

-

 

- Est-ce que les bébés qui naissent après terme seront des gens en retard ? Il est prématuré de le dire.

 

-

 

- Oto-rhino Est-ce que, lorsqu’on s’autorise soi-même quelque chose, on s’auto-autorise ? Il restera à se demander si l’oto-rhino peut s’auto-autoriser un écart de conduite ! (en auto, évidemment..)

 

-

 

- Est-ce que penser c’est se dépenser ? Cela dépend de qui.

 

-

 

- Est-ce que tu veux que je te réveille, quand tu pars ?

 

-

 

- Essayez vous à l’humour, vous ne risquez que de vous faire sourire, soit parce que ça l’est vraiment, soit parce que c’est dérisoire, soit les deux à la fois. Par contre, il est plus facile de se persuader du premier cas que du second.

 

-

 

- Est-ce de l’indolence ou de l’insolence, que le silence, face à la tyrannie du bruit ? Est-ce de la timidité ou de la témérité, que la banalité, face à la tyrannie du beau ?

 

-

 

- Est-ce en poursuivant le caribou ? Le fait est que le chasseur avait attrapé un rhume carabiné.

 

-

 

- Est-ce qu’il vaut mieux être un sot qui sait, qu’un malin qui se trompe ?

 

-

 

- Est-ce qu’un aveugle peut être raciste ?

 

-

 

- Est-ce qu’un champignon qui vieillit peut être envahi par des moisissures ? Et est-ce que ces moissures peuvent elles-mêmes en avoir, puisqu’elles le sont déjà ? Conclusion : seules les moisissures ne moisissent pas. !

 

-

 

- Est-ce qu’un puritain rit ? Le mot même le dit, mais le reste de ce qu’il reste, je ne le dirai pas..

 

-

 

- Est-ce que l’eunuque ne connait que l’absence du désir, ou ‘seulement’ l’impossibilté de le satisfaire ? C’est toute la différence entre le début de la sagesse et la frustration. Et de passer de la seconde à la première, c’est moins facile qu’en voiture. N’est-ce pas, Simone ?!

 

-

 

- Est-ce que les Ayatollahs ont une âme ? Oui. Lame du rasoir.

 

-

 

- Est-ce qu’il vaut mieux habiter au numéro ‘3 bis’ qu’au numéro ‘2 ter’ ? Le facteur préfère le premier, même s’il est un peu plus loin.

 

 

 

S que ça vous a plu .. ?

 

 

 

 

 

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-

 

- ‘Et c’était ras..’ peut se conjuguer au présent, tout en gardant les mêmes initiales, càd « etc.. », mais qu’on doit prononcer bien sûr différemment, autrement dit : « et c’est ras.. ». Tu essaieras.. !

 

-

 

- Et dire qu’il était muet.. !!

 

-

 

- Etiopathie : médecine traditionnelle éthiopienne.

 

-

 

- Etrange ange, un rapace passe..

 

-

 

- Etre à la solde d’un pays étranger revient à être à sa botte, surtout s’il s’agit de l’Italie. Et heureusement encore que la Sicile n’est pas un pays étranger, parce qu’elle le serait alors doublement ! (Mais la Maffia vous dira que c’est plutôt l’inverse.. !

 

-

 

- Etre au bout du rouleau est d’autant plus gênant qu’on est en plus, dans la .., comment dire, ..dans la panade.

 

-

 

- Etre en retard prend plus de temps que d’être à l’heure.

 

-

 

- Etre grand, c’est quand on réalise qu’être petit c’est bien aussi.

 

-

 

- Etre grand-père sera pour moi l’un des rares moyens d’être enfin grand quelque part.

 

-

 

- Etre, la plus grande banalité, et le plus grand mystère.

 

-

 

- Le hêtre possède un ‘h’. Le bûcheron aussi, en plus d’une hache. C’est là sa supériorité.

 

-

 

- Etre moqué par un humoriste constitue une forme d’hommage, en tout cas à votre notoriété. Raison de plus de ne pas en faire un fromage.

 

-

 

- Etre rémunéré, on aimerait bien que ça veuille dire ‘munéré’ deux fois.

 

-

 

- Etre superficiel, c’est pas super, mais artificiel.

 

-

 

- Etre sur la même longueur d’onde que quelqu’un, c’est bien ; le tout c’est qu’il y ait assez de place pour deux, autrement dit que la longueur d’onde ne soit pas trop étroite..

 

-

 

- Eve n’a pas dû hésiter longtemps à choisir son amoureux, Adam. Mathématiquement, plus les générations se succèdent, plus le choix deviendra difficile.

 

-

 

- Exemple (personnel) de prétention (personnelle) d’explication du mot prétention : Le mot ‘prétention’ selon qu’on l’utilise pour avant ou après un concours, par exemple, a un sens différent : avant l’examen, c’est le stress, ou pré-tension, alors qu’après, c’est la prétention tout court ( si l’issue est favorable, évidemment.) Ici donc, la prétention n’est que l’après tension..

 

-

 

- Exemple de pléonasme : ‘Violée à son corps défendant’.

 

-

 

- Exemple de plus-value : acheter un orgueilleux pour ce qu’il est, et le revendre pour ce qu’il croit être.

 

-

 

- Expérience : ce qu’on aimerait bien troquer contre la jeunesse.

 

-

 

- Expert : professionnel spécialisé qui fait bien son travail sauf quand il fait un impair, impair qui reste généralement à votre charge, charge à vous de démontrer le contraire en faisant appel, et à vos frais, à un contre-expert. Ce qui n’empêche pas le contre-expert de faire un contre-impair. Dans ce cas, il ne vous reste plus qu’à revenir vers un expert..et à lui faire accepter une contre-facture, sinon une contre-façon de facture.

 

-

 

- Exploi-tation : méthode de travail plébiscitée, qui a reçu le 1er prix du management.

 

-

 

- Exposition : manifestation culturelle, ou économique, où les organisateurs prennent des risques. Mais, comme disait son grand-père (le mien ne le disait pas) : Si on n’essaie pas, on ne sait pas. (J’aurais bien aimé savoir, d’ailleurs, de quoi il parlait en disant cela..)

 

-

 

- Exterrupteur : interrupteur d’extérieur.

 

-

 

- Extrémiste : personne qui conteste son ‘milieu’.

 

 

 

 

 

 

 

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Pelting mot :

 

 

 

- Ne cherchez pas toujours la petite bête. Voyez plutôt si vous trouvez le grand idiot.

 

- Un combattant est à respecter quand il se bat pour une noble cause, malgré la dénomination ambiguë qu’on lui donne.

 

- Quand on est à l’article de la mort, le destin vous renverra à l’article 1 de la constitution (de la Vie), qui stipule que si la vie ne demande pas votre mort, la mort, elle, ne demandera pas votre avis.

 

- On n’est pas riche parce qu’on a les moyens. On est riche dès qu’on devient pingre, malgré qu’on puisse être dépensier. Et parmi les luxes qu’il peut s’offrir, celui d’être radin est peut-être celui qu’il préfère, dans le secret de ce qui lui reste de cœur.

 

- Ceux qui ne croient en rien doivent bien se douter de quelque chose.

 

- Dire de quelqu’un qu’il a tout ce qu’il faut, est faux. Il lui manque sûrement l’essentiel. En attendant, beaucoup accepteraient qu’il leur manque l’essentiel..

 

- Un téléphone, c’est ce qui tombe le plus souvent allo.

 

- La souris a le poil rat.

 

- Le cordonnier habitait un pied-à-terre, au rez-de-chausser.

 

- Macrobe : gros microbe.

 

- Les enfants aiment jouer à cache-cache ; les adultes à couche-couche.

 

- Je tenais à vous le dire en mains propres.

 

- Quoique peu vaniteux, je n’aurais pas été insensible au don de mon nom à un boulevard, ou à une place. Même une rue. Par contre, pas à une simple impasse. Personne n’y passe.

 

-

 

- Quelle est la vitesse de la lumière d’une ampoule électrique ? Ça dépend de la distance concernée. Par exemple, dans ma chambre, elle est d’une fraction de seconde pour 4,50m. Ce qui correspond à une vitesse de 0,0045 divisé par une fraction de seconde, exprimée en km/s. Par contre, pour atteindre le fond du jardin à 63m plus loin, elle met plus de douze heures, puisque même le lendemain matin, elle ne l’a pas encore atteint. Ce qui montre qu’elle diminue avec la distance. De toutes manières, elle est donc inférieure à 0,063 km divisé par 12x3600 secondes, soit 0,0000014 km/s. Elle est donc bien moins rapide que celle de la lumière naturelle ! Mais encore fallait-il le prouver.

 

-

 

- Pour certains, amour rime avec toujours. Pour d’autres, ça rime suffisamment avec un seul jour, pour ne pas dire une seule nuit.

 

- Cathos : gens indulgents envers les indigents.

 

- Bill a bien essayé de mettre une belle bulle dans une balle. Pas de bol. Il a les boules.

 

- Qui ne doute de rien ne croit pas forcément en quelque chose, à part en lui.

 

- Pour les Blancs, tous les Noirs sont ressem-blancs. Pour les Non-blancs, je dirais que les Noirs sont surtout heureux-sans-Blancs.

 

- Pour avoir la possibilité d’identifier sa tortue, en cas de fugue de celle-ci, il lui avait fait une croix dessus. Pourtant, le jour où elle est partie, il ne l’a pas pas retrouvée pour autant. Mais comme il avait déjà fait une croix dessus, il n’a pas eu besoin d’en faire son deuil..

 

- Je croyais que ‘trébucher’ signifiait ‘se prendre une bûche’. A mon grand étonnement, le dictionnaire ne fait aucun rapprochement. Par contre, l’étudiant peut très bien bûcher et se prendre une bûche à un examen. Là, on ne peut pas dire qu’il ait trébuché à cause du fait qu’il ne l’avait pas trop bûché.

 

- Ce n’est pas parce que votre copine vous fait la surprise d’être enceinte, qu’elle a plus d’un tour dans son sac. Par contre, il est possible qu’elle ait plus d’un bébé dans son ventre.

 

- Plutôt que de rouler à tombeau ouvert, prenez le temps de vous arrêter pour le refermer.

 

- Le septième ciel est au ras du lit. (je n’ai pas dit ‘dessous’, sinon beaucoup d’hommes feraient le ménage plus souvent..).

 

- Ce matin le facteur était chargé. Il m’a déposé un brocolis.

 

- En temps de guerre, il est mal venu d’accepter un rendez-vous.

 

- Les pétards mouillés ne sont pas les petits de la grenouille.

 

- Il s’avère que le ver est marron, le verre souvent incolore, et le feu-vert ne l’est pas longtemps. Alors, lorsqu’on vous dit d’annoncer la couleur, méfiez-vous que ce ne soit pas un leurre.

 

- Celui qui, en courant, court plus vite qu’un courant d’air, ne s’enrhume pas.

 

- Les chaussures, on peut y marcher dedans comme on peut y marcher dessus. Le fait est qu’on fait déjà les deux à la fois avec celles que l’on porte.

 

- Si vous me dites qu’il ne faut-pas faire un faux-pas, sinon juste pour de rire, ce n’est pas forcément juste, mais ce n’est pas faux. Ce qui est vrai, c’est que le fait de voir les autres en faire un, ça porte toujours à rire.

 

- Tout problème a une solution. Le problème de tout problème, c’est de la trouver.

 

- Les jeunes ne l’ont pas connue, mais de nos jours, voir une ‘Traction’, et plus exactement une ‘Traction-avant’, est une attraction. Avant, ça ne l’était pas.

 

- Un compliment qui n’engage à rien : « Vous, les jours passent et vous ne changez pas ! ».

 

- Il ne faut pas jeter l’opprobre avec l’eau du bain, surtout s’il y a le bébé dedans.

 

- Canards : animaux indigènes, ou tout au moins, du coin.

 

- Autochtone : voiture du pays.

 

- On est gourde par exemple quand on part en randonnée en oubliant sa gourde. Par contre on est pas verreux quand on oublie de prendre son verre. La pomme, au contraire, est verreuse quand elle a pris son ver.

 

- Scalpel : accessoire inventé par les coiffeurs autochtones de l’Amérique du Nord, à l’époque où les Américains ne l’étaient pas.

 

- S’il y a une seule manière de douter, il y a deux façons de croire : croire vraiment, et ne pas croire vraiment, c’est-à-dire douter. Par contre, il existe une seule manière de ne pas croire, y-a pas de doute.

 

- C’est pas parce qu’on est corpulent que le cor-pu-lence.

 

- La recette des Impôts n’est pas une recette de grand-mère, ni de grand-père non plus, d’ailleurs ; éventuellement une recette de grand-per-vers.

 

- Bouquet missaire : bouquet envoyé pour détourner l’attention de soi, en attisant la tension chez les autres.

 

- Entre metteurs-en-scène, y-a-t’il besoin d’entremetteuse ?

 

- Comme dirait l’enfant battu : « Avec tout ce que j’ai reçu, j’ai déjà donné, merci ! ».

 

- J’ai bien essayé de faire de l’humour au troisième degré, mais je ne retrouve pas le thermomètre.

 

- Pour certains gauchistes, même l’« art » n’est que L-utte A-rmée R-évolutionnaire.

 

- Ne sortez pas, s’il tombe de gros ‘flacons’ de neige.

 

- On dit de lui qu’il est fou, mais il dément.

 

- Il est con su-lat, alors !! Il n’est pas diplomate pour un sou ! (Notez que, aucun diplomate n’accepterait de travailler pour un sou.)

 

- Il ne faut jamais dire : « Fontaine, je ne boirai pas de tonneau. ».

 

- Entre les jeunes premiers et les vieux seconds, il y a les jeunes seconds, ainsi que les vieux premiers. Quant à moi, je suis dans les troisièmes, et plutôt vieux..

 

- La mitaine n’est pas l’amie du capitaine, qui elle, serait plutôt croque-mitaine.

 

- Tirer en double exemplaire : sortir avec des jumelles.

 

- On peut être pour les symboles et ne pas apprécier l’euro symbolique lors d’un dédommagement.

 

- On a tout l’avenir devant soi. Et tout le passé derrière. Ce qui fait qu’on devrait avoir tout le présent entre les deux, juste au milieu. Le problème c’est de trouver le juste milieu, que je préfèrerais avoir devant moi plutôt que de l’avoir dépassé.

 

- Ce que j’aime dans l’informatique c’est qu’en cas d’erreur on peut toujours revenir en arrrière, soit par la touche ‘Echappe’, soit en ne pas sauvegardant.

 

- L’homme d’affaires diffère de l’homme-à-tout-faire en ce qu’il peut lui arriver de préférer un dépôt de bilan à un dépôt de pain.

 

- Le seul avantage du pouilleux, c’est qu’on ne peut pas le dépouiller de grand-chose, hormis des poux, s’il en a.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

F de : Faut pas se presser, y-en a encore pour un moment..

 

Fabuleux, Fantaisiste, Fantasque, Farceur, Farfelu, Fertile, Fin, Flamboyant, Fleuri, Foisonnant, Formidable, Fûté, Futile..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

-

 

- Fables :

 

(autre chanson incomprise)

 

 

 

J’ connais l’histoire

 

D’une fourmi,

 

Qui tous les soirs,

 

Chantait jusqu’à minuit ;

 

Elle se moquait

 

D’une cigale

 

Qui travaillait

 

Sans jamais faire escale.

 

Mais vint l’hiver ;

 

Fourmi eut froid,

 

Et chez Madame Cigale

 

Elle frappa.

 

Mais celle-ci

 

Lui répondit ceci :

 

Ma chère amie fourmi,

 

J’ai déjà mis le four,

 

Et j’ai donc le four mis..

 

 

 

 

 

J’ connais un lapin,

 

Et une tortue,

 

Qui, un beau matin

 

Faire une course ont voulu.

 

Le lapin partit

 

Le premier

 

Car la tortue

 

Pensait qu’elle gagnerait.

 

Mais c’est le lapin

 

Qui gagna ;

 

Et quand la pauvre tortue

 

Arriva,

 

Ce lièvre-ci

 

Fit remarquer ceci :

 

 

 

Tortue tu as perdu

 

Parce que tu as tord ;

 

Parfois même le tord tue..

 

 

 

 

 

Une autre histoire

 

C’est celle du corbeau,

 

Qui voit un renard

 

Et lui dit : « Tu es beau !»

 

Et le renard,

 

Fier de l’hommage,

 

Ouvr’ le museau

 

Et laiss’ tomber l’ fromage.

 

Maître Corbeau

 

L’a vite ramassé,

 

Et le renard

 

N’eut plus qu’à s’en passer.

 

Triste, il s’assit,

 

En se disant ceci :

 

 

 

J’espèr’ qu’y-aura un drôle

 

Qui racont’ra l’histoire,

 

En inversant les rôles..

 

-

 

-

 

-

 

- Face à un di-lemme, pas de panique. Il vous reste toujours huit autres solutions.

 

-

 

- Face à un ordre, et même de profil, il vaut mieux s’exécuter, avant qu’on ne vous exécute.

 

-

 

- Factice : propre au facteur. Exemple : La factrice utilise des moyens factices.

 

-

 

- Factotum : université où l’on apprend tout et rien.

 

-

 

- Faire avouer à une femme qu’elle ronfle est presqu’aussi difficile que de faire admettre à un homme qu’il est impuissant.

 

-

 

- Faire châtrer un chat, c’est comme faire chier un chien. Foutez-leur la paix !

 

-

 

- Faire taire un bavard est aussi long que saturer un buvard.

 

-

 

- Faire un pied-de-nez à quelqu’un demande moins de souplesse qu’on aurait cru de prime abord.

 

-

 

- Faire une pause, çà ‘repause’.

 

-

 

- Faites aux autres ce que vous voulez qu’on vous fasse, dit le dicton.. J’aimerais bien, mais elles ne sont pas d’accord.

 

-

 

- Faites semblant, ce sera mieux que rien, et déjà le double de cinquante. (j’imagine un « blanc », dans votre réflexion..)

 

-

 

- Fanfaron : musicien modeste, qui joue dans la fanfare.

 

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- Farfelu : gardien de phare.

 

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- Faucon : homme qui gagne à être connu. Vraicon : homme qui gagne à être cocu.

 

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- Faussaire : personne qui n’arrive pas à être naturelle. Ne pas confondre avec un snob ; lui, il n’y tient pas.

 

-

 

- Faut beaucoup de temps pour penser, il en faut très peu pour dépenser.(astuce : pour ne pas dépenser, jeter le dé).(il fallait y penser !)

 

-

 

- Faut pas être contre les réglements à priori. Les ‘consignes’ ne sont pas toujours ce que leur orthographe pourrait faire croire.

 

-

 

- Faute de pouvoir éblouir son entourage, il négligeait souvent de se remettre en feux-de-croisement lorsqu’il roulait la nuit.

 

-

 

- Faut-il, de temps-en-temps dans sa vie, se poser les bonnes questions, du genre : « A quoi ça me sert de gagner vingt fois plus qu’il ne me faut pour vivre, alors que ma retraite est déjà assurée » ? Certains vous répondront que non.

 

-

 

- Faut-il parler pour ne rien dire ? Oui, si ça vous permet de dire quelque chose. D’autres le font bien, surtout parmi ceux qui ont de grandes responsabilités. (et à moi personnellement, ça me fait beaucoup de bien, alors que je n’en ai pas.)

 

-

 

- Faut-il se méfier des appâts-rances ? Cà dépend. Si on est pêcheur-amateur, par exemple, c’est moins gênant que si on se remarie sur le tard.

 

-

 

- Faut-il une réponse à tout ? …

 

-

 

- Faut pas jeter la mémé avec l’eau du bain ; elle peut servir à garder bébé.

 

-

 

- Faut pas pousser : expression peu usitée chez les jardiniers.

 

-

 

- Femme : le seul sexe qui ait des règles. A la ménopause, on peut donc dire qu’elle s’affranchit, définitivement d’ailleurs, malgré la terminaison ambiguë de -pause.

 

-

 

- Fête des Mères, Fête des Mères.. !! Pourquoi ‘faites des mères’ ..!? ..Faites plutôt des enfants !

 

-

 

- Figurez-vous que je n’arrive pas à retrouver son visage !

 

-

 

- Fillophile : tous les garçons sont fillophiles ; enfin non, pardon, pas tous.

 

-

 

- Film porc-nographique : film cochon.

 

-

 

- Finalement, le temps qui passe ne sert à rien, sinon à vieillir.

 

-

 

- Finis tes frites tant qu’elles sont froides.

 

-

 

- Flan boyant : recette norvégienne du bon flan de chez nous.

 

-

 

- Forum : ersatz du rhum.

 

-

 

- Fourrière : voiture qui ramasse les fous sur son passage. Mais quand on voit tous ceux qui restent sur la chaussée, on se dit qu’ils doivent manquer de personnel ou de véhicules.

 

-

 

- Frais de bouche : bains de bouche contre la mauvaise haleine.

 

-

 

- Frais de port : parties génitales du cochon ; à consommer de suite car supportent mal le voyage, même en camions frigorifiques.

 

-

 

- Freud était-il un inconscient ou un subconscient ?

 

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- Fringale : désir de fringues, en période de soldes.

 

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- Froissette : chaussette froide.

 

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- Fruits de la passion : enfants adultérins.

 

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- Frusquin : saint célèbre mais peu fêté par la communauté religieuse, alors qu’il a beaucoup apporté, puisqu’il amenait tout avec lui.

 

-

 

- Funoctambule : funambule qui fait son spectacle la nuit.

 

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- Fusil à pompe : fusil gonflable pour enfants.

 

 

 

 

 

Pot ripoux :

 

 

 

- Tiers-temps : c’est le temps moyen de sommeil dans votre existence. Les plus assidus font une mi-temps.

 

- Malgré qu’il ait mué, un garçon peut re-muer. Celui qui ne peut pas muer malheureusement, c’est le muet.

 

- Même les riches attendent les soldes des articles de luxe.. C’est minable ! Ils devraient les laisser aux gens modestes.

 

- Indigènes : gens du coin indigents.

 

- Un remède à la pénurie de place dans les petits appartements : les étagères de plafond. On n’y pense jamais.

 

- Un chat, ce n’est pas obéissant. Il n’y a rien à en tirer, à part la queue. C’est comme un macho.

 

- Dieu n’ayant rien eu à se mettre sous l’Adam, créa Eve.

 

- Il est tellement allergique que je ne donnerais pas chair de sa peau.

 

- Si on pariait qu’on perdait, on gagnerait plus souvent.

 

- Jambon Dior : parfum peu connu et pourtant très chanel, pardon, je veux dire, très charnel.

 

- Le compositeur compose sa musique, et doit parfois composer avec ses musiciens.

 

- D’un chêne solitaire dans un pré, on peut dire qu’il se retrouve comme un gland..

 

- Vous entendrez plus souvent dire que « la mère est perturbée » que vous entendrez « le père est merturbé ». Mais ça ne préjuge en rien sur les statistiques.

 

- « Casse-toi ! » n’est pas un gros-mot si vous le dites à votre tire-lire.

 

- Dix sous moins dix sous, c’est comme quand une pièce de dix sous se dissout. Vous n’avez plus rien.

 

- Inverser la vapeur, aller au charbon, mettre le turbo, autant d’expressions peu prisées des écologistes.

 

- Vache-qui-rit : squaw de Taureau-Assis, alias Sitting-Bull.

 

- Même en dehors du duo prioritaire audio-visuel, vous ne pouvez pas fonctionner sans les sens. C’est comme la voiture.

 

- Tout le monde connaît, même les non-mélomanes, le Si dièse, le plus classique, comme le Si bémol, qui pose parfois problème, le Si lence, plus discret, ou le Si milaire, qui lui ressemble. Mais on peut aussi citer le Si nequanon, indispensable, le Si nistre, plus lugubre, le Si nophile, aux intonations orientales, comme le Si tar, qui pourrait se suffire à lui seul, un peu comme le Si flet, musical de lui-même.. Et que dire du Si rocco, aux accents méditérranéens, ou du Si cilien, sombre et susceptible, alors que le Si nécure lui, est plus indolent. Et j’en oublie, comme le Si atique, un peu coincé, ou le Si magrée, plus jovial.. C’est vrai qu’avec tous ces Si, on pourrait mettre Annecy en bouteille !

 

- Soyez tolérants avec vos vieux. N’oubliez jamais, ..si j’ose dire, qu’un jour vous ne vous rappellerez plus de rien vous aussi.

 

- Pour les filles, l’âge de porter des tu-tus commence peu après celui d’avoir des « nous-nous ».

 

- Le libraire avait deux fils. Le premier, il l’avait appelé Tom ; son deuxième, pour le distinguer, il l’avait affublé d’un Tom II.

 

- Il y a des questions sans réponses. Mais y-a-t’il des réponses sans questions ? Voilà une question sans réponse de plus.

 

- Mange-t’on ou boit-on sa soupe ? En tous cas, tant qu’elle est bonne, ça se mange sans soif ! ..Je veux dire, ça se boit sans faim.

 

- Il est des personnes, on ne sait pas ce qu’elles font dans la vie, mais elles donnent vie à ce qu’elles font.

 

- Il était tellement dans la lune qu’il ne s’était pas aperçu qu’il n’y en avait qu’une.

 

- Je prie les lecteurs de ne me lire qu’une fois, car la seconde leur paraîtra plus fade. Hormis les rares qui n’auront pas compris à la première lecture, comme je ne me suis pas toujours compris à la première écriture.

 

- Ce qu’il y a de bien avec les billets, c’est que leur aspect – hormis la couleur - ne change pas leur valeur. Pour nous, je vous fiche mon billet que les deux paramètres interviennent.

 

- Les oignons, on s’attache souvent à les faire revenir, alors qu’ils vous ont fait pleurer !

 

- Il n’y a plus de saisons ! Même les faits d’hiver ne sont plus ce qu’ils été.

 

- Les os usés ne vont pas dans les égoûts mais dans les cimetières.

 

- ‘Hypothèse la plus basse’ est un pléonasme. On devrait dire ‘thèse’ tout court. D’ailleurs ça se dit, et j’en suis fort aise.

 

- Si je vous pose la question : « Où avions-nous caché nos bateaux ? », vous allez hésiter entre un port et un aéroport.

 

- Tout le monde fait de vieux os, à la longue. Le tout, c’est de les faire de son vivant.

 

- Il a atterri complètement atterré. Il faut dire que c’était un cul-terreux qui n’avait jamais quitté sa terre.

 

- Les professions médicales ne portent pas un bleu mais un blanc de travail.

 

- Si les myopes ne croyaient que ce qu’ils voient, ils ne seraient pas très avancés. Mais en croyant ce qu’ils ne voient pas, ils ne le sont pas beaucoup plus.

 

- En Martinique, lorsqu’on s’enrhume, on s’enrhum pour le faire passer.

 

- S’il est 21h 70 à votre montre, c’est qu’elle avance de 10 minutes.

 

- Méfiez-vous des luxures quelles qu’elles soient, épaule ou hanche. On ne sait jamais comment ça se termine.

 

- Un Italien, ça retombe toujours sur ses pâtes.

 

- On peut se permettre de faire un couac de temps en temps. Quoique..

 

- Il ne faut pas parler anglais à une ampoule, sinon elle risque de vous répondre : « Watt ? ».

 

- Dans certaines familles, malheureusement, on devrait parler d’enfants bien abaissés plutôt que mal élevés.

 

- Parler d’une page qui se tourne, dans l’histoire d’une vie, est une expression assez courte, puisqu’alors le livre n’en comporterait pas beaucoup.

 

- Les cercles du pouvoir sont-ils des cercles vicieux ? Ce qui est sûr, c’est que ceux qui les fréquentent ont du mal à s’en extraire.

 

- Tout le monde sait comment Ulysse a résisté au chant des sirènes. On sait moins qu’il n’a pas succombé aux sables émouvants. Et pourtant, c’était chaud..

 

- Pourquoi le gueux n’est-il pas gai ? Allez le lui demander, mais j’ai ma petite idée.

 

- Dans la vie comme sur un canoë, il faut faire avec les pa-gaies. Avec la différence que dans la vie, il vaut vieux ne pas trop ramer.

 

 

 

 

 

 

 

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G de : Gag ! Je viens de comprendre celle de tout-à-l’heure.. !

 

Géant, Génial, Gigantesque, Graffiti, Gratifiant, Gratuit..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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- G : léger, G eu du mal à en trouver.

 

-

 

- Gadget : objet qu’on gad’ très peu de temps et qu’on jet’ aussitôt.

 

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-

 

- Galilée :

 

 

 

Qu'il ait fallu attendre GALILEE pour réaliser que la terre ne pouvait pas être plate, çà me fout en boule !

 

C'est vrai, quoi ! Si elle avait été plate, tôt ou tard on en serait arrivé au bout, à bout ; on en aurait atteint les limites !

 

Et là, que voulez-vous qu'IL y mette, Dieu, pour terminer la terre ?

 

- une muraille de Chine ? On aurait fini par l'escalader !

 

- un précipice ? On serait parvenu à y descendre, en rappel !

 

- un ciel, en toile indestructible, pour servir de cloche à fromage ? On aurait trouvé les moyens, un jour, d'y grimper dessus, comme les mouches à l'intérieur d'un verre renversé !

 

Qu'est-c' qu'IL aurait pu y mettre d'autre, Dieu ?

 

- une mer, un océan supplémentaire ? autant prolonger la terre, mais jusqu'où !?

 

- ou alors, la faire infinie, cette terre, cette assiette plate !

 

Mais à ce moment-là, comment faire briller un soleil de manière alternative, pour réaliser cette succession de jours et de nuits, pour créer le temps qui passe !?

 

J' veux pas dire, mais, IL était coincé Dieu, j' m'excuse !

 

IL pouvait même plus faire tourner le soleil autour, dans ces conditions, avec une terre plate infinie !

 

IL lui restait plus qu' à faire un soleil girophare !

 

Mais c'était pas une idée très lumineuse, ni même scientifiquement défendable pour les générations à venir !

 

Et donc GALILEE il est arrivé à la même conclusion que moi, mais par une démarche différente !

 

Il en a profité pour dire qu'elle était ronde, la terre, mais çà je l'aurais trouvé moi aussi, la sphère étant le volume le plus simple ! Le soleil est rond, la lune est ronde ; la terre ne pouvait pas ressembler à une banane, ni même à une poire ! Comme image, çà la foutait mal ! Vous la voyez, vous, cette poire, se balader comme çà dans l'univers! Ca aurait été d'un ridicule ! Les astronautes, ils auraient pas fini de s' marrer !

 

Mon seul problème, çà aurait été de le démontrer, qu'elle était ronde !

 

Alors je vous épargne les calculs ! Même les plus hauts dignitaires de l'époque, les plus hautes autorités religieuses, n'ont rien compris ! Vous m' direz, elles n'étaient que "religieuses" les autorités, certes !

 

. Un drôle de nom, quand-même, "GALILEE", pour aller défier la curie romaine et ses pharisiens de l'époque ! "GALILEE" ! Et ça m'en rappelle un autre, de Galilée ! Le plus drôle dans l’histoire, c’est que les Inquisiteurs de Galilée se revendiquaient de ‘l’homme venu de Galilée..’.

 

Sinon, pour le notre, on s' met un peu à la place de notre physicien-astronome ! De la rondeur de la terre, il n'allait pas en faire un plat !

 

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- Gallo-romain : galot pratiqué par le cheval arabe.

 

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- Garde-champêtre : fonctionnaire municipal un peu fleur-bleue.

 

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- Gare aux gares, et les personnes en situation irrégulière devraient s’en méfier, car on n’y arrête pas que les trains.

 

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- Gendarmerie est toujours au féminin. Le masculin est peu courant, ça fait pas sérieux.

 

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- Généralement, les blagues sur le tabac ça vole bas. Même si on ne peut pas dire que celles sur la météo ça vole haut..

 

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- George Sand Chopin, c’était comme Chopin Sand George.

 

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- Gérants, on l’est tous : grands gérants, de portefeuilles, ou petits gérants, de portes-monnaie, gentils gérants, ou belligérants, on gère, on gère à la légère, on exa-gère ! Mais qui-çà, "on" ? ..Oh, tout l' monde : "L'Etat-gère", la ména-"gère", et j'allais dire : "même les cons-gèrent", mais çà va jeter un froid ! On va dire : "même les fous-gèrent"...

 

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- Girophare : phare girouette utilisé pour abrutir les papillons de nuit.

 

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- Glace : miroir qui manque un peu de chaleur

 

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- Glaucome : homme louche.

 

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- Golden-boy, il s’en était mis plein les poches. Mais la crise s’invita et posa ses valises ; sa femme se fit la malle ; il commença à se prendre des vestes. Jusqu’à ce qu’on le retrouve à faire la manche.

 

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- Gourou : personne qui s’en met plein les poches en vous prenant pour un kan..

 

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- Goutte : poussée inflammatoire douloureuse au niveau de l’articulation du gros orteil généralement, qui vous met dans une grosse colère ; d’où l’expression populaire : ‘C’est la goutte qui fait déborder le vase’. Le paradoxe veut qu’ici, il ne déborde pas par le haut mais par le bas. D’où l’expression : ‘C’est là que le bas blesse’, même si vous n’en portez pas.

 

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- Grands (les) :

 

 

 

C’est vérifié scientifiquement : Les grands, quand ils étaient petits, n'étaient pas grands. Et donc, le fait que les petits, quand ils sont grands, soient toujours petits, c'est pas inconcevable !

 

A ce propos, vous savez pourquoi j'aime bien les terrasses des cafés ? C'est parce que, tout en restant assis, pénard, à ma table, je peux lever le bras pour appeler le serveur, ..- j'en profite pour choisir le plus grand, (en plus je parie qu'il gagne plus que moi !), et là, je me régale de lui dire : -" Psstt, s'il vous plaît, un café."

 

..A chacun ses plaisirs mesquins..

 

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- Gratitude : attitude des gros, vis-à-vis du gras.

 

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- Griller un feu, brûler un feu : cocasserie linguistique répréhensible.

 

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- Groseille (au masculin) : gros riche, qui s’est fait beaucoup de blé.

 

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- Guépard : mâle de la guêpe.

 

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- Guttemberg fût un homme de caractère, inventeur de l’imprimante.

 

 

 

Polting met :

 

 

 

- On a plus de mérite à perdre contre un battant qu’à vaincre contre un perdant.

 

- Chaque jour est un mot, chaque semaine une phrase, chaque mois un paragraphe. Chaque année est une page, chaque décennie un chapitre, chaque vie un livre. Faudra contacter l’éditeur pour voir si on peut en écrire au moins un autre.. !

 

- Si vous trouvez le scotch écossais trop cher, prenez vous-le en rouleau, chez nous.

 

- Les blagues, c’est comme pour les gens parfois, on attend leur chute pour rigoler.

 

- Comme disent les péripatéticiennes anglophones, les journaux mais les nuits yes.

 

- Patrick n’avait pas l’esprit très pratique. Heureusement, son second prénom était Manuel.

 

- La fille de l’anesthésiste polonais s’appelait Anastasia. Il faut dire que sa femme avait eu une péridurale.

 

- Le jour où vous verrez unE motard avec son copain à l’arrière, l’humanité aurait fait un grand pas en avant.

 

- C’est pas parce que les parents reprochent à leurs ados d’écouter la musique trop fort qu’ils n’y entendent rien.

 

- Trop c’est trop ; mais peu c’est peu aussi. Demandez-le à certains.

 

- La boxe anglaise n’est pas une boxe française où l’on parlerait anglais mais une boxe où l’on cogne à gauche.

 

- Il vaut mieux qu’il y ait des forêts tropicales que pas assez.

 

- Hourrat : cri de joie des rats.

 

- Ceux qui peuvent s’envoler sans voler, sont les rêves et les voleurs. Mais les rêves de voleurs sont moins à condamner que les voleurs de rêve.

 

- Ton couteau est en train de rendre lame. (la phrase est de ma fille aînée).

 

- Les français utilisent la capote anglaise, les italiens le cappuchino, ou capote chinoise.

 

- Une femme ménopausée est une femme qui a tiré un trait sur ses règles.

 

- Je connais des machos qui se serviraient de l’emblématique « Les pieds nickelés » pour un slogan imbécile, en remplaçant les pieds par celles qui les portent..

 

- Y en a qui ne savent pas aller aux toilettes sans faire leur toilette.

 

- Un chevalier peut très bien mettre son doigt dans sa chevalière, ou même dans celle de quelqu’un d’autre sans qu’il n’y ait rien à redire, je veux dire, sans que l’on trouve la manière cavalière. A part qu’on ne trouve plus beaucoup de chevaliers.

 

- Si vous avez un chagrin d’amour, pensez à tante Odette, qu’on disait canon à vingt ans, et qui est devenue un char d’assaut. Ou à tonton Georges, le tombeur de ces dames quand il était jeune, et qui ne tombe plus que le ventre, ou son dentier..

 

- Les pieds dans le pot Trop de bonheur tue. Il n’y a qu’à voir une fourmi dans un pot de miel..

 

- Il vaut mieux disponible que vingt occupés.

 

- C’est quoi qui t’a coupé ? Sécateur.

 

- Cicéron ou pas, on ne l’a jamais su, et on ne le saura jamais. D’ailleurs on s’en fout !

 

- Joaillerie : pléonasme.

 

- Entre la lune et les étoiles, il n’y a que la différence du vide intersidéral. C’est sidérant.

 

- Gâchis Et dire que je suis en train d’aligner des conneries, alors que je serais capable d’écrire des romans d’amour à l’eau de rose ! Quel gâchis !

 

- Oh butin ! : expression triviale qu’emploient les flics lorsqu’ils voient s’échapper un voleur avec le magot.

 

- Le pingouin a une sexualité tout-à-fait classique, ce qui induit que sa pingouine aussi.

 

- La seule façon de se faire du bien en tombant, c’est de tomber d’accord. Et mieux encore, dans un lit.

 

- Généralement, il vaut mieux qu’elle soit tombée enceinte plutôt qu’elle soit tombée, enceinte.

 

- Même dans les pays démocratiques, la minorité de la finance est bien la seule qui ait toujours gain de cause.

 

- Le chien ne sait pas cacher son intérêt pour quelqu’un, contrairement au chat. Par ce trait de personnalité, il rejoint l’homme, alors que la femme serait plutôt chat.

 

- Certains seraient bien avisés de donner un tour de vis à leur tour de taille.

 

- Distraction Les écureuils s’étaient retrouvés dans l’écurie par hasard, alors qu’ils n’avaient rien à y faire.

 

- Une raison n’est pas la raison, c’est-à-dire qu’elle n’est pas toujours raisonnable.

 

- Vaut-il mieux un beau cauchemar qu’un mauvais rêve ?

 

- Ce qu’il y a de con quand c’est con, c’est que c’est conséquent.

 

- Qu’est ce qui est le plus généreux, s’apprêter à donner ou s’adonner à prêter ?

 

- Passe-moi ton bic, je te passerai ma biquette.

 

- Les habitudes sont une seconde nature, en attendant la troisième.

 

- De nos jours, entre utile et futile il n’y a parfois que l’épaisseur d’un f, ou d’un cheveu.

 

- L’expérience m’a appris que le danger d’une grosse tête, c’est un petit cœur.

 

- La fin justifie les moyens, et même les grands. Mais jamais les petits. Y-en a marre à la fin !!

 

- Comme dit Tarzan à sa Jane, quand il boude : « Toi-lette, moi beau ! »

 

- La règle de « l’o dans l’e » est caractéristique de la perversité de nos grammairiens, leur acharnement à aller nous chercher des poils aux œufs. Néammoins, si vote logiciel d’écriture ne l’intègre pas, on ne peut pas vraiment parler de ‘coquille’.

 

- Curieusement, la goutte ne vous pend pas au nez mais à l’orteil, même si, en fonction de votre hérédité, elle peut vous pendre aux deux.

 

- Si vous enlevez le h à humain, vous lui enlevez un peu de son humanité. Si vous lui enlevez la hache, vous le rendez plus civilisé..

 

- Blague à part, j’arrêterais bien de fumer.

 

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H de : Hi, Hi, Hi ! Elle est pas mal celle-la.. !

 

Habile, Hilarant, Honorable, Humain, Hyper..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Hà vos souaits.. !

 

-

 

- Hamburger : bourgeois de Hambourg.

 

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- Hara-kiri : abattoir pour chevaux.

 

-

 

- Hasch : hâchoir indien pour couper menu les herbes, épices, condiments, persil, etc..

 

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- Hebdromadaire : chameau qu’on loue à la semaine.

 

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- Hélas, Elise est lasse.

 

-

 

- Heureusement qu'il n'y a plus la censure, c'est sûr ! ..Sinon, il reste bien l'ascenseur, et en plus ça vous fait une bell' jambe ! ..Si, si, c’est prouvé !

 

-

 

- Hispanique : panique espagnole, comme après la grippe de 14-18.

 

-

 

- Historien : qui raconte des histoires.

 

-

 

- HLM : droguée qui apprécie particulièrement le hasch.

 

-

 

- Hommage :

 

On a rendu hommage, à juste titre, aux Poilus de la 2ème Guerre Mondiale. Maintenant que le dernier Poilu a rejoint ses compagnons d’armes, qu’il me soit permis de rendre aussi un hommage mérité aux Glabres et autres Imberbes de tous poils, quelque soit leur âge, leur origine géographique (Asiatiques, Africains), qui les ont accompagnés. Poil au nez.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Hommage à Brassens : il y a plusieurs façons de lui rendre hommage ; l’une des manières est de souligner son sens de la rime riche. Exemple, dont le thème est pour moi un clin d’œil à l’une de ses nombreuses facettes.. : mon ‘Ange’

 

 

 

Ange

 

 

 

Elle’ s’appelle Ange, parfois j’en ris,

 

Car depuis que j’ suis son mari,

 

La nuit ça devient l’ safari,

 

Le désert du Kakahari !

 

Et ne croyez pas qu ‘ça varie,

 

J’ suis tari.. !

 

 

 

L’ « Ange », elle’ se l’est mis pour décor,

 

Dedans, elle a le diable-au-corps,

 

Et que je sois ou pas d’accord,

 

Elle en demande’ toujours encore !

 

Faudra qu’elle’ me passe’ sur le corps,

 

La pécore.. !

 

 

 

Elle’ s’appelle ‘Ange’, qui l’aurait dit ?

 

Car du Dimanche au Samedi,

 

C’est toujours la même comédie !

 

Elle me traite’ de ‘pas dégourdi’ !

 

« J’ suis pas une’ pompe à incendie ! »

 

Que j’ lui ai dit.. !

 

 

 

Qui-est-c’qui-a froid dans son lit l’hiver ?

 

Je lui offre un calorifère

 

Qui donne’ plus de feu que l’Enfer,

 

Car mon Ange’ c’est un Lucifer !

 

Moi qui voudrais bien m’en défaire,

 

Rien à faire.. !

 

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- Homme : personne que cherchait Diogène, et qu’il n’a pas trouvée, forcément, puisque personne.

 

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- Homo cherche âme-frère.

 

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- Hormis Tologue, peu de scientifiques s’intéressent aux oiseaux.

 

-

 

- Hospice : hôpital piteux, et qui sent fort.

 

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- Hôtel de Police : hôtel où les policiers dorment ensemble.

 

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- Humerus : autre nom de la toundra ; sorte de gazon des pays de l’Est.

 

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- Humour : aspiration à l’amour.

 

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- Hyperbole : chance croissante.

 

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- Hypermarché : lieu où l’on marche beaucoup.

 

 

 

 

 

 

 

Pire au pot :

 

 

 

- En publicité, les nombres à trois chiffres qui finissent par 9 sont souvent des nombres à quatre chiffres.

 

- Une petite patronne est une patronnette. Mais si elle n’est pas trop nette, vaut mieux une patronne.

 

- Les chevaliers servants ont disparu parce qu’ils ne servaient plus à rien.

 

- Vaut mieux ton beau mambo que mon beau tombeau.

 

- Si vous appelez votre raton Candy, on ne saura jamais si vous vous en souciez ou pas..

 

- Le ch’ti est quelqu’un qui s’honord de ne pas être du sud.

 

- La poussière est aussi une unité de mesure. On l’écrit alors au pluriel, comme par exemple : « 200 et des poussières ». (Ne pas écrire : « Descend, et dépoussière ! »).

 

- De nos jours, on demande de plus en plus aux chômeurs d’être ‘mobiles’ s’ils veulent trouver du travail. De là à les prendre pour des ‘mobiles hommes’, il n’y a qu’un pas.

 

- Les hors-bords sont hors de prix, et les bateaux en général, inabordables.

 

- Les épluchures ne sont pas de débris de peluches.

 

- Avec un mobile attaché à vos basques, vous êtes toujours en mode veille, même au lit.

 

- Une écrabouillure n’est pas un bouillon de crâbes.

 

- Quand on a faim de haricots, généralement il n’en reste plus.

 

- Une maman peut allaiter comme elle peut haleter. Dans le premier cas elle prend son sein, ou plutôt elle le donne ; dans le second, elle prend son pied.

 

- Le comble d’un pompier, c’est de se faire allumer. Et habituellement, c’est parce qu’il n’est pas parvenu à éteindre un feu.

 

- Le hanneton n’est pas le petit de l’âne, même en l’orthographiant ‘âneton’. Et je n’irais pas jusqu’à dire que, dans ce cas, ce serait plutôt vous..

 

- C’est quand tu n’es plus en mesure de regretter quoique ce soit, qu’on te regrette le plus.

 

- En Colombie, il ne reste plus beaucoup de colombes à Medellin, et celles qui restent y ont laissé des plumes.

 

- Si un rat d’égouts porte une redingote, c’est un rat dingo.

 

- Vaut mieux enterrer sa vie de garçon que le garçon de sa vie.

 

- Ne pas confondre main courante et main balladeuse.

 

- Le crotale n’est pas le serpent à crottes mais le serpent à sonnettes.

 

- On peut faire sans, mais sans faire sensation.

 

- Congés d’été. Magasin fermé jusqu’à réouverture.

 

- Il faut prévenir les jeunes filles de ne pas aller systématiquement sur les faux roms sans avoir vérifié préalablement s’ils leur conviennent, ne serait-ce que physiquement.

 

- Je ne sais pas quel âge il avait, mais il faisait plus jeune.

 

- Un Marseillais distingue la Canebière de la canette de bière, sauf quand il en boit trop.

 

- Les Américains se sont payé le luxe d’avoir eu des cons fédérés. Certains Français de droite diront que chez nous, il sont syndiqués.

 

- Les absents ont toujours tord, surtout quand ils ne sont pas là.

 

- C’est quand-même provocant que les femmes portent une tunique..

 

- Un enfant instruit en géographie peut très bien vous dire, si vous avez besoin d’argent, d’aller en Argentine.

 

- Le réservoire à carburant de votre voiture est comme la nature, il a horreur du vide.

 

- Un amant pingre et inélégant a pu lâcher à sa maîtresse que ses fesses lui coûtaient la peau des siennes.

 

- Il est décédé alors qu’il était vivant. Ça lui a fait drôle.

 

- Les seuls gendarmes que vous êtes en droit d’écraser, ce sont les gendarmes couchés, ou allongés. Pour les poulets, par contre, il n’y a pas de conditions, hormis qu’ils ne portent pas le képi.

 

- Si un nom est imprononçable, ne le prononcez pas. Et si la personne qui le porte est imbuvable, n’insistez pas non plus, ne la buvez pas, et videz-la dans le caniveau.

 

- Caniveau : croisement entre une chienne et un veau.

 

- Dormir sept à huit heures par jour, il paraît que c’est normal. Moi je dors sept à huit heures par nuit, et je ne m’en porte pas plus mal.

 

- De mauvaise humeur, il avait toujours une dent contre quelqu’un. Il devait avoir des caries.

 

- Les frais dentaires, ça plombe. Sinon, j’ai un tuyau : essayez avec le plombier, ce doit être moins cher.

 

- Contenu Le contenu est toujours plus petit que son contenant. Il n’y a que l’âme pour être plus grande que l’homme qui l’abrite.

 

- Si vous n’arrivez plus à remettre votre dentier, c’est que vous êtes devenu une grande gueule.

 

- Contre mauvaise fortune.. Il arrive que des contretemps vous arrivent. Et ça contrarie toujours, quand ça ne va pas jusqu’à contrecarrer vos projets. On peut même en subir le contrecoup. Essayez d’en prendre le contre-pied. Je vous proposerais bien une contrepèterie, du genre : « On ne dit pas ‘Contre mauvaise fortune, bon cœur’ », mais ‘Conte-moi ta fortune, mon cœur’..

 

- En dehors des heures de pointe ou des périodes de vacances, les trains arrivent dans les gares à moitié vides, et en repartent à moitié pleins. Mais ce ne sont pas les mêmes passagers. Ou alors ce sont des distraits.

 

- C’est parfait Entre ‘‘C’est fait’’, et ‘’C’est parfait’’, il n’y a qu’une petite ‘‘part’’ à rajouter.

 

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- Franklin, Roussel, Aymé et les autres.. Dans cette famille de bonne famille, le benjamin s’appelait Franklin et le cadet, Roussel. L’aîné, je ne me rappelle jamais de son prénom. Marcel, peut-être ? En tous cas, c’était le bien-Aymé de la famille.

 

- Quoi de plus normal quand le milieu musical s’honore de ses musiciens ?

 

- Pro-state : statistique professionnelle. Mais certains se posent la question : Quand sert la prostate ?

 

- Il faut bien mourir un jour de quelque chose, dit-on. Je préfèrerais mourir une nuit de rien, je veux dire sans avoir jamais rien eu, dans mon sommeil. De mourir les yeux fermés.

 

- Les champs du possible, c’est peut-être ça l’avenir des agriculteurs..

 

- On reconnaît les autoroutes des vacances par le fait que c’est là qu’on trouve le plus d’aires de repos.

 

- Si vous ne faites pas le poids, compensez par la densité plutôt que par le volume, dirait mon prof de physique. Mais lui, il faisait les deux.

 

- S’il fallait tenir compte, ne serait-ce que du nombre de rencontres sociales qu’il a fallu pour aboutir à votre petite existence, vous seriez aussi abasourdi que devant le hasard du choix de l’ovule pour son prétendant, parmi les milliards de ceux qui se présentaient à lui.

 

- On devrait dire ‘une’ ovule. Mais ça ne décourage pas le spermatozoïde. Faut dire que là dedans il fait tout noir.

 

- Je me suis souvent dit que j’étais nul. Seulement je ne me croyais pas. Mais je commence à avoir un doute. Un seul pour l’instant..

 

- Combler une femme a deux sens. Mais je ne voudrais pas insister..

 

- L’intimité commence par l’intimidité, qui n’est pas intimidation, mais plutôt l’inverse.

 

- L’aide est belle.

 

- L’Inuit connaît des nuits inouïes, en tous cas par leur longueur. Quant au reste, on trouverait bien des curieux pour aller vérifier.

 

- Dans tout homme un sommelier sommeille.

 

- A l’opposé de l’hypersensible, il y a l’hyposensible, qui est quand-même sensible, mais en hypo. Un peu comme un « potame ».

 

- Ce n’est pas parce que Prudence est mère conseillère que Prudent est maire-conseiller.

 

- On conçoit plus facilement qu’il y ait eu défaillance dans la gestion d’une entreprise, qu’il s’agit d’une entreprise de faïencerie.

 

- Un hypermétrope voit mieux un hippopotame qu’un hypermarché. Je veux dire que l’effet d’optique compense en partie.

 

- Au petit-déjeuner, même si je me fais griller la politesse quelques fois, je me fais quand-même griller du pain.

 

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I de : Il est génial, ce mec !

 

Insolent, Iconoclaste, Immense, Imparable, Impayable, Impeccable, Impérial, Impertinent, Imposant, Impressionnant, Inégalable, Inoubiable, Inimitable, Insolant, Inspiré, Intarrisable..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ainsi soient- ILS

 

Ut-iles ou fu-tiles

 

 

 

 

 

- Il a beau faire le beau, laid il l’est.

 

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- Il a perdu la vue en un clin d’œil. Son ophtalmo n’a rien vu venir.

 

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- Haltère et go Il appela son alter ego. Mais la ligne était occupée.

 

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- Visser vers ça Il aurait bien retourné sa veste si elle n’avait pas été plus déshonorante encore de l’autre côté.

 

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- Bonne conduite Il aurait bien voulu retrouver son honneur perdu, mais ne se rappelait plus où il l’avait laissé. Il décida alors de se racheter une bonne conduite, et s’inscrivit à l’auto-école du coin.

 

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- Il aurait souhaité être enterré dans son pays natal, mais comme il était né au fin fond des colonies, il finit par y faire une croix dessus.

 

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- Concours L’ épine Il avait inventé « l’Ouverture-Eclair » qui s’ouvre de bas en haut. Mais ça n’intéressa personne.

 

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- Tout le monde peut se tromper Il avait l’air, comme ça, mais il ne l’était pas.En tous cas, je le voyais autrement.

 

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- Manque de peau Il avait le rythme dans la peau. Les dermatologues n’ont rien pu faire.

 

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- Mauvais trottoir Il avait mis toutes les chances de son côté. Le problème c’est qu’il habitait en face.

 

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- Il avait repris la direction de la chorale. C’était un gros chant-ier, mais il y mit tout son chœur.

 

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- Il avait réservé un billet, à l’agence ; mais l’agence lui avait réservé une surprise..

 

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- Il avait son âge. Elle paraissait le sien.

 

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- Il avait tellement suivi de formations professionnelles que ça en devint une déformation professionnelle.

 

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- Amours en quoi.. !? Il avait toujours eu des amours ancillaires. Mais cette fois-ci, il pensait que ce serait la bonne.

 

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- Il avait une mémoire d’éléphant atteint d’Alzeihmer.

 

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- Il avait volé mes terres ; il était mes-champs.

 

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- Il buvait pour oublier, mais n’oubliait pas de boire.

 

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- Il court, il court, Andair. (du nom du grand marathonien du même nom). Il n’y a que les fenêtres

 

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- Il dévisagea sa poitrine. Elle rougit des deux seins.

 

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- Au poids Il faudrait pouvoir acheter des billets avec le même poids de pièces.

 

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- Il entendait bien se faire entendre.

 

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- Il essaya de l’amadouer, mais elle ne succomba pas à sa flamme.

 

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- Logique et navrant Il est à la fois logique et navrant, qu’encore une fois, les armes se soient tues après que les homme se soient tués.

 

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- Il est amusant de vérifier régulièrement cette habitude prise, pour faire une publicité négative à quelqu’un, de le citer nommément en précisant juste après : « ..pour ne pas le nommer, .. ».

 

Moi je ne citerai pas de nom, par pudeur et modestie, mais je vous dirai franchement que : « J’ai beaucoup d’admiration pour l’auteur de ce recueil de mots d’esprit, pour ne pas le nommer ! ».

 

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- Il est con ton beau-frère ! - Oui, boff.. !

 

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- Il est de bon ton de se dire athée, ou du moins agnostique, comme si la notion de créature avait quelque chose d’infantilisant ! Nous sommes bien, tous, me semble-t-il, les enfants de quelqu’un ! Et çà ne nous empêche pas de grandir, et de devenir adulte. Au contraire même, c’est ce qui nous permet de le devenir.

 

-

 

- Il est des prénoms difficiles à porter par une horticultrice, comme celui de Marie-Jeanne. Et par une femme de flic aussi.

 

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- Jours nuls Il est des jours tellement nuls, que si on avait pu passer directement au suivant, on l’aurait fait.

 

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- Intonation Il est des petites phrases où tout est dans l’intonation, du genre : « Je vais m’occuper de vous.. »

 

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- Arriéré Il est d’autant plus agaçant de rembourser des arriérés qu’on est intelligent.

 

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- Il est encore possible de faire un trou dans une piscine remplie d’eau, en plein été, à condition que ce soit un trou normand.

 

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- Dans quel état.. Il est paradoxalement plus facile de monter une étagère à l’étage avant de la monter, que de la descendre une fois entièrement montée.

 

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- Il est plus facile à un homme de sortir des sentiers battus qu’à un poisson de sortir de la rivière. Est-ce à dire que son destin à lui est tout traçé, et qu’il se la coule douce ?

 

-

 

- Il est plus facile d’être riche quand on est beau que d’être beau quand on est riche. Il est également plus facile d’être riche quand on est intelligent, qu’intelligent quand on est riche. Par contre il est toujours aussi difficile d’être intelligent quand on est beau, que d’être beau quand on est intelligent.

 

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- Il est plus difficile d’être fidèle à son amour qu’à son humour.

 

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- Il est plus difficile de se faire sa place tout simplement, que de se la faire au soleil ; car pour ce qui est du soleil, je connais des régions où il n’en manque pas, ni de la place non plus, et personne ne veut y aller..

 

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- Il est plus élégant de dire « rester coi » que de dire « rester con ». Par contre, si au lieu de dire « rester coi » vous dites « rester comment », çà fait encore plus con, parce que vous montrez que vous n’avez rien compris aux subtilités du langage châtié.

 

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- Strata, j’aime.. Il est plus facile à un stratège de dire : « La meilleure défense c’est l’attaque », qu’à un économiste de dire : « La meilleure dépense c’est la recette ! ».

 

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- Il est prudent de rappeler à ses ados de sortir couverts, surtout dans une voiture décapotable.

 

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- Il est regrettable que les gens les plus influents ne soient pas les plus intelligents vis-à-vis de leur collectivité ; et que les gens les plus intelligents ne soient pas les plus altruistes.

 

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- Il est toujours délicat de faire un impair - par exemple dans un repas d’affaires, au milieu de ses pairs - et de se rattraper ; surtout si on n’aime pas les chiffres pairs.

 

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- Il est trop tôt pour ma postérité, et trop tard pour mon antérité.

 

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- Il était à la fois paresseux et vaniteux, voulant faire croire qu’il craignait de creuser un peu plus le fossé qui le séparait des autres.

 

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- Il était brillant mais manquait d’élégance. Il réussissait tout, les doigts dans le nez.

 

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- Il était capable du pire comme du meilleur. Mais si, pour le meilleur, c’était pas le pire, pour le pire, c’était bien le meilleur.

 

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- Il était d’autant moins à l’heure qu’il ne vivait à l’heure normale que six mois par an.

 

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- Il était fort comme un Truc.

 

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- Il était grêle comme un intestin, le grêle évidemment, pas le gros.. !

 

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- Il était mal dans sa peau. Mais à force de vouloir en changer, il s’est camé, Léon.

 

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- Il était moins cultivé que son champ, mais son visage portait plus de rides que sa terre n’avait de sillons.

 

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- Il était moins que Jéhova.

 

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- Il était né de bonne heure. Mais c’était trop tôt pour le bonheur. Il dû patienter.

 

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- Il était plus facile de lui sortir les verres des lunettes que les vers du nez.

 

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- Il était suffisant ; et ce n’était pas sa seule insuffisance.

 

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- Il était tellement cancre qu’il se disait : « Pour que les profs ‘me notent’ bien, il faudrait qu’ils soient flics. »

 

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- Il était tellement distrait qu’il est mort sans s’en apercevoir.

 

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- Il était tellement fourbe que même le diable s’en méfiait.

 

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- Il était tellement habile de ses mains qu’il était presquidigitateur.

 

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- Il était tellement persuasif qu’il aurait vendu un frigo à un Eskimo.

 

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- Il était très attaché à sa ceinture, qu’il ne quittait plus.

 

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- Il était très timide avec les filles. Tout ce qu’il avait pu tirer jusque là, c’était la chasse des toilettes.

 

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- Il était un petit homme, pirouettes-cacahuètes.

 

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- Il étang qu’il nous fasse cygne.

 

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- Il eut le choix entre signer son arrêt de mort, et l’exécution capitale. Il choisit la troisième.

 

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- Il existe de vrais faux-contacts, mais pas de faux vrais-contacts. Sauf en amour.

 

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- Il existe deux sortes de geai, en France : le geai d’eau, qui vit dans les jardins publics, et le geai fin, un peu plus allongé, et plus vorace, moins connu sous le nom de geai africain. Le geai mâle a comme une cicatrice sur le tête.

 

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- Il existe plusieurs techniques pour éteindre le feu. Le pompier en est un.

 

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- Il existe une île Sanmarin ! On se demande comment elle a pu être colonisée, surtout en face de la Grèce..

 

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- Il faisait les chevaux d’élevage, mais il s’est reconverti dans le matériel de levage.

 

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- Il faudrait que l’industrie trie ses matières premières avant de trier ses déchets ; et avant ses matières premières, ses méthodes de production ; et avant ses méthodes de production, ses finalités de production. C’est pas parti pour. Je serai parti avant. (surtout si je ne fais que le dire.)

 

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- Il faudrait que les hommes soient solidaires comme les pierres incurvées des arceaux des vieux ponts, qui soutiennent le pont par le fait qu’elles sont toutes ensembe. Une seule viendrait à manquer que celui-ci s’écroulerait.

 

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- Il faut appeler un chat un chat, mais un chien aussi ! (Je m’explique : je n’ai pas dit qu’il fallait appeler un chien « un chat », mais qu’il fallait appeler un chien un chien. Non je le dis pour ceux qui n’auraient pas compris comme moi.) (Je précise, je n’ai pas dit que je n’ai pas compris, mais que certains auraient pu ne pas le comprendre comme moi je le comprends..) (Bon, ça va aller.. ? Sinon je reprends..)

 

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- Il faut être fort pour ouvrir un coffre-fort sans le renfort ..d’un doryphore. (la chute est nulle ; elle ne veut rien dire. Mais c’est pour la rime..)

 

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- Il faut leur accorder ça aux vieux : Il y a beaucoup moins de durs-à-cuir qu’à leur époque. Encore peut-on trouver quelques durs-à-plastique, ou du simili, mais ça n’a rien à voir.

 

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- Il faut prendre le temps avant que le Temps ne vous prenne. Et lui finit toujours par vous prendre. Pas moyen de faire partie des exceptions, qui ne confirment ici jamais la règle.

 

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- Il faut prêter à Confucius ce qui est Confucius, et non prêter à confusion ce qui ne l’est pas.

 

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- Il faut se méfier des chambres d’hôtel trop petites, parce qu’on est les uns sur les autres..

 

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- Il faut toujours reporter à deux mains ce qu’on n’a pas pu porter le jour-même.

 

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- Il fut un taon où il prenait la mouche pour un rien.

 

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- Il jouait de la batterie comme un pied ; en plus il chaussait du 46.

 

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- Il l’a pela. La pomme ne répondit pas.

 

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- Il laissa tomber le théâtre, ayant toujours eu le mauvais rôle.

 

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- Il lui fit une confidence ; elle lui fit un confit d’oie.

 

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- Il n’avait pas l’habitude, Roger, de déroger aux habitudes. C’était pas un non-conformiste.

 

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- Il n’avait pas vu passer son passé ; la sentinelle se sentit nulle.

 

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- Il n’est rien de plus pathétique que de voir un aveugle pleurer. Et là, je ne rigole pas.

 

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- Il n’est rien qui ne reparte plus vite que les revenus.

 

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- Il n’était pas qu’insuffisant cardiaque, il l’était tout court.

 

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- Il n’insulta jamais une sultane. C’est vrai qu’il n’en eut pas l’occasion..

 

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- Il n’y a pire ami Dégipte que le tsar Kofage.

 

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- Il n’y a que ceux qui ont de la volonté, pour croire que la volonté se décrète.

 

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- Il n’y a rien de plus insupportable que le portable des autres.

 

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- Il ne faisait pas son âge, ni celui des autres. Par contre il faisait bien son poids.

 

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- Il ne faut pas confondre « Iatrogénie » et « Y-a trop d’ génie » ; il paraît que ça rend malade.(les deux.)

 

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- Il ne faut pas confondre Morgane et Margot, comme il ne faut pas confondre Renoncule et …..Pâquerette. (Y-a pas que rette, à comprendre, .. y- a autre chose..)

 

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- Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain ; vous risquez de boucher les toilettes.

 

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- Il ne faut pas trop d’eau à un château de sable, comme il ne faut pas trop de sable à un château d’eau.

 

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- Il ne s’est pas mis de gants pour le lui dire. Mais il aurait dû ! Au moins, des gants de boxe !

 

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- Il ne valait pas la corde pour le pendre, je vous l’accorde, mais la corde était chère.

 

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- Il ne voulait manger qu’en présence de son avocat.

 

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- Il nous faudra toujours des Don Quichote, non pas contre les moulins à vent, mais contre ceux qui nous roulent dans la farine ; non pas contre les éoliennes, mais contre ceux qui vous vendent du vent.

 

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- Il n’y a pas de vaccin contre la rage de vaincre. Et heureusement.

 

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- Il n’y a pas si longtemps, dans nos belles colonies, un porte-bagage était plus souvent un homme noir à pied qu’un accessoire à vélo.

 

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- Il n’y a pyromane qu’une nymphomane.

 

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- Il n’y a pas lieu de s’inquiéter plus que çà des radicaux, qu’ils appartiennent à un parti politique ou non ; éventuellement des gens libres. Par contre, méfiez-vous des radicaux libres.

 

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- Il paraît que la science s’infuse. Par contre j’ignore les quantités, et combien de temps.

 

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- Il paraît que les consommateurs, dans les hypers, ils y gagnent.

 

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- Il peut avoir plu, sans plus, alors qu’il ne peut pas avoir moin, sans moins.

 

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- Il peut se faire comme il peut s’inventer ; il peut vous rendre malade comme il peut vous guérir ; il peut faire de vous un saint ou vous rendre esclave.. Et tant d’autres définitions à proposer ..! Mais c’est un mot tellement galvaudé, tellement abimé, tellement contradictoire, que je préfère ne pas le citer une fois de plus. Et pourtant j’aurais aimé.. !

 

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- Il postulait à un poste. On lui fit passer un crachoir.

 

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- Il prétendait détester tellement perdre son temps que, même pour dormir, il s’emportait un livre. J’ai jamais compris comment il faisait pour lire en dormant.

 

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- Il profita de la cérémonie du 14 juillet pour se défiler.

 

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- Il resta bouche bée, devant tant de myrtilles.

 

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- Il s’attendait à tout sauf à rien. Et c’est justement rien qui se passa.

 

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- Il s’est tout fait

 

pour en finir,

 

en vain.

 

Il a fini

 

par s’étouffer,

 

enfin.

 

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- Il s’était fait curé, Lézongles.

 

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- Il s’en est fallu d’un cheveu que la coiffeuse me les coupe.

 

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- Il se retrouva nez à nez avec son ORL.

 

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- Il semble plus facile d’être fidèle à soi-même que fidèle tout court.

 

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- Il semblerait que, de prime abord, en politique comme en mer, il y ait deux bords : le bâbord et le tribord. Mais dès qu’on regarde en arrière, on se demande si c’était bien le bon côté.

 

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- Il sortait de l’hôpital d’en face, mais il revenait de loin.

 

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- Il vaut mieux avancer en marche-arrière que de reculer en marche-avant.

 

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- Il vaut mieux avoir un seul agrément que désagréments.

 

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- Il vaut mieux enterrer sa vie de garçon que sa vie d’homme.

 

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- Il vaut mieux être intégré dans une société que désintégré à l’extérieur.

 

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- Il vaut mieux être rattrapé par son passé que par son avenir, sinon ça veut dire qu’il se termine..

 

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- Il vaut mieux être seul que mal accompagné, quand on est bien en tous cas. Quand on est mal peut-être pas, ne serait-ce que pour pouvoir prévenir une personne compétente.

 

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- Il vaut mieux pour le pèlerin perdre sa pèlerine que pour le canard sa canne.

 

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- Il vaut mieux recevoir des doléances que des condoléances.

 

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- Il vaut mieux s’adresser à Dieu qu’à ses saints, mais parfois il vaut mieux faire appel à ses saints qu’au médecin..

 

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- Il vaut mieux une issue de secours que deux secours qui suent.

 

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- Il y a à peine quelques années, les Italiens payaient avec délires.

 

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- Il y a ceux qui s’écoutent parler et ceux qui se lisent écrire.

 

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- Il y a ceux qui se couchent le même jour qu’ils se sont levés, et ceux qui se lèvent le même jour qu’ils se sont couchés. Les premiers sont des bosseurs, les seconds des noceurs.

 

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- Il y a ceux qui se plaignent d’avoir trop de papiers, ..et les sans-papiers. Mais les premiers ne sont pas autorisés à en donner aux seconds.

 

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- Il y a des brouillons qui valent plus que la reprise au propre.. (je le dis au propre comme au figuré.)

 

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- Il y a des gens avec qui, comme avec les daltoniens, il vaut mieux annoncer la couleur.

 

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- Il y a des moments et des lieux où une automobile n’est pas un pléonasme.

 

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- Il y a des « ..il nous a ‘laissé’ entendre.. » qui ne vous ‘laissent’ pas beaucoup de choix.

 

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- Il y a deux façons de faire des manières (ou deux manières de faire des façons) : celui qui vous prie de.., et celui qui se fait prier.

 

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- Il y a deux façons de voir les hommes : celle du moraliste, pour qui tous les hommes sont pêcheurs, et celle du réaliste, pour qui tous les hommes sont chasseurs.

 

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- Il y a deux manières de prononcer le mot ‘puzzle’ : soit ‘peuzleu’, soit ‘peuzeul’. J’ai opté pour le premier ; avec le second je me sens un ‘peu seul’, même si c’est comme ça qu’on y joue habituellement.

 

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- Il y a deux manières de se retrouver comme un gland : avant, et après..

 

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- Il y a deux manières de vouloir votre bien, comme pour les agences immobilières.

 

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- Il y a le pain, le vin, et tout le Boursin-Frusquin.

 

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- Il y a le ‘pick-pocket’, qui met les mains dans vos poches, le ‘pique-assiette’, qui met les mains dans vos plats, le ‘picsou’, qui met la main sur vos revenus, et le ‘picador’, qui adore mettre la main sur votre femme, même si elle n’est pas du signe du Taureau.

 

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- Il y a parfois un saint dans un corps sage, mais il y a toujours deux seins dans un corsage.

 

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- Il y a peu de gens qui ont une chance sur deux d’en avoir une troisième.. (mis à part la femme enceinte qui a déjà deux filles..)

 

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- Il y a quelques années encore, une morsure de vipère, et c’était la mort sûre.

 

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- Il y a « se mettre au ménage » et « se mettre en ménage ». Le second inclue le premier. Mais il dure généralement moins longtemps.

 

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- Il y a un temps pour tout, un temps pour faire le malin, un temps pour faire le câlin. On peut même faire les deux à la fois, si on est un peu félin.

 

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- Il y aura toujours ceux qui donnent sans compter, et ceux qui prennent en comptant.

 

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- Il y en a qui n’ont pas besoin de simuler pour stimuler.

 

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- Il y va un peu ‘forté’ le ‘piano’ ; non seulement il est polygamme, mais en plus il en a sept.

 

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- Illettré : qui ne reçoit pas de courrier. Exemple le facteur, qui ne fait que le porter.

 

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- Ils attiraient tellement la malchance, que quand la nuit tombait, elle leur tombait dessus.

 

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- Ils avaient longtemps formé un couple inséparable, au point qu’on disait d’eux : « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Mais au fil du temps, la fumée se dispersa, finissant même par se dissiper, à croire que son foyer ne lui suffisait plus. Jusqu’au jour où le feu, croyant l’avoir perdue, après s’être consumé lentement, s’éteignit de chagrin. La fumée regretta, mais trop tard, son feu feu, et depuis, s’évanouit. On ne la revit plus. Les enfants disent d’elle qu’elle est montée au ciel.

 

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- Ils faisaient l’amour à tour de bras (et autres membres..)

 

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- Ils ne savaient faire que se croiser. Ils ont fini par croiser le fer.

 

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- Ils s’amusaient à se détester l’un l’autre. L’un était tricheur, et l’autre mauvais perdant.

 

 

 

 

 

Fin des îles

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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- Imaginez tout ce que vous pourriez dire si vous connaissiez tous les mots du dictionnaire. Sans compter que vous pouvez les mettre au pluriel, ou les conjuguer à tous les temps.

 

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- Immeuble de valeurs : bâtiment représentant la diversité de la valeur humaine des gens, d’hauteur très variable, comme ces immenses tours plus hautes que la Tour Eiffel. On a tendance à croire que ça démarre du niveau zéro, c’est-à-dire du rez-de-chaussée. Eh bien non. Il existe des moins-que-rien, c’est-à-dire des sous-sols, à plusieurs niveaux, comme dans les parkings. En haut de l’échelle, pardon, de l’immeuble, certains parlent même des martyres et des saints, tout en haut du gratte-ciel, gratte-ciel qui ne porte jamais aussi bien son nom. Pour passer d’un palier au suivant, pas d’ascenseur, mais un escalier. Reste à vérifier à quel étage vous êtes. Moi, j’habite la campagne.

 

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- Immigration :

 

 

 

Je suis pas foutu de donner une pièce de 10 centimes à un SDF ! Je me dis que c'est ridicule, ça fait pingre ! C' est vrai que un Euro ça fait trop ! En fin de journée il en aurait gagnés plus que moi, et à rien faire !

 

Il est vrai que, rester immobile à un carrefour, toute une journée d’hiver en plein froid, à respirer les gaz d’échappement des voitures pour essuyer le regard d’indifférence ou de mépris des passants, çà ne mérite pas autant que certaines personnes qui fournissent la même énergie pour une efficacité comparable tout en restant assis dans un bureau..

 

50 centimes, oui, c'est déjà plus raisonnable ! Mais n'empêche, à la fin de la journée, s'il faut en donner à tous, ça fait une somme ! Et n'en donner qu'à certains, c'est pas sympa pour les autres !

 

Non, je préfère encore être utile à travers une association !

 

Néammoins, ce qui me gêne, moi, dans les associations, c'est qu'on attend toujours que les gens viennent vers vous, alors qu'il faudrait aller vers les gens !

 

Y' en a même qui pensent qu'il faudrait aller vers eux avant même qu'ils ne viennent vers nous !

 

Et çà, les touristes l'ont bien compris, n'empêche !

 

Mais combien sont prêts à sacrifier une partie de leur budget pour cette cause ?

 

Il faudrait que les pouvoirs publics encouragent cette politique, qu'ils subventionnent les agences de voyage !

 

Cà éviterait d'avoir à refouler des faux-touristes, à la frontière, ou de les renvoyer chez eux, en charter. Ce ne serait plus la peine qu’ils viennent nous voir, c’est nous qui irions.

 

 

 

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- Indigestion : en jargon policier, service qui s’occupe des indics.

 

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- Indolent : équivalent indolore de ‘paresseux’.

 

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- Ingrat : enfant qui reproche à ses parents de l’avoir trop nourri.

 

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- Intase : extase intérieure.

 

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- Issy était toujours fatigué, au point qu’on disait de lui : Issy est las. Et comme en plus il n’était pas souvent chez lui, lorsqu’on demandait de ses nouvelles, ses voisins nous répondaient : Issy n’est pas là. Ce qui fait que lorsqu’on parlait de lui, on ne savait jamais trop où on en était.

 

 

 

 

 

 

 

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Polmet ting :

 

 

 

Ne pas confondre ‘en bonne-et due forme’ avec ‘en forme de son bonnet’.

 

- La seule chose qui peut durer toute la vie, c’est la vie. Par contre la mort, on ne sait pas si elle dure toute la mort. Je veux dire, si la mort n’est qu’un passage, ou un état, ou un état de passage.

 

- Je ne sais pas si on peut dire que tous les domaines de la science sont profitables à la santé, mais on peut dire que tous les domaines de la santé sont profitables à la science.

 

-

 

- Il ne faut jamais laisser à portée de mains ce qu’on peut porter aujourd’hui.

 

- Dans le petit périmètre de notre existence, on n’est pas maître de tous les paramètres.

 

- Quand on ne comprend pas, c’est peut-être qu’il n’y a rien à comprendre. En tous cas c’est ce que je me suis souvent dit. Mais j’avoue que ça ne m’a jamais rassuré tout-à-fait..

 

- On ne peut plus faire confiance à personne, et surtout pas aux autres.

 

- Les petits aiment bien la pêche aux canards. Les grands préfèrent le canard aux pêches, faute de pruneaux.

 

- Quel est le teint d’un homme de couleur qui est rouge de colère ?

 

- Le hu-blot n’a pas la forme d’un U mais d’un O.

 

- Je vous raconterais bien l’histoire de Torobiscotto, mais j’avoue qu’elle est un peu tarabiscotée.

 

- Le pourboire n’a pas la signification primaire qu’on aurait tendance à lui donner. Comme on dit à un petit enfant, c’est pour de rire. A part que pour un serveur, c’est très sérieux.

 

- Pagayer ne consiste pas à mettre la pagaille, même si c’est généralement dévolu, en classe, à ceux qui rament un peu.

 

- J’ai tendance à écrire ‘toit’ avec un accent circonflexe, rapport au symbôle de couverture ?. Pourtant je ne suis pas tenté d’en mettre un à ‘chapeau’, ni à ‘parapluie’.. !

 

- Ce n’est pas parce que ‘cuisiner’ veut dire faire la cuisine, que ‘tortiller’ consiste à faire la tortilla.

 

- Les benêts portent parfois des bérets, et ça leur va bien. Mais ça n’a aucun rapport. (ouf.. !).

 

- La dictature c’est comme l’empire, en pire.

 

- Le seul domaine où les vieux font des envieux, c’est celui où les jeunes font leur jeûne, le pouvoir d’achat.

 

- Ce n’est pas parce qu’on travaille à la déchetterie qu’on est une ordure.

 

- Mon profil préféré, c’est de dos. Mais je ne vais pas me voiler la face, parce qu’elle n’est pas mal non plus. (et là, ma modestie se doit de dire que l’expression n’est pas une litote, mais une formulation à prendre au mot-à-mot.).

 

- Faut-il qu’on se toise lorsqu’on se croise ? L’homme ne doit se mesurer à personne d’autre qu’à lui-même.

 

- L’aventure paradoxalement la moins mystifiante me semble être l’aventure mystique, car c’est la seule où l’on essaie de trouver quelque chose ou quelqu’un d’autre que soi. Ceux qui l’explorent et l’observent de l’intérieur, c’est-à-dire s’y astreignent, n’en reviennent pas indemnes. Ceux qui l’observent de l’extérieur, c’est-à-dire sans y prendre part, n’en reviennent pas non plus, mais eux, d’étonnement.

 

- Si vous avez des fourmis dans les jambes, passez d’abord à la coopérative agricole avant d’aller au cabinet médical.

 

- Les fleurs ne sont pas plus faites pour aller dans un vase que les femmes à la maison.

 

- La plus sûre manière de s’imposer est peut-être de s’exposer.

 

- Je me demande souvent pourquoi les jeunes femmes s’entichent autant des pilotes de course, comme si ce qu’elles admiraient chez eux était le don de la vitesse. Pour peu qu’ils l’appliquent dans d’autres activités plus conviviales.., je concevrais mieux le profil du joueur de golf, moins pour le principe du jeu, ou pour les accessoires.., que pour son apparente lenteur.

 

- Quand les voleurs voleront les poubelles, il faudra commencer à se faire du souci.

 

- L’âme du rasoir Même les rasoirs ont une âme.

 

- S’il faut partir un jour, faudra partir toujours.. Çà rime avec amour ? Non, c’est un calembour.

 

- N’attendez pas l’arrivée de l’hiver pour vous équiper en chauffage. Vaut mieux ne serait-ce qu’un petit insert plutôt qu’une grosse incer-titude.

 

- C’est le premier pas qui coûte, le deuxième est gratuit. (Profitez-en, c’est une promotion. Comme on dit, vous en avez deux pour le prix d’un.).

 

- Si vous risquez de lui mettre la puce à l’oreille, tant pis. C’est encore là que çà craint le moins.

 

- Il a été remarqué que c’est lors de l’année qui précède sa mort qu’un arbre donne le plus de fruits. Ça ne me donne pas envie d’être très productif..

 

- Quelque soit son discours, l’anticlérical vous dira, qu’ainsi, Dieu est insidieux.

 

- Chou Ya : petit chou d’Afrique du Nord.

 

- Sachant que Sacha a six sushi dans son sachet, à deux sous le sushi, combien de sous a-t-elle soutiré à sa soeur Sicha sur les cent sous du départ ?

 

- N’allez pas au marché aux puces avec votre chien. (mais je vous l’ai peut-être déjà dit..) (j’en profite pour dire qu’il y a peut-être ce genre de doublons ailleurs ! Mais que diable, ‘doublons !’, c’est une manière d’avancer comme une autre.)

 

- Patriote Certains ‘patriotes’ font de la patrie ce que certains batteurs font de la batterie, du bruit, avec la seule intention de les faire danser en mesure, en cadence organisée.

 

- Vivre d’amour et d’eau fraîche va devenir de plus en plus difficile, ne serait-ce que par l’élévation du niveau quantitatif et qualitatif des critères sociologiques touchant aux besoins humains fondamentaux.

 

- Que dans certains domaines de la création, toute reproduction soit interdite, vous laisse un peu ..comment dirais-je, ..frusté.

 

- Charité bien ordonnée commence, et finit souvent aussi, par soi-même.

 

- Dans nos pays occidentaux, les métiers des pompes funèbres ont plus d’avenir que les maternités. En poussant la logique jusqu’au bout, dans une envolée lyrique et dramaturgique, j’ai presqu’envie de dire que notre avenir sera ‘occis dans tôt’.

 

- Tous les insectes piqueurs sont, paradoxalement, des « anima non ‘grata’ ».

 

- Neuf est le chiffre le plus utilisé dans le commerce, ou plus exactement quatre-vingt dix neuf. Mais pas dans le domaine de l’occasion. Vous me direz, forcément, puisque ce n’et pas neuf !

 

- D’accord O.K. : pléonasme, sauf s’il s’agit du lieu de rendez-vous à la gare ou sur le port.

 

- Les enfants sont souvent soupe au lait au chocolat.

 

- Lorsqu’on dit que c’est « inouï », on veut généralement dire que c’est « invu ». Mais ce ne serait pas bien vu, que de le dire.

 

- Ex-voto : personne désabusée de la politique et qui ne vote plus.

 

- Paradoxalement, vous avez plus de chance de trouver un halo autour d’une source lumineuse qu’autour d’un téléphone.

 

- Les sentimentaux qui habitent au numéro ‘Un bis’ de leur rue auraient sûrement apprécié que ça se dise au féminin. Par exemple, ‘Une bise, rue Tartempion’. (surtout si leur rue s’appelle ‘Tartagueuleàlarécré’.).

 

- Vous aurez plus souvent l’occasion d’admirer un croissant de lune qu’une chocolatine de soleil. Et si c’est vraiment un croissant, n’oubliez pas les lunettes de protection.

 

- Quand un agent de l’ordre entre dans les Ordres, ça fait un peu désordre.

 

- On devrait remercier financièrement les sots et les moches pour leur contribution à l’équilibre social de leur collectivité. Les pauvres non, sinon il n’y en aurait plus, avec le risque d’une rupture d’harmonie.

 

- Un passereau ne peut pas compter sur une passerelle pour perpétuer son espèce.

 

- Voir un âne au Mali n’est pas une anomalie. (comme un mirage sur un aéroport militaire du sud algérien.).

 

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J de : J’imagine mal qu’il puisse faire un métier sérieux, l’auteur.. !

 

J’aime, J’admire, J’adore, J’approuve, Jackadit, Jovial, Joyeux, Jubilatoire..

 

 

 

 

 

J’apostrophe :

 

 

 

- J’adore les radis ; j’en suis fane.

 

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- J’ai bien fait d’être français ; j’avais des facilités pour cette langue.

 

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- J’ai connu une couturière sympa. Elle était très raccommodante.

 

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- J’ai eu beau lui dire de ne pas m’appeler, j’ai encore reçu un appel du pied.

 

-

 

- Révision J’ai hésité, à l’animalerie entre un loir et un lérot. Finalement j’ai opté pour le second, car le ‘’loir’’ est ‘’cher’’. Sans compter que le lérot est plus ‘’doubs’’, comme animal. En plus ils les ‘’vendée’’ par lot de deux, à condition qu’on ‘’vienne’’ se les chercher. Mais ‘’gard’’ à ne pas les ‘’allier’’ contre le chat., sinon j’ai peur que ça ne se ‘’corse’’. Pour ‘’l’eure’’, demain dès ‘’l’aube’’, je leur ‘’creuse’’ un trou au fond du jardin. Une planque, en ‘’somme..’’

 

-

 

- J’ai l’impression que de jouer au tennis sur terre battue me ficherait la poisse.

 

-

 

- J’ai laissé à mon devoir mon numéro de portable. (pour quand le devoir m’appelle..)

 

-

 

- J’ai le plus grand respect pour ceux qui croient, tant qu’ils ne transforment pas leur croix en bannière.

 

-

 

- J’ai les mains moites et les pieds poites, m’a dit ma collègue de travail, Magalie. J’espère qu’elle n’a pas aussi la bouche boite.

 

-

 

- J’ai parfois été tenté par le génie, mais j’ai su y résister.

 

-

 

- J’ai peur de l’heure où l’on meurt. J’espère que ce sera juste une question de minutes, ou mieux, de secondes. Même si on n’est plus en état de compter..

 

-

 

- Plein la tête J’ai plein d’idées dans ma tête, le plus dur c’est de les trouver.

 

-

 

- J’ai réussi à créer mon site, et je m’en félicite. C’est pas une blague, c’est un blog. (c’est une blague..)

 

-

 

- J’ai surpris un cabri faisant des cabrioles dans un cabriolet, violet. C’est idiot, mais c’est joli.

 

-

 

- Beau mort J’ai toujours essayé d’être beau-gosse, puis bel-homme, en vain. Il ne me reste plus qu’à essayer d’être beau-vieux, mais rien n’est moins sûr. C’est mal parti..! Je ferai peut-être un beau mort, avec un peu d’embaumement, et si on ne tarde pas trop à me mettre en bière.. Une bonne bière française.

 

-

 

- J’ai toujours été tenté d’écrire au diable qu’il aille se faire voir, au moins une fois, histoire de croire en lui. Si tant est qu’il existe.. Cela voudrait dire que son concurrent existe, en version Bien.

 

-

 

- J’aimerais mourir de rire. Mais ..dans l’avenir.

 

-

 

- J’aurais aimé laisser un souvenir après ma mort, en-dehors des dettes.

 

-

 

- J’avais hérité d’un chat, que j’ai pris par charité.

 

-

 

- Verseau J’espère qu’autour de vous, il y a plus de gens recto que de verso. Quant aux ‘Verseau’, vous devez en avoir 8,33%, dans les deux versions (si ma calculette est bonne).

 

-

 

- A bon compte J’espère qu’il n’y a pas que les bons comptes qui font les bons amis, ou alors je me fais comptable. (mais je doute que ce soit ceux qui aient le plus d’amis.).

 

-

 

- J’essaie d’épuiser les mots avant que les maux ne m’épuisent.

 

-

 

- J’eu beau refuser, en vain ; il me resservit, en vin.

 

-

 

- Formulation J’hésite entre deux formulations : 1/ Il n’était pas encore descendu du train, qu’il en rata la marche.. ; ou 2/ : Il était à peine descendu du train, qu’il en rata la marche.. (je vais finalement attendre la prochaine station.)

 

-

 

- String J’ignore combien ça coûte, mais un string devrait me coûter moins cher, sauf à payer sa valeur fantasmatique..

 

-

 

- J’ignore où çà se situe exactement, mais à ceux qui en ont marre de travailler à Perte, je leur dis : Allez travailler ailleurs !!

 

-

 

- J’ignore pourquoi un problème est masculin jusqu’à ce qu’il rencontre une tique, moment à partir duquel il devient féminin, puisqu’on parle d’une problèmatique. Qu’a donc à voir une tique avec une femme ? Elle serait encore roman-tique, je veux bien..

 

-

 

- Compteurs J’ignore qui sont les galopins qui s’amusent à faire tomber les compteurs, mais le fait est qu’il faut les relever régulièrement, au moins un fois par an.

 

-

 

- J’ignore si l’on vous sous-estime de votre vivant, mais ce qui est sûr c’est qu’à votre mort les mêmes vous sur-estimeront.

 

-

 

- J’ignore si l’emmental

 

fait du bien au mental,

 

mais quand on a un petit trou, un petit creux,

 

c’est idéal.

 

-

 

- J’ignore si les habitants de Bourges sont tous des bourgeois,

 

mais les habitants de Nantes ne sont pas tous des nantis.

 

Ou alors on m’a menti.

 

-

 

- Jacques a dit pas mal de choses, toutes aussi stupides les unes que les autre. Mais il faut bien que les enfants s’amusent.

 

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JEUX

 

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- Ortografe Je me rappelle jamais à quel endroit se met le « h » dans Alzeimer.

 

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- Banalité Je me sens tout à fait apte à dire des banalités, même si mon penchant à être pertinent ne prépare pas mes interlocuteurs à cette éventualité, pour ne pas dire qu’elle les surprend.

 

-

 

- Je n’aime pas les « qu’on » - les autres non plus d’ailleurs, mais là je ne suis pas le seul – ni les « que l’on » d’un langage plus châtié. Autant dire plus généralement que je n’aime pas ‘les « on »’, ni « Léon » non plus, comme prénom. Et donc vous l’aurez compris, je n’aime pas « On » car ‘on’ ne prend pas la peine de dire de qui « l’on » parle, ‘on’ se cache derrière son petit doigt, ‘on’ n’en sait rien, ‘on’ ne prend pas ses responsabilités.. Honte donc à celui qui dit ‘on’, et moi le premier, ou en tous cas le second, ..et encore ! (Je n’ai jamais été dans les premiers..). « Qu’on » se le dise..

 

-

 

- Je ne sais pas si le porc et le bœuf ça se veau ; ça doit dépendre du morceau. Ce que je sais, c’est que plus la chair est tendre, plus elle est chère. Vous me direz qu’il n’est pas besoin d’être boucher pour s’en douter ! Eh ben si, justement ; ce sont les gens bouchés qui ont le plus de mal à le comprendre.

 

-

 

- Je ne sais pas si tout revient au même, mais l’eau revient toujours à la mer.

 

-

 

- Détails Je ne voudrais pas entrer dans les détails, pour ne pas avoir à en sortir.

 

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- Mauvaise conscience Je parie que les mauvaises consciences ont un meilleur fond que les bonnes.

 

-

 

- Personnellement

 

‘‘Je pense, personnellement..’’ est un pléonasme. Enfin, c’est ce que je pense, personnellement.. Mais je le vérifierai néanmoins.

 

-

 

- Questions de nuances Je préfère qu’on dise de moi : « Il ne comprend rien à rien. » plutôt que : « Il ne comprend rien à tout. ». D’ailleurs, tout compte fait, je préfère encore qu’on en dise rien du tout.

 

-

 

- Dring Je sais pas vous, mais moi, le ‘string’ me donne envie d’appuyer sur la sonnette pour faire ‘dring’..

 

-

 

- Lignée illustre Je suis, en toute modestie, descendant de l’illustre lignée d’Adam et Eve ; mais je n’ai jamais pu le prouver.

 

-

 

- Je suis sûr que tu préfères que je sois un athée-petits-soins qu’un croyant égoïste.. !

 

-

 

- Je l’ai déjà dit sous d’autres formes, mais je le répète, même si ça n’intéresse personne, car je le revendique face aux fins connaisseurs et esthètes : je suis un agnostique de l’art abstrait.

 

-

 

- Plinthe Je l’ai vu faire : le rat-longe le fil électrique qui court sur la plinthe jusqu’à la prise. Là, il l’attrape entre les dents, la prise, et quand il l’a prise, il attrape le courant, ce qui fait qu’il part en courant, et on entend sa plainte tout le long du mur.

 

-

 

- Adieu Je lui aurais bien dit « Adieu », mais elle était athée. Je lui dis donc « Au revoir », malgré que je l’aie assez vue.

 

-

 

- Ticienne Je lui avais donné le nom de Ticienne, à ma p’tite chienne, comme l’appelait ma fille toute jeune. Quand je la sortais promener et que les gros chiens mataient ma Ticienne, j’étais sûr qu’ils avaient un calcul en tête.

 

-

 

- Je m’efforce de ne retenir des gens, qui passent ou que je côtoie, que leur bon côté, leurs qualités. Mais c’est plus facile avec ceux qui ne font que passer..

 

-

 

- Je m’en phoque Je m’en phoque : expression francisée de l’anglais, pour dire ‘Je m’en fous’. En anglais, d’ailleurs, elle dit mieux ce qu’elle veut dire..( ! )

 

-

 

- Je me demande si les peintres impressionnistes n’ont pas cherché à nous impressionner.

 

-

 

- Puce à dos Je me serais bien gratté le dos, mais encore eut-il fallu que je le pusse. (version plus présentable que celle dont vous avez probablement été victimes..)

 

-

 

- Estoupido !! Je me suis longtemps demandé ce que pouvait bien transporter un es-cargot dans sa soute à coquille. Jusqu’à ce qu’un Es-pagnol, à qui je confiai cette préoccupation, me réponde un jour, crûment : Des es-marchandises, es-toùpido !!

 

-

 

- Je me suis pris une veste avec le patron. On a pris la même, en solde, au magasin du coin.

 

-

 

- Je me suis souvent demandé comment essuyait-on un refus ? Surtout qu’il ne faut pas confondre les serviettes et les torchons.. !

 

-

 

- Je me suis vite lassé de mes nouvelles chaussures, à scratch.

 

-

 

- Rien contre Je n’ai rien contre les jolies filles, et croyez bien que je le regrette..

 

-

 

- Je n’ai toujours pas compris pourquoi, en fin de trimestre et d’année scolaires, en dehors des félicitations réservées aux meilleurs, les encouragements étaient décernés aux bons élèves.. J’en aurais eu plus besoin qu’eux. Comme quoi, dès le plus jeune âge, on donne toujours à ceux qui ont déjà.

 

-

 

- Je n’aime pas la nuit et son clair de nul.

 

-

 

- Sanspathie Je n’aime pas les intellectuels, mais c’est peut-être parce que je ne les comprends pas. Le problème, c’est que je ne sais pas pourquoi je ne les comprends pas, ou alors je le sais trop bien..

 

-

 

- Mystère Le voilier avait disparu de l’horizon, sans laisser de traces.

 

-

 

- Laissez-la lui Au lieu de faire la gueule à un con, laissez-la lui.

 

-

 

- Ta-lent Je ne force pas mon succès ; j’essaie même de le contenir, de peur que ma postérité ne reconnaisse trop tôt mon talent, alors qu’il ne s’est pas encore entièrement épanoui.

 

-

 

- Saint-patron Je ne me rappelle plus quel est le Saint-patron des patrons : est-ce Richard, ou Prosper ? A moins que ce ne soit Parfait, ou Honoré ?

 

-

 

- Je ne sais pas ce qu’il en est de la racine grecque de ‘fenugrec’, mais la racine française ne s’utilise pas non plus. C’est sa graine, qui servait jadis, en Orient, pour les femmes désireuses d’acquérir du poids. Autant vous dire qu’elle a perdu beaucoup de son intérêt...

 

-

 

- Je ne sais pas ce que vous pensez de la ‘Haute Couture’. Quant à moi, je préfère la basse couture, qui ne fait pas dans la dentelle, mais permet à tout le monde de s’habiller, surtout aux gros et aux petits.

 

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- Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai tendance à écrire le ‘pan’ de « Panthéon » comme ‘paon’..

 

-

 

- Je ne sais pas si je suis né de pleurs, mais j’aimerais mourir de rire.

 

-

 

- Je ne sais pas si les musiciens sont facétieux, mais vous aurez du mal à les convaincre que le Fa c’est Si..

 

-

 

- Je ne sais plus si c’est le poing, le coude ou le genou du ‘Penseur’ de Rodin, qui pense.

 

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- Je pars au lit. Il est tard. (Ne cherchez pas, ceci n’est pas une blague..)

 

-

 

- Pensée ‘Je pense..’ ne veut pas dire forcément que vous savez penser, mais que vous pensez que vous ne savez pas forcément.. Il exprime à la fois la certitude et le doute, un peu comme ‘Je crois’. Enfin, .. c’est ce que je pense !

 

-

 

- Je pense qu’on risque plus pour outrage à magistrate, qu’à magistrat. Mais je n’irai pas le vérifier.

 

-

 

- Je pense que tant qu’à fer, l’eau ferrugineuse vaut mieux qu’une Cour Martiale.

 

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- Je préfère débattre avec un militaire pacifiste qu’avec un civil pas si calme.

 

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- Je préfère un vol de martinet qu’une volée de martinet.

 

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- Je préfèrerais être un artiste sans cachet qu’un con primé.

 

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- Je profite de relire mes blagues avant que, avec l’âge, je ne les comprenne plus.

 

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- Je rappelle que la « Brigade des Stup » n’est pas un ramassis de gens stupides - car dans ce cas on parlerait plutôt de « compagnie », ou de « régiment » - ni non plus une élite de gens stupéfiants, auquel cas ils ne seraient pas là.

 

-

 

- Je suis désolé pour beaucoup d’écoliers, mais l’arithmétique n’est pas la science du rythme.

 

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- Pansée Je suis sûr que vous pensez que la vache, quand elle broute, ne fait rien d’autre que brouter ! Détrompez-vous, elle panse aussi.

 

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- Je suis sûr que vous pensez aussi que le chat, quand il est immobile pendant des dizaines de minutes sans broncher, n’a aucune activité intellectuelle, ou du moins cérébrale. Détrompez-vous là aussi. Il a l’air de ne rien faire, mais en réalité il attend. Il attend quoi, me direz-vous ? Il attend que le sommeil le gagne, et il sait très bien comment ça va se terminer : il va perdre. Mais il n’est pas inquiet ; il en a l’habitude, et il fait confiance en la nature.

 

-

 

- Je trouve paradoxale de voir utiliser, dans le cas de troubles mentaux plus ou moins avérés, à la fois les termes de ‘‘demeuré’’, et de ‘‘personne qui « déménage »’’. Ces deux expressions sont antinomiques. Comme quoi, comme on disait tout-petit : « C’est celui qui le dit qui l’est ! ».

 

 

 

Fin du je

 

 

 

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- Jet-set : groupe de personnes qui mènent une vie d’apparat chic.

 

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- Jeu idiot : Dans la liste suivante, il y a un terme qui contredit la majorité : l’acteur, la roue, la tête, le vent, la voiture qui met son clignotant, la girouette, la ris, la chance, le lait vieux, le manège, l’économie en temps de crise, les aiguiles d’une montre, la terre.. Réponse : tourne la page (sans la page). (Comme j’ai eu un peu de mal à la comprendre moi-même à la relucture longtemps après, je vous ‘prend’ la langue au chat : la réponse est donc ‘tourne’, c’est-à-dire ‘tourne la page’ ..sans ‘la page’ ! Dans la suite de mots, tous les mots ‘tourne’, même la ris-tourne ( !). Il n’y a que l’économie qui, elle, ne ‘tourne’ pas en temps de crise.. ! ). C’est promis, je ne le referai plus !!

 

-

 

- Jeunes-filles, lorsqu’on vous fait des avances, prenez toujours du recul. Mais ne vous sentez obligées de reculer pour mieux sauter.

 

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- Jourdain (Jules, de son vrai nom Rives-du-Jourdain) : grand poète français, né en Palestine ; célèbre inventeur de la prose.

 

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- Juju, il en avait marre de raisin.

 

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- Jusqu’à il y a peu, avoir un con-cubain n’était pas très bien vu par un américain moyen. Mais y-a-t’il des américains moyens.. ?

 

 

 

 

 

 

 

Riz popout :

 

 

 

- On croit les nuages du fond d’horizon d’une lenteur extrème, mais ils auront traversé le ciel que vous aurez à peine traversé votre journée.

 

- J’ai un oncle qui a même vécu à l’époque de Napoléon.

 

- Les Borgia semblables avoir été de sacrés barjiots. (j’ai mis un ’i’ pour faire plus italien.)

 

- Ton maçon, comme son maton, semblent être assez possessifs.

 

- Si un chien aboie à votre approche, n’hésitez pas à lui dire « Ta gueule ! », vous ne serez pas vulgaire ! Et son maître n’aura rien à redire, ni à porter plainte pour injure raciste.

 

- Demandez-moi d’être compatissant, mais pas con patible.

 

- De nos jours, c’est plutôt celui qui ne communique pas qui est comme unique. Pour être comme les autres, il faut savoir régulièrement porter sa main à son oreille, ou du moins la regarder attentivement - pas l’oreille, la main – et la picorer avec l’index de l’autre main.

 

- Je collectionne les cailloux très anciens.

 

- Le talent, c’est lent. Et le succès n’en est qu’un excès.

 

- Les filles remarquées ne sont pas les plus remarquables.

 

- On, c’est impersonnel, et con, imprécis. Alors « on est cons », je ne vous le fais pas dire..

 

- Quand on a la libido dans les chaussettes, ça ne sert à rien d’avoir le sexe dans le slip. Mais où le mettre ?

 

- Quand vous ne comprenez rien à une BD, c’est peut-être un manga.

 

- Quand un usager est un peu usagé, c’est qu’il a été un consommateur un peu trop consommant.

 

- Dans les bâtiments de la Marine Nationale, pour que les marins soient des durs à cuire, il faut les cuire assez.

 

- En toutes circonstances il faut savoir rester à sa place, sauf quand on a un grand devant, auquel cas il vaut se reculer un peu pour mieux voir.

 

- Devant un miroir, notre image est toujours notre symétrique, sauf quand on est moche et que la glace est dépolie, ou trop polie..

 

- Est-ce l’âme qui habite l’homme ou l’homme qui habite l’âme ?

 

- Sir Constance avait de la patience, en toutes circonstances.

 

- Ne dites pas d’un fromage qu’il est rance, sinon c’est râpé. C’est l’huile qui rancit ; le fromage lui, moisit. D’ailleurs à propos du fromage, ne prenez pas de gru-yère, il a déjà un jour de retard.

 

- Qui tient les cordons tient la bourse, en tous cas celle dont on peut dire que..lorsqu’il y en a une il y en a deux..

 

- Il y a deux manières de boursicoter. Celle des riches, et l’autre, qui est à la portée de toutes les bourses, je veux dire, à portée de mains..

 

- Quelque soit la propreté de l’école, il y aura toujours des cancres là.

 

- Il était tellement attaché à la valeur sentimentale de sa maison, qu’il avait fait promettre à ses enfants de ne la vendre ni de son vivant, ni de sa mort.

 

- Plût au ciel qu’il fasse beau.

 

- J’aurais ‘plutôt’ aimé mourir plus tard.

 

- Quand Bienve est nue, c’est comme avec la Margot de Brassens, tous les gars, tous les gars du village, étaient là, là, làlà-là, était là, là, làlà..

 

- Pour être dur avec les moustiques, il ne faut pas un stick, en tous cas pas un stick mou.

 

- Les cyclistes, c’est comme les chemises, c’est au niveau du col qu’ils en prennent un coup. Mais pour les secondes, ce n’est pas que passager pour le coup, ..je veux dire, ..pour le cou !

 

- Si votre copine vous demande de passer l’aspirateur, demandez lui bien à qui ?

 

- L’histoire est une drôle d’histoire, de la pré-histoire à l’après-histoire, qui n’est que l’après présent, et non l’à présent.

 

- Il n’y a pas d’accent sur conflexe, ni sur cornflex d’ailleurs, même si la pub essaie parfois de mettre l’accent dessus.

 

- On peut manger la mie sans vraiment casser la croûte, soit parce que c’est du pain de mie, soit parce qu’on n’aime pas casser la croûte.

 

- Que ce soit le romarin, le thym, la marjolaine, la ciboulette ou autre, quelque soit la plante aromatique le commerçant lui, il faut qu’il la-vende.

 

- Un petit maigre, quand il tombe, a plus vite fait de s’étaler de tout son long qu’un grand. Le gros, lui, il s’étale plutôt de tout son large.

 

- On reconnaît un vrai chrétien au fait que, lorsqu’il a une dent contre son prochain, il va voir son dentiste plutôt que son avocat.

 

- Entre les beaux et les moches, j’ai du mal à me situer.

 

- Le clown a eu un nouveau-né.

 

- Grâve ? Je voudrais mettre l’accent sur la différence entre « pécheur » et « pêcheur ». Si vous confondez l’accent aigu et l’accent circonflexe, c’est grave. Et si vous mettez un accent grave, ça l’est encore plus.

 

- D’une personne louche, il n’en avait que l’apparence.

 

- C’était une personne imposante, qu’on avait du mal à cerner.

 

- Mitoyen Quand les rapports avec la voisine avoisinent les rapports, c’est qu’il n’y a pas que le mur qui est mitoyen.

 

- Comme pour les grands oiseaux des cîmes, ou les voiliers des océans, l’envergure d’un homme ne se voit qu’une fois déployée.

 

- Elle était si lencieuse qu’on ne l’entendait pas.

 

- Je n’aime pas les extrèmes, surtout l’extrème onction.

 

- Quand on parle de jeune « écervelé », on se réfère à la « cervelle », donc au « sans cervelle », ce qui paraît excessif. Il serait charitable d’atténuer le propos en parlant de « cérébelleux », qui a trait au cervelet et non au cerveau proprement dit, par opposition au « cérébral », à réserver à l’intellectuel. Mais je n’irai pas jusqu’à latiniser le terme de « cérébelleux », pour en faire « cerebellum », qui phonétiquement pourrait faire penser à quelqu’un qui « serait bel homme »..!

 

- Ne pas confondre une licenciée et une licencieuse, même si ça n’empêche pas..

 

- Le prof qui ne veut pas entendre une mouche voler dans sa classe devrait se contenter de pouvoir l’entendre.

 

- Dans certaines régions que je ne nommerai pas, qui dit qu’il va pleuvoir ne se mouille pas trop.

 

- Quand la vie ne s’accroche plus à vous, c’est vous qui vous accrochez à elle.

 

- Rien n’a moins de mérite qu’un rite. Et pourtant !

 

-

 

 

 

 

 

 

 

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K de : Képi ! je veux dire..Chapeau, l’artiste !

 

Kafkaïen, Kaléidoscopique, Kinésithérapique, Késako, Késarko..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

-

 

- kabbale : cas particulier de cabale, qu’on monte plus souvent contre vous qu’avec vous.

 

-

 

- Kabylie : à ne pas confondre avec la KaLybie. Région d’Afrique du Nord qu’on a longtemps située en Amérique du Nord, par référence au pays de Billy the Kid, ou K-Billy.

 

-

 

- kadhafi : mot lybien pour dire « dégage ! ».

 

-

 

- kafkaïen : administratif.

 

-

 

- kakier : arbre qui donne le plaquemine, à moins que ce ne soit l’inverse. D’ailleurs la couleur kaki n’est jamais très claire, ce qui ne veut pas dire qu’elle soit fonçée.

 

-

 

- kalahari : désert ou la célèbre espion Matahari se fit harakiri.

 

-

 

- Kalendrier : palmier dattier qui donne des fruits toute l’année.

 

-

 

- kaléidoscope : horoscope tournant, pour varier vos signes.

 

-

 

- kama-sutra : recueil de préceptes religieux pour les kamés, où l’accent est mis sur l’ascèse, et l’A 15.

 

-

 

- kamikaze : personne qui s’éclate dans tout ce qu’il fait, surtout en avion.

 

-

 

- kanak : qui se lit dans les deux sens, c’est-à-dire à l’envers ou en verlan, comme kayak, deuxième cas avec deux K.

 

-

 

- Kangourou : mammifère australien herbivore. Bien acclimaté à nos régions sous le nom de Kangourou sanleukan, ou gourou ; plus polyphage qu’herbivore, il préfère les sectes aux insectes, et les billets aux pièces de monnaie.

 

-

 

- kansas : veut dire : à l’occasion, quand ça-s’présente.

 

-

 

 

 

 

 

- kant : introduit la subjectivité : c’est le ‘kant à moi’, ‘si vous voulez mon avis’, ‘personnellement’, etc..(et ne me demandez pas mon avis.)

 

-

 

- kaolin : câlin fait en massage, avec une sorte d’argile.

 

-

 

- karaté : sport de combat des Arts Martiaux, mais qui n’a pas connu le succès escompté, les adversaires ne pouvant pas se toucher. Complètement démodé de mode.

 

-

 

- karité : beurre de qualité. Entre aussi dans l’expression : « Karité bien ordonné commence par soi-même ».(c’est l’histoire du beurre dans les épinards..)

 

-

 

- kart : jeu de cartes auquel on joue en voiture.

 

-

 

- kasher, ou cachère : viande cachée, et donc chère.

 

-

 

- katmandou : chat du Népal. (ne pas mettre de point d’interrogation après, sinon ça ressemble à une question.).

 

-

 

- Katyn : village de Russie, à l’ouest de Smolensk.Les cadavres d’environ 4500 officiers polonais abattus en 1940-41 par les Soviétiques y furent découverts par les Allemands (1943). (on s’instruit comme on peut..)

 

-

 

- Kaunas : ville de Lituanie, sur le Niémen ; 423 000 hab. (dépôt légal en 1993, imprimé en août 2001, ce qui relativise la précision du chiffre.)

 

-

 

- kawasaki : on ne sait toujours pas à qui appartient cette ‘kawa’.

 

-

 

- kayak : bateau kanak.

 

-

 

- képi : casquette en épi.

 

-

 

- Kepler : astronome qui a obligé les planètes à tourner sur des orbites en forme d’ellipses. Il était temps.

 

-

 

- kératine : substance qui fait que, même à poils, on reste néammoins habillés. Mais ça vaut surtout pour les animaux. (à poils évidemment.)

 

-

 

- késako : je n’en sais rien. (ce n’est pas mon avis, c’est ma définition.)

 

-

 

- kermesse : messe où la boit beaucoup de kir.

 

-

 

- Kessel : il a écrit un chant très partisan, mais personne ne lui en a voulu. Il a même ses partisans.

 

-

 

- KGB : CIA russe, mais en plus soft..

 

-

 

- khrouchtchev : croûte de chef russe, immangeable.

 

-

 

- kibboutz : bottines de neige en Israël.

 

-

 

- kierkegaard : nom qu’on donne à un philosophe ou un théologien imprononçable, qu’il soit danois ou damné.

 

-

 

- kif : esclamation qui veut dire : Ah, chiche !!

 

-

 

- kif-kif : c’est pareil.

 

-

 

- kilimandjaro : nourriture d’un célèbre skieur français.

 

-

 

- kilogramme : longueur exprimée en grammes.

 

-

 

- kilomètre : poids exprimé en mètres.

 

-

 

- kilt : jupe que l’on porte lorsqu’on a pas le temps de s’épiler.

 

-

 

- kimono : sorte de peignoir que l’on porte individuellement.

 

-

 

- kinésithérapeute : qui n’hésite pas à soigner, moyennant rétribution s’entend..

 

-

 

- King : lutteur célèbre de Martinique, sans les mains, qu’on a fini par appeler Martin Luther King.

 

-

 

- kiri : fromage de vache.

 

-

 

- kiwi : personne peu contrariante.

 

-

 

- klakon : claque bruyante.

 

-

 

- kléber : pneu GoodYear, mais qui n’a pas connu une bonne année.

 

-

 

- kleenex : ex-mouchoir kleen, mais il suffit d’en changer pour un propre.

 

-

 

- kleptomane : envie irresistible de voler. C’est ainsi qu’Icare se scracha. Faut dire qu’il n’avait de kleenex à portée de main.

 

-

 

- koala : mammifère marsupial grimpeur, qui vit habituellement avec sa koaci.

 

-

 

- Koch : (de son vrai nom : Basile de Koch) médecin allemand qui a introduit la tuberculose en France en prévision des guerres de 14-18 et de 39-45.

 

-

 

- kolkhose : communauté, collectivité où l’on discute allègrement.

 

-

 

-

 

-

 

-

 

- Konfidences

 

(pour le K, c’est juste pour le placer ici..) (au K ou..)

 

(il fait partie de textes qui ont leur musique, mais pas leurs auditeurs..)

 

 

 

J’ai quelque chose’ sur le prépuce,

 

Est-c’ d’une fille ou d’une puce ?

 

Pourtant je la croyais pucelle,

 

Pas la puce, mais la demoiselle !

 

On ne peut plus faire confiance

 

Aux fill’s et en leur innocence..

 

 

 

J’ai quelque chose’ sur le prépuce,

 

Est-c’ d’un lit, ou d’un autobus ?

 

Pourtant j’ croyais qu’ell’s étaient sûres,

 

J’ parle’ pas des fill’s mais d’ ces voitures ;

 

On ne peut plus faire confiance

 

Aux moyens de transport en France..

 

 

 

J’ai quelque chose’ sur le prépuce,

 

Est-c’ la chaleur, est-ce un virus ?

 

Pourtant moi je les croyais propres,

 

Pas les vieux bus mais ces salopes !

 

On ne peut plus faire confiance

 

A ses capotes, et à la science..

 

 

 

J’ai quelque chose’ sur le prépuce,

 

C’est pas marrant d’ faire’ des astuces ;

 

Surtout que ça m’est pas facile,

 

Pas d’ faire’ l’astuce’ mais l’imbécile ;

 

On ne peut plus faire confiance

 

Au sérieux de mes confidences..

 

 

 

-

 

-

 

- kopeck : monnaie des roublards.

 

-

 

- Koweït : pays zen où les gens savent patienter.

 

-

 

- Ku klux klan : club de joyeux lurrons impénitents, aimant se déguiser en mages après avoir allumé des feux de camps la nuit, et faire des facéties anodines à leurs voisins de couleur généralement peu sensibles à leur sens de l’humour.

 

-

 

- kung-fu : art martial déjanté.

 

-

 

- k-way : chemin, passage particulier.

 

-

 

- Kyrie et Leison : compositeurs célèbres de musique sâcrée.

 

-

 

- Kyrielle : Murielle en kurde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Melpot ting :

 

 

 

- Je préfère celles qui font les câlins à ceux qui font les malins.

 

- La seule chose que les riches acceptent qu'on partage avec eux, c’est leur avis !

 

- Répudiation : exemple emblématique de l’esprit retors et hypocrite de l’homme, homme pris ici dans son sens masculin exarcerbé, c’est-à-dire machiste, par opposition à la femme, qui est la ‘bénéficiaire’ de cette répudiation.

 

- Ne pas confondre sondage et élection, comme bandage et érection.

 

- Il vaut mieux avoir de grandes capacités intellectuelles sans en avoir le mérite, que d’en avoir peu et y être pour quelque chose. Mais même ceux qui le comprennent en tirent vanité. C’est désespérant !

 

- Contrairement au fruit, qui tient d’autant moins à l’arbre qu’il est mûr, l’homme tient d’autant plus à la vie qu’il est vieux. La deuxième différence, c’est que c’est à ce moment que le fruit a le plus de valeur..

 

- Les libertins préfèrent les licencieuses aux silencieuses.

 

- Deux "tiens" valent mieux que un "tu l'auras".

 

- Plus de vivres, plus de morts. Ou bien, plus de vivres, moins de morts. Les deux phrases ne se contredisent pas, à condition que les deux ‘plus’ de la première phrase, ainsi que les deux ‘plus’ de deux ‘vivres’ se contredisent. (c’est cette fameuse nuance entre ‘plu’ et ‘plusse’.) (oui mais tout ça c’est pas très gai !)

 

- Dans ‘mourir’ il y a ‘rire’ ! C’est à mourir de rire !! De même, dans ‘vivre’, il y a ‘ivre’ ! C’est à se saouler la gueule !! Pour moi par contre, personnellement, se saouler la gueule ce n’est pas à mourir de rire. (mais à chacun son truc.)

 

- Peut-on demander à l’infirmière de nous faire des chatouilles sous les pieds, afin de mourir en rigolant ?

 

- Curieusement les Cathares, gens religieux et austères, étaient appelés ‘Albi--geois’, alors que les persécutions qu’ils subissaient ne les portaient pas à faire la noce. Vous me direz, la dénomination d’ ‘Albinoces’ ne les auraient pas plus convenu.

 

- Qui contrepète, rie.

 

- Bien mal acquis ne profite à personne ..d'autre qu'à son nouveau propriétaire !

 

- Ri-deau peut être entendu comme un pléonasme, par un asiatique, ou quelqu’un de Camargue.

 

- Contexte : concept utile qui permet de tout relativiser. Mais il doit être constamment en désordre vu qu’il permet de replacer tout un tas de faits, quoiqu’il soit plus extensible qu’un garde-meubles.

 

- Pour faire un BB il faut deux B, un Baiseur et un Baisé. (soit dit sans connotation péjorative.)

 

- Si on pouvait mourir deux fois !? Çà permettrait de renaître. En attendant, je vais essayer de mourir une fois ; cest la seule manière de le savoir..

 

- Je vais voir ce que je peux faire pour vous. Et j’espère pour vous, avant mon rendez-vous chez l’ophtalmo.

 

- De même qu’il vaut mieux un petit "chez-soi" qu'un grand "chez-les-autres", il vaut mieux une petite fortune qu'une grande misère !

 

- Quand il a eu vent de l’orage, penaud, il a regagné ses pénates.

 

- On se demande bien comment on peut encore en arriver à trouver quelqu’un pour jeter un pavé dans la mare ! Déjà les mares, ça court pas les campagnes ! Les pavés, çà court pas les rues ! Alors, trouver une mare attenante à une rue.. !!

 

- Renvoyer deux personnes dos à dos, quand elles sont amoureuses, c’est cruel.

 

- Les jolies filles devraient être interdites de promenade sur les trottoirs aux heures de pointe, à la sortie de bureau. (je n’ai pas dit ‘interdites de trottoir’, car çà s’adresse à une autre clientèle, et là c’est un problème de société.)

 

- Comme dit le proverbe, Thomas d’Aquin, Thomas coquin !

 

- En orthographe, ce garçon représentait bien un k d’école.

 

- Quelqu’un qui se suicide est-il lucide au moment où il le fait ? Et est-il courageux ? Je lui demanderai.

 

- Un trésor abandonné par son maître est un trésor-phelin. Un trésor occulté au fisc est un trésor-la-loi. Mais on n’en trouve plus beaucoup, de trésors, en tous cas des trésors-iginaux.

 

- Quand un chat ronronne, c’est qu’il a débranché ses neurones.

 

- On peut être inculte sans être aride. Et encore moins, stérile.

 

- Me voyant rentrer à l’improviste, mon chien en est resté tout ébaubi.

 

- Voyant le pendu, le gardien resta pantois.

 

- Devant certaines formes de coït, il est des femmes un peu innocentes qui peuvent rester coites. (je n’ai pas dit ‘moites’.) Mais même des hommes, quoiqu’on dise, peuvent rester cois. C’est vrai, quoi, on n’a pas tous la même culture !

 

- Tomber de Charybde en Scylla, la seule chute que ne déprécierait pas un snob.

 

- Hugo est un prénom tout-à-fait respectable, comme Victor, mais évitez de les donner tous les deux à votre gamin si vous ne voulez pas avoir de problèmes au collège avec son prof de français, dont on connaît le sens de l’humour et de la psychologie.

 

- Ne dites pas à mes parents que je suis leur fils, ils me croient enfant trouvé. (ils sont tellement distraits, surtout ma mère !)

 

- Si tu es télé, tu le resteras encore. Pareil si tu étais laid.

 

- Dans certaines situations, c’est moins votre amour qui intéresse votre partenaire que son amour-propre. Et elle aura beau se laver, çà n’y changera rien.

 

- Quand on manque d’élégance dans certains reproches, vis-à-vis de ses proches, se les dire c’est un peu s’enlaidir.

 

- Un ‘bandit’ impuissant a quelque chose de pathétique..

 

- Les ‘albatroces’ ont une mort tragique.

 

- Pourquoi compte-t-on plus de femmes faciles que d’hommes faciles ? Parce que les femmes sont plus difficiles.

 

- Vis-à-vis de sa santé, il vaut mieux aspirer le H d’un mot que d’en inspirer dans un mégot.

 

- Ne pas confondre luxe et luxation. Le second vous déboite l’articulation, le premier vous déboite le cœur.

 

- Une branche ne pousse jamais plus loin que son poids le lui permet. L’homme modeste s’en inspire.

 

- Parole de femme facile : je suis toute oui.

 

- Celui qui est adroit des deux mains est ambidextre ; celui qui est adroit des deux coudes est ambitieux. Celui qui est adroit des deux jambes est en bicyclette.

 

- J’aime beaucoup ce que je fais, çà correspond bien à mon humour.

 

- Parfois, quand je vois comme et comment les autres me ressemblent, j’ai honte pour eux.

 

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L de Libre à toi de poursuivre ! Tu en es presqu’à la moitié..

 

Long, très long (c’est la faute aux articles), Lapidaire, Logorrhéique, Loufoque, Lumineux, Lutin, Lyrique..

 

 

 

 

 

 

 

Me permettrais-je d’apostropher mes blagues ?

 

 

 

- L’absence de temps est-elle le non-temps ? J’y ai réfléchi de temps en temps. Désormais, je n’en ai plus le temps. Actuellement donc, j’ai du non-temps, et j’espère en profiter longtemps.

 

-

 

- L’abstinence est une forme d’abstention dont je m’abstiendrais.

 

-

 

- L’air n’a l’air de rien, et pourtant il est indispensable.

 

-

 

- L’air on vous l’a conditionné ; un jour on va vous le rationner.

 

-

 

- L’alcoolique est fier. Il n’acceptera jamais de mettre de l’eau dans son vin.

 

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- L’allemand, le ‘temps-que-cheu’ arrive à l’apprendre, j’aurai passé l’âge de m’en servir.

 

-

 

- L’amant était tellement mauvais coucheur, qu’il fit un procès au mari.

 

-

 

- L’âme a deux facettes, comme la lune : l’une est blanche, l’autre noire, comme le revers de la médaille. Quel est l’endroit, quel est l’envers, quelle est ‘lune’, quelle est l’autre ?

 

-

 

- L’amertume, qu’on écrit aussi « La-mère-tu-m’ », est une expression raccourcie et désobligeante, souvent précédée d’un « Eh, Oh, .. », d’un ado vis-à-vis de sa mère, et par extension, vis-à-vis de toute autre personne qui la contrarie.

 

-

 

- L’amour est un pont qui relie deux rives, et deux rêves. Encore faut-il qu’il y ait de l’eau qui y coule, dessous, ou un ange qui y passe, dessus..

 

-

 

- L’angine de poitrine n’est pas l’apanage des dames un peu fortes du haut.

 

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- L’apparence étant fausse, par définition, une fausse apparence ne correspondrait-elle pas à la réalité ?

 

-

 

- L’appendice est situé à droite, en tous cas chez les droitiers.

 

-

 

- L’aptitude au bonheur, la capacité à être heureux, n’est liée à rien de matériel, mais à la faculté d’apprécier ce qui vous entoure, pleinement et à tout instant, d’en goûter la saveur chaque jour, comme la sensation consciente et constante de l’air qu’on respire. Le bonheur n’est donc pas ce qu’on possède réellement, mais ce qu’on en ressent. Il n’est jamais objectif, et c’est tant mieux, car c’est vous qui vous le faites, comme vous vous le sentez. Respirez donc, et inspirez-vous..

 

-

 

- L’arbre est le porte-feuille du pépiniériste, comme le blé est le gagne-pain du boulanger.

 

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- L’architecte n’était pas parvenu à aménager le grenier. C’était un comble.

 

-

 

- L’argent n’a pas d’odeur, parce qu’il l’a donnée, en échange, à ceux qui Le servent.

 

-

 

- L’Armée je sais pas, mais je sais que le rock-enrôle toujours.

 

-

 

- L’Armée n’est jamais aussi muette que lorsqu’elle est alarmée.

 

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- L’art et la manière : selon l’époque, l’un a été privilégié aux dépens de l’autre. De nos jours, il n’y a ni l’art ni la manière, c’est-à-dire ni l’un ni l’autre. Il en reste quoi ? La pub.

 

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- L’art ne se ressent que par l’harmonie qu’il dégage. Il fait intervenir un ou plusieurs de nos sens, mais aussi un sixième sens, le sens du beau. Un septième sens est possible et de plus en plus omniprésent, c’est le sens commercial, de l’artiste lui –même ou de son entourage proche. Un dernier sens, au contraire, s’estompe de plus en plus : c’est le bon-sens du public.

 

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- L’artificier était un peu éméché. Il se fît allumer par son chef.

 

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- L’astre solaire assista lui-même à son horizon funèbre.

 

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- L’astronome est aussi sujet à l’arthrose cervicale que le jardinier.

 

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- L’attraction universelle entre deux points matériels, dont la pesanteur est un exemple, ne joue pas que pour les corps célestes, mais aussi pour ceux qui le sont moins.

 

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- L’aube ressemble au crépuscule. C’est ce que vous décidez d’en faire qui va les différencier.

 

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- L’aura de la migraine, c’est ce qui te permet de prévoir dans combien de minutes tu l’auras.

 

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- L’autoroute a ceci de particulier qu’il vaut faut toujours en sortir par la droite, même si c’est à gauche que vous voulez aller. Dans certaines situations délicates, il faut procéder de la même manière, à contre-courant de vos penchants naturels, soit par diplomatie, par politesse, par calcul, soit par modestie, ou humilité.

 

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- L’autre jour, j’ai dit à mon carreleur, pour rire : Attention ! L’enfer est pavé de bonnes intentions.. Il est resté de marbre.

 

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- L’avenir est plus difficile à prédire que le passé. C’est la raison pour laquelle on ne trouve pas de vrais historiens du futur.

 

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- L’aveugle est plus sage que nous, car son jugement n’est pas faussé par l’image, sorte de pollution lumineuse qui nous gêne pour observer le ciel.

 

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- L’avis vaut c’ qu’il vaut, mais la vie vaut beaucoup plus.

 

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- L’échange, principe du troc, a disparu. De nos jours on n’échange plus que des idées, ou des compliments, des caresses aussi, bien sûr, ou des insultes. D’échange de couples, paraît-il.. (sans parler des changes de bébés..)(contre du confort de vie.).

 

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- L’échassier se posa sur l’échalas qui se trouvait là, mais ne toucha pas aux échalotes.

 

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- L’éclosion des lentes n’est pas rapide, puisque ça prend une dizaine de jours. On peut donc même dire qu’elle est lente..

 

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- L’éclaireur était connu pour son franc-parler. Il n’avait pas la lampe dans sa poche.

 

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- L’écuyer était très à cheval sur le règlement. Même sa monture filait au pas.

 

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- L’efficacité d’un train de mesures se mesure à l’entrain qui est mis pour le mettre sur les rails.

 

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- L’embonpoint est tout sauf un bon point.

 

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- L’employé démotivé est celui qui se dit : Pas la peine que tu peines, quand tu vois ce qu’« il » prévoit.

 

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- L’enfant est une trace d’effet-mère ; l’homme, un signe d’éphémère.

 

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- L’ennui nous nuit, surtout le jour.

 

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- L’enthousiaste est un asthmatique qui s’essoufle assez vite.

 

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- L’entrepreneur ne pouvait même pas compter sur son comptable. S’il avait su, quand on lui en a parlé, il n’aurait pas été preneur.

 

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- L’entreprise d’Import-Export était si mal gérée qu’elle eut été capable d’expédier des radiateurs aux Touaregs, ou des réfrigérateurs aux Esquimos.

 

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- L’eunuque avait attrapé un torticolis.

 

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- L’envie ne vaut pas la vie. L’envieux, comme un vieux, sa vie perd. Si vous l’êtes - pas vipère, envieux - faites comme le serpent : muez, changez de peau, transformez-vous. Mais la comparaison s’arrête là : ne rampez pas ; vivez debout.

 

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- L’épreuve amoureuse l’avait froissée. Elle se promît de ne pas la repasser.

 

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- L’erreur provient toujours du fait que justement c’était faux.

 

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- L’ erro-né est celui qui, faute d’avoir eu du flair, s’est trompé.

 

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- L’escargot, c’est un bosseur ; il aime en baver.

 

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- L’étalon était un magnifique cheval noir, un cent-pur-sang arabe.

 

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- L’éthique, contrairement à ce qu’en disent les dermatologues, çà n’a jamais fait de mal à personne.

 

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- L’étoile d’Araignée est une constellation de petites étoiles, à peine visibles, situées sous le Grand et le Petit Chariot.

 

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- L’explorateur ayant perdu la carte, il prit le menu.

 

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- L’expression « Le vent a l’air de souffler.. » ne manque pas d’air ! S’il n’avait pas l’air, le vent, de quoi aurait-il l’air ?!

 

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- L’expression « Toute honte bue.. » ne signifie pas que « l’op-probre » est bonne à boire.

 

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- L’eunuque assista à la scène, impuissant.

 

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- L’expression raffinée « Donnez-vous la peine d’entrer.. » était d’une délicieuse hypocrisie, lorsqu’on réalise à qui elle s’adressait et quel était son objet.. ! (Beaucoup de gens du peuple se seraient écharpé pour se donner cette peine.).

 

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- L’habit épousa la forme, et ils furent très heureux.

 

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- L’har-monie, c’est peut-être le plus bel art.

 

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- L’heure de partir définitivement, c’est comme l’heure de se réveiller le matin : on est toujours surpris, et contrarié, d’entendre la sonnerie.

 

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- N’est pas laid L’Hindou népalais, en tous cas pas plus qu’un Belge, ou un Suisse..

 

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- Histoire débile L’histoire sur laquelle tous les enrhubés du nez s’accordent à dire qu’elle est nulle, c’est le Conte Débile et Une nuits.

 

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- Bourreau de travail L’historien, très documenté et bosseur, avait écrit son essai « Sur l’esclavage » d’une seule ‘traite’.

 

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- L’hiver, un manteau est très utile, surtout quand il pleut pardessus.

 

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- L’homme de cirque maniait les couteaux avec une dextérité à vous couper le souffle.

 

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- L’homme descend d’Eve, et Tarzan, d’Eliane.

 

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- L’homme est un animal dont la saison des amours dure toute l’année, que l’année soit sex-tile ou bis-sextile.

 

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- L’homme est un loup pour l’homme. Mais pour la femme, il s’est laissé domestiquer.

 

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- L’homme qui aspire à un repos bien mérité va finir par l’obtenir.

 

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- La vengeance de l’âne L’homme qui avait dit que l’âne était bête et têtu s’est tu à jamais. L’animal lui a filé un mauvais coup au bon endroit, diront certains, un bon coup au mauvais endroit, diront d’autres..

 

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- Exception L’homme, dans sa grande sagesse, s’est imposé des règles. Mais l’homme, dans sa grande sagesse, s’est permis des exceptions. Et l’homme, dans sa grande sagesse, a édicté comme règle que l’exception, non seulement n’infirmerait pas la règle, mais qu’elle la confirmerait. Bref..

 

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- L’horloge, désespérée, s’était pendule.

 

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- L’humide est au ciel ce que la seiche est à la mer.

 

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- L’humoriste avait bien prévenu : « Toute ressemblance avec un personnage n’ayant pas existé paraît peu probable. »

 

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- L’humoriste se fit hara-kiri.

 

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- L’humour, c’est une bonne dose d’humeur, plus une belle dose d’amour.

 

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- L’hypothalamus n’est pas l’ancêtre de l’hippopotame.

 

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- L’importation de la cacahuète, en France, est une importation de longue datte.

 

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- L’important ce n’est pas d’avoir grand-chose, c’est d’avoir ce qu’il faut, quand il faut, là où il faut.

 

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- L’impression est une expression inversée, et inversement.

 

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- L’imprimeur avait beaucoup de caractère, mais il était tellement exigeant envers lui-même, tellement perfectionniste, qu’il avait l’impression que ce n’était qu’une impression.

 

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- L’incontinence est une forme inversée de l’abstinence, et ce dans une forme inversée, et complémentaire, de l’usage de sa physiologie et de son anatomie..

 

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- Manège L’inconvénient du manège pour enfants, lorsqu’il tourne trop vite, c’est qu’il leur centrifuge les neurones. Cela risque de donner, plus tard, des personnes superficielles.

 

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- L’infirmière était à ses petits soins.

 

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- L’infirmière préfère effectuer des prélèvements sur ses clients plutôt que d’en avoir sur son compte.

 

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- Bonzaï L’ingénieur-agronome avait réussi à créer des bonzaïs géants.

 

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- L’innocent L’innocent se cache derrière ses paupières.

 

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- L’insomniaque L’insomniaque est comme l’argent, il ne dort jamais ; c’est pas pour autant qu’il en a. Pourtant, c’est pas le temps qui lui manque. Et il a déjà la niaque..

 

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- L’inspecteur finit par arriver, mais le meurtrier avait fini par partir.

 

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- L’instructeur de l’auto-école m’a conseillé, quand j’aurai un créneau dans la journée, de m’entraîner à me garer, en vue du permis.

 

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- L’intellect-tue-elle, mais pas lui ! Dommage ! .. Pour ce à quoi ils servent !!

 

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- Juste assez d’intelligence L’intelligence, je crois que j’aurais préféré en avoir un peu moins, plutôt que juste assez pour réaliser que je n’en avais pas beaucoup.

 

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- L’intelligence est-elle nécessaire à la pensée ? Non, j’en suis sûr..

 

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- L’intuition du lézard L’intuition, dans l’art, est comme lézard, inattendue, fugace, vive comme l’éclair ; et quand on croit l’avoir appréhendée, elle nous file entre les doigts, après nous avoir abandonné un peu de sa queue malicieuse, comme pour nous consoler après s’être gentiment moquée de nous. Et elle repart, libre, sauvage et belle.

 

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- L’Obélisque : à ne pas confondre avec ‘Label X’, garantie de film porno ; et même si la forme du monument peut prêter à confusion..

 

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- L’obsédé, dès l’aube,-cédait ..à ses obsessions.

 

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- L’obsession sexuelle est une obsession matérielle très localisée, qui peut prendre des proportions étranges et étonnantes.

 

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- L’oiseau vole, le voleur aussi. Mais ce dernier est un drôle d’oiseau, et c’est sa victime qui y laisse des plumes.

 

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- L’oisiveté est mère de tous les vices, et vice-versa.

 

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- L’ordinateur a ceci de commun avec un Alhzeimer qu’il a une mémoire morte.

 

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- Un peu désordre L’ordre a deux contraires : le contrordre, et le désordre. S’il fallait choisir entre les trois, je choisirais dans le désordre.

 

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- L’organiste était très polygamme, et assidu à la tache.

 

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- L’original ne l’est pas souvent.

 

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- L’ouest ne commence pas où finit l’est, pour la bonne raison que le soleil n’aurait pas le temps de se coucher qu’il devrait déjà se lever !

 

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- L’une des rares choses que le fisc n’a pas encore fait, mais ça pourrait venir, c’est l’imposition des mains.

 

 

 

 

 

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Premier Entracte

 

 

 

- Ne pas dire cou à pied-lisse mais pied à coulisse.

 

- Bison fûté n’est pas plus fûté que Sitting-Bull n’est assis.

 

- Ne soyez pas rapiat comme les Japonais. Offrez des cadeaux entiers et non des micadeaux.

 

- Devin : qui devine ce que vous allez boire.

 

- Dans les régions à vignobles, on trouve moins de châteaux d’eau que par chez nous, mais ceux qu’on y trouve n’ont pas à être appelés ‘chateaux de vin’.

 

- Il y aura toujours des incultes pour préférer, aux pièces de théâtre, les billets.

 

- La balançoire, d’abord on se fait balancer ; plus tard on se balance tout seul ; et puis un jour on s’en balance.

 

- En amour, c’est bête à dire, mais pour que le courant passe il faut se brancher.

 

- Heureusement qu’on a plus souvent le pied au corps que le cor au pied.

 

- Si Laura croise un certain Untienvomieukedeu, qu’elle se méfie quand-même. Il en n’est pas à sa première victume.

 

- Le soleil nuit Si la lune luit la nuit, le soleil lui, nuit le jour, même si l’on s’ennuie sans lui.

 

- Féculents Est-il besoin de préciser que les féculents ne sont pas des sucres rapides ?

 

- C’est cateur Quand on vous coupe dans votre élan, mais surtout quand on vous coupe l’herbe sous les pieds, ne demandez pas qui c’est ! ..Sécateur !

 

- Cône Quand une femme a de drôles de formes, avec une base circulaire ou elliptique, et terminée en pointe, c’est une cône.

 

- Le sportif étourdi peut faire dix tractions par étourderie, comme le cuistot distrait peut s’amuser à faire une tour de riz comme distraction.

 

- Le plaisir des sens est tout sauf insensé.

 

- Quand on tourne les pages à l’envers, c’est qu’on est soit distrait, soit japonais.

 

- Une jeune-fille enjouée n’est pas une fille qui s’amuse beaucoup. En tous cas, pas avec des jouets.

 

- Moustique mâle Si un moustique mâle vous pique, c’est un homo.

 

- Du cimetière, nombreux s’en croient loin qui parfois en sont si près.

 

- Il ne prit, pour tout viatique, que son Viagra. Faut dire qu’il n’allait pas loin, sinon dans une maison close qui, pour l’occasion, était ouverte.

 

- Casus belli : belle propriété italienne.

 

- Devinette Qu’ont les hommes devant que les chiens ont derrière ? Leur compagnon respectif quand ils partent en promenade.

 

- Poule sans ailes et sans oeufs donne pou.

 

- En plein air Une poule élevée en plein air finit toujours par retomber, malgré ses ailes.

 

- Cialis, mon mari !!

 

- Il ne faut pas prendre tous les hommes ‘au mot’. Les femmes, à la rigueur.

 

- Ma petite-fille avait peur des soucoupes violentes. C’est elle aussi qui aimait bien le train sur la voie préferrée.

 

- Le bas-ventre est un haut-lieu d’émotions.

 

 

 

Fin de l’entracte

 

 

 

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Reprise du 2ème acte :

 

 

 

- Balance La balance dit toujours la vérité, qu’elle trahisse votre poids, ou ses complices.

 

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- La beauté est forcément partout, puisque déjà dans la plus moche des ‘poubelles’. A nous de la voir, sinon de la chercher.

 

-

 

- La beauté et le diable forment parfois un couple d’enfer.

 

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- Biche ô ma biche La biche prît son élan.. et le sauta.

 

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- La boussole sert à savoir où l’on va, mais vous restez libre de ne pas vous en servir, surtout si vous ne partez pas.

 

-

 

- CRAM La CRAM a brûlé. Cela n’a étonné personne, hormis les pompiers.

 

-

 

- La Camarde est très méthodique. Elle a établi trois étapes avant la mort : l’article de la maladie, la maladie elle-même, et l’article de la mort. Une deuxième version existe, moins fréquente et plus expéditive, mais c’est accidentel : c’est celle de l’accident. Pour la 3ème version, Elle nous a fait savoir qu’elle s’en occupait pas. C’est contraire à son éthique.

 

-

 

- Carabine La carabine n’est pas la femme d’un carabin. Ou alors c’est une nymphomane.

 

-

 

- Arrêt de fabrication La chaîne de fabrication de menottes a été arrêtée.

 

-

 

- La chair de veau çà vaut si cher !

 

-

 

- Le chanoine proclama, d’un ‘ton-sûr’ et solennel : L’habit ne fait pas le moine, certes, mais ça n’exonère pas les nudistes de leur responsabilité d’adultes.

 

-

 

- Chouette La chouette, quand elle crie, chuinte, mais on dit aussi qu’elle hulule ; par contre l’effraie, qu’il ne faut confondre avec l’orfraie, n’effraie pas, sauf quand elle pullule.

 

-

 

- Choléra La colère ne donne pas le choléra ; par contre, le retour du choléra vous met en colère quand, lors de catastrophes naturelles, vous constatez l’incurie des responsables, le cynisme des intermédiaires, l’égoïsme ou l’indifférence des gens comme moi..

 

-

 

-

 

 

 

 

 

-

 

-

 

- drône de conscience La conscience est comme un drôle de drone, qui plane sur vos têtes, ..pour ceux qui en ont. (pas une tête, une conscience. Je précise pour les distraits..)

 

-

 

- La consommation du mariage n’entre pas dans les statistiques du Ministère de la Consommation et des Prix.

 

-

 

- La copine de mon frère était une espagnole un peu exubérante, du prénom curieux pour nous français, de Conception. Personnellement, je n’ai rien contre ce prénom, ni contre-Aception non plus.

 

-

 

- La corde-à-sauter est le seul point commun entre un boxeur et une petite-fille.

 

-

 

- La crue est parfois cruelle, mais que serait-ce, la sécheresse !

 

-

 

- Chaud La cuisinière était très chaude ; le cuisinier aussi. Le repas fut cramé.

 

-

 

- La cupidité n’est pas une obsession sexuelle, comme une erreur d’interprétation éthymologique pourrait le faire penser.

 

-

 

- Citerne La cuve était citerne qu’il l’a repeinte.

 

-

 

- La déchéance arrive parfois avant l’échéance.

 

-

 

- La décision d’ouvrir un grand boulevard fut déclarée nulle et non avenue.

 

-

 

- La dernière subtilité des techniques commerciales des grandes surfaces, c’est de vendre l’unité d’un produit meilleur-marché qu’un lot de plusieurs. Il y a donc plusieurs logiques, celle du vendeur n’étant pas forcément la même que celle de l’industriel et de son coût de revient.

 

-

 

- La devise des banques : Etre ouvertes à toutes les devises.

 

-

 

- La différence entre artiste et artisan, c’est la nuance entre peinture et peinture fraîche.

 

-

 

- But La différence entre ‘Avoir un but’, et ‘Avoir un but d’avance’, c’est que le second ne vous avance pas à grand-chose hormis de finir premier, chose qui n’a jamais prouvé grand-chose..

 

-

 

- Idem La différence entre idem et inverse, c’est qu’ inverse est l’inverse d’idem, alors qu’idem est l’idem d’idem.

 

-

 

- Arrêt au port La différence entre l’aéroport et l’arrêt au port, c’est celle entre un avion et un bateau.

 

-

 

- La différence entre un hôtel de passe et un hôtel de passage, c’est que dans l’hôtel de passe, on n’est ‘pas sage’.

 

-

 

- La différence entre une charrue et un train, c’est qu’on peut mettre les wagons avant la locomotive.

 

-

 

- La disciple de Pline l’Ancien, - ou le Jeune, d’ailleurs - est une disci-pline.

 

-

 

- La faim n’est pas une fin en soi, mais le moyen de subsister.

 

-

 

- J’ignore La femme de ménage, à tout âge, range quand ça l’arrange. Mais l’homme lui, ne range même pas quand ça l’arrange ! Alors vous imaginez quand ça l’arrange pas !!

 

-

 

- La femme n’aime pas être considérée comme un objet – l’homme c’est moins sûr – mais elle veut bien être l’objet de nos désirs. Allez y comprendre quelque chose.. !!

 

-

 

- La fidélité en amour est une valeur sûre, je veux dire ..sur ..laquelle on met parfois son mouchoir, par discrétion plus que par pudeur.

 

-

 

- La fidélité est une histoire sans aventures ; l’infidélité n’est pas toujours une aventure sans histoires.

 

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- La fille dit à son amoureux langoureux : Tu es mon gitan, tu es ‘beau et mien’.

 

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- La fille du coiffeur, étudiante peu motivée, avait un séchoir à sécher les cours.

 

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- La fibre sentimentale c’est celle qui vibre comme du cristal.

 

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- La fin du monde sera un ultime atome.

 

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- La fin n’est jamais une fin en soi. Mais l’on n’en sait pas plus.

 

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- La femelle du hibou est l’hicui.

 

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- La fleuriste nous avait concocté une composition de cactées.

 

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- n..

 

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- Filet de pêche La fonction du filet de pêche est de laisser filer les petits pour attraper les gros poissons. La réalité de la Justice c’est souvent l’inverse.

 

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- La foule retint son souffle, mais elle finit par s’étouffer.

 

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- La frangine avait une drôle d’angine, le frangin, un drôle d’engin.

 

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- La fréquence du torticolis chez les personnes âgées tient à leur tendance à trop se tourner vers leurs souvenirs.

 

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- La grève des éboueurs commençait à se faire sentir.

 

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- La haute couture est une industrie qui présente des modèles inadaptés au physique de la plupart des femmes, et inaccessibles à leur portefeuille. Comme le luxe, elle semble surtout faite pour narguer le citoyen lambda, et lui rappeler qu’il n’est, ni ne sera jamais, l’alpha et l’oméga.

 

-

 

- La jeune-fille, un peu moche, l’a échappée belle, car elle aurait pu l’être un peu plus.

 

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- La joie est au bonheur ce que le moral est à la morale.

 

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- La jument donna naissance à des jumeaux.

 

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- La lettre N ne devrait pas se retrouver, dans l’amphabet, derrière L M..! C’est antinomique.

 

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- La logique n’est bête que lorsqu’on parle d’un ordinateur.

 

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- La loupe est un accessoire qui, paradoxalement, vous évite de rater un détail.

 

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- Le désir est une soif que la plupart des gens assouvissent au robinet. Mais beaucoup préféreront la bouteille, par packs, minérale, plate ou gazeuse..Certains voudront l’aromatiser, ou l’alcooliser, avec ou sans glaçon, ou bien tiède ou brûlante, en tisane ou en thé. Il y aura toujours des puristes pour vouloir aller à la source, ou du moins très haut dans la montagne. Mais il ne reste plus trop de sourciers pour aller la déceler dans les entrailles de la terre, avant de percer un puits pour l’en extraire. Mais quelqu’en soit la nature ou l’origine, quelque soit votre manière de l’assouvir, vous ne serez apaisé que le temps d’un instant. N’empêche, c’est le meilleur stress que je connaisse..

 

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- La lettre Q se dit ‘Quelon’ selon qui vous en parle, et sa sensibilité auditive. Cela m’aurait permis, si je m’en étais aperçu plus tôt, d’utiliser plus facilement une expression grossière que je ne prononce jamais – promis - mais qu’il peut m’arriver de penser très fort !

 

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- La Liberté a sa statue mais elle n’aura jamais de statuts.

 

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- La lune est une voyeuse, qui vous observe tous les soirs, derrière la vitre de vos fenêtres.

 

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- La lutte des classes, c’était le titre initialement prévu pour ‘La guerre des boutons’.

 

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- La Mairie n’avait trouvé personne d’autre que ce Monsieur Clément, comme conciliateur ; le problème c’est que c’était un sacré râleur.

 

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- La maîtresse de maison, qui d’ailleurs n’était pas maîtresse que de la maison, avait un penchant pour le jeu, érotique en l’occurrence. Elle tirait ses amants à la courte-paille.

 

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- La maladie est encore plus bête quand elle est idiopathique, comme disent les médecins.

 

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- La manière dont on est aimé n’est pas forcément celle qu’on aurait aimée.

 

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- La mante religieuse autorisa son petit mari à faire sa dernière prière.

 

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- La maréchaussée servait à poursuivre ceux qui battent le pavé.

 

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- La maternité est une histoire d’amour, où le créateur s’éprend de sa création.

 

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- Médiatrice La médiatrice est plus portée vers la conciliation que la bissectrice qui, elle, verra les choses sous un autre angle.

 

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- La mère Cédès est décédée brusquement. L’alternateur a choisi la mauvaise alternative.

 

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- Météo changeante La météo rend bizarre. Il y a ceux qui sont contents, ceux qui sont déçus, ceux qui sont contents d’avoir été déçus, et ceux qui sont déçus d’avoir été contents.

 

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- Pâlichon Le Ministre de l’Intérieur était pâlichon. Je pense qu’il restait toujours enfermé dans son Ministère, au lieu d’aller s’aérer de temps en temps.

 

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- La mode s’accommode de tout, mais pas au même moment.

 

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- Pour que les modesties valent.. La modestie est toujours un peu fausse - je parle pour moi..- mais la fausse modestie est toujours vraie.

 

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- La montagne avait déjà accouché d’une souris, au grand désespoir de l’entourage, qui s’attendait à mieux. Jusqu’au jour où elle mit au monde non pas une, mais deux souris, des jumelles, qu’elle appela Sarah et Déborah. Mais on ne sait toujours pas qui est le papa.

 

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- Montée laiteuse La montée laiteuse n’a rien avoir avec les cours du lait, lesquels n’alimentent que les spéculateurs. (qui sont parfois de beaux bébés)..

 

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- Relativité La morale de l’homme politique honnête : Le bien, c’est bien ; le mal, c’est pas mal parfois non plus. La morale de l’homme politique malhonnête : Le bien, c’est peut-être pas mal, mais le mal, c’est mieux.

 

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- L’Amora me monte au nez La morale, ou la vérité, c’est comme les armes : on s’en sert pour les autres, ç’est-à-dire contre.

 

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- Mort alitée La mort est aussi naturelle que la vie. Elle l’est même davantage puisqu’elle dure plus longtemps.

 

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- La mort est un penchant naturel de l’homme.

 

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- La mort n’est pas une fin en soi. Ni un début.

 

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- La mort, c’est l’Eternité qui vous « éternue » dessus.

 

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- La mort, d’y penser, ça t’atterre ; d’y passer, ça t’enterre.

 

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- La mort, la seule trouvaille qui vaille le trou.

 

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- La vitre La mouche devant sa vitre ne peut pas croire qu’un petit millimètre la sépare de la liberté. L’homme devant sa mort ne veut pas croire qu’une petite seconde le sépare de l’éternité.

 

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- Morse La musique adoucit les morses. Ce sont d’ailleurs des animaux qui ont un langage bien à eux.

 

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- La musique de chambre n’est pas la plus adaptée à des ébats amoureux, sauf à partir d’un certain âge.

 

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- Sans modération La musique, la seule chose qu’on puisse faire paradoxalement avec mesure ..et sans modération.

 

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- La musique n’adoucit pas les mœurs, elle les exprime.

 

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- Mycause.. La mycose toujours, tu m’intéresses !

 

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- Leçon de civisme La nature nous donne des leçons de civisme et de convivialité, par exemple à travers les plantes. Ainsi les feuilles, quand elles s’opposent, par rapport à une tige, le font dans un souci de symétrie, d’équilibre, et non par animosité.

 

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- La navigation au long cours, plutôt longue, peut se faire sur un navire assez court.

 

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- La nourrice s’était faite épingler.

 

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- La nuit, si tous les chats sont gris, tous les hommes sont noirs.

 

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- Chrysalide La nymphomane mit au monde un mythomane. Comme quoi une nymphe peut ‘chrysalider’ une mite.

 

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- Merci de votre avis La particularité d’un musicien, c’est qu’il ‘sonore’ de votre avis, même quand il est négatif.

 

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- Les limites de la patience La patience a des limites qu’il ne nous tarde pas de découvrir.

 

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- Fichtre La paye se fiche de la fiche de paye.

 

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- La peinture surréaliste vaut habituellement beaucoup plus chère que la peinture ordinaire. D’où l’expression : C’est surréaliste !

 

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- Acmé La période de la puberté correspond à l’acmé de l’acné.

 

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- La pizza préférée des mélomanes est celle à la mozarella.

 

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- La plante pousse dans les deux sens : vers le bas, par ses pousses, et vers le haut, par sa tige. L’homme ne pousse que vers le haut. A dire vrai, il n’y a qu’un seul moment, en moyenne une fois par jour, et un seul endroit, où il pousse vers le bas..

 

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- La pluie, c’est comme le malheur, elle n’attend pas que vous soyez secs pour vous remouiller.

 

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- La plus grande invention de l’homme n’est pas encore sortie, ou alors elle est passée inaperçue. Sinon, ça se saurait.

 

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- La police du Canada, toujours montée sur ses grands chevaux, semble vouloir vous prendre de haut, l’air un peu collet monté.

 

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- La politique est la bonne conscience des malhonnêtes, et la mauvaise conscience des honnêtes gens.

 

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- De l’utilité de la politique La pratique de la politique vous contraint à mettre un mouchoir sur vos principes, si vous en avez, afin de faire avancer vos idéaux, s’il vous en reste, et ce pour mettre en pratique vos idées, si vous en défendez.. Sinon ça vous sera bien utile quand-même.

 

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- La préméditation n’est déconseillée que pour les actes répréhensibles ; pour le reste, elle est plutôt conseillée, et même indispensable pour certains.

 

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- La prière peut exhausser les âmes, comme elle peut être exaucée. Par contre un mur ne peut qu’être exhaussé. (Vous me direz qu’on peut le démolir aussi.. Certes, et l’âme aussi.). Dans un autre genre, on ne parlera pas d’exosser un poulet mais de le désosser.

 

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- Etre et avoir La primauté de l’être sur l’avoir présente une exception : il vaut mieux avoir de la morgue, qu’être à la morgue. Un autre cas particulier, qui pose question : être ou avoir un enfant ? Le temps permet les deux..

 

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- Prime à la frime La prime à la frime n’est pas un crime, sinon beaucoup de jeunes cadres dynamiques auraient été emmenés, encadrés par les flics.

 

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- La prostituée connut beaucoup de péripéties dans sa vie mouvementée..

 

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- Pub La publicité est un mal nécessaire, s’il n’était superflu, pour transformer un bien superflu en nécessaire.

 

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- La publicité est une prostitution officielle et incontournable du circuit économique.

 

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- La quarantaine, puis la cinquantaine, puis la soixantaine, on a beau se plaindre de s’en approcher, on est bien content d’y arriver.

 

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- La Reine est allée se faire soigner une molaire bien cariée. Le dentiste de Sa Majesté n’a pas osé lui proposer une couronne.

 

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- La reconnaissance vous fait plus honneur que la connaissance.

 

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- ‘‘La reine’’ rime bien avec ‘‘l’arène’’, mais elle prête à des jeux de mots scabreux. Je la laisserai donc à son trône et son château, au cas où elle aurait la visite du toréro.

 

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- La religieuse était ‘prof et sœur’ à la fois.

 

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- Sauce de l’abbé Chamel La religion est à la foi ce que la cervelle est au cerveau. On la met à toutes les sauces.

 

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- Bon orgueil Si la réussite est gratifiante, l’échec lui, est motivant à condition d’avoir un peu d’orgueil.

 

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- Rose trémière La rose trémière résume bien la condition humaine, puisqu’on l’appelle à la fois primerose, et passerose..

 

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- La sage-femme s’avéra folle.

 

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- La sagesse, c’est peut-être comme tout, on trouve le bon et le moins bon, le meilleur et le pire, et parfois tout et son contraire. Et quand je dis ‘tout et son contraire’, je veux parler de cette sagesse populaire qui rallie, ou relie, les contraires, lorsqu’elle dit sans complexe : ‘A père avare, fils prodigue’, et en même temps : ‘Tel père, tel fils’..

 

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- Sang d’encre La seiche se faisait un sang d’encre depuis que son ami, le calamar, avait des cauchemars, croyant qu’il s’était fait encorner.

 

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- La senescence n’est pas l’huile essentielle du sené.

 

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- La seule chose qu’on apprécie dans la mort des autres, c’est qu’elle n’est pas contagieuse.

 

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- Génial La seule chose que je sache faire de « génial », c’est l’écrire.

 

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- Imperfections sympathiques La seule imperfection qu’on accepte d’endosser c’est d’avoir le bras long, ou la grosse tête, même si ça s’accompagne souvent de chevilles qui enflent.

 

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- La seule personne à qui vous pouvez faire le coup de la panne régulièrement, c’est votre garagiste.

 

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- La SNCF avait entièrement refait les bureaux administratifs et les ateliers d’entretien. Les responsables s’étaient dit que quand les locaux motivent, les cheminots ne manquent pas d’entrain.

 

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- La soupe a ‘cuit hier’ mais elle est tellement épaisse qu’on pourrait la manger à la fourchette.

 

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- La soupe sentait tellement bon qu’il y louchait dessus.

 

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- Boussole La spiritualité, comme la boussole, sert à savoir où l’on va, et surtout pourquoi. Mais vous restez libre de ne pas vous en servir, surtout si vous ne partez pas. Néanmoins, si vous restez trop longtemps à quai, vous risquez de devenir laquais, serviteur servile de vos habitudes, et même vos amarres un jour en auront marre. Il faut savoir prendre le large, pour ne pas rester étroit..

 

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- Puce à l’oreille La subtilité de notre langue veut que lorsque vous demandez un produit pour les puces, par exemple, on puisse vous vendre un produit contre les puces.

 

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- Corset La taille fine, le corps sait ce qu’il en coûte.. !

 

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- La truffe permet des recette culinaires plutôt réservées à ceux qui ont des recettes fiscales.

 

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- Valeur ajoutée La valeur ajoutée de l’homme n’est pas encore soumise à TVA ; mais si elle l’était, ça dédouanerait en partie les simples d’esprit. Et il serait alors encore plus juste que le taux de cette taxe croisse avec la valeur concernée, si cette capacité n’était que marchande.

 

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- La valeur n’attend pas le nombre des années, disait le Cid. De nos jours, le jeunisme ambiant fait que la valeur sociale l’attend encore moins.

 

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- La vengeance est un plat qui se mange froid, mais je crois que la plupart l’aiment chaud.

 

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- La vérité sort de la bouche des enfants ; mais pour ceux qui disent qu’il n’y a plus d’enfants, d’où sortira la vérité ?

 

 

 

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Ah, la vie !!

 

 

 

 

 

- Clignotant La vie c’est comme un clignotant de voiture, une succession de jours-allumé et de nuits-éteint, interminable, ..enfin presque, puisqu’un beau jour, ..enfin, pas forcément beau, il faut tourner l’arme à gauche, ..enfin, pas forcément à gauche.. Ce qui est sûr, c’est qu’on peut pas continuer tout droit.

 

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- La vie en couple n’est épanouissante non pas que si l’on reste soi-même mais que si l’on devient soi-même.

 

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- La vie est belle telle quelle, ..enfin presque, enfin, pour certains. Enfin, c’est mon avis !

 

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- Révérence La vie est-elle un rêve, ou une errance ? ..jusqu’à ce qu’on tire sa révérence.

 

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- La vie est un usurier qui vous fait payer très cher le prêt de temps qu’il vous accorde.

 

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- Etincelle La vie est une étincelle. Et comme pour un vieux briquet qu’on ne pourrait plus utiliser qu’une fois, vous avez une chance sur deux qu’elle ne reste à tout jamais qu’une simple étincelle. C’est le choix du hasard ..ou pas.

 

-

 

- La vie se paye à crédit, à des taux très différents. Par contre la mort a été prévue gratuite. Comme quoi, cette dernière ne doit pas valoir grand-chose..

 

 

 

 

 

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- La vocation, comme l’art, ne devrait pas être rémunérée, vu le bonheur qu’elle semble procurer. Et les ‘gros dons’ aussi, d’ailleurs. Mais leurs possesseurs sont souvent les plus insatiables. Cupidité quand tu nous tiens !! ..Et si en plus vous lui enlevez la ‘pidité’, ça devient limpide..(pas le mot, le sens.)

 

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- La voiture auparavant était un outil ; elle est devenue un plaisir d’essence.

 

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- A votre bon vouloir.. La volonté ne se décrète pas forcément, même si certains diront qu’elle se forge. Mais même dans ce cas, ce sont les événements, après votre éducation, qui vous permettent de la forger ; et les événements, eux, ne se décrètent pas. Vous allez me rétorquer qu’on peut en partie aller les chercher, ou aller à leur rencontre en tous cas, les provoquer. Je vous accorde qu’ils permettent de se déterminer, mais c’est tout. Car si vous êtes libre de prendre un train qui passe, en supposant qu’il s’arrête, personne ne peut vous reprocher de ne pas avoir pris un train s’il n’est pas passé, ou d’habiter loin de la gare.

 

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- La vraie punition du menteur notoire c’est de ne pas être crédible les fois où il en aurait besoin.

 

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- Label Label est masculin. On dit donc : Le beau label.

 

-

 

- Laissons la guerre aux femmes ; elles seront, là aussi, toujours plus compétentes que nous.

 

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- Lait en brique Lait en brique : lait qu’il ne faut pas gerber, sinon, non seulement ça vous revient plus cher, mais en plus vous passez votre temps à nettoyer.

 

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-

 

- Lai-tue ? lui demanda-t-on. – Bien sûr ! -- Ah, parc’ qu’on m’a dit que non ! -- Bof, ne les écoute pas, tout çà c’est des salades. Elles sont jalouses.

 

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- Lalalère : attitude moqueuse et mesquine.

 

- Lalalalalère : attitude lalamoqueuse et lalamesquine.

 

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- Lambert et Berlant Lambert avait un beau pied, mais Berlant, le pauvre.. (cherchez un peu, que diable !) (il avait forcément le pied-bot..)

 

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- Lazzi : nom d’un chien !! Non, c’est vraiment le nom d’un chien célèbre, prononcé par une personne qui zozotte..

 

 

 

 

 

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Deuxième entracte :

 

 

 

- Ne vous hasardez pas à lancer à la cantonade la sempiternelle « Si vous voulez mon avis,.. », parce que, si vous voulez le mien, tout le monde s’en fout.

 

- On ne peut pas compter sur ceux qui savent le faire. Ils vous décomptent tout.

 

- Que ceux qui passent leur temps à compter les arabes, se souviennent que ce sont eux qui nous ont appris à compter. Et entre nous, est-ce qu’ils sont sûrs, ces rats compteurs, de pouvoir compter davantage sur leurs coreligionnaires ?

 

- Un amour qui vous lâche, c’est vache. Et comme c’est souvent une histoire de cornes, cela vous écorne encore plus.

 

- Légionnaire Les légionnaires de la Légion Etrangère ne sont logiquement pas racistes, sinon c’est à désespérer de tout..! Les racistes eux, par contre, sont légion.

 

- Ce n’est pas parce que le distrait n’a pas de tête qu’il ne peut pas se mettre un chapeau ; ni parce que le malchanceux n’a pas de bol qu’il ne doit pas prendre son café-au-lait.

 

- Dérive Parfois la religion est à Dieu ce que l’amour avec la prochaine est à l’amour du prochain, une dérive.

 

- De nos jours, le menu ‘isier’ se décline en plusieurs nuances : l’escaletier pour l’escalier, le fenêtrier pour les fenêtres.. Par contre, le portier n’est pas celui qui fait les portes mais qui les ouvre. Ne pas confondre avec le licencié, qui est celui qui prend la porte. (il n’en prend qu’une, d’ailleurs, et ça lui suffit bien..).

 

- Les petits du primaire préfèrent les dictons aux dictées. Et leurs papas préfèrent les maîtresses aux maîtres..

 

- Ceux qui n’osent pas finir les phrases vous diront : « Mon patron n’est pas très.. ». Dès lors, qu’ils se taisent, ou alors c’est de la foutaise.

 

- Miroir Si le miroir ne donne qu’une image, est-ce que l’image d’une image redonne la réalité ?

 

- Savate Se méfier des savates ‘Plaire’. On est souvent déçus.

 

- Zéro Le zéro se trouvant entre les deux infinis, la nullité est donc bien l’équilibre parfait.

 

- Lorsqu’on est amené à arraisonner un navire, c’est qu’on n’a pas réussi à raisonner son capitaine.

 

- Trop tard Il arrivait toujours à la fin, quand c’était fini. Il n’y eut qu’à la fin de sa vie qu’il arriva à l’heure. Mais c’était trop tard.

 

- Habituellement, les jardiniers ne sentent pas la rose. Mais ce n’est pas un souci, pour eux.

 

- L’eau probe Il ne faut jamais jeter l’eau probe sur celui qui ne se lave pas souvent, surtout quand c’est un SDF. (sigle qui pourrait signifier Sans Douche Fonctionnelle.)

 

- Quand l’agent italien de la CIA en est parti, il leur a dit Ciao.

 

- Quand on ne veut pas rater sa chute, déjà il vaut mieux ne parachute sa thé.

 

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A la queue leu LE

 

 

 

 

 

- Le banquier avait un air emprunté.

 

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- On vous mène en bateau.. Le bateau qui vous mène serait, paraît-il, le moyen de transport le plus trompeur. Mais gare au train aussi ! Il peut en cacher un autre, qui est peut-être celui que vous deviez prendre, finalement !

 

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- Faites gaffe aux GAFA Le bilan comptable de nos sociétés d’INDIVIDUS (autrement dit la répartition par tête d’habitant) ne fait que compenser celui des sociétés COMMERCIALES internationales telles les G.A.F.A, ou celles du CAC 40, puisque chez les nôtres, le compte ‘Pertes et Profits’, affiche plutôt des pertes. Et en économie, l’équilibre étant nécessaire..

 

-

 

- Revanche Le bois des planches du cercueil se console en voyant partir avant lui celui qui a abattu son arbre ; comme le bois des meubles a vu parfois naître ses petits enfants.

 

-

 

- Le bonheur, c’est peut-être un mélange de bon temps et de beau temps.

 

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- Le bonheur est un plat qui se mange chaud, et même réchauffé de la veille.

 

-

 

- Le bonheur, on le croyait gratuit. C’est avec le temps qu’on réalise qu’il a un prix, et on n’a pas tous les mêmes moyens pour régler la note.

 

-

 

- Le bonnet lui allait comme un gant, à part que c’était pas la bonne main.

 

-

 

- Existentialisme Le bon-sens est à l’intellect ce que l’existence est à l’ existentialisme.

 

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- Borné Le borné n’est pas celui qui a dépassé les bornes. C’est plutôt le contraire : il s’est arrêté bien avant.

 

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- Andouille Le boucher s’était amour-hâché de son andouille qui lui servait de poule.

 

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- Le braqueur avait réussi son hold-up haut la main, malgré que le commissaire de police eut réussi son concours haut les mains. (Elle est pas très jolie comme blague, car jeux de mains jeux de vilain..)

 

-

 

- Consolation- météo On pourra toujours se consoler du temps. Quand le soleil se fait rare, par un Gérard ; quand il va faire froid, par un Geoffroy ; quand il gèle, par Angèle ; quand on grelotte, par Charlotte.. Et quand le temps est clément.., oui d’accord ! Vous me direz que ça fait beaucoup de personnel ..! Je sais, mais ce n’est qu’une opinion, personnelle.

 

-

 

- Le bureau peut aussi bien contenir un bureau qu’être contenu dans un bureau. Comme une poche à poubelle va passer de contenu, dans un emballage, à contenant, de son ancien emballage.

 

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- café de la Place Le Café de la Place avait tellement de succès qu’il n’y avait presque jamais de places.

 

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- Le caissier de la banque dut encaisser un gros échèque.

 

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- Peinard Quand il apprit que « peinard » venait de « peine », le canard en eut marre d’être peinard dans sa mare. Il se suicida en se laissant couler.

 

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- Le canard semble être l’animal le plus enclin aux entorses. (comme il m’est arrivé de la relire sans en retrouver l’astuce, je vous donne une piste : j’ai essayé de vous mettre en boîte..).

 

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- caporal Le caporal n’avait passé que le cap de l’écrit.

 

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- Géométrie variable Le carré est un triangle qui, comme son nom ne l’indique pas, a quatre angles. Il eut d’ailleurs été plus simple, pour s’en rappeler, de l’appeler quadrangle. La figure géométrique à deux angles est plus rare ; c’est la raison pour laquelle on ne l’enseigne pas. Celle à un seul angle est encore plus exceptionnelle ; personnellement, je ne l’ai jamais rencontrée. Ceci dit, je ne voyage pas beaucoup.

 

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- Vu sous cet angle Le cercle a paradoxalement une longueur d’avance sur le rectangle, puisqu’il peut tourner. Vous me rétorquerez que le rectangle est plus stable ! Certes, vu sous cet angle !

 

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- Chaperon rouge Le Chaperon Rouge se l’est bien cherché ! On n’a pas idée de se mettre dans cette tenue pour traverser un bois rempli de satyres.

 

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- Le charbonnier, dans sa foi primaire, et sous son apparente humilité, est peut-être l’homme le plus ambitieux, puisqu’il convoite les cieux.

 

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- Grande gueule Le charcutier n’en fit qu’une bouchée. Cela ne m’étonne pas, c’était une grande gueule !!

 

-

 

- Le chat a sa pâtée, l’homme, son pâté ; mais ce dernier peut aussi recevoir sa pâtée.

 

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- Le châtaigner est un arbre peu amène : nous seulement il vous donne une chataigne, mais il le fait dans un gant américain.

 

-

 

- Chauvin Le chauvin prétend que son vin est meilleur que celui du voisin.

 

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- Le chevreuil fut fauché en plein élan.

 

-

 

- Chrysanthème Le chrysanthème est une fleur qui m’a toujours posé souci.

 

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- Bien fait Le ciel a été tellement bien fait qu’on n’y a vu que du bleu.

 

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- Les oiseaux d’acier Le ciel d’azur se laissait lacérer de griffures blanches, droites, longues, immenses, d’oiseaux d’acier cruels, oiseaux qui, sournoisement, faisaient comme si nous ne les avions.. pas reconnus.

 

-

 

- Le ciel est bleu Le ciel est bleu parce qu’on a bien voulu lui attribuer ce terme de couleur. On aurait très bien pu nommer cette couleur : couleur verte ; ça n’aurait pas changé sa couleur réelle. Mais c’est vrai que bleu, c’est plus joli.. Comme dit le chanteur ; c’est formida-bleu, admira-bleu, allez-les-bleu..

 

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- Cyprès Le cimetière était cyprès, que ça en était reposant.

 

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- Clown Le clown portait un beau nez rouge, et un bonnet blanc.

 

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- Le coiffeur avait un cheveu sur la langue, mais pas un sur le crâne.

 

 

 

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C’est un comble !

 

 

 

- Eclipse Le comble de l’éclipse est-il d’être visible, ou de ne pas l’être ?

 

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- Le comble de la comédie serait qu’à force de la jouer si bien, on ne vous crût point.

 

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- Le comble du guide, c’est de ne regarder que son guidon.

 

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- Le comble, pour un commandant de l’armée, c’est d’avoir à la maison une femme plus autoritaire que lui.

 

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- Le comble, pour un footballeur, c’est d’avoir à souffler dans un ballon.

 

 

 

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- Le commerce d’enfants est interdit. Par contre le commerce de gros est autorisé.

 

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- Le commisseur-priseur avait un faible pour les rondes, les femmes bien enchères.

 

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- Compliment Le compliment est le complément de la gentillesse.

 

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- Le comte de Montalembert a fini par choir dans ses escaliers.

 

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- Le concours du Goncourt rend son heureux élu à la fois heureux et lu.

 

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- Le condamné à mort était coopératif. A chaque ordre qu’il recevait, il s’exécutait sur le champ. A moins ce que ce ne fusse un entraînement ?

 

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- Le connaissant, ils s’attendaient à l’attendre. Lui, reconnaissant, se fit tendre.

 

-

 

- Le contraire de ‘destituer’ est bien ‘instituer’, et non pas ‘prostituer’, comme le ‘pro’ de ‘promouvoir’ pourrait laisser croire.

 

-

 

- Le contre-rendu est un compte-rendu rempli de contre-vérités.

 

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- Le coq ne peut pas faire un œuf, alors qu’un homme peut faire une coquille (en tapant à la machine, bien sûr !).

 

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- Cordonnier Le cordonnier est un homme discret qui ne semelle que de ses chaussures.

 

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- Limites Le corps a plus conscience de ses limites que l’esprit, surtout avec l’âge. Mais l’esprit en a aussi, suivez ma plume..

 

-

 

- Le corps a aussi ses raisons que la raison ne connaît pas.

 

-

 

- Le couple fut reconnu coupable, mais leur amour, indécoupable.

 

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- Le courage est un extra de l’homme ordinaire.

 

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- Le coureur s’arrêta de courir, pour récupérer ; mais il ne lui restait plus rien à récupérer.

 

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- Chapelet Le curé avait adopté un chat. Il l’appela ‘Chapelet’. J’ignore si c’est par déformation professionnelle ou si c’est parce que le chat avait le ‘’poil très court’’. Ce dont je suis sûr, c’est que le chat ne se fit pas prier pour rester.

 

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- Majorettes Le défilé des majorettes est un défilé mignon.

 

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- Le dentier eut du mal à s’adapter au rythme de son nouveau propriétaire, un mordu de la fourchette et un excité du couteau.

 

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- Le déprimé, plus il pleut, moins il peut.

 

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- Le député revendiqua la paternité de son projet filscal.

 

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- Le désir, chez l’homme, est la meilleure illustration de la réalité psychosomatique.

 

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- Le dessert dessert l’obèse.

 

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- Le destin a déjà décidé, mordicus, quand vous seriez décédé.

 

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- procès Amené à comparaître, le destinataire fut accusé de réception. Heureusement il s’en tira ; il était réceptionniste d’hôtel.

 

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- Le dindon me sera toujours plus sympathique que les farceurs. Et je ne parle pas en épicurien.

 

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- Le diplomate est quelqu’un qui se met les gants, même pour se laver. C’est vrai que les affaires qu’il manipule ne sont pas toujours propres.

 

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- Le drapeau italien regroupe les trois couleurs préférées du buveur invétéré : le rouge, le blanc, et le verre.. Quoique, le vin, n’est-ce-pas-‘gnole’ ?

 

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- Le facteur est celui qui supporte le moins l’amalgame entre maladresse et mauvaise adresse.

 

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- Le fait de « croire en rien » est, malgré tout, une manière de croire. Ou alors il faudrait plutôt spécifier que « vous ne croyez pas en ‘quelque chose’.. ». D’ailleurs il est amusant de constater que Rien est, comme Dieu, constitué des deux mêmes voyelles centrales ‘i’ et ‘e’, encadrées par deux lettres. Comme quoi on peut croire en Rien comme on croit en Dieu, même si Rien n’a rien à voir avec Dieu, puisque Dieu est tout sauf rien. Il est même tout, tout court. (paraît-il..)

 

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- Le fait de mettre les pieds dans le plat jette souvent un froid ; mais on ne sait toujours pas où les mettre pour jeter un chaud, à part dans des bottes en caoutchouc en plein mois d’août.

 

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- Le fait, pour un pompier, d’en faire un petit à sa femme, n’empêche pas la réciproque.

 

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- Le fantasme de beaucoup d’hommes : se faire passer pour un eunuque auprès du sultan.

 

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- facho Le fascisme est fâcheux, sauf pour les fachos. Mais ça vaut le coup de se les fâcher, en leur disant que le fascisme est fichu.

 

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- Le féminin de poulbot n’est pas poule-belle, même s’ils peuvent jouer à faire la paire.

 

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- Le fils du poissonnier, très brillant, avait fait Saumur.

 

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- Fossoyeur Le fossoyeur n’appréciait pas les blagues terre-à-terre. D’ailleurs il restait de marbre..

 

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- Le gamin était toujours dans les pantalons de sa mère.

 

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- Le garde des Sceaux a mis en garde les sots contre toute interprétation erronée de sa fonction. Rien n’y fit.

 

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- Le gendarme se gendarma contre son petit : Si tu continues à faire le polisson, lui dit-il, je t’amène à la police.

 

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- Le goût de l’argent Je ne sais pas l’odeur, mais le goût de l’argent se paie plus cher que ce qu’on peut s’offrir avec.

 

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- Gouvernement Le gouver nous ment.

 

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- Le guide avait perdu son chemin.

 

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- Le gynécologue-obstétricien, qui avait le sens de la formule, se plaisait à répéter aux futures mamans qu’il s’apprêtait à faire accoucher : « Allez, on croise les doigts .. et on écarte les .. ». ( J’hésite.. , je suis écartelé entre la chute, mon éducation, et la chute de mon éducation..)

 

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- Le hibou et la grenouille Le hibou lança à la grenouille : « Arrête de te répéter, espèce de coasse ». Elle lui répliqua : « Eh, pouette-pouette, vieille chouette, tu ulules comme un nul ! »

 

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- Coup de foudre Le jeune et beau commissionnaire demanda à la couturière de lui faire un patron. – On peut déjà essayer de faire un petit employé, répondit-elle malicieusement ..

 

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- Le joueur de cartes s’attendait atout sauf à ça.

 

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- Le jour J est parfois la nuit N.

 

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- Problème de synchronisation Le jour-même.. Ma femme aussi, ..en tous cas, le jour. La nuit, ..moins.

 

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- Le lecteur assidu se livre aux livres et s’en énivre.

 

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- Le lierre est le symbole de l’attachement, l’hier, celui du détachement.

 

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- Le lieutenant a dit habiter le lieu-dit attenant.

 

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- Looser Le looser est un soit-disant raté qui cultive son expérience afin de la partager avec le plus grand nombre, non par dépit mais par empathie.

 

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- Loufoque Le loufoque est un loup farceur, que les chasseurs connaissent bien. Plus farceurs que lui, ils le préparent en loup farci, avec du poudingue, appelé aussi ‘pou fou’. Ce qui donne un plat hilarant, qui ne contient pas de hareng, ni de loup de mer d’ailleurs, qui lui, est moins marrant.

 

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- Le lui dire avec des fleurs, c’est bien ; mais ne choisissez pas des chrysanthèmes.

 

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- Le m’as-tu-vu devient vite un ‘’on-t’a-vu’’ (sous-entendu : « çà ira.. ! »).

 

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- Le magazine citait un limousin qui, dans son magasin, vendait des limousines.

 

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- Le Magrhébin peut manger du magret, malgré qu’il ne puisse pas manger du cochon. Un Japonais peut très bien manger un chapon entier, qu’il digérera mieux qu’un poney. Un Colombien, lui, peut manger de tout, et même du pigeon ; mais je doute fort qu’il en ait souvent l’occasion.

 

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- Le maître-nageur est l’un des rares à se dire : Vivement les grandes vacances, que je travaille ! »

 

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- Le mal de mer, c’est pour celui qui n’a pas le pied marin ; le mal d’avion, pour celui qui n’a pas le pied aérien ; le mal des montagnes, ou mal des hauteurs, pour celui qui n’a pas le pied-d’estale ; le mal du pays, pour le pied-noir ..

 

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- Pas assez passager.. Le mal-des-transports est un état pas assez passager, au dire des passagers..

 

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- Le malade était bien opérable, mais le chirurgien était inopérant.

 

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- Voci fait rage Le malheur, mais peut-être pas, pour les enfants qui ont des parents qui vocifèrent, c’est qu’ils vont-s’y -faire..

 

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- Mammelong Le mammelon n’est pas si long que ça. Demandez aux bébés !

 

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- Le mannequin était un véritable squelette ; il ne lui restait plus que l’appeau et les os. Mais les snobs ne demandent qu’à tomber dans le panneau. (peut-être parce qu’ils en ont les moyens.).

 

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- Le marchand de poissons haranguait les passants.

 

- Le jardinier était un romantique ; il avait une sensibilité à fleur de pot.

 

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- Le jars dîne dans son jardin. Et l’oie, me direz-vous ? Eloi ? Il préfère dîner dans sa cuisine.

 

- Le maréchal-des-logis s’était retrouvé sans-domicile-fixe. Cela s’appelle un retour de bâton. (de bâton de maréchal ?)

 

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- Sade meurt un mystère Le marquis de Sade mourut dans d’atroces jouissances.

 

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- Les mauvaises habitudes c’est comme les ongles : même limées, elles repoussent.

 

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- Le mécanisme de la double peine ne se retrouve pas que dans le domaine judiciaire : ainsi, les gens peu intelligents qui, en plus de leur handicap, vont gagner beaucoup moins que les autres.

 

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- Le meilleur endroit pour traîner quelqu’un dans la boue, c’est encore Woodstock. (les jeunes ne connaissent peut-être pas..)

 

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- Le meilleur est à venir ; le pire aussi.

 

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- Mépris Le mépris est une double méprise. Vis-à-vis de l’autre, et vis-à-vis de soi.

 

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- Le métier de femme va souvent de ‘pair’ avec celui de mère.

 

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- Mille-pattes Le mille-pattes a plein de deux pieds ; l’avenir a plein de demain.

 

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- Misanthrope Le misanthrope déteste les hommes. Quant aux femmes.. ?

 

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- Mobile Le mobile d’un crime n’est que très rarement un portable.

 

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- Le moellon d’un mur n’a rien de moelleux. De même que des vacances qui durent n’ont rien de dur..

 

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- Le moine capucin jouait du clavecin comme un fantassin. Certains auraient dit ‘comme un cochon’, mais j’atténuerai le propos en disant plutôt ‘comme un marcassin’.

 

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- Le mois d’août, c’est pas le mois des soldes mais le mois des doutes, des doutes sur les soldes de juillet.

 

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- Le modèle était bonne pâte, au point que le sculpteur en fît sa pâte à modeler.

 

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- Le modèle ne l’était pas vraiment, en tous cas aux dires du peintre, qui a fini par ne plus pouvoir se l’encadrer.

 

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- Le moustique, comme chacun sait d’expérience, est un insecte qui n’est pas amusant du tout : on dit qu’il n’est ‘pas ludique’.

 

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- Le musicien avait plusieurs cordes à son arc, dont une corde à nœuds pour monter les gammes.

 

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- Le myope fit tomber ses lentilles dans les petits pois.

 

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- Le nain disait : « Quand je s’rai grand… ». Finalement, il n’a pas vieilli.

 

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- Grand large Le navire prit le grand large parce qu’il ne restait plus de petits étroits.

 

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- Le neveu écoutait son oncle atantivement.

 

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- Le niveau d’exigence des jeunes générations envers la société augmente, alors qu’à leur âge, il leur a été moins demandé qu’à leurs parents, et surtout leurs grands-parents. Cet état de fait accroît encore le décalage. Ce qui fait qu’à capacité de rébellion égale, les chances de mouvement de protestation de masse augmentent doublement. L’inconnue reste donc cette capacité de rébellion. Il faudrait donc qu’ils restent longtemps adolescents, pour la conserver.. ! Mais allez le proposer aux parents, vous allez être bien reçus..

 

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- Le nourrisson faisait des pieds et des mains pour qu’on le prenne dans les bras.

 

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- Le nouveau président cherchait à asseoir son autorité sur les députés de l’Assemblée Nationale ; mais pour une fois, tous les sièges étaient pris. Il dut rester debout.

 

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- Le nu-age est beau nu, quelque soit son âge. Y-a que quand il pleure..

 

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- Le ou la partenaire d’un individu lui apporte, par sa différence, ou ses moyens, un complément de qualité de vie ; il peut lui apporter beaucoup plus, à savoir un supplément d’âme.

 

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- Papillon tatillon Le papillon, tatillon, trouve que la libellule est nulle.

 

- Le jardinier avait laissé ses outils pêle-mêle, et pioche, au milieu du potager.

 

- Le patron du manège avait des problèmes de ménage.

 

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- Le patron-menuisier, échaudé, demanda à son ouvrier de prendre la porte. Ce que l’autre fît, et qui eut le don de faire sortir le patron de ses gonds.

 

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- Commissairien Le pauvre bougre a été interpellé tout à l’heure, pour contrôle d’identité ; il est sans papiers, et comm-i-ssait-rien, les flics l’ont embarqué au commissariat.

 

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- Le paysage était bucolique et ballonné..

 

-

 

- Le peintre qui fait sa première exposition s’expose doublement. En attendant l’imposition..

 

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- Le père était soûl, dans sa soutane. Mais même sans. C’est vrai qu’avec, ça fait plus habillé, et moins grave.

 

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- Alexandrin Le petit Alexandrin était né avec douze pieds. Ce fut la fierté de son père, qui était poète.

 

-

 

- La Grande Ourse Le petit d’ours, désemparé d’avoir perdu sa maman, redressa sa tête d’orphelin vers le ciel criblé d’étoiles ; il lui sembla voir, dans l’Etoile Polaire, l’œil brillant de sa mère.

 

-

 

- Le petit Poucet, ..et il devint grand.

 

-

 

- Le Phare :

 

 

 

J’ai acheté un phare. Pas un phare de voiture, j’ai pas d’ voiture. Non, un vrai phare, au bord de la mer, de la "grand-mer", comme disait mon grand-père en parlant de l'océan ; sur un promontoir, un piton rocheux. ..J' vous dis pas, quand ça souffle, les non-chauves ! ..Pas un "piteux rocher", un "piton rocheux" !

 

Alors je ne sais pas si c'est depuis que j'habite justement, en haut du phare, que j'arrête pas de tourner en rond !

 

La dernière fois que ça me l'a fait, j'étais en vacances dans un moulin. Le médecin m'a dit que c'était pas grave.. Y-a que quand ça tourne mal, qu’il m’a dit.

 

Sinon, c'est vrai, c'est pas mal. C'est un vieux phare, désinfecté, ..désaffecté, pardon, désaffecté.. (c’est vrai qu’en parlant de médecin !)

 

Depuis le temps que j' en rêvais, ..pas du médecin, du phare !!

 

Tout p'tit déjà, je croyais que c'était là, dans les phares, que vivaient les pharaons.. Jusqu'au jour où j'ai découvert les pyramides, dans les livres d'histoire. C’est ‘effarant’ ce que l’Histoire peut vous ‘éclairer’ !

 

Et je me suis dit qu’un phare en plein désert d’Egypte n’aurait pas fait une belle demeure pour le pharaon mais aurait pu servir aux caravaniers la nuit.

 

De même une pyramide sur une côte bretonne aurait pu servir de repère même le jour ; et la nuit le girophare aurait été perceptible d’encore plus loin qu’actuellement.

 

L’ennui c’est la place que çà prend ! L’armée allemande aurait apprécié ; elle aurait eu moins de blockhaus à construire en prévision du débarquement.

 

Par contre, est-ce que ça aurait dénaturé le paysage ? Pas plus que ça ne l’est déjà dans certains endroits de nos côtes !

 

Finalement, il n’y a ‘pire amides’ que nos immeubles immondes, nos tours-histiques et autres gratte-ciel, gratte-nuages, gratte-cumulus accumulés dans ces quartiers de villes inciviles.

 

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- Le pharmacien était un con brimé. Il avait du mal à le ‘cacher’.

 

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- Le pianiste ‘s’accorda’ un peu de repos. A force de monter et descendre ses gammes..

 

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- Clone d’un clown Le politicien n’est parfois que le clone d’un clown, avec le nez en moins, mais avec le flair en plus.

 

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- Le pompier ne savait pas comment lui déclarer sa flamme.

 

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- Le poste-radio s’est fait allumer. Vous me direz qu’il est là pour ça ! N’empêche, moi, à sa place, je changerais de station..

 

-

 

- Le pouvoir de la rue finit tôt ou tard par entraîner l’opinion publique, par faire reculer les gouvernements, par renverser les tyrans, par démolir les Bastilles et tous les murs de la honte. C’est là que la foule est wonderful.

 

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- Le ‘PQ’ n’est pas réservé aux ‘petits culs’.

 

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- Le pragmatique est celui qui profite d’avoir le cul entre deux chaises pour aller à la selle, sans avoir à y aller vraiment puisqu’il est sur place. Par contre, s’il a le cul entre deux selles, qu’elles soient de cheval ou de bicyclette, c’est déconseillé, car c’est pour le coup qu’il ne pourra plus aller à la selle.

 

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- Le prétentieux n’est emphase qu’avec lui-même.

 

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- Le prêtre s’évertue à lui faire la morale, mais elle n’en a cure.

 

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- Le prévôt voulut qu’il signât son arrêt de mort. Il refusa, et de retour dans son cachot, il se signa et se saigna.

 

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- Principal Le principal, au collège, est de ne pas avoir souvent affaire avec lui.

 

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- Le problème, avec les personnes qui se trompent rarement, c’est qu’elles se persuadent très vite qu’elles ont toujours raison.

 

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- Le problème de la mémoire, ce n’est pas tant d’oublier que de ne pas s’en apercevoir.

 

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- Le problème des collants, chez les dames, c’est de pouvoir se les décoller de dessus, c’est-à-dire de dessous.

 

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- Amnésie Le problème des médicaments pour la mémoire, c’est qu’il ne faut oublier de les prendre. Et si vous y arrivez, c’est bien que vous n’en aviez pas besoin.

 

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- Le problème, quand on est bon-public, c’est qu’on peut l’être aussi envers soi. Cela entame votre impartialité.

 

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- Erreur de direction Le problème quand on s’est trompé de direction, c’est qu’on peut pas changer le patron.

 

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- Crédibilité Le problème, quand vous ne vous prenez pas au sérieux vous même, c’est que les gens ne vous prennent pas au sérieux eux non plus. Est-ce pour autant qu’ils en déduisent que vous êtes sérieux ?

 

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- Le prof de fac n’amphi qu’à sa tête.

 

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- Le professeur, bel homme, avait aussi beaucoup de classe, mais très peu d’élèves.

 

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- Le progrès de la science garantit au moins celui des scientifiques.

 

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- Le prophète Eddie Le prophète Eddie avait prédit : « Quand les élites se délitent, la démocratie s’encrassit. » (verbe peu usité mais bien pratique).

 

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- Le psychologue avait beaucoup de problèmes et n’osait pas en parler à son entourage.

 

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- Le rabbin était radin, mais il payait toujours sa viande cash.

 

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- Quand il a teur, il a tord.. Le réfrigérateur est utilisé la moitié de son temps pour conserver dedans ce qui pourrait très bien se conserver dehors gratuitement, l’hiver. On pourrait donc dire que l’hiver le ‘réfrigeratord’.

 

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- Le représentant était entré sans même frapper à la porte. La femme de ménage ne se mit pas les gants pour le stopper, et elle le mit dehors sans ménagement.

 

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- Le restaurateur était un maniaque de la propreté. Il avait fait mettre, sur la pancarte de ‘bienvenue’, à l’entrée : « Essuyez-vous les pieds avant d’entrer, mais n’oubliez pas de tout reprendre en partant. Merci. »

 

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- Re-traité Le retraité n’est pas quelqu’un que la société retraite après lui avoir raté son premier traitement. Il a très bien pu se rater tout seul.

 

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- Le ridicule ne tue pas mais vous handicape. Au point que ça mériterait parfois une pension d’invalidité, si ça n’encourageait pas la tendance.

 

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- Le rire est salutaire, le taire est à proscrire.

 

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- l’homme d’affaires Le problème de l’homme d’affaires n’est pas tant de trouver un équilibre entre son temps de travail et son temps de loisirs, que d’en définir leur finalité.

 

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- Valet de roi Le roi ne valait pas ses valets. Heureusement que les valets, eux, le valaient bien.

 

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- Le romancier s’était polarisé sur les polars. Mais comme dit Paul, le polar, c’est tout un art.

 

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- Le roncevaux est la partie du veau située entre les deux cotes. La partie supérieure, près du cou, s’appelle également, par extension, le col de roncevaux.

 

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- Rythme and song Le rythme a précédé le chant (C’est la raison pour laquelle on dit que le chant, ou la musique, suit le rythme, et non l’inverse). L ‘explication serait que nos ancêtres étaient plus prompts à cogner, qu’à imiter les oiseaux..

 

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- La hotte, le sac-à-dos et le balluchon La hotte a été inventée par le Père Noël, le sac-à-dos par l’aventurier, le balluchon, par l’émigré.

 

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- Salaire de rien Le salaire, ça a l’air de rien, mais ça change tout..

 

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- Bien payé Le salaire des autres n’est pas forcément bas.

 

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- Le saumon fumé tue.

 

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- Le vrai sceau est indélébile, quant au vrai sot...

 

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- Squat Le squat, parfois la seule solution adéquate qu’il vous reste, quand il ne vous reste plus rien.

 

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- Le sculpteur avait eu une grande carrière.

 

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- Le serpent courait ventre-à-terre.

 

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- Le serpent, honni de tous, depuis la Génèse et sa pomme d’Adam.. ! Pourtant celui qui vi(tu)père contre elle et la couleuvre devrait réaliser que toutes deux sont, pour le « coup, l’(o)euvre » de la Nature avec un grand ‘N’ et non avec une grande ‘haine’.

 

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- Embarras Le seul embarras qu’on apprécie, c’est l’embarras du choix.

 

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- Le soldat, qui ne voulait plus avancer, fut mis aux arrêts.

 

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- Le soleil n’est pas comme nous : plus il se lève tôt, plus il se couche tard ; et inversement. Avec la lune, je n’y ai jamais rien compris !

 

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- Tournedos Le soleil ne fait de l’ombre qu’à celui qui lui tourne le dos.

 

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- Solitaire diurne Le solitaire n’est souvent qu’un solitaire diurne. Est-ce qu’il l’est toujours autant la nuit ?

 

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- Clarinette Le son de la clarinette, au moins c’est clair et net. Quant à la trompette..

 

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- Songe Le songe est un mensonge qu’on se pardonne gentiment.

 

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- C’est pas sorcier Le sorcier fait venir la pluie du ciel ; le sourcier, l’eau du sol.

 

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- Le sourd entendait bien se faire respecter.

 

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- Appalaches Le soutien-gorge sert à éviter que vos Appalaches.

 

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- Héritage des pauvres Le souvenir de leurs parents défunts est souvent le seul héritage des pauvres.

 

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- Lévitation Le stress est forcément moins répandu chez les moines tibétains que chez un citadin occidental. Il n’empêche que, pour l’éviter, ils ont appris à léviter.

 

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- Le sujet a fait l’objet d’un procès-verbal.

 

-

 

- Surpoids Le surpoids est un sujet trop grave pour être pris à la légère.

 

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- Le symbole de l’attachement n’est pas le lierre mais les menottes.

 

-

 

- Le tailleur n’était jamais là.

 

-

 

- Le talent est parfois lent. Comme disait Buffon, qui n’était pas un bouffon : « Le génie est une longue patience ». Parfois vous vous lassez avant lui, parfois c’est lui qui s’épuise avant vous ; et il n’est pas au rendez-vous. Vous ne devenez pas talentueux mais ‘talent-tué’.

 

-

 

- Le temps devrait être suspendu, pour anti-jeu.

 

-

 

- Temps pluvieux Le temps est plus vieux que la météo veut bien nous le dire.

 

-

 

- Le temps est une gomme à souvenirs, qui n’efface pas de la même manière selon que le texte est écrit au crayon, à l’encre, ou imprimé.

 

-

 

- Le temps qui défile vous défie. Faites-en fi !

 

-

 

- Le temps se referme derrière le souvenir que vous laissez, comme la mer derrière le sillage d’un navire. Et quand la houle se forme et que les moutons réapparaissent, c’est que l’océan, inquiet sur leur sort, cherche à se rappeler de tous les marins qu’elle a vu passer, le temps d’un instant.

 

-

 

- Le tennisman avait une mine de terre battue.

 

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- Le tic-tac

 

(encore une, chanson orpheline)

 

 

 

Je dors avec une’ bombe

 

Sous l’oreiller,

 

Pas de risque qu’elle’ me tombe

 

Sur les pieds.

 

 

 

Je marche avec une’ bombe

 

Sous le manteau,

 

Pas de risque qu’elle’ me tombe

 

Sur le dos.

 

 

 

Je mange avec une’ bombe

 

Dans le gosier,

 

Par de risque qu’elle’ me tombe

 

Sur le nez.

 

 

 

J’ travaille avec une’ bombe

 

Sous ma casquette,

 

Pas de risque qu’elle’ me tombe

 

Sur la tête..

 

-

 

-

 

- Le tirailleur râtait souvent sa cible.

 

-

 

- Le trac vous détraque, vous rend patraque ?! Prenez-vous une matraque, ça redonne confiance !

 

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- Traître Le traître aurait voulu vendre son âme au Diable, qu’il n’aurait pas pu. Il n’en avait pas.

 

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- Le vague-à-l’âme n’est autre qu’un mal-à-l’âme, un malaise intérieur, reflet de l’âme, ‘mal’ comme image inversée de ‘l’am’ dans un miroir.

 

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- Le vase d’argile est libre de croire qu’il est sorti de la vase tout seul, et que le potier n’est qu’une potiche.

 

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- Vautour Le vautour, dans ses allers-retours, passe et rapace en attendant que sa proie trépasse.

 

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- Le vendeur-ambulant de la plage vendait des sandwichs, des beignets, mais il ne proposait pas de crèmes fraîches et autres boissons froides. C’est dommage, c’était une armoire à glaces !

 

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- Vent de liberté Le vent de liberté semble souvent ne soulever que le sable du désert, ou la poussière du sol. Méfiez-vous, ce sable ou cette poussière finissent tôt ou tard par retomber quelque part, et les aspirateurs ne pourront jamais tout aspirer..

 

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- Ver de terre Le ver de terre est stupide ; il creuse sa propre tombe sans s’en apercevoir..

 

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- Le ver solitaire ne « s’en sort » que lorsqu’il reste à l’intérieur. (J’avais une autre manière de le dire, mais moins élégante..)

 

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- Le verso d’un panneau ‘Défense d’entrer’ n’est jamais ‘Défense de sortie’, sauf dans un établissement pénitentiaire. Ce qui est sûr, c’est que dans ce cas, ça restreint considérablement les allées et venues.

 

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- Le voleur s’était reçu une volée, qu’il n’avait d’ailleurs pas volée.

 

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- Vrai et faux calme Le vrai calme, le placide, prend le temps de prendre l’air, alors que le faux calme prend l’air de celui qui prend le temps.

 

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- Le warning est un accessoire lumineux de voiture qui, pour certains, les autorise à se garer à un angle de carrefour, sur un passage-piéton ou en double file sur dans rue très fréquentée, pour la raison valable d’aller acheter rapidement, bien-sûr, un paquet de cigarettes, ou retirer de l’argent dans un distributeur automatique de billets. Ils comptent bien sur la compréhension et la tolérance, pour ne pas dire le civisme, de ceux qui n’auront pas le mauvais goût, j’espère, de se plaindre pour si peu. Ils seraient d’ailleurs dans votre situation, qu’ils n’y verraient rien à redire.

 

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- Lecteur de code-barre : amateur de livres qui fouine dans les librairies plus qu’il n’achète.

 

 

 

 

 

 

 

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Troisième Entracte

 

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- Est-ce que ceux qui coïncent la bulle finissent par s’éclater ? Pas sûr.

 

- Papon Il y a deux manières de faire du zèle dans l’administration, mais on ne retiendra que celle de Maurice Papon, c’est-à-dire l’excès.

 

- Je ne me rappelle jamais si quinze heures quinze c’est l’heure du début de la bataille de Marignan ou l’heure de la fin !

 

- L’Orthodon est le dernier des grands dinosaures découverts encore récemment. Comme il était muni d’une proéminence buccale en forme de scie, on l’appelle aussi l’Orthodon-scie.

 

- L’espion avait de l’argent-double dans sa valise sans fond.

 

- Il paraît naturel de penser que le bénévole, qui ne rémunère pas son temps, a donc tout son temps à offrir, et inversement et par là-même, à comprendre que celui qui est payé pour s’occuper des autres ne tienne pas à dépasser son quota d’heures salariées. Logique quand tu nous tiens.. !

 

- Quelle différence entre capote et capuche ? La capote c’est pour son pote. Et la capuche, me direz-vous ? On va dire que c’est pour truc-muche, vous savez, celle qui est un peu cruche !! (oui je sais, c’est pas terrible, mais je ne pouvais pas vous faire le coup de l’autruche !)

 

- Je voudrais inventer une poésie originale, qu’on appellerait par exemple la siepoé, ou la pisoée, en inversant le principe de la rime, c’est-à-dire en faisant rimer le début de la phrase et non la fin. Mais il faudrait bien marquer la première syllabe ou les deux premières, dans ce cas là, pour que phonétiquement cela se perçoive, et donc faire une petite pose, d’entrée de ver. Et c’est vrai que dans ce cas là, le terme qui conviendrait le mieux pour ce nouveau style serait plutôt « la pos-i-é ».

 

- Ver tige : gros ver de terre que les fakirs arrivent à faire se redresser comme pour entamer une danse, à la manière des serpents, en leur jouant de la flûte.

 

- Quand un cheval écrase un moineau, on dit qu’il piaffe un piaf.

 

- Un oiseau qui picore picote. Moi, quand ça me démange de manger, je picore, mais sans que ça ne me picote.

 

- Et alors..!? Le bleu du ciel se voit mais n’existe pas. Les rayons du soleil ne se voient pas mais ils existent. Et alors ? Non rien..

 

- Une pimbêche est une pécore qui pérore.

 

- Venant de la banlieue, son parcours a été difficile. Il tombait de Karim en Syllabes.

 

- Fair-play tient un peu de notre faire-plaisir.

 

- Beauf !! Le beauf de mon ex n’est pas l’ex de mon beauf. Mais ça n’a aucune importance, même pour eux. Et pour moi, je vous dis pas ! D’ailleurs je ne sais pas pourquoi je vous le dis !!

 

- Pour les meilleurs mondiaux aux ‘Cent mètres’, le réussir c’est s’en mettre plein les poches.

 

- Auréole Les saints ne portent pas plus d’auréoles sur la tête que de soutien-gorge..

 

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Comptez les ‘les’

 

 

 

- Statue Les actionnaires ont un statut. Faut-il leur prévoir une statue, pour leur contribution à l’essor et la pérennité des entreprises ? Entre prise de participation légitime aux résultats pour prise de risques, et prise d’intérêts lucratifs exorbitants quelques soient les moyens pour y parvenir il y a la même différence qu’entre l’aube et le crépuscule pour un daltonien. Et ce n’est pas parce que je n’ai pas la réponse qu’il n’y en a pas. Attribuons-leur la statue de Ponce Pilate.

 

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- Les adultes s’intéressent aux faits, les enfants s’attachent aux fées. Ce n’est pas le même effet.

 

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- Les affluents de la rivière étaient à court d’eau.

 

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- Les agitateurs sont souvent des agités. Mais il faut bien admettre qu’il en faut, qu’il en faudra toujours, pour réveiller régulièrement la conscience collective, celle de la majorité silencieuse et qui l’est de plus en plus, vu les moyens que les manipulateurs, ceux qui tiennent les manettes ou tirent les ficelles, utilisent. Et la violence c’est comme l’eau d’un torrent. Celle qu’on voit n’est que celle qui passe devant nous, mais il faut remonter à la source pour comprendre d’où elle vient.

 

-

 

- Les alevins sont le levain de leur avenir.

 

-

 

- Les allers et venues sur les allées de l’avenue avaient fini par éveiller les soupçons.

 

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- Les ambitieux

 

 

 

Les ambitieux visent les cieux.

 

Pour eux, les cieux les plus précieux

 

Ne sont pas ceux des Evangiles,

 

Mais des coloss’s aux pieds d’argile.

 

En plus, viser ce n’est pas tout ;

 

Il faut tirer, toucher, surtout !

 

Et comme un ciel ne tombe pas,

 

C’est le tireur qui tombera,

 

Car bien avant qu’il ne le touche

 

Il épuisera ses cartouches.

 

Un jour il tombera des nues,

 

Tout nu, et en terre inconnue ;

 

Les signes de sa réussite,

 

Il les laissera sur son site,

 

HTTP, trois W,

 

Trois petits tours et je m’en vais.

 

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-

 

- Anti-occidents ou anti-oxydants ? Les anti-‘oxydants’ ne sont pas les peuples des pays arabes ou des pays pauvres de l’hémisphère sud. Ce ne sont pas eux qui nous font ‘vieillir’, on sait le faire tout seul.

 

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- Si les apparences sont apparemment trompeuses, les certitudes le sont aussi, certainement.

 

-

 

- Les bains de soleil étaient inclus dans le forfait journalier.

 

-

 

- Taux d’usure, ou d’usurier ? Les banquiers vous ont à l’usure, comme la voiture les pneus. Il faut dire qu’ils ne roulent que grâce à vous, et « sur » vous..

 

-

 

- Les barbus ne sont pas tous des face-bouc.

 

-

 

- Barricades Les barricades les plus efficaces sont celles qu’on se construit dans la tête. Pour autant, ne vous barricadez pas dans vos certitudes.

 

-

 

- Handitage ou Avancap ? Les beaux ont un handicap : on trouve toujours plus beau qu’eux. Les moches ont un avantage : on trouve toujours plus moche qu’eux.

 

-

 

- Les bénis oui-oui, quand vous leur demandez leur nom, ils vous répondent : ‘Oui’, et leur prénom : ‘Oui’.

 

Il n’y a que quand vous leur demandez si ‘Bénis’ en fait partie, qu’ils vous répondent ‘non’.

 

Mais là, le ‘Non’ ne dit pas qu’en réalité, ‘Bénis’ c’est leur surnom.

 

Si vous leur aviez posé la question de la sorte, ils vous auraient dit oui.

 

Et là, ‘Oui’ n’aurait rien eu à voir avec leur nom, ou leur prénom.

 

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- Beur ou beurk ? Les beurs n’attendent pas d’être vieux pour trouver la vie rance. Il faut dire qu’on a tout fait pour les y aider.

 

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- Les bons Comtes Les bons Comtes font les bons amis.. des Ducs et des Marquis.

 

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- Les botanistes parlent de racine ‘pivotante’ quand elle s’enfonce verticalement en terre (ce qui pour un néophyte semble la seule possibilité.). Rien à voir avec les plantes carnivores chez qui ce type de racine aurait permis de se retourner pour attraper leur proie..

 

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- Espèce protégée Les bourgeois ne bourgeonnent pas qu’au printemps, et comme les résineux, ils n’ont pas les feuilles caduques mais persistantes, ce qui leur permet de mieux traverser la saison froide.

 

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- Les branchés du courrier électronique vous diront « qu’il n’y a que les e-mails qui maillent ».

 

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- Les certitudes peuvent devenir des servitudes.

 

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- Les chasseurs de naturel semblent ne pas avoir les bonnes cartouches, puisque ce dernier revient toujours au galop.

 

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- Ne tombez pas dans la nasse Les chasseurs font la chasse aux bécasses, les professeurs, aux bêtasses, et les filles entre elles, souvent la chasse aux pétasses.

 

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- Les châteaux en Espagne sont des châteaux de cartes pour adultes.

 

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- Les chemins sont à notre image.

 

Il y a les chemins communaux, pour les gens communs, les commerçants, les communistes, et les autoroutes, pour les citadins autosatisfaits.

 

Les chemins de terre, pour les paysans, les culs-terreux, et les départe-‘mentales’, pour les intellectuels.

 

Les chemins vicinaux, pour les gens du peuple et leurs vicissitudes, et les nationales, pour les patriotes, notables, bourgeois et autres élites zélées.

 

Les chemins de traverse, pour les poètes, les rebelles, et les chemins qui ne mènent nulle part, pour les aventuriers, qui veulent aller le vérifier.

 

Les chemins escarpés, pour les durs, les ascètes, et les chemins forestiers, pour les romantiques.

 

Les chemins de fer, pour les hommes à tout-faire, les fonctionnaires, et les autoroutes du ciel pour les hommes d’affaires.

 

Les impasses, pour les bornés, les malchanceux, les malheureux, et les chemins de Compostelle, pour les contemplatifs.

 

Les chemins des écoliers, pour les nonchalants, les rêveurs, et les chemins qui tournent en rond, pour les innocents.

 

Les chemins faisant, pour les chasseurs, et les chemins de chasse, pour les faisans.

 

Les chemins de croix, pour les condamnés, et les chemins de Damas, pour les illuminés.

 

Et enfin les chemins de ‘Nada mas’, pour ceux qui comprennent l’espagnol.. et parce qu’il faut bien une chute.

 

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- Les Chinois préfèrent les clés USB aux clés USA.

 

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- Les cime-tières ne sont pas réservés aux ‘tiers’ ; on ‘‘s’y met’’ tous.

 

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- Ne faites pas à autrui.. Les cochons font aux truies ce qu’ils aimeraient qu’on leur fasse.

 

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- Les coiffeurs pour dames avaient parfois, auparavant, une réputation sulfureuse, souvent fondée sur leurs attitude un peu maniérée. La plupart s’évertuaient néanmoins à couper court à ces insinuations..

 

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- Les coureurs du ‘Quatre fois cent mètres’ devraient s’inspirer de la camarade Camarde ; elle ne rate jamais le passage du relais.

 

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- A cours d’idée.. Les cours d’eau sont parfois à court d’eau, et moi à court d’idée...

 

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- Les créateurs de haute couture ne sont pas prêts-à-porter ce qu’ils conçoivent. Et on le conçoit sans peine.

 

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- Cursus Les cursus beaucoup d’énergie.

 

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- Les cyniques diront que mourir est le futur de vivre ; les sages, que c’est l’imparfait de vivre.

 

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- Les dessous des affaires sont toujours des affaires de sous.

 

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- Les dettes sont bêtes. Alors que les fêtes sont chouettes.

 

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- Deux frères Les deux frères ne s’entendent pas. Quand Gaspard vient, Vivien part.

 

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- Les deux miroirs Les deux miroirs, face à face, se contemplaient à l’infini.

 

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- Les distraits Les distraits ne s’aperçoivent pas que les non-distraits eux, s’aperçoivent qu’ils le sont.

 

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- Droits d’auteur Les droits d'auteur, quelque soit la hauteur, et leur origine, vous donnent une stature, et un statut de créateur.

 

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- Les efféminés se fichent de ce que les hommes d’hirondelles.

 

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- Les Eglises réformées donnent l’impression de n’être que re-formées, et les autres, d’être déformées. Mais ce n’est pas la forme qui importe, c’est le fond. Autant, dans ces conditions, supprimer la forme et mettre le fond ailleurs qu’à l’intérieur de murs, ou dans des préceptes d’hommes.

 

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- Les enfants commettent des enfantillages, les adultes, des adultères.

 

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- Les enfants qui découvrent la lecture sont tellement passionnés qu’ils liraient même entre les lignes, si leur innocence ne les en protégeait.

 

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- Enfants Touaregs Les enfants touaregs ont du mal à s’endormir. Le marchand de sable a du mal à vendre sa marchandise.

 

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- Les eunuques n’ont pas de problème de nuque ; c’est plutôt un problème de nique.

 

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- Sourira bien qui sourira le dernier Les Etats-Uniens ont leur Mi-ssouri, les Saoudiens leurs Emi-rats.

 

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- Les femmes appréhendent d’avoir des verge-tures, mais elles les attendent de leurs compagnons.

 

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- Dommage ! Les femmes ont toujours plus souffert d’un manque de respect que d’un manque d’hommages. Et c’est dommage.

 

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- Les feux tricolores n’ont rien de patriotiques. De plus, ils ne sont ni incolores, ni indolores : demandez à un daltonien alpha, comme à un citoyen lambda ! Il peut vous en coûter une belle ‘amende’ qui, pour le coup, et le coupable, ne sera pas insipide mais aura un goût amer.

 

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- Les filles pas sages vous sont souvent passagères.

 

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- Les filles sont belles, telles-quelles, sans fard ni rimmel. Ainsi soient-elles.

 

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- No taire Les frais de notaire ne sont pas des frais de notoriété ; mais parfois on se le demande..

 

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- Avantage au loser Les gagneurs ne perdent rien pour attendre, car ils perdront tout un jour. Les losers, au bout du compte, auront moins à perdre, puisqu’ils l’auront déjà perdu au fur et à mesure.

 

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- Les gens beaux savent qu’ils sont regardés par tout le monde ; par les gens qui leur ressemblent, et qui se comparent à eux, et par les gens qui ne leur ressemblent pas, et qui les envient. Ceux qui sont moins favorisés savent que seuls les jeunes enfants savent les regarder, sans faire aucune distinction, sans avoir aucune préférence si ce n’est pour le sourire qu’on leur donne.

 

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- Les gens de couleur ne le sont pas, puisque le noir n’est pas une couleur ! C’est donc nous qui le sommes.

 

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- Les gens généreux Les gens généreux sont, souvent, presque gênés de l’être.

 

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- Les gens heureux sont des gens sans histoire. Ils ne se remarquent pas, comme les baies vitrées lorsqu’elles sont propres.

 

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- Les gens obèses n’aiment pas trop qu’on les « prenne en charge.. ».

 

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- Copies Les gens ordinaires sont encore plus nombreux qu’on ne croit, car la plupart des gens qu’on dit originaux ne sont que des copies.

 

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- Trop forts Les gens ‘trop forts’, avant qu’ils n’aient tord, beaucoup d’eau coulera dans les ports.

 

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- Les grands tombent de plus haut, mais leur tombe n’est pas plus haute.

 

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- Au sanskrit du mot Les grands textes brahmaniques de l’Inde sont écrits en sanskrit, mais ils ont été retranscrits.

 

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- Les Grecs n’osent pas mettre les points les ‘i’. Ils ont donc créé un ‘i’ bien à eux, qui consiste à mettre un ‘v’ au-dessus du ‘i’ pour remplacer le point.

 

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- Les habitants d’Athènes seraient-ils les Athées ?

 

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- Hippie Les hippies ne sont pas plus amateurs de concours hippiques que les chipies ne sont amateurs de chips. Par contre les garçons peuvent être amateurs de garces, les polissons, de polissonnes, les policiers, de peau lisse, les médecins.. .

 

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- Les histoires de couturière sont toujours cousues de fil blanc ; mais la vérité est ‘ailleurs’.

 

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- Quand les Ethéniens s’éteignirent Les historiens discutent encore pour savoir comment les Athéniens s’atteignirent ; par contre on sait maintenant pourquoi les Ethéniens s’éteignirent : le courant ne passait plus, entre le peuple et les élites.

 

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- Les hommes ont la fibre sensible, à tel point qu’elle peut réagir sans même avoir à la toucher.

 

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- Homme-chat Le chat aime bien sortir par la porte pour pouvoir rentrer par la fenêtre, et inversement. Par contre, l’homme qui est sorti par la fenêtre aura du mal à revenir par la porte..

 

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- Les hommes sont tous égaux, sauf les femmes. (..qui, elles, sont toutes égales, également.)

 

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- Idées reçues Les idées reçues vous arrivent à votre insu, et souvent abîmées par le voyage, c’est-à-dire par le transporteur.

 

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- Les illettrés sont ceux qui ne savent pas lire. Mais comment appelle-t-on ceux qui ne savent pas compter ? Les ichiffrés ?

 

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- Immortelles Les immortelles se fanent, les fanes se meurent, et les mœurs demeurent..le temps que les immortelles se fanent.

 

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- Les Inspecteurs des Impôts ont une ‘perception’ très sélective de la fraude.

 

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- Les intelligents, la seule chose qu’ils ne comprennent vraiment pas, c’est qu’il y a des choses qui ne se comprennent pas.

 

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- Les intéressés concernés par les associations bénévoles n’intéressent que les gens désintéressés.

 

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- Examens Vis-à-vis des examens, les jeunes tiennent à avoir des résultats positifs, les vieux, des résultats négatifs.

 

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- Les jeunes-hommes très coincés ne sont prêts à embrasser qu’une belle carrière.

 

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- D’enfer ! Les jeux qui vous font monter au septième ciel ? Essayez d’en faire, c’est d’enfer !

 

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- Les jolies filles, comme le soleil, il suffit de ne pas les regarder pour ne pas en être ébloui. Le problème c’est qu’elles ne se couchent pas aussi vite que lui.. (Non, je veux dire qu’elles peuvent se promener encore tard dans la nuit, ce qui vous contraint à poursuivre votre effort méthodologique plus longtemps que prévu, effort qui devient encore plus difficile à l’approche de l’heure d’aller au lit..)

 

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- Les jours de marché, le coiffeur a de quoi faire ; il sait qu’il n’y coupe pas.

 

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- Le temps c’est cool ? Les jours qui passent ne seraient rien s’ils ne s’ajoutaient aux précédents.

 

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- Pas Manuel, manuel.. Les livres sont les ‘manuels’ des intellectuels.

 

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- Les loges d’un balcon : Si vous n’appréciez pas la fête populaire, on ne vous demande pas d’en faire l’éloge, mais vous n’êtes pas non plus obligé de dire que c’est un bal con.

 

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- De long en large Les longueurs sont souvent un peu longues ; heureusement que les largeurs viennent en partie compenser. (j’avoue que ça manque un peu de profondeur..).

 

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- Les magistrats auront beau exercer leur métier magistralement, la justice sera toujours un peu juste.

 

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- Les maisons des nantis ont un coté jardin et un côté Bourse.

 

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- Incinération Les malchanceux et les méprisés de tout poil n’ont pas dû prévoir de se faire incinérer ; ils se sont fait suffisamment ‘descendre’ de leur vivant.

 

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- Les mariages c’est mieux quand il fait sec. Alors que les obsèques, on les supporte humides.

 

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- Massages de boue Les massages ‘de boue’ se font toujours couché. J’en profite pour rappeler qu’il ne faut pas confondre la fangothérapie et la calomnie. La première est censée soigner votre santé, la seconde, votre réputation..

 

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- Pardon Les méchants sont vexés qu’on leur pardonne. Mais mieux vaut, quand-même, éviter d’avoir à leur pardonner..

 

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- Les médecins vous le diront, mais vous l’aurez remarqué sans eux, les déplacements perturbent le transit.

 

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- Les menuisiers ont constaté que leurs stocks s’amenuisent plus vite que ceux des autres artisans.

 

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- Grand dam Les messieurs aiment parfois d’autres messieurs, au grand dam de ces dames. Mais les dames aiment parfois d’autres dames, au grand dam de ces messieurs.

 

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- Les moteurs bridés ne sont pas forcément des moteurs japonais.

 

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- Mules Les mules font souvent des émules. Les ânes, moins.

 

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- Les nems qu’on aime ne sont pas tout-à-fait les mêmes que les nems vietnamiennes.

 

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- Traite Les noirs ont connu la traite ; les vaches la connaissent encore. Mais la première a été plus vache.

 

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- Balles-à-blanc

 

A se faire tirer dessus, les noirs préfèrent que ce soit des balles-à-blanc.

 

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- Les non-dits, comme les mots dits, sont parfois maudits.

 

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- Les nouveaux adhérents au club d’haltérophilie commencent toujours par les petits pois.

 

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- Les ouvriers l’avaient montée tellement vite que la cuisine était allée s’encastrer dans l’appartement.

 

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- Palestiniens Les pâles Estiniens ne manquent pourtant pas de soleil. A moins que certains ne veuillent leur faire de l’ombre.

 

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- Papis papillons Les papillons volent toujours par deux ; les Papis moins souvent, et c’est d’ailleurs à l’avantage des mamies, plus nombreuses.

 

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- Les personnes âgées de sexe masculin sont souvent des ‘personnes à jet’.. intermittent.

 

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- Les petites filles ont parfois deux couettes ; les lits n’en ont qu’une.

 

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- Les plaies les plus faciles à soigner sont les plaies au nasme.

 

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- Les plaisanteries salaces, au bout d’un moment ça fatigue.

 

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- Les poissons, quand ça mord, ça meurt ; et quand ça meurt, c’est mort.

 

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- Les poly-tics sont de grands nerveux.

 

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- Les pommades et autres crèmes, quand on n’a pas besoin de s’en passer il faut savoir s’en passer.

 

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- Les pompiers s’arrangeaient toujours pour arriver après l’accident.

 

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- Gigolo Les rapports que le gigolo entretient avec une femme font qu’il est entretenu par elle. Mais il n’est pas là que pour la faire rire, sinon on l’appellerait un rigolo.

 

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- Les rares fois où j’ai entendu le mot d’aréopage, j’ai retenu celui d’aéropage ! Comme quoi je n’en ferai jamais partie ..

 

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- Les rares hommes politiques courageux, bien entendu qu’ils sont écoutés ; mais est-ce qu’ils sont bien entendus ?

 

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- Les rares personnes qui ont des idées, n’en ont toujours qu’une à la fois ; puisqu’elles vous disent toujours : ‘J’ai une idée’ !.. (et c’est déjà pas si mal.)

 

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- Problèmes de solubilité Les religions monothéistes sont toutes insolubles dans la tolérance. Les autres sont parfois en partie solubles dans l’intolérance.

 

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- Les Romains dépressifs allaient souvent, semble-t-il, à Jacta-est, c’est-à-dire dans la zone-est de Jacta, pour se faire jeter un sort qu’ils espéraient favorable.

 

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- Les rouleaux de scotch sans dévidoir, on ne peut s’en servir que la première fois. Après, on ne retrouve plus l’extrémité.

 

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- Les saints ne portent pas plus d’auréole sur la tête que Dame Oclès une épée..

 

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- Les satyres n’attirent que les satires. Mais parfois aussi les ennuis, et donc les flics.

 

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- Les scientifiques auraient prétendu qu’on n’utilise que 10% de son cerveau. Je comprends tout, maintenant.

 

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- Les scientifiques qui ne jurent que par les ratios, ou les littéraires qui ne goûtent qu’à la rationalité, ont dû manquer de leur ration d’amour quand ils étaient petits.

 

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- Seiche en milieu humide Les seiches ont fait couler beaucoup d’encre. Et les ancres, pas mal de bateaux. Mais aucune seiche n’a fait couler de bateau, que je sèche ! ..Pardon, ..que je sache !

 

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- Les sels de la Mer Morte, en bains, sont revivifiants.

 

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- Les ‘sens’ interdits ont été inventés par les puritains.

 

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- Les singes bonobos, pour leurs femelles, sont de beaux robots. Si vous voyez ce que je veux dire..

 

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- Suppôts de Satan Les suppôts de Satan ne sont pas des médicaments, ..ou alors, ..gare aux fesses !!

 

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- Les ‘tirailleurs’ sénégalais n’étaient pas des tire-au-flanc ni des tireurs maladroits. Et le terme de tirailleur est pour le moins inapproprié. (et pour le plus aussi.)

 

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- Les vaches qu’on voit paître dans les prés ne se ‘prélassent’ pas, malgré leur placidité langoureuse. En effet une vache ne se lasse jamais dans un pré. Le gamin qui les garde par contre, c’est fort possible.

 

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- Les va-et-viens sont généralement déprimants. Y-en a bien un, mais..

 

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- Les verres qu’on vexe risquent de ne pas vous rendre le service que vous en attendiez.

 

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- Les vers sont les meilleurs connaisseurs des fruits, comme les moisissures, des fromages.

 

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- Les vieux ne sont bons à rien. Il faudrait les mettre à la retraite ! – Ils y sont déjà ?..Ah, alors il faudrait les faire travailler, ça leur ferait les pieds ! ..Ils ont déjà travaillé !? ..Ah bon. Alors c’est sûrement pour ça qu’ils ne sont plus bons à rien !!

 

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- Décédé par erreur Les visiteurs du cimetière s’amusaient de voir écrit sur la pierre tombale : « Décédé par erreur ». Le chirurgien du défunt avait fait discrètement effacer le dernier mot… « médicale ».

 

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- Dauphins Les vrais dauphins n’ont pas besoin d’un père, pour les introniser. Ils ont déjà leur royaume, qu’aucun roi ne pourra annexer.

 

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- Ingénues Les vraies ingénues tombent toujours des nues. Les fausses ne peuvent tomber que du lit. (je n’ai pas dit « nues »..)

 

 

 

Arrêtez les Les

 

 

 

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4ème Entracte :

 

 

 

- On a souvent l’impression que l’idée, le trait d’humour, qu’on a oubliés en chemin faute de les avoir notés à temps, étaient les meilleurs. Considérez donc que celles et ceux qui suivent, ou qui précèdent, sont les moins réussis. Merci.

 

- Si vous achetez un hangar ou autre type d’abris pour mettre dans votre grand jardin, ne comptez pas sur le fabricant de remises pour qu’il vous en fasse une deuxième sur facture.

 

- La première ’fois que j’ai voulu draguer une ‘copine

 

Elle’ m’a dit d’aller siffler là-haut sur la colline

 

De l’attendre avec un joli bouquet d’églantines..

 

- Quand tu conduis, ne mords pas trop sur les tournants, tu finiras par t’en mordre les doigts.

 

- Il est moins gênant de parler d’orbitre terrestre que d’arbite de match. Car tout est bon pour les supporters insupportables. .

 

- Les orgues de Barbarie n’ont pas plus avec à voir avec les orgies de Barbares que ces dernières n’ont à voir avec Amours et Délices. Encore que..

 

- Que faire ? Tout le monde s’agitait autour de lui, mais le chat dormait. Il n’en avait queue faire.

 

- Lorsqu’on parle de la matière, ou de la pensée, il y a matière à penser.. Par contre, lorsqu’on parle des matières tout court, on n’a pas à y réfléchir longtemps..

 

- Trou noir L’ennui, au sujet de ce fameux trou noir, c’est qu’on ne pourra jamais allumer pour voir ce qu’il y a dedans. Aussi bien il n’y a rien..

 

- Quand on réalise le nombre d’humains qu’on est sur terre, on se dit qu’autour de nous, il y a plus d’absents que de présents.

 

- Pour a-chever de lire certains ouvrages, rien de mieux que d’en faire son livre de chevet.

 

- Dans les paradis fiscaux, l’enfer c’est de faire partie des gens ordinaires qui ne font que gérer la fortune des anges.

 

- Il vaut mieux que se soit mon avis qui diverge que moi , sauf en privé.

 

- L’it-mobile : lit dont on se sait pas vraiment s’il l’est vraiment ou pas.

 

- Abordage Quand on est dans une embarcation, on est ‘à bord’ de l’embarcation, et donc en quelque sorte à ‘bord d’elle’.. Mais ça ne se dit pas, à moins que cette embarcation ne se soit embarquée dans un commerce particulier..

 

- Dans des chaussons, vos pieds sont chauds.

 

- Le vrai vide me laisse pantois ! Pas toi ?

 

- Faire des hauts et ‘débat’ est une expression qui peut faire polémique chez un correcteur

 

- Se méfier des paroles qu’on lance en l’air, ça finit toujours par retomber sur quelqu’un. Et comme je dis souvent, avec beaucoup d’à propos et de pertinence, « si ce sont des paroles verbales, ça fait mal ! ».

 

- Si Poisson per-sonne-est-ce, il pollue dès lors son environnement. ( ..s clair ?)

 

 

 

 

 

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- Leurs différends ? Que le pape et le pope les stoppent, nom d’une pipe !

 

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- Lézard d’Oise : lézard gris sombre, à écailles, qu’on trouve en montagne sur les toits des maison, et dans l’Oise aussi.

 

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- Libellé : mâle de la libellule

 

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- Liberté : son orthographe paraît simple au premier abord, pourtant c’est un mot qu’on voudrait pouvoir écrire de mille manières, sans se le voir corriger régulièrement par les garants de l’orthodoxie académique.

 

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- Liberté, Egalité et Fraternité, me font penser à ses Trois Grâces, ces trois sœurs, divinités gréco-romaines de la beauté, qu’on ne peut faire qu’admirer..

 

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- Libido : énergie vitale qui nous mène au lit pour une activité distincte du sommeil (vous allez me dire que le sommeil ne nécessite pas une débauche d’énergie..)

 

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- Libre arbitre : arbitre de jeux intègre.

 

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- Lilas ! Et la fleur se mit à lire.

 

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- Limité : lit infesté de mites.

 

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- Lingot d’or n’a pas d’odor.

 

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- Lire entre les lignes ne demande pas les mêmes lunettes.

 

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- Litige : lit à problèmes.

 

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- Livre sterling : ouvrage documenté sur la monnaie anglaise.

 

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- Lobbying : pratique légale qui consiste à acheter le peu d’honnêtes gens qui reste en politique, afin de favoriser encore plus les puissants au détriment des masses. Il serait temps que Lodormante se réveille..

 

-

 

- Longtemps abusée par les hommes, elle finira désabusée de leur justice.

 

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- Longtemps l’homme fit du sport sans savoir qu’il en faisait ; puis vint l’époque où, le sachant, il n’en faisait que pour son propre plaisir ; il ne tarda pas à le partager avec ses admirateurs et admiratrices, toujours pour le plaisir ; jusqu’au jour où il ne le fit qu’en monnayant une participation, laquelle grandit au fil du temps pour lui permettre d’en vivre. Maintenant, il en vit tellement bien, que le plaisir s’en est allé, dépassé par d’autres plaisirs que ceux du sport. El le plaisir s’en fût, faute de désir.

 

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- Lors d’enquêtes commandées dans les milieux hospitaliers, il semble que le score des sondages aient été flatteurs dans les services d’urologie.

 

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- Lors de l’achat d’un chat, vérifier bien qu’il ait quatre pattes, sinon c’est un chat –huant. Autre distinction : les chats ça pullulent, un chat-huant çà ulule.

 

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- Qui l’eut cru ! Lors de la dernière crue, le garage a vélo jusqu’au guidon.

 

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- Lors de ses derniers soupirs, l’albatros pousse un cri atroce. Et c’est normal, du moins chez le poète, pour qui les nécessités de la rime priment.

 

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- Lors des manifs, les méthodes de comptage des services de l’Etat et celles des syndicats divergent manifestement.

 

 

 

 

 

 

 

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Lorsqu’on commence..

 

 

 

- Lorsqu’il disait : Sa chère et tendre, on ne savait jamais s’il ne voulait pas dire : Sa chair est tendre. Mais c’est souvent lié.

 

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- Lorsqu’il est enrhumé, un marin aura tendance à dire « J’ai les encornets qui se seichent » plutôt que « J’ai les cornets qui s’assèchent »

 

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- Lorsqu’il l’avait connue, elle était belle comme un ange. Un ange passe..

 

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- Lorsqu’on a perdu du temps, on aimerait parfois le rattraper ; pourtant ça ne ferait qu’accélérer l’avenir.

 

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- Lorsqu’on a très faim, c’est que l’envie de manger vous démange.

 

-

 

- Lorsqu’on arrive à éclairer un doute, est-ce que, de l’autre côté de celui-ci, ça ne fait pas l’ombre d’un doute ?!

 

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- L’ombre d’un doute Lorsque j’ai un doute, j’ai beau l’éclairer, ça ne fait jamais l’ombre d’un doute.

 

- Lorsqu’on est jeune, on entend plus qu’on écoute. Quand on est vieux on écoute plus qu’on entend.

 

-

 

- Lorsqu’on dit d’une recette culinaire qu’elle est succulente, quels sens éveille-elle en vous ? Il faut peut-être prendre un peu de recul, pour y répondre.. Eh bé non ! ça vous met juste l’eau à la bouche.

 

-

 

- Lorsqu’on est au chômage, c’est le moral qui travaille.

 

-

 

- Lorqu’on réalise que même nos comportements, nos émotions, peut-être nos pensées, sont régis par des réactions chimiques, on se dit qu’on n’est que des laboratoires d’analyses.

 

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- Inférieurs Lorsqu’on sait ce qu’ils font pour nous, on se dit que les membres inférieurs mériteraient mieux que ce qualificatif.

 

-

 

- Ma jorité Lorsqu’on voit à quel point une minorité sociale, même en démocratie, manipule la majorité électorale à son profit, on réalise qu’on est loin d’avoir atteint la majorité civique.

 

-

 

- Lorsqu’on voit la condition féminine dans certains pays musulmans, il ne faut pas se voiler la face..

 

-

 

- Paissez en paix Lorsqu’on vous envoie paître, ne vous sentez pas obligé de ruminer. Vous leur feriez plaisir.

 

-

 

- Lorsqu’un anglais de votre entourage vous dit, avec son accent chewing-gum-chantant : « Il-èye-dé-çi-dèye », ne prenez pas de suite votre mine attristée pour lui présenter vos condoléances ; peut-être vous décrit-t-il cette même personne comme volontaire, qui sait prendre des décisions.

 

-

 

- Cool Lorsqu’un bateau coule, l’ordre d’évacuation est le suivant : les riches, les rats, les chats, les enfants, les mères, les vieux, les pères, les hommes, les matelots, le capitaine, les gros-dormeurs (même si pour eux c’est souvent trop tard). Par contre on ne parle jamais des handicapés sur chaise roulante ! Est-ce parce qu’ils sont interdits sur les bateaux à cause des phénomènes de roulis et de tangage ?

 

-

 

- Lorsqu’un objet ou un instrument vous lâche, qu’il ne fonctionne plus, c’est bien la preuve par neuf qu’il ne l’était pas.

 

-

 

- Lorsqu’un sportif soulève des poids répartis sur un axe en métal, à la force de ses seuls bras musclés, on dit qu’il se désaltère.

 

-

 

- Lorsqu’une pensée vous traverse l’esprit, savez-vous combien de temps elle met ? Cela va dépendre de sa longueur, de sa profondeur, de sa densité, de la configuration de votre boite crânienne, du trajet qu’elle choisit, de la structure, du nombre de vos neurones, de son urgence, de sa finalité, que sais-je encore.. ? Quand j’y pense, je me demande comment il m’arrive d’en avoir encore ! Et si je n’en ai pas davantage, c’est parce que la plupart d’entre elles rebondissent sur mes méninges et n’en sortent pas. Peut-être que la nature me protège ainsi à mon insu..

 

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- Lorsque je vois, sur les documents administratifs, la case « sexe », à remplir, j’ai toujours envie de mentionner : « opérationnel ».

 

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- Lorsque le mata-‘mord’, c’est qu’on l’a traité de ce qu’il est, c’est-à-dire de fanfaron.

 

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- Lorsque Madame la Marquise s’éteignit, si j’ose dire, même sa réputation, sulfureuse semblât la poursuivre, si j’ose dire encore, puisqu’on dît d’elle : « Feu la Marquise ».

 

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- Lorsque votre brosse-à-dents a les poils dans tous les sens, vous vous dites qu’il faut en changer. N’en faites rien, elle vous servira à vous brosser les gencives.

 

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- Lorsque vous croyez comprendre, d’une personne âgée : « j’ai peur du monde entier », rassurez-vous, si l’on peut dire ; elle essaie de vous dire : « J’ai perdu mon dentier. »

 

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- Lorsque vous dites à un homme au sujet d’une jolie fille, qu’elle est « apprêtée », vérifiez qu’il maîtrise bien la langue française. De même si vous lui dites qu’elle est « empruntée », même si là, c’est moins risqué.

 

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- Lorsque vous voyez quelqu’un faire la queue, ne lui dites pas qu’il ne perd rien pour attendre.

 

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- Loto mobile : Loto ambulant, qui va de village en village.

 

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- Louange et location Louer l’intelligence de quelqu’un revient moins cher que de louer ses services.

 

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- Loufoque : croisement inattendu entre un loup et une phoque.

 

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- Louvre : musée souvent fermé.

 

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- Lucky Luke fut le premier daltonien connu.

 

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- Lui, avait fait vœu de pauvreté, elle, de richesse. Elle le quitta.

 

 

 

 

 

 

 

Pipo roux :

 

 

 

- Les frais d’obsèques vous laissent les comptes à sec. Mais ça n’arrive qu’une fois. Par contre les frais de mariage, qui eux non plus ne vous ménagent pas, se renouvellent de plus en plus souvent. Comme quoi rien n’est parfait, ou du moins définitif.

 

- J’ai toujours été tenté d’écrire « Si tant est que.. » comme « Si tenté que.. ».

 

- Quand il a faim, le bébé s’adresse autant à sa mère qu’à ses seins.

 

- Pas de bol Je ne me suis jamais présenté au Concours de Circonstances. Il faut dire que l’occasion ne s’est jamais vraiment présentée.

 

- Lorsqu’on voit ce que peut contenir une puce électronique d’une carte USB, par exemple, on comprend mieux Eïnstein et sa Théorie de la Relativité.

 

- Cimetière : cache-morts qui donne des cauche-mars.

 

- Très différente de la maternité, la paternité n’est pas un éta-blissement, mais un état..qui dure plus longtemps que le premier, mais avec les infirmières en moins autour.. et une sage-femme qui l’est trop, parfois.

 

- Descaunes ? L’une des façons de se déconnecter est de déconner. Et j’en connais plus d’un qui s’y connaît.

 

- Péripétie et péripatétie Chaque composante de votre personnalité qui a été ratée dans votre vie ampute au final votre épanouissement d’un nombre d’années proportionnel à son importance relative. (ampute est un verbe..).

 

- La goutte qui fait déborder l’océan Une goutte de doute vaut plus qu’un océan de certitudes.

 

- Délicatesse Elle avait tellement de délicatesse qu’elle aurait préféré, parfois, être moins intelligente que les autres. Mais les autres ne faisaient rien pour l’aider.

 

- Un crâneur est quelqu’un qui n’a pas grand-chose dans le crâne, à part quelques circonvolutions de circonstance.

 

- Distinguer l’accident vasculaire cérébral ou AVC, de l’accident de toilettes, ou AWC, plus trivial mais préférable.

 

- Simon Si mon prénom vous gêne, appelez-moi Simon. Si c’est mon nom, non. Sinon, ..tant pis.

 

- - Intestin : ce qu’on peut tester dans notre for intérieur.

 

- Entre les ho-minidés, - famille des primates supérieurs du groupe des hominiens, comme chacun sait ..qu’il ignore, - et les bas-traciens, s’étend l’incroyable richesse de la création.

 

- Rat d’Ain Je me demande si les radins ne boivent pas l’eau plus par le fait qu’elle est gratuite que par soif !?

 

- Sensibilité Est-ce-qu’une femme est sensible au fait que son jardinier de mari lui offre des fleurs ? Ce qui semble sûr, c’est qu’une femme est sensible au fait que son banquier de mari lui offre un découvert.

 

- Bon sens ? Pourquoi l’eau qui se vide dans un évier s’écoule toujours dans le même sens, aux dires des scientifiques ? Parce qu’elle a choisi le bon sens. Ça coule de source.

 

- Deux types Il y a deux types d’hommes : le type cravate, et le type savate. Bon, d’accord, il y a les intermédiaires, mais j’hésite entre le choix de l’accessoire, même le soir.

 

- Comme le dit si bien, ou plutôt si mal, la ménagère, quoiqu’elle fasse et quoiqu’il se passe, il faudra toujours qu’elle repasse.

 

- La route est longue, la vôtre non. Ne perdez pas votre temps. Ce qui ne veut pas dire qu’il faille prendre le chemin le plus court.

 

- Le contraire et son contraire Pourquoi le contraire du contraire n’est que l’identique, alors que l’identique de l’identique n’est jamais son contraire ?

 

- A la bonne heure Ceux qui se lèvent le même jour qu’ils se couchent sont soit des noceurs soit des bosseurs. Ceux qui ne se lèvent pas le même jour qu’ils ne se couchent pas, sont des farceurs.

 

- Pragmatique Quand une question sérieuse se pose, je me pose aussi. Et quand le problème se repose, je me repose..

 

- Toute femme chaude hier peut très bien l’être encore aujourd’hui. Et ça ne dépend ni de la météo, ni des compétences du plombier..

 

- Par les temps qui courent, nous sommes tous des gens qui courent.

 

- Quand le couple est fatigué, il faut qu’il se ménage.

 

- Il a trop forcé. Il est reinté.

 

- Changement de temps, changement de ton. Et l’humeur revient, ..ou s’en va.

 

- Un silence si lancinant.. qu’il invite à le rompre.

 

- Quand les buses sont de retour, les vautours en abusent.

 

- Codicille imbécile : rajout à un testament, qui vous prive d’une part de la succession.

 

- Le comble.. Vous aurez remarqué que le verbe « acculer » n’est pas souvent usité. (ce dernier non plus.). Comme d’être acculé à la faillite. Mais le comble, c’est d’être acculé à l’impuissance..

 

- Pourquoi chercher à donner une bonne image de soi ? Autant donner d’emblée une bonne réalité. A moins que ce ne soit là le problème.

 

- Perses Les Français, il n’y a qu’après les ‘manifs’ qu’ils se disent Perses.

 

- Est-ce dans l’obscurité que les chauves sourient ?

 

- Certaines femmes se plaignent de ne pas pouvoir compter sur les hommes. Mais ont-elles essayé de le faire sous.. ?

 

- Il y aura toujours ceux qui sont contre Arié. Par contre on n’en trouve pas qui soient pour !!

 

- On se mare.. On ne dit pas d’un crapaud qu’il crapahute, ni qu’il croasse, mais qu’il coasse. C’est le corbeau qui croasse. Quant à la corneille, cette cornasse, elle aurait pu se mettre d’accord avec le corbeau et le crapaud (qui ne s’écrie pas ‘crapeau’, manque de pot !), pour se contenter de coasser, comme tout le monde, en tous cas comme tous les paroissiens, euh, pardon, comme tous les batraciens.. La grenouille le fait bien ! A ce propos, on ne dit pas que la grenouille grelotte, même par temps pourri.

 

- Demande à Rine Il faut que je demande à Rine où est Clémentine.

 

- Dans une dictée d’examen, il peut être grave de mettre un accent aigü, surtout si vous le mettez sur ‘grave’.

 

 

 

 

 

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M de : Méfie-toi de la suite.. ! Le meilleur est peut-être passé..

 

Magique, Maîtrisé, Magnifique, Mémorable, Modeste..

 

 

 

 

 

 

 

-

 

- M et N : deux lettres à l’opposé : M de Aime, et N de Haine. Les deux côte-à-côte, comme dans la vie de tous les jours.

 

-

 

- Et toit ? Ma maison se porte bien. Et toit ? Moi ça va. J’ai eu pas mal de tuiles, mais maintenant ça y est, je suis mur.

 

-

 

- T.O.C Ma pendule avait un tic ; une fois sur deux elle faisait « tac ». Mon psychiatre diagnostiqua un T.O.C.

 

-

 

- Goût de mente Ma petite fille m’a dit qu’en prenant de l’homéopathie, il ne fallait pas qu’elle mente. Je l’ai rassurée en lui disant qu’il suffisait qu’elle ne fasse pas les deux en même temps.

 

-

 

- La juge est partie Madame la juge se plaisait à dire, qu’après l’heure, elle était juge et partie.

 

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- Madame Poe avait des sentiments à son edgard.

 

-

 

- Madeleine, sous le saule, pleurait.

 

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-

 

- Malentendu :

 

-

 

Y' a des gens qui tiennent à s ' exprimer à tout prix !

 

Mais bon, c'est pas tout de vouloir s'exprimer, encore faut-il avoir quelque chose à dire ! Et surtout, parvenir à se faire entendre !

 

Et là çà ne dépend plus de l'émetteur, mais du récepteur ! Ce qui sous-entend la participation de votre 2ème sens !

 

 

 

Mais un sens c'est comme un train, ça peut en cacher un autre ! Un sens peut avoir deux sens.

 

 

 

Oui, parce qu'il y a deux manières d'utiliser ses écouteurs :

 

On peut tout d'abord écouter sans entendre. C'est le cas des malentendants, non appareillés, et parfois, comme disait un humoriste, des "malcomprenants" .. Pour ces derniers, on n'a pas encore trouvé d'appareillage, malgré les progrès de la micro-électronique et des circuits intégrés. Il semble qu'il soit plus difficile pour eux que pour les malentendants, de leur mettre la puce à l' oreille ..

 

 

 

On peut, à l'inverse, entendre sans écouter. C'est le cas des distraits, des "malconcentrés", des rêveurs, des poètes .. Mais c'est le cas aussi des "faux-sourds", des "pseudo-sourds". Comme on dit, "il n'y a pire sourd que celui qui..".

 

Sans compter que, si le Vrai Distrait n'a pas besoin de faire le faux-sourd, le Faux- Sourd, lui, aura tendance à jouer au faux-distrait.

 

 

 

II y a enfin le cas de figure intéressant du Malentendant-Devant-Sa-Télé. Alors lui, pour peu qu'il soit assoupi, après avoir mangé sa soupe, on sait plus trop s'il écoute sans entendre, ou bien s'il entend sans écouter ! Y'a comme qui dirait un malentendu !

 

 

 

Mais je me garderai bien de me moquer de l'ouïe, pardon, de lui !

 

Je rentre dans plusieurs de ces catégories à la fois, dont celle des "malcomprenants", souvent !

 

 

 

-

 

- Malgré ce que disait Sherlock à son associé Watson, les évidences ne sont élémentaires que pour certains ‘Holmes’, mais pas pour tous les ‘hommes’.

 

-

 

- Malgré que leur souvenir reste indélébile, l’encre de leur histoire se fane, et les négriers se sont fait ‘blancriers’.

 

-

 

- Mamé (autre surnom de l’Ancolie) (‘Mamé l’Ancolie’) (Ancolie : n.f. - du latin médiéval aquilea, du latin classique aquilegus, qui recueille l’eau ; 1325). Plante cultivée pour ses fleurs à cinq éperons et de couleur variées. Famille des Renonculacées) : L’anémone et l’ancolie ont poussé dans le jardin (Apollinaire) (restes de ma culture scolaire, restitués à quelque chose près)

 

 

 

Mamé l’Ancolie

 

(ou « Je ne suis bien qu’au lit »

 

 

 

 

 

D’où vient l’hiver quand il vient,

 

Où va l’été quand il part,

 

Pourquoi le printemps repart,

 

Pourquoi l’automne revient,

 

Les feuill’s que deviennent-elles,

 

Et n’y a-il que la pelle

 

Pour les entasser dans un coin ..?

 

 

 

D’où vient le jour quand il naît,

 

Où va la nuit sans demeure,

 

Quand le crépuscule meurt

 

Et l’aube à la vie renaît ;

 

Vieilles étoil’s, où sont-elles,

 

Doit-on les croire immortelles,

 

Ou bien seraient-ell’s condamnées ..?

 

 

 

D’où vient le fleuve’ sans le dire,

 

Où s’en va l’eau qui s’écoule,

 

En ruisseaux qui se déroulent

 

Sans trop savoir où courir,

 

Quand elle’ s’en sera lassée,

 

Qu’elle en aura eu assez,

 

Crois-tu qu’ell’ saura revenir.. ?

 

 

 

D’où vient la pluie quand il pleut,

 

Où va le vent quand il passe,

 

Pourquoi blanche neige efface

 

Parfois notre beau ciel bleu,

 

Les flocons survivent-ils

 

Au temps qui s’en va, tranquille.. ?

 

Et je sens que je me fais vieux..

 

 

 

D’où vient l’hiver quand il vient,

 

Où va l’été quand il part,

 

Maintenant il se fait tard,

 

Et je n’en sais toujours rien..

 

 

 

(si quelqu’un a la réponse, prière de me contacter à ce qui reste de la poste restante.)

 

-

 

-

 

- Mange ta soupe, elle va être chaude.

 

-

 

- Manipull : pull qu’on enfile par les mains.

 

-

 

- Marc Page était un lecteur assidu, mais incapable de lire un livre entier d’une seule traite.

 

-

 

- Marie attendait des jumeaux, et son mari.

 

-

 

- Martin : saint-patron des pêcheurs.

 

-

 

Masturbation : attitude de celui qui fait bande à part.

 

-

 

- Matelas : lit des matelots, mou, qui permet d’amortir les mouvements de roulis et de tangage. Mais d’autres usages sont possibles.

 

-

 

- Mathusalem : vieux m’as-tu-vu.

 

-

 

- Meaux, ville chef-lieu d’arrondissement de Seine-et-Marne, célèbre pour ses jeux.

 

-

 

- Mécréants, sont ceux qui croient qu’ils ne seront pas rachetés ; mes-créanciers, ceux qui croient qu’ils ne seront pas payés.

 

-

 

- Médecin : le seul métier où, moins vous êtes compétent, plus vous gagnez de l’argent, vu que le client doit revenir, sans débourser un kopec.

 

-

 

- Médica-menteuse : médecine trompeuse, comme les médecines parallèles qui, par définition, ne se rejoignent jamais avec notre bonne jeune médecine industrielle.

 

-

 

- Méfiant de nature, concernant les filles, je préfère y regarder à deux fois.

 

-

 

- Méfiez-vous de certaines musiques sud-américaines, c’est du pipeau.

 

-

 

- Méfiez-vous de l’expression « C’est de bonne guerre. » dans la bouche de certains professionnels, ..vous savez, ceux qui sont habillés de la même manière, et qui portent quelque chose sur la tête.. mais pas dedans.

 

-

 

- Méfiez-vous des commerçants, ils vous rendront tôt au tard la monnaie de votre pièce.

 

-

 

- Méfiez-vous des gens affec-tueux. Ils sont tuants.

 

-

 

- Méfiez-vous du patron qui tient à vous remercier

 

 

 

 

 

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Même s’ils sont différents

 

-

 

- Même avec mes lunettes, j’y perds mes tropes. Alors vous imaginez, sans !

 

-

 

- Même les échelles de valeurs ont leur propre échelle de valeurs, soit par leur matériau, soit par leurs dimensions, leur nombre de barreaux, leur prix, leur usage, leur fonctionnalité, leur mode, et donc finalement leur valeur intrinsèque..

 

-

 

- Même en hiver, plus la nuit a été courte, plus la journée sera longue.

 

-

 

- Même en verlan, un neuf cent ne fait pas un sang neuf.

 

-

 

- Même les chirurgiens s’étaient mis en greffe générale.

 

-

 

- Mufle Même les mufles, l’hiver, se mettent des moufles. Comme quoi on peut être un rustre tout en étant étant sensible.

 

-

 

- Même quand le mata-dor, le taureau veille.

 

-

 

- Arlette Même si Arlette est canon,, on ne dit pas « une Arlette à la bombe » mais « une alerte à la bombe ».

 

-

 

- Même si c’est bien ce que ça veut dire, on n’écrit pas, dans un certain type de restaurant : « Bouffer à volonté », mais « Buffet à volonté ».

 

-

 

- Même si c’est vrai, ne traitez pas Lassie de boulotte, vous feriez une boulette ; et ce-faisant, un jeu-de-mots. (langue au chat : La ciboulette.)(à la re-lecture, longtemps après, j’ai eu un temps de réflexion..)

 

-

 

- Même si les appareils ne sont jamais pareils, les différends auxquels leurs pannes vous amènent ne sont jamais trés différents.

 

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- Même un anarchiste n’a pas à étendre son linge sur un étendard. Il y a des étendoirs pour ça ; il y a même des tribunaux.

 

-

 

- Ménopause : petite pause avant d’entrer en vieillesse, plutôt prisée des dames, les hommes, quant à eux, lui préférant la pause apéritif ou apéropause.

 

-

 

- Mercantile : mère qui arrondit ses fins de mois, en arrondissant les angles de sa moralité.

 

-

 

- Catharsis Merci de ne pas confondre les Cathares et les catarrhes. Les premiers n’étaient pas particulièrement enchifrenés ou enrhumés, même si les Catholiques purs et durs les avaient dans le nez.

 

-

 

- Mère de vinaigre : maman aigrie.

 

-

 

- Bouffées de chaleur Mesdames, attendez l’hiver pour faire vos bouffées de chaleur. C’est autant d’économisé sur le chauffage.

 

-

 

- Mes-quinerie : messe-basse.

 

-

 

- Messieurs, ne prenez pas le téléphone si vous êtes aphone. Pour peu que vous appeliez une amie un peu frustrée ces jours-là, elle risque de prendre votre appel pour une proposition malhonnête, c’est-à-dire une invitation coquine.

 

-

 

- Méthode Coué : technique d’acquisition du bégaiement, réservée aux adultes.

 

-

 

- Mettons-nous bien d’accord, une thèse sur la langue de Molière n’est pas une thèse de médecine mais de littérature, quoiqu’en pensent les stomatologues. (qui, comme le mot pourrait le faire penser, ne sont pas des spécialistes de l’estomac mais de la bouche et des dents.)

 

-

 

- Meublé à louer, avec kitchinette alouette.

 

-

 

 

 

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Mieux vaut ça que rien..

 

 

 

- Moyens Mieux vaut avoir beaucoup de moyens, que peu de grands.

 

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- Mieux vaut avoir du veau à manger qu’un veau à supporter.

 

-

 

- Mieux vaut avoir le cul entre deux chaises que la tête entre deux barreaux.

 

-

 

- Mieux vaut être un avocat prévenu qu’un prévenu avocat.

 

-

 

- Mieux vaut avoir un bon mental que deux bons manteaux. Ceci dit, l’hiver, c’est pratique d’avoir les deux, je veux dire ..en ne portant qu’un seul manteau.

 

-

 

- Mieux vaut gagner moins de deux fois plus que votre collègue de bureau que plus de deux fois moins.

 

-

 

- Mieux vaut un trou d’air dans un avion qu’un trou d’eau dans un bateau. Quant au trou de terre, ..mieux vaut se boire une chope de bière, avant que la bière ne vous chope.

 

-

 

- Mieux vaut une blague idiote qu’une pensée stupide.

 

 

 

..Est-ce que ça a mieux valu ?

 

 

 

 

 

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- Misère : moitié de sère. Vous imaginez.. !

 

-

 

- Mitraillette : arme bègue.

 

-

 

- Modération : ration réservée aux pauvres.

 

-

 

- ‘Mon amant dîne’, se plaisait-elle à donner comme prétexte à ses amis qui l’appelaient le soir pour lui proposer de sortir. Et ce n’était ni le prénom de son amie, ni son leitmotiv-cri du coeur, elle qui, jolie péruvienne, quelque part avait laissé un peu de son âme dans ses montagnes des Andes. Mais c’était bien l’alibi de son refus.

 

-

 

-

 

- Mon Lapin :

 

 

 

§ Dis, papa, c'est quoi l' amour ?

 

§ ..(!) Pourquoi tu me demandes çà !?

 

§ Eh ben, parc' que maman elle dit que l' amour c'est le plus important !

 

§ Ah ! ..Eh ben, .., eh ben demande-lui, à maman !

 

 

 

§ ..Maman, dis, c'est quoi l'amour ? ..papa, il sait pas !

 

§ ..L'amour ? ..Euh, ..l'amour, ..l'amour.., comment dire..! Eh ben tu sais, ..quand mamie est venue te voir, le mois dernier, pour tes quatre ans, et qu'elle t'a offert ton lapin ..!

 

Eh ben, ..elle était heureuse de te voir, parce qu'elle t'aime beaucoup.

 

Toi aussi, tu étais content de la voir, et surtout de recevoir ton lapin.

 

Elle, elle était contente de te faire plaisir, ..et moi, j' étais contente de vous voir heureux tous les deux..!

 

Et l'amour, c'est tout ça, ..c'est ce qu'on ressent dans le coeur, quand on donne, ou qu’on reçoit, et c'est surtout ce qu' on donne, ou ce qu' on reçoit. ..Et pour toi, ce jour-là, ça a été ton lapin !

 

§ ..Alors mon lapin je peux l'appeler "mon amour" ..?

 

§ ..Si c'est lui que tu aimes le plus, ..tu peux l'appeler "mon amour" ! ..et moi, je t'appellerai "Mon lapin" ..

 

-

 

-

 

- Mon nom est personne (Anonyme)

 

-

 

- Mon opinion ne présente aucun intérêt, même pour moi.

 

-

 

- Mon petit chat, quand je l’ai mis au lait je ne l’ai plus entendu miau-ler.

 

-

 

- Et moi, et moi, et moi.. Mon plus bel émoi, c’est toi.

 

-

 

- Mon premier mariage a été un échec. Mon 2ème, un échec et mat.

 

-

 

- Moncher Wattson : économiste célèbre, créateur du principe qui porte son nom, ou ‘’Principe élémentaire de Moncher Wattson’’, qui dit que , en économie capitaliste, la réussite passe par la trilogie des 3 principes :

 

- Le 1er énonce que les entrées doivent être supérieures aux sorties ;

 

- Le 2ème principe, et corollaire du 1er , c'est que, en ce qui concerne le concept de gain, sans parler « d’appât », "la faim, mais aussi la soif, justifie les moyens." ;

 

- Le 3ème principe, et corollaire du 2ème , c'est qu'il ne faut pas en avoir, de principes. Car soit les autres en ont pour vous, soit ils n’en ont pas non plus.

 

Pour résumer les principes des capitaliseurs : en dehors d’avoir le bras long, tout le reste leur fait une belle jambe..

 

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- Monoprix : grand magasin où tout est au même prix.

 

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- Monsieur de Lapalisse aurait été frappé, dès son plus jeune âge, au coin du bon sens.

 

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- Monsieur et Madame Fert avaient eu le mauvais goût d’appeler leur fille Lucie. Cette dernière en pâtit toute son enfance, après que son baptême eut aussi posé quelques problèmes. Adulte, elle eut la consolation de rencontrer son prince charmant qui eut la bonne idée de se nommer Dedieu, un corse, avec un prénom tombé du ciel, puisqu’il s’appelait Ange. Le prêtre qui les maria ne fit, heureusement, aucune objection. (il faut dire qu’il ne se ‘curait’ pas souvent les oreilles..)

 

-

 

- Monsieur Foster n’arrêtait pas de parler.

 

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- Monsier Legrand était petit ; les bas lui arrivaient un peu haut.

 

-

 

- Tout le monde sait que Montaigne a été l’un des rares écrivains à réussir dès ses débuts, dès ses premiers essais. Ce qu’on sait moins, c’est qu’il était très volontaire, teigneux même.

 

-

 

- Monte Cristo (‘Comte’ de) : célèbre joaillier qui en son époque, monta des pierres précieuses en de bijoux admirables pour les grands de ce monde, et qui, comme son titre l’indique, savait ‘comter’ bien plus que sur ses doigts, en comptant sur ceux des autres.

 

-

 

- Montre : accessoire ostentatoire du m’as-tu-vu.

 

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- Montre moi ta montre, je te dirai quelle heure il est, si elle marche.

 

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- Morose : qui voit la vie en rose.

 

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- Morphée : maîtresse de beaucoup d’hommes très honorables.

 

-

 

- Mort, tu en inspires quelques uns, mais tu les aspires tous. A quand ta mort ?

 

-

 

- Mota : moto où c’est la femme qui conduit, son partenaire masculin étant à l’arrière.

 

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- Motus : moto russe. Lotus, fleur japonaise. ‘Intrusse’ : immigré africain (et non russe).

 

-

 

- Moyenne, toi Tarzan. (si on est très bestial, et cynique, on peut dire ‘Moi-hyène, ..)

 

-

 

- Mûre : en langage botanique, fruit vert au départ. Vert : en langage écologique, adhérent mûr au départ.

 

-

 

- Musulman ou pas, on cherche toujours tajine éco dans un resto pas cher.

 

-

 

- Mystère insondable du miroir, seul objet à vous donner votre image, à vous rendre votre vrai visage, tout en ne vous en montrant que l’aspect extérieur, le côté superficiel. A la fois vrai et faux, sincère et trompeur, surtout en ce qui concerne les plus photogéniques.

 

 

 

 

 

 

 

Ping telmot :

 

 

 

- Méfiez-vous de la sciatique asiatique ; elle résiste même à l’acupuncture.

 

- J’ai toujours fantasmé sur la symbolique d’une mouche sur une vitre. Cela me ramène à des questions existencielles.

 

- Le rôle de la banderole n’est pas ce que son orthographe pourrait faire penser à quelqu’un qui ne pense qu’à ça.

 

- Paradoxalement, c’est dans les pays chauds que l’eau tarit.. Et ce n’est pas fait pour que l’autarcie.

 

- J’aimerais avoir autant de chances de mourir un jour que de gagner au Loto. Surtout que je n’y joue pas.

 

- Geneviève, avec le temps, devient Gene-vieille, avant de devenir vieille-vieille, c’est-à-dire vieille tout court, à la longue.

 

- Si certains s’évertuent à gagner toujours plus,

 

C’est qu’ils ne sav’nt que faire de ce qu’ils ont déjà.

 

(l’apostrophe à ‘savent’ permet d’en faire un alexandrin..).

 

- Hi-er papa a reçu son I-R-PP.

 

- On a toujours plaisir à recevoir une carte postale. Mais on ne serait pas mécontent de recevoir une carte bancaire.

 

- Le patrimoine génétique, c’était-réditaire. C’était-vident.. !

 

- Y-en a qui sont tellement rapides qu’ils ont fait leur lit avant même de se lever.

 

- C’est rieusement qu’il faisait son métier de clown.

 

- Si on ne devient que ce qu’on n’est, on n’est déjà que ce qu’on est né.

 

- Il devait pendre la crémaillère ; il s’est pendu lui-même.

 

- Je ne sais pas si le terme de Curie (pontificale) est vraiment bien choisi. Notez que ‘Curé’ n’est pas mieux.

 

- La majorité des poules ne sont pas capables de répondre. Par contre elles peuvent très bien repondre. Mais pour certaines, c’est l’inverse.

 

- Dialogue :

 

o Le nain porte.

 

o ..Le nain porte quoi ? ..Rien !

 

o Non, pas du tout. Il porte la condescendance des autres à son égard, quand ce n’est pas le mépris.

 

- Ce n’est pas parce que sédentaire que ça concerne le dentiste.

 

- L’instituteur était tellement innoncent que lorsque ses élèves levaient le doigt en classe, il cherchait au plafond.

 

- Les jeunes s’étonnent toujours que leurs parents aient pu être jeunes avant eux, et qu’ils puissent le rester avec eux, et même après qu’ils l’aient été eux-mêmes..

 

- L’homme est un mystère. Ceux qui l’ont compris le mieux sont les Anglais, au point qu’ils ont bien mis les points sur les ‘i’, ou plus exactement sur le seul ‘i’ de leur mister, ‘i’ qui chez eux n’est pas grec mais latin. Chez les Espagnols, le ‘i’ ibérique est le ‘hi’ dalgo.

 

- Spéculum n’a rien à voir avec Spéculation, qu’elle soit commerciale, financière ou intellectuelle.

 

- Alternance Dans les systèmes politiques démocratiques qui permettent l’alternance, les politiciens s’en veulent, une fois sur deux, de ne pas avoir choisi le bon camp. Et s’ils n’en changent pas, c’est plus par peur de retomber la fois suivante dans le camp perdant.

 

- La certitude n’est pas qu’une attitude, certes. Quoique.. !

 

- Rajeunir n’est pas rejaunir, mais reverdir.

 

- Mon premier est un mouton, mon second est son verlan, mon tout est un ‘mix’ des deux premiers. Qui suis-je ? ‘Mon tout’. (mon toutou n’y a rien compris..)(pourtant je l’ai appelé Eïnstein.).

 

- Si vous avez une Barbara chez vous, ne la traitez pas. Elle serait vexée.

 

- Jeu de mains, tu après-demain, il dans trois jours.. (jeu idiot).

 

- Vaut mieux un seul honneur que plusieurs.

 

- Un estropié ne s’écrit pas ‘estropied’, parce que ce terme ne le concerne pas forcément. (pour un animal, on parle pas d’estropatte non plus, encore moins pour les mille-pattes, chez qui on ne connaît pas d’estropié.)

 

- Certaines religieuses ne se laissent que manger.

 

-

 

- J’ignore si le paradis me dit la vérité, mais je crois que l’enfer-me-ment.

 

- Pécheresse La femme d’un pêcheur n’est pas une pécheresse, même si, vu le contexte, on le lui pardonnerait plus facilement.

 

- Quand on part de bonne heure, ce n’est pas forcément une bonne heure, surtout quand c’est pour aller au boulot.

 

- Le commerce de la bière, ça brasse aussi des sommes, peut-être autant que chez le sommelier.

 

- Epiphénomène : OGM de blé, qui donne de très gros épis, proportionnels aux gains de la firme qui les commercialise.

 

- Minuscule : petit cul.

 

- Nike ton pied Y-a ceux qui courent en Nike, y-a ceux qui courent en Dair.

 

- Un lapin de garenne nage moins bien qu’un lapin de Garonne.

 

- Escarre ? : question que posent les vieux du Sud-Ouest avant d’acheter.

 

- Pull vérisé : pull très abîmé.

 

- Un mal-voyant est quelqu’un qui n’en croit pas ses yeux.

 

- De qui se mousqueton ? Il va falloir se mettre d’accord une fois pour toutes pour savoir si c’est l’hôpital qui se moque de la charité ou l’inverse, ou si c’est l’infirmerie qui se moque de l’hôpital, ou qui de qui.. C’est vrai quoi, enfin, de qui se moque-t-on !?

 

- Comme on dit dans certaines régions, - que je ne citerai pas, pour ne pas m’attirer les foudres..-, « Rien de nouveau sous la pluie.. ».

 

- Un citron pressé ne sera jamais la boisson des gens zen.

 

- Déliquescence : délit d’abandon.

 

- Un humoriste raté est celui qui rit de ses propres blagues avant que personne n’en rie.

 

- De nos jours, pour un jeune qui hésite, le métier d’agriculteur est une mauvaise pioche.

 

- Parmi les belles-sœurs, il y a celles qui sont plus belles que sœurs.. Pour les belles-mères, c’est l’inverse..(mais là n’est pas le plus important, on est bien d’accord.. ! )

 

- Est-ce que le sort des vaches vous émeut ? Pas que je sache.

 

- Dans sa jeunesse, quand il était bon, il les émouvait.

 

- Un journaliste a toujours quelque chose à dire, même et surtout quand un confrère l’a dit avant lui.

 

- Quelque part, le vermifuge entraine une action centrifuge. Les fayots, c‘est le contraire..

 

- Sous le ciel existant, l’homme se pose des questions existen-tielles. Ce n’est que lorsqu’il en sera au-dessus qu’il ne s’en posera plus.

 

- Un domaine où je ne suis pas chauvin du tout, c’est s’il faut choisir entre la mort à la française et l’amor à l’espagnole.

 

- Pour moi, l’art-iste relie l’art et l’autiste. Il devrait être un médiateur entre la beauté extérieure, la beauté du monde, et notre beauté intérieure, notre sens du beau. Mais il est devenu un manipulateur, un maniganceur. La nécessité d’en vivre, et de faire vivre ceux qui l’exploitent, l’ont amené à dénaturer sa démarche, à trahir sa mission, à perdre son goût inné, instinctif. Il ne nous sert plus la beauté qui élève, qui transcende, mais celle qui nous ressemble, qui nous égalise. Non pas que cette dernière soit à dénigrer, elle est nous-même ; mais pour celle-la, nous n’avons pas besoin de lui.

 

- Quand on parle de ‘on’, on ne sait jamais de qui l’on parle. Il faudra bien qu’un jour on se mette d’accord sur le ‘on ; qu’on fasse un ‘accord des on’, si j’ose dire..

 

- Un homme ne consentira à se déculotter qu’à condition de se faire décalotter. Et un joli décolleté ne gâchera rien à l’affaire.

 

- Etre bien dans sa peau, ça a beau être subjectif, y'a rien de plus vrai !

 

- Miroir aux alouettes Peut-on pouvoir sans vouloir ? Peut-on vouloir sans pouvoir ? Peut-on "visser vers ça", et "recto-verser" à la fois, et inversement !? Et donc, finalement, peut-on peu ? Peut-on "petit" ? Peut-on "Petit-Patapon" !? ..comme dirait le Héron ? Le pouvoir ne serait-il qu'un miroir..aux-alouettes ? Et le vouloir, qu'un tiroir aux-oubliettes ?

 

- Ne pas confondre Hériter et Mériter. Beaucoup préfèrent le premier.

 

- Il y a des fortunes qui sont tellement petites que çà en devient presque ridicule ! Mais si leurs propriétaires s'en accommodent, c'est parce qu'ils n'ont pas peur du ridicule !

 

- Terminus : fin minable.

 

 

 

 

 

 

 

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N de : Ne te décourage pas, on est pas loin du terme !

 

Nécessaire, Nec plus ultra, Nectarifère, Nickel, Nirvana, Nourricier, Novateur..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- N’abusez pas d’un convaincu. Il a déjà une double peine.

 

-

 

- N’allez pas voir un médecin qui écrit mal (je sais, il ne va plus vous en rester beaucoup à aller voir..),car c’est la preuve qu’il n’a déjà pas su se soigner lui même.

 

-

 

-

 

- N’attendez pas le génie pour vous essayer à la poésie, même si vous êtes ‘mal armé’, ou si votre lieu de résidence ne se situe pas vers l’Ain (ou l’Aine ?). On peut toujours en placer une, comme pour une Fête des Mères, ou un anniversiare quelconque ; ça fait toujours plaisir et en plus ça vous reviendra moins cher qu’un cadeau... Exemple pratique de banalités à mettre en rimes : (l’alexandrin est facile) :

 

 

 

Le bonheur il est là, cueillez-le de bonne heure,

 

N’attendez pas demain, ce soir, ou tout à l’heure,

 

Ne l’analysez pas, ne le mesurez pas,

 

Et si vous le suivez, suivez-le pas-à-pas.

 

Sinon, tout simplement, prenez-le par la main,

 

Acceptez de ne faire qu’un seul bout de chemin,

 

Et quand il partira, rendre heureux quelqu’un d’autre,

 

Faire sourire d’autres gens, jouer les bons apôtres,

 

Ne lui en voulez pas, il n’est qu’un Père Noël,

 

Qui vous porte en cadeau un instant ..éternel.

 

-

 

-

 

- N’écoutez pas les écrivains, ils ne racontent que des histoires.

 

-

 

- N’enragez pas inutilement ; laissez ça aux chiens.

 

-

 

- N’est pas bête qui veut. Et pas bête, encore moins.

 

-

 

- N’hésitez pas à prendre des sens-interdits. Ce ne sont jamais des impasses.

 

-

 

- N’importe coi !! : expression muette qui en dit long sur la personne à qui elle s’adresse.

 

-

 

- N’oubliez pas de boire.. en me lisant. Mais restez sobre, ..pour comprendre.

 

-

 

- Navet : documentaire navrant sur le jardinage.

 

-

 

- Navette : femelle du navet. Mais contrairement à lui, elle a la bougeotte et n’arrête pas d’aller et venir.

 

-

 

- Ne cherchez pas la Liberté avec un grand L ; elle n’existe pas. Il n’ y a que des libertés, multiples et multiformes, relatives et éphémères. Mais autant les rechercher avant qu’elles ne vous manquent, et vous en servir quand vous les avez trouvées, ou plutôt arrachées, pour les défendre contre l’obscurantisme des religieux, la cupidité des riches et la vanité des puissants.

 

-

 

- Ne comptez pas sur moi pour compter sur vous !

 

-

 

- Ne coupez pas la parole à quelqu’un ; elle cicatrise mal.

 

-

 

- Ne dites pas : « une jeune-fille échauffourée » mais « effarouchée ». Le premier terme prête d’ailleurs à confusion..

 

-

 

- Ne dites pas, pour l’excuser, en parlant d’une fille pas sauvage qui a fait une connerie de plus : « Il faut pas tout lui mettre sur le dos.. »

 

-

 

- Ne faites pas rire un porteur de dentier qui baîlle.

 

-

 

- Ne faites pas trop de mélanges dans le pot, sinon le pot pourrit.

 

-

 

- Ne faites pas un foin pour un rien. Faites comme l’agriculteur, qui attend la saison, le lieu, et l’heure.

 

-

 

- Ne jetez pas l’opprobe du bain avec le bébé.

 

-

 

- Ne mettez pas vos chèques à l’ordre de quelqu’un d’autre ! Autant qu’ils vous obéissent à vous !

 

-

 

- Ne pas confondre bacchanale et bassin de lit.

 

-

 

- Ne pas confondre gratitude et démangeaison.

 

-

 

- Ne pas confondre l’AVC et les toilettes.

 

-

 

- Ne pas confondre ‘‘l’œil du cyclone’’, et ‘’l’œil du cyclope’’. Ou alors c’est que vous êtes soit borné, soit borgne.

 

-

 

- Ne pas confondre ‘espèce’ et ‘variété’ : l’espèce peut avoir plusieurs variétés alors que la variété n’appartient qu’à une espèce. Ainsi, la grenouille est une espèce qui se décline en grenouille verte, à la couleur caractéristique bleu-jaunâtre, la rainette, à couleur de pomme, la grenouille d’Italie, caractérisée par des pattes dont la température est plus basse que le reste du corps, et qu’on nomme aussi la gre-nouille aux pâtes fraîches, la grenouille de bénitier, dont les cuisses sont immangeables, etc.. Autre exemple : l’espèce d’abruti, dont on connaît l’abruti de naissance, ou con-génital, l’abruti professionnel, ou con-fraternel, l’abruti fini, ou con-damné, etc.. (c’est l’une des rares espèces qui n’est pas menacée dans sa biodiversité.)

 

-

 

- Ne pas confondre : « Il l’a interné », et « Il a Internet »

 

-

 

- Ne pas confondre le bouchon de Liège et le bout’chou de Bruxelles.

 

-

 

- Ne pas confondre « On tire à la chasse » et « On tire la chasse ».

 

-

 

- Ne pas confondre tic et tique. Mais on peut avoir les deux, c’est pas dramatique.

 

-

 

- Ne pas confondre : Tutoyer, Vouvoyer, et Tuvoyer, ce dernier verbe signifiant : Perdre la vue. Ce dernier verbe est aussi à différencier de ‘Voutuyer’, qui veut bien dire ce qu’il veut dire..

 

-

 

- Ne pas confondre un ‘bison’, qui est un gros bisou, avec un ‘bisou’, qui lui, est un gros bison. Vous me direz qu’il faut pas être fûté !!

 

-

 

- Ne pas connaître la différence entre un baudet et un mulet, mérite un bonnet d’âne.

 

-

 

- Ne pas mélanger les mathématilogues et autres astro-physilogues, avec les pneumociens, gastro-entérociens et autres dermatociens ; de même ne pas les confondre avec les pédialogues et autre psychialogues. Vous ne seriez pas remboursés par la Sécurité Sociale.

 

-

 

- Ne pas réussir à trouver un accord avec un compositeur, çà revient à ne pas trouver un terrain de discussion avec un parolier. Un comble.

 

-

 

- Ne perdez pas votre temps. Celui qui le retrouvera ne viendra pas vous le rendre.

 

-

 

- Ne prenez pas la peine d’avertir un prévenu, ça va l’agacer.

 

-

 

- Ne prêtez pas attention aux ingrats ; ils ne vous la rendront jamais.

 

-

 

- Ne prononcez pas ‘Moïse’ comme ‘mouise’, ça porte la poisse.

 

-

 

- Ne recherchez pas le beurre et l’argent du beur ; ce dernier n’en a pas.

 

-

 

- Ne reprenez pas les principes des autres, tant que vous n’aurez pas vu où ça les a menés.

 

-

 

- Ne serinez pas les autres avec vos jérémiades. Soit ils sont trop jeunes pour les comprendre, soit trop vieux pour vous plaindre. Et vos douleurs articulaires, même si elles en ont l’air, soit ils n’en ont pas encore souffert et ne peuvent pas imaginer ce que c’est, soit ils en ont déjà eues et donc ils en ont encore ; et pour cette raison-là les vôtres leur sembleront négligeables. Alors fermez-la, et allez caresser le chien, dans le sens du poil..

 

-

 

- Ne tirez pas sur l’ambulance ; il y a peut-être un parent à vous.

 

-

 

- Ne vous donnez pas la peine, d’autres vous la donneront.

 

-

 

- Ne vous faites pas de mauvais sang, le cholestérol s’en chargera.

 

-

 

- Ne vous mettez pas aimer les plantes carnivores. Elles n’attendent que ça pour vous le rendre.

 

-

 

- Ne vous tracassez pas pour la mention, au Bac. Il n’en sera jamais fait mention. De toutes manières, ceux qui l’ont n’en auront pas souvent besoin, vu leur niveau, et ceux qui ne l’ont pas eue, comme moi, n’ont pas à le préciser..

 

-

 

- ‘Néammoins’ est un handicap peu fréquent, fort heureusement, mais génant pour ceux qui portent des lunettes.

 

-

 

- Négatif, est curieusement – je veux dire, pour un prof de math, par exemple – un adjectif plus péjoratif que ‘nul’ ; par contre, il sera plus argumenté.

 

-

 

- Néophyte ne veut pas dire ‘nouvelle plante’, comme sa ‘racine’ semble vouloir le dire, et même si le néophyte se ‘plante’ souvent, au début.

 

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- Néron : clown qui ne fait pas rire.

 

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- New Delhiquescence : décadence hindoue.

 

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- Nez anderthal : 1er nez humain, apparu à l’ère néolithique.

 

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- Ni le balai, ni l’aspirateur, n’avaient été passés depuis quelques années et des poussières.

 

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- Noël au balcon, pacotille.

 

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- Nombreux se croient libérés de la tutelle de Dieu parce qu’ils se sont émancipés des traditions religieuses familiales, de la pratique religieuse, du joug papal ; mais ils sont toujours prisonniers de leurs préjugés anti-cléricaux et de leur rancune anti-ecclésiastique contre le semblant d’éducation religieuse qu’ils ont maladroitement reçue. La religion est à Dieu ce que la lumière d’une ampoule est au soleil : une invention de l’homme.

 

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- Norbert, comme Robert, ont l’air de rien, je veux dire l’R de ‘Rien’ ; ils en ont même deux chacun.

 

-

 

- Nos antennes-télé sont nos tournesols de ville, toujours tournés vers le même soleil, ou plutôt son ersatz, car les graines qu’elles donnent n’alimentent que notre soif d’images et nos imaginations fatiguées.

 

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- Nos pieds parfois nous mènent plus loin que nous n’avions prévu. Et quand la déception est au bout, on se retrouve plus bête que ses pieds.

 

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- Nostalgies : noces d’antan.

 

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- Nostradamus fût le premier féministe.

 

-

 

- Notre conscience, c’est ce qui nous rend otage de nous-même. Parfois même, on se demande une rançon.

 

-

 

- Notre guide irakien avait un regard perçant, surtout quand il regardait les touristes féminines.

 

-

 

- Notre fille Aurore est une lève-tôt. Mais bon, on se l’est bien cherché.. !

 

-

 

- Notre soleil était un peu pâlichon, en ce jour d’automne. Il n’était plus que l’ombre de lui-même.

 

-

 

- Nourrir les ragots est superflu ; ils se nourrissent d’eux-mêmes, et de propos peu ragoûtantes..

 

-

 

- Nous sommes tous des oiseaux de cage. Certains arrivent à se la faire ouvrir et s’envolent, à leurs risques et périls. D’autres, beaucoup moins nombreux arrivent à se sortir de la cage tous seuls, et nul ne sait où ils vont, même eux parfois. Mais la plupart s’y trouvent bien à l’intérieur; parmi eux, certains même se la seraient faite si elle n’avait existé.

 

-

 

- Novice : personne qui n’a pas de vice.

 

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- Nul n’est sensé ignorer la loi, même les nuls.

 

 

 

 

 

 

 

Piroux pot :

 

 

 

- Parfois l’exemple ne suffit pas. Un chat aura beau observer attentivement comment vole un oiseau, lui, ne pourra que cha-parder, et non voler..

 

- Ma seule ressemblance avec Dieu c’est que j’aime bien me faire prier.

 

- Il a eu une crise de hoquet ! ..Il n’arrêtait pas d’être d’accord !

 

- Il est des problèmes très terre-à-terre, et des questions plutôt ciel-à-ciel, qu’on appelle existentielles. Pourquoi ne pas concevoir qu’on puisse résoudre une partie de ces ‘problèmes’ en répondant à une partie de ces ‘questions’ ?

 

- Une chambre à air n’est pas une chambre aérée.

 

- Le jour où les électrons feront grève, et qu’ils ne tourneront plus autour de leurs orbites, les atomes seront bien emmerdés. Et c’est le vide qui va bien rigoler, lui dont la nature a toujours eu horreur..

 

- Entre la pensée d’un abruti et celle d’un intello, il n’y a aucune différence. Ce n’est que lorsqu’il se mettent à s’exprimer..

 

- Une bouteille à moitié vide ne l’est que d’air. Le vrai vide ne l’est jamais à moitié.

 

- Il faut laisser faire la nature, ça l’occupe.

 

- Est-ce qu’une femme peut rester pantoise ? Ça dépend de qui la toise.

 

- Contrairement à la musique, en médecine, quand c’est aigü ça peut être grave.

 

- Interdit peut aussi être synonyme d’ahuri, déconcerté, stupéfait, ébahi.. On peut être amené à prendre cet air interdit quand vous êtes arrêté par les gendarmes pour avoir pris un sens interdit.

 

- Les hyperactifs doivent se demander à quoi sert un chat ? Remarquez, le chat peut très bien se demander à quoi sert un hyperactif..! Mais je suis sûr que le ça ne perd pas son temps à chat. (pardon, ..que le chat ne perd pas son temps à ça.).

 

- Le pompier n’y a vu que du feu. Et pourtant c’était une noyade.

 

- Dans la vie, comme dirait Mr de La Palisse, vous avez une chance sur deux de ne pas en avoir, à chaque fois que le cas se pose, c’est-à-dire à tous les coups. Et le fait que la chance tourne, comme on dit, ne change rien à l’affaire. Elle peut tourner toujours dans le même sens ! Heureusement que Mme de La Statistique est là pour intervenir, à son insu d’ailleurs.. Un comble !!

 

- Sur la toile du maître, une araignée, qui ne savait où se mettre, où faire sa toile.. Quand elle a vu que c’était la Joconde, elle a souri. Ce qui, soit-dit en passant, n’est pas évident pour une araignée..

 

- Quand vous serez morts, vous verrez, on n’y voit rien.

 

- Si je vous cite mon dernier alexandrin, du genre :

 

« Que dit-on des tétons que titille tonton, .. ? », vous n’aurez aucun scrupule à me dire qu’il est nul.

 

Par contre, vous vous rappelez tous de celui cité par votre prof de français de collège, qui dit quelque chose comme :

 

« Mais quels sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes,.. ? ».

 

Hormis, pour mon exemple, du sens immédiat et clair, de sa pertinence réaliste, du ton plus badin, du plus grand nombre de sons phonétiques identiques répétés, de son contexte non précisé -bien sûr, puisque c’est un exemple - et de la différence de notoriété, je ne vois pas de différence majeure..

 

- La poésie, à quoi ça rime ? A l’arrimer à l’utile, puisqu’il nous faut quand-même un peu d’inutile, de futile, de subtil..

 

- Un droit est un devoir à l’envers, mais un devoir n’est pas un droit à l’endroit, en tous cas pas à l’endroit qu’on croit, sinon tout irait de travers.

 

- Le métier de postier est un ‘facteur’ de risques, car les nouvelles que vous apportez ont une chance sur deux d’être mauvaises. Et quand c’est une facture, c’est deux chances sur une.

 

- Vous n’aurez jamais autant de contretemps qu’en musique, qui n’en compte pas moins d’un par mesure. C’est sans commune mesure avec la réalité de nos vies. Et pourtant ça ne vous empêche pas d’aimer la musique. Comme quoi !

 

- Un peu de jupes est quelque part un jeu de dupes.. Et quand je dis ‘quelque part’.. !

 

- Quand vous pointez à l’heure pile au bureau, vous avez pointé à ‘zéro retard’, et en quelque sorte vous avez ‘zéro-pointé’ au retard. C’est pas motivant.. !

 

- Jean Ferrat aurait très bien pu écrire une chanson sur les gens qui possède une Ferra-ri, et dire par exemple, que même si c’est un ‘fait-rare’, ceux qui en ont une sont des gens qui n’ont rien d’autre à faire.. Et qu’il ne sait pas s’il vaut mieux en rire ou en pleurer. (même si à première vue, Ferrat rit..).

 

- J’ai du mal à concevoir comment, dans certaines positions que l’on connaît tous, ou qu’on soupçonne..,on peut concevoir.. !

 

- Il n’y a pas de sots métiers, il n’y a que des métiers mal rémunérés, c’est-à-dire des employeurs qui vous méprisent un peu.

 

- Vaut mieux faire un lapsus qu’un prolapsus, surtout pour un pro.

 

- Je ne sais pas si la bêtise c’était réditaire, en tous cas ça l’est encore, et ça le sera toujours.

 

- Quand vous êtes suivi par un médecin, ne vous retournez pas. Dans votre tombe, peut-être..

 

- Précipitamant : amant pressé.

 

- Un coucou est un avion qui peut peu.

 

- En anglais, ils sauront vous traduire rouge-gorge et gorge rouge, ainsi que blanc-bec et bec blanc, mais pas bonnet-blanc et blanc-bonnet.

 

- On part en vacances mais on ne ‘va’ pas en partance, on l’est. Enfin, vous peut-être, actuellement, pas moi..!

 

- Mon rasoir me rase, mais je ne peux pas m’en passer.

 

- Quand on a mal démarré, on en aura marre bien avant les marées.

 

- Un discret c’est quelqu’un qui dit tout bas ce que les autres pensent tout haut. En quelque sorte, qui dit discret ‘dit secret.’

 

- Quand vous croiserez un Alex en drain, c’est qu’il est sorti précipitamment de l’hôpital, peut-être à la recherche d’une rime.

 

- Quand un justaucorps vous va grand, c’est que c’est un faux.

 

- Scotch triple face : brevet que je n’ai pas osé proposer, étant trop en avance sur mon temps.

 

- On reconnaît un buveur au sens qu’il donne d’emblée, tout de go comme on dit, à brûle-pourpoint, au terme de « scotch ». (qui est plutôt un brûle-gosier, pour un non initié.). Moi, j’aurais naturellement tendance à penser à un ruban adhésif. Mais chacun pense ce qu’il veut.

 

- Ceux qui croient que ciboulette est le féminin de ciboulot, font une boulette. Et ceux qui entendent ‘six bouleaux’ n’y ont pas grand-chose dans le leur. Ou alors, y-a du boulot

 

- La jeunesse ne dure pas toute la vie. La vieillesse non plus.

 

- A tomber enceinte, autant ne pas tomber de haut. Et si possible, tomber d’accord d’abord.

 

- Dans le doute sur les origines des bijoux de famille, optez pour ceux de la lignée féminine.

 

- C clair que celui qui ne fait pas la différence entre un seau et un sceau est un sot. (ce que je fus longtemps..).

 

- Oh : interjection servant à marquer la surprise, l’admiration. A ne pas confondre avec ‘Ho’ : interjection servant à appeler, genre ‘Hé, ho !!’ ou ‘Eh, ho !!’. A différencier de ‘O’, avec un accent circonflexe éventuellement, et qui est à l’origine d’une drôle d’ « Histoire..»..

 

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O de : On fait c’ qu’on peut..

 

Objectif, Offensif, Olympien, Opportun, Optimum, Original, Oscarisable, Ovationnable..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Occupez-vous de votre moralE, je m’occupe de mon moral.

 

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- Œuf (l’œuf et la poule)

 

 

 

Parmi les pensées qui peuvent vous traverser l' esprit, pendant que vous essayez tranquillement de casser votre oeuf-à-la-coque, en évitant de mettre du jaune partout, il en est une, pensée, qui curieusement me revient souvent, c'est le sempiternel problème, serpent-de-mer, débat récurrent, de l' oeuf et de la poule.

 

Est-ce la poule qui a fait l'oeuf, ou l'oeuf qui a fait la poule ?

 

 

 

Alors certains esprits chagrins vous feront remarquer d'emblée qu'il n'est pas fait mention du coq.

 

Je veux bien leur accorder que la poule, pour pondre son oeuf, n'a pas besoin que le coq vienne y mettre son nez, si j' puis dire !

 

Encore que, il y a oeuf et oeuf, selon qu'il est couvé ou pas ! Et chacun sait le rôle de la chaleur sur l' oeuf ..

 

Cela devient un peu em-"brouillé", mon histoire d'œuf.. ..

 

 

 

Bon mais vous admettrez avec moi que dans l'histoire, c'est bien la poule qui pose problème, qui fait débat comme on dit..

 

En effet, si l’on remplace la poule par le poussin, le problème disparaît. On voit de suite que c'est l'oeuf qui donne le poussin, et pas l'inverse !

 

De même si on remplace la poule par le coq, - n'en déplaise à certains, à "certaines" - , la question se pose encore moins.

 

 

 

Passons du coq à l' âne.

 

Chez lui, c'est l'ânesse qui donne l'ânon. Là oui, c'est simple !

 

Pourquoi ?

 

C'est parce qu'il n'y a pas d'œuf ! La maman met directement au monde son nouveau-né. ( Notez que "nouveau-né" est un pléonasme. Mais il faut faire avec, car si on dit qu'elle met au monde un "né", tout court, ça fait un peu "Pinocchio", ou "Cyrano" pour rester franco-français ! )

 

Et donc oui, s'il n'y a pas d'oeuf, c'est parce que l’on a à faire à des mammifères, et que chez les mammifères, les mamies, ..euh, les mamans, donnent directement naissance à leur bébé.

 

Encore que chez elles, même les mamies en sont capables, aussi ! Et c'est bien parce que les papis peuvent, entre-parenthèses ..!

 

Vous me direz, ..entre-parents ..!

 

 

 

Pour en revenir à ma poule, donc, ..enfin, à notre poule, mon sentiment, - ..si on peut faire du sentiment avec une ‘poule’, .. oui bon, je m’égare ! - , mon sentiment, c'est que l'oeuf est PLUS important que la poule.

 

Pourquoi ?

 

Parce que la conscience humaine, dans sa grande sagesse, n' a pas fait dire à son héraut (et pas héros) : " Qui vole une poule vole une moule ",.. mais "Qui vole un œuf vole un boeuf".

 

Ce qui marque bien l'importance de l'oeuf, ramené à égalité de taille, avec le bœuf ..

 

 

 

Alors certains esprits athées ont voulu extrapoler le dilemme de la poule et de l'œuf ..à Dieu et à sa créature.

 

Ils affirment que ce n'est pas Dieu qui a créé l'homme, mais l'homme qui a créé Dieu. Pour eux, Dieu est inconcevable.

 

Ils n'ont pas tout-à-fait tord. Ils ont même tout-à-fait raison !

 

S’il existe, Dieu est "inconcevable".. puisqu'il n'a pas été conçu.

 

C'est l'homme, dans ce cas, qui a été conçu, par Dieu. C'est donc l'homme qui est concevable !

 

 

 

Comme quoi, il y a toujours moyen de s'entendre, avec les athées ..de "bonne foi" !

 

 

 

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- Officine : lieu où l’on officie. Mais quoi, je l’ignore. Ce n’est pas officiel.

 

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- Oise : département où l’on dénombre le plus d’oiseaux en France. C’est là aussi, mais ça n’a rien à voir, que l’on constate le plus de coryzas. (le coryza étant comme chacun ne sait pas, un beauvais rhube)(et Beauvais étant, pour les ignares dont j’étais, le chef-lieu de canton de l’Oise)(NDLR)(NDLR étant, comme j’ai appris aussi, Note De La Rédaction)(La Rédaction étant, comme vous l’aurez compris, moi-même.).

 

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- Oisiveté est mère de tous les vices, dit-on. Mais qui est le père ?

 

 

 

 

 

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Les on et Léon..

 

 

 

 

 

- On..

 

o On qui ? m’interrompait net mon professeur de français !

 

(Quel ‘..on’ celui-là !)

 

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- A l’usure On a plus tendance à se lasser des chaussures à lacets que des autres. Déjà parce que les lacets s’usent. Mais pas que. Le dos s’use aussi. Y-a que la Suze, qui résiste, pour ceux qui n’y résistent pas..

 

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- On a retrouvé les traces d’empreintes génétiques sur les restes des bris du vase de Soissons. Il s’agirait d’un jeune déséquilibré, inconnu des services de police. Mais tout le monde peut perdre l’équilibre ! Pas besoin d’en faire un plat !

 

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- Pas radoxe, ou pas ? On a toujours moins de mérite qu’on ne croit, et plus qu’on ne s’en défend.

 

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- On a tous une capacité de contradiction étonnante, mais c’est pas une raison pour la cultiver.

 

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- La vie devant soi On aura toujours toute la vie devant soi, quoiqu’il en reste. C’est dommage qu’on ait toute la mort aussi.

 

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- A vérifier On a trouvé un loir dans la Garonne, et un lapin de garenne dans la Loire. A moins ce que ce ne soit l’inverse ?

 

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- Dommage On aurait pu s’échanger des trucs, avec Patrick, mais il n’est pas troc..

 

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- L’Archidusèche On a appris récemment que les chaussettes de l’Archiduchesse n’étaient plus sèches. Elles ont pris la pluie. Par contre son chasseur attitré chasse toujours sans son chien. Qu’on se le dise.

 

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- On a beau dire, il reste encore ‘de la religion’ quelque part, puisque beaucoup de gens ‘vous prient..’.

 

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- On a dit que la guerre était une affaite trop sérieuse pour la confier aux militaires. On pourrait paraphraser à propos de la politique.

 

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- Crème fouettée On n’a jamais su si c’était le cuisto qui était sado, ou si c’était la crème fouettée qui était maso, mais le fait est que chacun - comme souvent dans ces cas-là – semblait y trouver son compte. Et en particulier le client. Et quand le client y trouve son compte, le patron le trouve deux fois.

 

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- On a longtemps cru, et pas que chez les poètes, que le cœur était le siège des sentiments. On sait maintenant que le cœur est dans la tête. C’est dommage, ça permettait d’affirmer que ..le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas.

 

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- Accusation infondée On accuse souvent le coup sans preuves, sans vraiment savoir si c’est lui.

 

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- On affronte la neige comme la boxe, avec les gants. Mais pour battre les blancs en neige, il vaut mieux se les enlever.

 

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- On conçoit plus facilement des sardines en boite que du thon.

 

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- On connaît le cheval de ‘Troie’ ; on connaît moins le mouton de ‘Sète’. Mais qui connaît le coq de ‘Cinques’, ou le bœuf de ‘Deu’ ??

 

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- On croit le paysan très terre-à-terre, mais l’intellectuel est parfois très vaseux.

 

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- On croit la vie gratuite, au début. Par la suite on s’aperçoit qu’elle est payante, mais heureusement parfois, payante dans les deux sens du terme.

 

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- Le go est lent.. On croit parfois que le goéland, mais c’est le fait qu’il vole haut dans le ciel.

 

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- On demanda ses coordonnées au prof de maths. Il ne voulut donner que son abscisse.

 

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- On dira ce qu’on voudra, mais les enfants n’ont pas à dire n’importe quoi !

 

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- Audieux On dit à quelqu’un : ‘Va au Diable’, et non : ‘Va au Dieu’, parce que le Diable est déjà ‘odieux’.

 

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- On dit ciseaux, mais ils ne sont que deux.

 

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- Dell et Deluy On dit d’eux que, lorsque Deluy était sur Dell, Dell était soûl de lui. Qu’advint-il d’eux, de leur idylle ? Nul n’en sait rien. Est-ce lui qui fit fi d’elle, alors qu’elle était folle de lui, ou bien est-ce elle qui fit fi de lui alors qu’il était fou d’elle ? Le fait est qu’ils se furent infidèles et que Dell se sépara de lui, à moins que ce ne fût Delui qui se séparât d’elle. Ainsi s’acheva cette histoire de tourtereaux, cet idylle d’hirondelles.

 

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- Dicti-onnaire On dit « Dixit Untel », quand c’est Untel qui l’a dit, mais « Dicci Onère », quand c’est Onère qui l’a dit (de son vrai nom, Onère Larousse). Ce prénom d’Onère, dérivé de Omer (ou Homère) est parfois attribué à un certain Robert (de son vrai nom, Onère Robert, dit Lablonde, ou Le petit, par sa petite taille), autre lettré de renom, et qui avait son mot à dire sur tout.

 

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- On dit « Gai comme un pinson ». Je dirai plutôt « Gai comme une souris » (qui, comme chacun sait, ne sourit pas ; mais le pinson non plus.). Le pinson, lui, me fait plus penser à un facétieux impassible, à un ‘pince-son-rire’.

 

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- Tiré à quatre épingles.. On dit : « Il s’était enfilé un costard pour monter sur le bateau.. », et non : « Il s’était enfilé un costaud pour monter sur le bâtard.. ».

 

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- On dit le ‘saule’, car son sol est près de l’eau, contrairement au bouleau, qui lui, est à l’autre bout, du rouleau.

 

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- Culier On dit qu’il est parti, Culier. Je me disais aussi, qu’il était bizarre.. !

 

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- On dit que l’argent n’a pas d’odeur ; mais demandez à une personne qui a reçu des billets d’un poissonnier !! (en retour de monnaie, bien sûr ! Ils n’en distribuent pas comme ça..)

 

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- On dit que le Diable se cache dans les détails. Je pense que Dieu aussi, mais pas les mêmes.

 

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- On dit que « le mieux est l’ennemi du bien ». J’en sais rien. Ce que je sais c’est qu’à force de chercher, on trouve pire parfois, et c’est pas mieux..

 

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- On dit que les extrêmes se rejoignent. Mais est-ce par leur bout externe, ou par leur bord interne ? Par contre, quand finit-on d’être bête pour commencer à devenir intelligent ? Ou bien y-a-t-il définitivement une frontière indébile ? ..Pardon, je voulais dire indélébile.

 

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- On dit que les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Cela dépend pour qui, quand et comment. Par contre, les jours se suivent et se rAssemblent, ce qui pose un sérieux problème à la longue..

 

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- On dit souvent ‘qu’on vit une drôle d’époque’.. Mais c’est chaque époque qui est ‘drôle’ ! ..à condition d’avoir les moyens d’avoir de l’humour.

 

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- On dit souvent que « ça devait arriver. ». Mais qui donc ‘devait’ ? Si ‘ça’ devait, si ‘cela’ devait, c’est que ça ou cela étaient redevables, et donc qu’un autre ‘ça’ ou ‘cela’, disons un ‘ceci’, leur avait déjà donné. On voit donc qu’à l’arrivée, ceci n’est pas complètement absurde, même si on ne comprend pas tout..

 

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- Epi c’est tout On dit un épi de mie, mais une épidémie.

 

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- On dit : une maison de plain-pied ; mais on peut dire : un coup de plein-pied.

 

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- On donne ce qu’on peu.. On donne le la aux musiciens, le sol aux paysans, le do aux critiques, et le change quand on a rien à dire d’intéressant, comme moi ici..

 

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- On enseigne mieux l’esprit civique qu’on ne l’apprend. Et on l’apprend mieux qu’on ne le pratique.

 

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- Lent demain.. On est toujours à la veille d’un lendemain. Sauf un jour..

 

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- On est toujours plus vieux que ses souvenirs, ..jusqu’au jour où c’est votre souvenir qui devient plus vieux que vous. (certains rajouteront : « Et là, on est mal.. ! ». A vrai dire, on n’en sait rien.)

 

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- On est tous le ‘condescendu’ de quelqu’un : l’ingénieux, du technicien ; le technicien, de l’ingénieur ; l’ingénieur, du Polytechnicien. Même le sage regarde ce dernier avec condescendance..

 

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- On lui aurait donné le Bon Dieu sans ‘conviction’ ; d’ailleurs, il n’en voulait vraiment pas.

 

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- On lui avait dit que dans le métier de facteur, pour distribuer le courrier, il suffisait d’avoir l’adresse. Mais il a hésité, se sachant maladroit.

 

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- On lui avait promis la lune ; il se fit astronaute.

 

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- On lui demanda pourquoi. Il resta coi.

 

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- On n’a besoin ni d’imagination ni de recette particulière pour trouver des dépenses à faire. (recette étant pris dans le sens culinaire ; dans le sens financier, c’est une autre affaire.)

 

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- On n’a que le mérite qu’on mérite, c’est-à dire pas grand-chose.

 

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- Tromperie On n’accepte jamais aussi facilement de s’être trompé que lorsqu’on croit avoir été trompé.

 

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- On n’arrive à l’âge adulte qu’en mettant ses parents entre paren-thèses.

 

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- On n’attrape pas la grippe, c’est elle qui nous attrape. Un rhume c’est pareil. Par contre on peut très bien attraper un rhum, et une cuite avec..

 

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- On n’éradique pas une teigne avec un peigne, comme on n’écrase pas une mouche avec une louche ; mais certains n’hésiteraient pas à enfermer la ‘vermine’ au fond de la mine.

 

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- On n’est jamais à court de lendemains, le tout c’est qu’ils ne déchantent pas. Remarquez l’aujourd’hui ne chante pas toujours non plus, et quand il le fait, il ne chante pas forcément juste.

 

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- On n’est jamais mieux servi que par les autres, au restaurant.

 

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- On naît toujours, comme on dit, « un beau jour ». Quand on parle de la mort, on dit plutôt qu’il faudra bien mourir « un jour. ».

 

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- On ne circonscrit pas un juif, on circonscrit un feu. Par contre, on circoncit un juif. (Remarque : On ne circoncit pas un juif non plus, d’ailleurs ; il l’est déjà.)

 

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- On ne change pas ; on devient ce qu’on est.

 

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- On ne devrait pas dire « Effeuiller la marguerite » mais bien : « Epétaler la marguerite », comme on épétale dans la choucroute. Mais la première est plus plaisante.

 

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- On ne dit pas à son capitaine, en parlant de la nouvelle recrue : « Il sait faire du capitaine, crochet. », mais : « Il sait faire du crochet, capitaine. ». (même si notre capitaine n’en a rien à cirer, dans son ciré de marin.) (et j’ai même l’impression que ce n’est pas le genre de détails à préciser..).

 

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- On ne dit pas « Aller au coiffeur » mais « ..chez le coiffeur ». Par contre il faut dire « Allez au diable ! » et non « Allez chez le diable ! ». (déjà pour la simple et bonne raison qu’on ne sait pas où il habite.).

 

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- On ne dit pas « Ce sont les courgardes que l’on jette » mais « Ce sont les courgettes que l’on garde ». Et pour les longs, et dans le même ordre d’idée, c’est pareil ; c’est-à-dire que ce ne sont pas les longardes que les cours jettent, mais bien les courgettes que l’on garde.

 

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- On ne dit pas, comme beaucoup, étendre la machine, mais étendre le linge, sauf si on est violent, et qu’on est une armoire-à-glaces. Mais ça ne doit pas nous arriver souvent, à nous les hommes..

 

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- On ne dit pas : J’ai le chemin de faire, mais : J’ai le chemin à faire. On ne dit pas non plus : Je hais le chemin à fer, mais on dit : Je hais le chemin de fer. Par contre, on peut dire : Je hais le chemin à faire.. Mais à ce train là, moi je vous conseille de rester chez vous.

 

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- On ne dit pas : « il est pierre comme un faon », mais « il est fier comme un paon ».

 

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- On ne dit pas « Les bons trains allaient ‘gations’. », mais « Les allégations allaient bon train. ».

 

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- On ne dit pas « Ono m’a tapé » mais « Onomatopée ». Et évitez de porter plainte pour si peu.

 

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- On ne dit pas qu’un volcan lave sa bave, mais qu’il bave sa lave.

 

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- On ne faisait que lui répeter : « T’en as trop fait ! », « T’en fais trop ! ». N’empêche il l’a eu, son trophée !!

 

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- On ne peut compter ni sur ceux qui ne savent pas compter, ni sur ceux qui savent le faire mieux que vous.

 

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- On ne peut pas combler un trou sans en faire un autre ; heureusement ce n’est pas le cas pour une lacune.

 

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- On ne peut pas dire à un nudiste qui revendique son droit ailleurs que dans les plages réservées à cette pratique : « C’est vous qui le voyez.. », vu que c’est nous qui le voyons. Peut-on le remplacer par : « Cela vous regarde.. » ? Non plus, - même si certains le regardent effectivement -, vu que ça ne concerne pas que lui. Il ne reste plus qu’à le renvoyer dans les zones prévues à cet effet, même si là, justement, il n’en aura pas besoin (de ses effets personnels.).

 

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- On ne peut pas dire que la sieste ne rime à rien, en tous cas pas à moi. Par contre c’est vrai qu’elle ne rime avec rien. ( Essayez, pour voir, de trouver un mot qui se termine par ‘ieste’ !! )

 

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- On ne peut pas dire que ‘le ver à soie a lui’, soit ! Puisqu’il ne luit pas ! Par contre on peut dire que le ver luisant, lui, luit. On peut donc dire que le ver a lui. En soit, rien que de très banal. Mais on ne dira pas ‘le verre à lui’ mais ‘son verre’, même s’il est vrai qu’un verre luit.

 

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- On ne voit jamais la vie qui passe avec les mêmes yeux, ne serait-ce déjà que par le fait qu’on ne garde pas la même vue, et donc les mêmes verres.

 

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- On ne voit jamais les choses de la même façon des deux côtés du comptoir, surtout dans un bar, selon ce que vous avez bu.

 

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- On ne voit pas mieux une brune dans la brume, qu’un vieillard dans le brouillard. Quant à la blonde, je n’ai pas trouvé de météo adaptée.

 

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- On parle de ‘bestialité’ pour décrire la part la plus obscure de l’être humain. Or l’animal n’est pas bestial, même quand il est agressif ; il est animal, c’est tout. Il est lui-même, instinctif et pur. Il ne prend pas aux autres plus que ce dont il a besoin pour survivre sur le moment, dans l’immédiat ; il ne donne aux siens que ce qu’il leur faut pour l’instant présent.

 

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- On parle de l’invention des couverts, et non d’une découverte. Par contre celui qui a découvert cette invention n’a rien inventé.

 

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- On parle de la roue de la fortune.. Je pense que l’invention de la roue n’a pas dû rapporter grand-chose à son concepteur. Contrairement au stylo-bic, à la lame gillette ou au post-it..! Comme quoi, n’inventez pas ‘grand’-chose, ou inventez-le au bon moment.

 

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- On parle parfois de l’âge mental de certains individus, mais jamais de l’âge cordial, l’âge du cœur, l’âge humaniste, altruiste ! Or, dans ce domaine, les gens les plus célèbres ou les plus puissants sont souvent des nains.

 

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- On peut arriver à avoir à juger un juge, ou à arrêter un flic. Par contre on ne peut jamais imiter un imitateur ; on ne fait qu’imiter ses personnages.

 

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- On peut dire indifféremment : la Foire n’a pas marché, ou : Le Marché a foiré.

 

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- On peut dire d’un coureur de haies qui se prend une bûche en compétition, qu’il est grillé. Et si c’est son adversaire qui l’a discrètement poussé, on dira qu’il s’est fait ‘des cendres’.

 

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- On peut dire « les canards confits », mais aussi « les canards qu’on a faits. »

 

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- On peut dire qu’on envie son sort si on en vit et qu’on s’en sort.

 

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- On peut dire que la maréchaussée ne l’est que depuis peu. Auparavant c’était une bande de va-nu-pieds.

 

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- On peut être de condition modeste et ne pas l’être, modeste.

 

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- On peut être mauvais joueur et bon perdant. Par contre un bon joueur est assez souvent mauvais perdant, sauf si c’est du poids qu’il perd.

 

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- On peut être solitaire, et solidaire ; il suffit de ne pas se taire quand ça fait trop, et d’être volontaire quand il le faut.

 

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- On peut tomber par terre, par la faute non pas de Voltaire mais de la loi de la gravité ; et tomber enceinte, non pas par la loi de la gravité, même si pour certains ça peut être ‘grave’, mais uniquement par le phénomène de la gravidité. Que vaut-il mieux ? Cela dépend si on tombe de haut.

 

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- On peut très bien appeler quelqu’un sans savoir comment il s’appelle.

 

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- On peut trouver des gens ‘déprimés tristes’, comme des primés contents.

 

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- On pourrait croire à première vue que ‘lupanar’ est dérivé de ‘lieu pénard’. C’est vrai si on attribue au verbe ‘dériver’ l’un des sens – et non pas l’indécence - qu’il possède.

 

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- On pourrait dire, trivialement, que les bourrelets, ça bourre et c’est laid ; mais beaucoup de gens, ailleurs, s’en contenteraient.

 

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- On raconte que la Vénus de Milo, lorsqu’elle fut achevée, se trouva tellement belle que les bras lui en tombèrent.

 

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- On reconnaît

 

les gens bien nés

 

à ce qu’ils ont le sens

 

de la reconnaissance.

 

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- On reconnaît des vrais jumeaux au fait qu’on ne peut pas les reconnaître.

 

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- On reconnaît les vieux poissons à ce que leur peau s’écaille.

 

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- On ressasse souvent les mêmes blagues salaces, je n’ose pas dire éculées, à l’endroit des homosexuels. D’ailleurs, par égard pour eux, je devrais dire « à leur égard », plutôt qu’ « à leur endroit »..

 

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- On se demande comment ‘bégaiement’ se termine par ‘gaiement’.. !

 

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- On se demande comment une lanterne peut briller ! Et il ne manquerait plus qu’elle soit rapide !!

 

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- On se demanderait parfois si certains ont une âme.. Mais le respect qu’on doit à tout être humain me fera rectifier en disant qu’ils n’ont que l’âme basse. (mais ça me coûte..)

 

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- On se demande pourquoi on fabrique des armoires à pharmacie alors que des armoires à médicaments suffiraient ! Quel intérêt de mettre une pharmacie dans l’armoire ? Sans compter la place que ça prend !

 

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- On sentait le grand-père un peu gêné d’avoir une ostéoporose. On a eu beau lui dire que c’était le terme médical employé, il aurait préféré avoir une ostéopobleue..

 

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- On trouve encore des marchands de godasses qui sont fiers de vous vendre une « paire » de chaussures.

 

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- On trouve parfois chaussure à son pied, mais pas culotte à ses fesses. Est-ce que c’est parce qu’on a deux fesses pour une seule culotte ? Vous me direz qu’on n’a qu’un soutien-gorge pour deux seins ! Oui, mais là, c’est pas vraiment une gorge !!

 

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- On vieillit dès sa naissance, mais on ne rajeunit pas dès sa mort.

 

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- On vit désormais dans une société de ‘services’ où cependant rien n’est gratuit. Même la ‘visite’ médicale se rémunère. S’il vous plaît, messieurs les Immortels de l’Académie Française, trouvez-nous un joli terme pour désigner la gratuité, autre que bénévolat, car même là, ‘volat’ est entaché d’une connotation douteuse..

 

 

 

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- One-Man-Show ne se prononce pas One-Man-"Chauve", comme j'ai déjà entendu dire, même si dans certains cas, ce n'est pas totalement injustifié.

 

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- Orangisse : nom donné à la jaunisse chez les Peaux-Rouges d’Amérique du Nord.

 

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- Ordinaire : or de qualité médiocre, par opposition à l’or d’Ankara.

 

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- Ordinateur : outil informatique qui restitue de manière erronée les informations que vous lui aviez confiées. Motif de raillerie des jeunes vis-à-vis de leurs parents.

 

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- Otez moi d’un doute :

 

L’homme est, paraît-il, constitué de deux entités distinctes séparées par la ceinture : le haut de la ceinture, et le bas.

 

On serait amenés à penser que ses activités se répartissent donc pour moitié entre ses deux centres ou pôles d’intérêt.

 

L’humour le concernant devrait suivre ce pourcentage.

 

Le sujet de l’homme m’intéressant autant qu’il me concerne, je m’attendais à trouver une répartition équitable de mes inepties entre ces deux domaines.

 

Or, après étude statistique du pointage aléatoire réalisé sur 11 pages, soit 325 blagues, je dénombre un taux de 12% concernant ces dames, avec dans ces 12% une répartition de 58 % pour les blagues les plus coquines, 42% pour les plus anodines.

 

Finalement, j’en parle donc assez peu.. !

 

Alors qu’on dit bien que c’est ce qui fait tourner le monde.. !

 

J’ai peut-être quelque chose qui ne tourne pas rond !!?

 

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- Otto se fît gentiment éconduire par la fille du moniteur du permis.

 

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- Oui, allez vous coucher, il est tard. Vous reprendrez demain. (c’est pas une blague.)(mais j’apprécie que vous ayez fait de ce recueil votre ouvrage de chevet.)

 

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- Sentiers battus Outré par la violence des randonneurs, le responsable du club finit par créer une association de défense des sentiers battus.

 

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POT TINGMEL :

 

 

 

- Malgré la similitude du geste, ouvrir et refermer la porte derrière soi ne font pas appel à la même démarche intellectuelle.

 

- Un jugement de valeurs n’est recevable que si c’est un jugement de valeur.

 

- Sans ambiguité .. Qu’une infirmière, après une intervention orthopédique, vous demande de garder la jambe gauche droite risque de vous déstabiliser. Par contre, si elle vous dit de la garder tendue, il n’y aura pas de malentendu (enfin, je compte sur votre éducation et votre esprit..)

 

- Si on trouve des droitiers chez des gens dont le nom est Gaucher, on doit avoir énormément de mal à trouver des gauchers dénommés Droitier, à la fois par la rareté de ce nom dans notre contexte de tradition culturelle, et par la minorité statistique habituelle des gauchers jusqu’à nos jours. (peut-être que ça revient à trouver un Gaucher qui vote pour l’Extrème-Droite.)

 

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- Quand on fait une grasse matinée, on fait souvent, dans la foulée, une grasse soirée. N’en rajoutez pas en terminant par un repas trop gras. Vous repartiriez pour une série de grasses matinées, mais d’un autre genre, grâce à votre médecin..

 

- Qu’on ait mauvais esprit ou pas, on a tendance à croire que les autres sont comme nous. On est souvent déçus.

 

- Pour un documentaire bourré d’erreurs ou d’inexactitudes, d’aucuns parleront de docu-menteur. On peut en dire autant d’un parlementaire, qui sera considéré alors comme un parlementeur.. Surtout que lui, en plus, il ‘parle’. Et c’est d’ailleurs souvent ce qu’il sait faire le mieux.

 

- C’est cocasse que le seul mot qui rime avec Dieu soit ‘odieux’. Le Diable n’y serait pas étranger..

 

- Je ne suis pas Antillais, au contraire je suis pour.

 

- Un verbe que j’aime bien, quand il ne m’est pas appliqué, c’est éconduire. Il pourrait avantageusement remplacer l’expression qu’on utilise trivialement pour envoyer paître quelqu’un, et paître, ici, n’est pas le verbe le plus vache.

 

- Un curé, quand il confesse ses ouailles, s’atan toujours au pire.

 

- Le meilleur expresso que j’ai eu l’occasion de boire, c’est celui « qu’a fait » Blasco. (pas Ibanez, qu’on prononce Ibanièce, ..mais son neveu, qui s’appelait Téria.). (allez, je vous aide : c’est encore ‘café’..)

 

- Traiter quelqu’un de vache est laid, surtout pour la vache, qui nous fournit son lait.

 

- Lorsqu’elles s’estimaient chanceuses, les femmes du quartier touchaient Dubois. Mais comme il n’était pas de marbre, elles ont fini par l’allumer. Je me demande qui fut le plus chanceux dans l’histoire.. ? Mais il s’est éteint y-a pas longtemps.

 

- Comme chacun sait, l’alexandrin comme le mille-pattes sont des vers, mais qui diffèrent par le nombre de pieds. De même et à l’opposé, un verre à pied n’en a qu’un, alors que l’homme lui, en a deux, qu’il soit à pied ou pas.

 

- Pendant longtemps il fut nambule, jusqu’à ce qu’un accident l’oblige à se reconvertir. Maintenant il est quilibriste.

 

- Le kung-fü ça fait un bien fou. D’ailleurs on devrait le proposer dans les établissements psychiatriques.

 

- Les plus intelligents sont les moins indigents, et les moins indulgents.

 

- Si c’est ‘tout’ à l’heure, c’est que c’est ‘rien’ en retard.

 

- On parle du don du cent, mais vous pouvez donner moins.

 

- Quand la jument vit l’étalon dans cet état là, elle détala. (on a beau dire ‘chasser le naturel, il revient au galop’.. !)

 

- Un crayon sans gomme se conçoit mieux qu’une gomme sans crayon. De même, une femme indépendante sans homme se conçoit mieux que l’inverse.

 

- Si nos grands-mères avaient connu la pilule, la plupart de mes copines n’auraient pas eu l’occasion de la prendre.

 

- Les obligations conjugales de nos grands-parents se conjugaient forcément à l’imparfait, surtout pour nos grands-mères. Les grands-pères avaient moins le sens de l’obligation.

 

- Il faut se méfier de la taille. De la taille de quoi, me direz-vous ? Des tailles. (et je ne vous fais pas le détail..!).

 

- Un comprimé n’est éventuellement coupable que s’il s’écrit en deux mots. Sinon on ne dit pas qu’il est coupable, mais sécable.

 

- Pour faire un pétage de plomb, il faut déjà avoir du plomb dans la cervelle.

 

- J’aurais bien gardé mes blagues par-devers moi, mais je n’ai jamais su où était mon devers.

 

- Faut-il que, devant leurs enfants, les parents taisent leurs divergences ? Qu’ils les mettent déjà entre paren-thèses.. !

 

- Un coup mou est un coup dur amorti.

 

- Chaque 1er mai, j’ai constaté que je faisais une mycose buccale.

 

- Quand on pense qu’il y a des professionnels qui sont payés pour aller goûter les plats dans les restaurants réputés, afin d’en répertorier les meilleurs !! Je suis prêt, de mon côté, à proposer mes services pour dresser la liste des plus mauvais..

 

- Vous êtes-vous demandé un jour comment faire quelque chose en deux temps trois mouvements ? C’est rien moins que d’arriver à faire un seul mouvement en deux-tiers de temps, soit en 0,666666 temps !! Je sais pas vous mais moi, je préfère le faire en un temps complet, en prenant la moitié de temps en plus, c’est-à-dire en rajoutant 0,3333 temps à 0,6666..Et même comme ça, ça ne fera jamais un temps entier ! (Pourquoi ne pas faire tout simplement trois mouvements en trois temps, comme dans une valse..).

 

- Quand un lecteur assidu devient à la longue un lecteur deboudu, c’est que chez lui, lire vire au délire.

 

- Pourquoi les mouches à merde ont une superbe couleur bleu-vert fluo ? Pour nous dire que ce n’est pas parce qu’on est dans la merde qu’on est méprisable.

 

- Le sentiment d’impuissance est d’autant plus ennuyeux qu’il concerne l’impuissance des sentiments, je veux dire celle qui vous empêche justement de les prouver, alors même que vous les éprouvez.. C’est éprouvant. (et ne me dites pas : « J’en sais quelque chose ! »)

 

- Le curé était très vieux, mais comme il disait, il avait la vie éternelle devant lui.

 

 

 

 

 

 

 

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P de : Partout Tatis

 

Parfait, Perfectionniste, Puissant..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Pachiderme : gros chanceux qui a beaucoup de peau.

 

-

 

- Pain-sans-rire : variété de pain d’épice (épicé de rire) inventé par les moines contemplatifs pour égayer leurs soirées d’hiver.

 

-

 

- Palais olithiques : palais des premiers bâtisseurs, à l’ère quaternaire.

 

-

 

- Palais, mais qui peut l’être : bâtiment qui peut être beau.

 

-

 

- Panoplie : sorte d’impuissance.

 

-

 

- Par les temps qui courent, tout va très vite.

 

-

 

- Par et doxalement, les pantalons lui étaient courts, alors que les pantacourts lui étaient un peu longs. Finalement les premiers auraient pu faire office de seconds. Il lui manquait donc, en fait, ou des pantalons longs, ou bien des pantalons tout court !

 

-

 

- ‘Par Toutatis’, juron favori de ma tatie Cathy.

 

-

 

- Paradoxalement, le degré zéro de l’intelligence n’ est que le degré zéro de la bêtise, à partir duquel on compte soit en positif dans un sens, soit en négatif dans l’autre. Au départ donc, on peut dire qu’elles ont quelque chose de commun..

 

-

 

- Paradoxalement, pour l’investigateur, le meilleur accessoire pour ne pas ‘louper’ un indice minuscule sur une surface donnée, c’est la loupe.

 

-

 

- Paradoxalement, un avion de ligne qui prend le chemin le plus court ne prendra pas forcément la ligne la plus droite.

 

-

 

- Paraît qu’y-a des choses qui ne s’achètent pas. J’m’en fous. De toutes manières j’ai pas un sou.

 

-

 

- Parapluie, parasol, paratonnerre, paradis : cherchez l’erreur ! Il n’y en a pas. Les quatre se réfèrent au ciel. Et je n’ai pas cité le parachute..(c’était pour la ‘chute’.. de la phrase.)

 

-

 

- Par-dessus tout il n’y a forcément rien.

 

-

 

- Pardonner n’est pas donné..à tout le monde.

 

-

 

- Pardon (le) :

 

 

 

Le pardon, c'est comme l'amour, c'est plus difficile à donner qu'à recevoir !

 

Mais même pour en recevoir, ..c'est pas donné !

 

Y' en a qui disent que "faute avouée est à moitié pardonnée ", ..à moitié !

 

Mais si à chaque demande de pardon, on me laisse la moitié de la faute sur le dos, il en restera toujours une partie à partager indéfiniment, même si elle va en s'atténuant !

 

Y' a pas besoin d'être fort en maths ! Après le 2ème pardon, il reste la moitié de la moitié, c'est-à-dire le quart ; après le 3ème, il en reste le 1/8ème ; après le 4ème, le 1/16ème, puis le 1/32ème ..!

 

Il restera toujours un reliquat..! J'arriverai jamais à tout me faire pardonner.!

 

..Heureusement que j'ai pas grand'chose !

 

-

 

-

 

- Parenthèses : astuce pratique pour complèter sa pensée, ou la nuancer. (comme vous avez pu le constater.)

 

-

 

- Parfois la peur tue, mais est-ce que la stupeur ?

 

-

 

- Parfois le contenant vaut mieux que le contenu. C’est ainsi que plutôt que d’avoir les boules, il vaut mieux avoir les bourses.

 

-

 

- Parfois le courage c’est d’accepter sa lâcheté. Même si ce n’est pas une raison pour s’y complaire..

 

-

 

- Parfois lorsqu’on s’embrasse, on s’embrase.Qu’est-ce qui fait la différence, ..à part le ‘S’ ?

 

-

 

- Parfois, plus que la bonne chère, les plaisirs de la chair se paient cher, peuchère ..!

 

-

 

- Parfumeur : personne qui préfère vous mettre au parfum, même si vous sentez très bon..

 

-

 

- Paria : bougre sur lequel on parie à 1000 contre 1.

 

-

 

- Parler de la torture c’est parfois soulever un lièvre.

 

 

 

 

 

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Parmi nous

 

 

 

- Parmi ceux qui ne mettent jamais les clignotants, on retrouve ceux qui n’allument jamais leurs feux de croisement par temps de brouillard, ou à la tombée de la nuit, qui ne cèdent jamais le passage aux piétons sur un passage-piétons, qui prennent deux places de stationnement quand une seule leur suffirait, etc... Est-ce que le terme pudique d’incivique suffit à les désigner ? J’en doute fort. Mais comme on dit, ce sont des gens comme vous et moi, ce sont vos voisins, vos proches, vos amis, vos parents.. Non, ne me dites pas que c’est moi !!!!!!

 

-

 

- A plaindre Parmi l’imbécile, le sot, l’abruti, l’idiot et l’andouille, lequel est le plus à plaindre ? C’est peut-être moi, pour poser ce genre de question stupide..

 

-

 

- Parmi les ‘m’as-tu-vu’ incontournables de nos entourages à tous, il y a des ‘m’as-tu-su’, genre journaliste, des ‘m’as-tu-cru’, genre politicien, des ‘m’as-tu-lu’, genre écrivain, et autres ‘m’as-tu-farfe-lu’..

 

-

 

- Cimeterre Parmi les armes blanches, celle qui m’impressionne le plus est le cimeterre. Allez savoir pourquoi !

 

-

 

- Parmi les articulations, la plus personnelle reste le jenous.

 

-

 

- Parmi les choses que l’on préfère avoir que recevoir, le coup de foudre.

 

-

 

- Parmi les cours proposés par les établissements scolaires, ceux que la plupart des élèves préfèrent restent les cours de récréation.

 

-

 

- Parmi les gens ordinaires on trouve parfois des trésors-dinaires.

 

-

 

- Parmi les habitués des Casino, il y a ceux qui dépensent parcimonieusement leurs petites économies dans ces petites grandes surfaces, et ceux qui dilapident leur fortune dans ces palaces-maisons de jeux.

 

-

 

- Parmi les rasoirs, il y a les mécaniques, les électriques, et les intarissables.

 

-

 

- Parmi les recettes du bonheur qu’on trouve un peu partout dans les revues publicitaires, la plupart entraînent beaucoup de dépenses.

 

-

 

- Parmi les sens que la nature nous a donnés, les deux plus essentiels sont la vue et l’ouïe, mêmes s’ils nous en font voir de toutes les couleurs, et entendre des vertes et des pas mûres.

 

-

 

- Parmi tout ce qui est faux en ce bas-monde, faux-semblants, faux-culs, faux-fuyants, faux-cils, faux-monneyeurs.., s’il me fallait choisir, je prendrais le faux-filet.

 

 

 

Parmi est parti..

 

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- Pas besoin d’être jardinier pour se douter que le lilas est l’arbuste qui supporte le moins qu’on le déracine.

 

-

 

- Pas besoin que l’alcool vous rende folle, pour que le vin soit divin.

 

-

 

- Passé les soldes, les réductions sont réduites à leur plus simple expression, et les remises sont remises à plus tard.

 

-

 

- Passer à la suivante, celle-ci n’est pas terrible. (Et pour cause, elle n’en est pas une..)

 

-

 

- Passer de « l’apprenti sage » à « l’apprentissage » ..de la pratique, c’est tout l’art de l’éducation sentimentale. (encore qu’ici l’adjectif ‘sentimentale’ a plus de ‘senti’ que de ‘mentale’..).

 

-

 

- Passer l’arme à gauche ne m’inquiète pas plus que ça, je suis déjà gaucher !

 

-

 

- Patrie, tu fais du tri parmi tes enfants ! C’est pas tri bien !

 

-

 

- Patrimoine : moine responsable d’une progéniture, sans avoir obtenu l’imprimatur.

 

-

 

- Paul et Mick se chamaillaient constamment.

 

-

 

- Pause-pipi..

 

-

 

- Je reprends :

 

-

 

- Pécule : papier de toilette qu’on a économisé laborieusement, et je ne vous dis pas comment …

 

-

 

- Pendant qu’il chargeait son fusil, il eut comme une prémunition.

 

-

 

- Pensez-y Pensez à me dire de vous le rappeler ! Sinon, pensez à me rappeler de vous le dire..

 

-

 

-

 

- Perdre,

 

un verbe que certains n’osent utiliser. Exerçons-nous à l’exorciser..Exemple :

 

 

 

Elle avait perdu son p’tit chien,

 

Et moi j’avais perdu mon ch’min.

 

On se perdit donc tous les deux

 

Comm’ dans les bois deux amoureux.

 

Notre rencontre inattendue

 

Fut foudroyante et éperdue..

 

La retenue, les convenances,

 

Tout ça, c’était perdu d’avance.

 

Elle en perdit ses mots, sa tête,

 

Et sa pudeur, et sa jupette.

 

Moi j’ perdis toute éducation,

 

Toute ma patience et mon cal’çon.

 

Sans perdr’ de temps en bavardage

 

Nous perdîm’s notre pucelage,

 

Et tout espoir de l’ retrouver..

 

A moins qu’aux objets trouvés.. ?

 

 

 

Oui bon, voilà, le fil d’Ariane était une liane. Et j’ai perdu une occasion de me taire - j’ignore comment on dit le fait de ne pas écrire - en vous faisant perdre un peu de votre temps. Mais peut-être que rien n’est vraiment perdu quand on aime à corps perdu.

 

-

 

-

 

- Perdu dans le potager, au milieu des tomates et des oignons, le mille-pattes avait l’air un peu nouille.

 

-

 

- Père : mâle de mère.

 

-

 

- Père Lachaise :

 

 

 

Est-ce que c’est parce que c’est petit, chez moi, ou parce que j’aurais voulu être un artiste, mais j’aime bien les salles de spectacle. C’est grand..

 

..Mais bon, c'est normal ; c’est fait pour accueillir du monde. Chez moi, on est quatre. Par contre, il y a moins de meubles que chez nous, à part les chaises ! Enfin, chaises ou sièges.

 

Il faut se méfier quand-même ! Plus on met de chaises pour avoir des places, moins on a de place pour mettre des chaises !

 

Dans une salle de spectacle, il le faut bien. C'est pas comme au Père Lachaise ! Là-haut, y'a plus d' place !

 

..Il faut dire que, quand on "perd la chaise", c'est comme quand on va à la chasse, on perd sa place !

 

C'est pour ça qu'ils sont tous couchés ! Ils n'ont plus d' chaises, pour s'asseoir !

 

Sâcré Lachaise ! Lui et le Père Sanchez, ils faisaient la paire ! Du moins ils se complétaient bien !!

 

-

 

-

 

- Perpétuer : tuer régulièrement, constamment ; exemple : le serial killer.

 

-

 

- Personne n’est censé ignorer la Loi. L’injustice tient à ce que les in-sensés ne sont pas plus sévèrement punis que les ignorants.

 

-

 

- Personne ne voulant de lui, on avait fini par l’appeler « Sijysuis ». Il a fini par aller voir ailleurs..

 

-

 

- Perturbé : papa qui a des soucis.

 

-

 

- Petit-môme Petit môme est un pléonasme. Dites plutôt ‘Minimom’. A l’inverse ‘maximom’ est un oxymore.

 

-

 

- Petites Annonces : Bavard impénitent cherche secret à divulguer.

 

-

 

- Petites Annonces : Journaliste cherche scoop, volante.

 

-

 

- Petites annonces : prochainement dans ce journal, une rubrique « Grandes annonces »

 

-

 

- Déconne Peut-on dire d’un avion qui ne décolle pas, qu’il colle ? Ou de quelqu’un qui ne déconne pas, qu’il conne ?

 

-

 

- Peut-on dire que ‘la sénescence’ n’est que ‘naissance lassée’ ? Pourquoi pas, si on n’a rien d’autre à dire..

 

-

 

- Peut-on raisonnablement faire les courses lentement ?

 

-

 

- Ombrage Peut-on se faire de l’ombre à soi-même ? En tous cas pas à midi.

 

-

 

- Peut-on se moquer des humoristes ? Gageons que c’est une gageure.

 

-

 

- Plus on se rapproche du terme de sa vie, c’est-à-dire plus on se met à ressembler à une antiquité, plus on est « anti-quitter ».

 

-

 

 

 

 

 

 

- Pharisien (le) :

 

(de nos jours on dit ‘intégriste’)

 

 

 

Ce qu'il ne faut jamais dire à un chrétien, même s'il est catholique, et à fortiori s'il est pratiquant, mais surtout à un pratiquant, même s'il est chrétien, c'est que dans tout religieux, dans tout homme religieux, un pharisien sommeille !

 

Alors bien sûr, ça veut pas dire, parce qu'il sommeille, qu'il va se réveiller un jour ! Un pharisien ça peut dormir très longtemps, surtout quand ça prie pas !

 

Et donc, comment lui dire, à notre pratiquant, ce qu'il ne veut pas entendre !? Je vous laisse trouver les mots qu'il faut ! Moi en tous cas, je ne m'y risquerai pas ! Je suis trop mal placé ! Quand on pratique pas, c'est pas pratique.

 

 

 

-

 

- Phlébitique : veinard, qui ne réalise pas son bonheur.

 

-

 

- Piano : instrument de musique qui joue très lentement. Le pianissimo est encore plus doux. Les deux, mais surtout le premier, permettent d’aller plus loin, pour celui qui n’est pas pressé.

 

-

 

- Picadilly Circus était full de foule, mais pas un seul cirque. Ou alors c’était nous, les clowns !

 

-

 

- Pierrot lui prêta son stylo, pour écrire un mot. (là au moins, çà rime !)

 

-

 

- Pise Pise est la ville d’Italie qui se prête le mieux à un tourisme varié. Les étrangers peuvent très bien faire en effet, soit un tour à Pise, soit le tour de Pise, soit carrément la Tour de Pise. Ils peuvent en plus, rien ne les empêche, faire un tour de piste s’ils en ont le penchant. Les agences de voyage l’incluent dans leur forfait.

 

-

 

-

 

Pistache.. :

 

 

 

Quand il délègue

 

Une tâche

 

A un collègue,

 

Potache,

 

Faut qu’il allègue,

 

Moustache,

 

Que c’est un leg…

 

Pistache !

 

-

 

-

 

- Pistonnés : merdeux qui vous pissent-au- nez.

 

-

 

- Place de la Concorde : ancienne Place de la Zizanie.

 

-

 

- Plaie au nasme : jeu de mot nul que j’ai déjà utilisé je ne sais où, en tous cas pas au nasme. (Si vous le retrouvez, soyez gentils de me le ramener.)(le jeu de mot)(pour que je la soigne..)(la plaie)(vu que moi c’est trop tard.)

 

-

 

- Planeur : Celui qui plane n’est pas un rêveur, puisqu’il a des horaires planifiés.

 

 

 

 

 

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Qui peut le Plus peut le Moins

 

 

 

- Plus c’est salé, plus on est sûr que ça l’est.

 

-

 

- Plus contumace que mon kiné, tu condamnes ! Sinon tu body-buil-dingues !

 

-

 

- Plus il y a de patients dans la salle d’attente d’un cabinet médical, plus ils deviennent impatients.

 

-

 

- Plus le temps passe, et paradoxalement moins le lit grince.

 

-

 

- Plus le temps passe, plus il faut de passe-temps.

 

-

 

- Plus on a de chaines, plus on s’attache. Le riche à son or, la belle à son charme, l’homme au superflu, le vieux à sa vie.

 

-

 

- Plus on aime quelqu’un, mieux on accepte d’avoir tord.

 

-

 

- Plus on baisse, moins on baise.

 

-

 

- Plus on est proche, moins on admet les reproches.

 

-

 

- Marge Plus on s’éloigne de la moyenne vers le bas, moins on a les moyens de vivre au-dessus de ses moyens, alors que paradoxalement la marge restante utilisable augmente géométriquement parlant..

 

-

 

- Plus on vous sait susceptible, plus on est susceptible de vouloir le vérifier.

 

-

 

- Plus que nos préjugés, nos intérêts influencent notre raisonnement (..notre raison-nous-ment). C’est ce qu’on réalise quand on passe du statut d’employé à celui d’employeur, ou de locataire à propriétaire, d’acheteur à vendeur, d’élève à enseignant.. Grammaticalement, c’est souvent la différence entre le participe passé d’un verbe et son participe présent.. Un peu comme passer du statut passé au statut présent, ou de remonter parfois un sens à contre-sens. On n’est pas des saumons. Mais on n’est pas des veaux non plus..

 

-

 

- Plus vous êtes riche plus vous pouvez faire de dettes, alors que vous en avez moins d’excuses.

 

 

 

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- Plutarque : écrivain grec qui eut du mal à terminer ses écrits, car il remettait toujours au lendemain.

 

-

 

- Plutôt que de mourir de maladie ou de vieillesse, je préfère mourir d’envie, ou de peur, éventuellement de honte..

 

-

 

- Plutôt qu’il ne passât sa mauvaise humeur sur eux, les adeptes eussent préféré que leur maître boudât.

 

-

 

- Plutôt qu’une étiquette, les hommes politiques feraient mieux d’avoir une éthique.

 

-

 

- Pneumologue : vendeur de pneus homologués.

 

-

 

- Aux Editions Les Belles Lettres On pourrait rajouter : le « beau A », le « beau D », le « beau M »..

 

-

 

- Poésite : inflammation de la pensée lyrique, qu’on croyait venir du cœur mais qui vient peut-être de l’oreille, par sa prétention musicale et rythmique.

 

-

 

-

 

-

 

 

 

-

 

- Pois-chiches : autre nom donné aux poids-plume, dans le milieu de la boxe.

 

-

 

- Policier : fonctionnaire qui est souvent tout, sauf poli.

 

-

 

- Pompier : pléonasme, les pompes se portant toujours aux pieds.

 

-

 

- Poser un congé permet déjà de se poser. Mais reposer un congé permet vraiment de se reposer.

 

-

 

- Poste-mortem : assurance-décès proposée par La Poste.

 

-

 

- Posterieur : agent des postes d’un tempérament jovial.

 

-

 

- Pot : seul récipient qui pourrit

 

-

 

- Pot d’échappement : accessoire d’automobile qui permet d’étouffer le bruit des gaz dégagés par le moteur. D’où l’expression : sourd comme un pot d’échappement.

 

-

 

- Poulbot : poulpe qu’on trouve dans la Seine, à hauteur du Quartier Latin.

 

-

 

- Poulailler peut s’entendre au féminin, mais alors ça s’écrit en deux mots.

 

-

 

- Poule mouillée : expression inventée par les garçons pour se moquer des autres garçons qui ont peur. Les filles n’auraient pas eu l’idée de parler de ‘’coq mouillé’’, tout simplement parce qu’elles n’ont pas peur d’avoir peur – ce qui est la définition du courage - et elles n’ont donc pas besoin de se défausser sur les garçons.

 

 

 

 

 

Pour rire..

 

- Vu sous cet angle.. Pour arrondir les angles il faut momentanément la lime de la patience, mais à plus ou moins long terme, il faudra sortir le rabot de la tolérance.

 

-

 

- Pour attirer les jeunes, l’Administration Pénitentiaire avait organisé une Journée Portes Ouvertes.

 

-

 

- Pour avoir des syndicats performants, il faudrait des patrons à leur tête.

 

-

 

- Senti-mental Pour garder une bonne santé mentale, faut pas être trop senti-mental, mais un peu quand-même.

 

-

 

- Pour bien faire, il faudrait que les huissiers ne soient pas consciencieux, au moins lorsque ça vous concerne. Vous direz, dans ce cas, autant y rajouter les contrôleurs d’impôts, les gendarmes et autres professionnels contrariants.. Chiche !

 

-

 

- Pour bien faire les choses, il faut les faire avec amour. Même l’amour.

 

-

 

- Pour bien se porter il faut savoir se supporter.

 

-

 

- Pour celui qui boit, où commence l’a-bus ?

 

-

 

- Pour certains penseurs, la libido a bon dos. C’est l’alibi des badauds de la morale, qui ne font que la regarder passer sans trouver à redire. Quant à moi, cette digression était juste pour m’amuser, car je suis libidineux des mots..

 

-

 

- Chaud et froid.. Pour ceux qui ont froid partout, le poêle-à-bonheur ; pour ceux qui ont chaud quelque part : le bonheur-à-poil..

 

-

 

- Pour ceux qui soulèvent le problème de la signification exacte, pour ne pas dire la finalité, du pique-nique, on dira qu’on a l’esprit tordu qu’on mérite.

 

-

 

- Pour ceux qui vont aux fraises, attention aux allergies (aux fraises, ..et au latex).

 

-

 

- Pour entendre, il faut souvent aller voir. C’est une question de bon(s) sens.

 

-

 

- Franc Pour être franc, par les temps qui courent et chez nous, mieux vaut être français bien de chez nous.

 

-

 

- Pour faire reconnaître son strabisme, il dut demander une entrevue au médecin du travail.

 

-

 

- Pour faire porter le chapeau à quelqu’un, il suffit de lui dire qu’il lui va bien. Les benêts, eux, préfèrent les bérets..

 

-

 

- Pour l’alpiniste, l’envers du décor, c’est la cordée.

 

-

 

- La terre est basse Pour la plupart des gens, la terre est ronde ; pour les jardiniers, la terre est basse.

 

-

 

- Pour le benjamin de la famille, la succession n’était pas le cadet de ses soucis.

 

-

 

- Pour le responsable du budget de la nation, quelle est la meilleure ‘recette’ pour faire entrer des ‘recettes’ » ? Déjà, comptablement, ça ne ‘dépend’ pas des ‘dépenses’ » ! Donc ce n’est pas ‘fonction’ des ‘fonctionnaires’ . Donc, ça sous-entend que les ‘administrations’ sont bien ‘administrées’. Et par conséquent, tout va pour le ‘mieux’ dans le ‘meilleur’ des mondes. Finalement, on gardera donc les ‘impôts’, ..et on ira se payer ‘un pot.’. Et les ‘consommateurs’ continueront à ‘consommer’, les ‘travailleurs’ à ‘travailler’, et les ‘râleurs’ à ‘râler’’. Et le ‘Président’ à ‘présider’.

 

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- Pour le pécheur, poisson qui mord vaut mieux que chien qui dort.(mais surtout, chien qui mord).

 

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- Pour le sage, la vieillesse n’est pas une tare mais un privilège.

 

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- Cyrano de Bergeurasie Pour les asiatiques, tous les occidentaux adultes sont des Cyrano de Bergerac.

 

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- Croyances Pour les croyants, la mère vous donne naissance à l’aube de la vie, le Père vous la redonne à son crépuscule.

 

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- Pour les fins connaisseurs de vins, le simple nom d’un bon crû leur met parfois l’eau à la bouche.

 

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- Pour les gens du sud, la vraie plage est reconnais-sable.

 

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- Pour les policiers sur la piste des faux-monneyeurs, moins que les pièces de monnaie, ce sont les billets qui sont les meilleures pièces à conviction.

 

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- Train de vie Pour mener la grande vie, ou un peu moins, il faudrait au moins un petit salaire ..de plus.

 

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- Pour monter au ciel, les futurs saints n’hésiteraient pas à se faire descendre.

 

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- Pour monter en bas, il suffit d’avoir les jambes traitées par une contention élastique, qu’on ait des problèmes de varices ou pas.

 

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- Pour ne pas aller à l’école, il fit semblant de tomber malade et s’agrippa.

 

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- Pour ne pas avoir à se ‘sentir’ vieux, à partir d’un certain âge, il ne vous reste qu’à être bien enrhumé. (ce qui est relativement facile à cet âge-là.).

 

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- Pris sur le fait.. Pour ne pas être dérangé, il avait laissé, au fil des jours, un petit mot sur sa porte : « Je suis momentanément absent aujourd’hui. » Il eut la surprise de trouver, un soir, un papier punaisé où était écrit : « Je suis bien passé l’autre jour, mais vous n’étiez pas là aujourd’hui. »

 

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- Temps morts Pour profiter de la vie, il faut utiliser tous les temps-morts.

 

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- Pour qu’un vélo soit véloce, il faut faire des pieds et des mains.

 

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- Pour que Dieu ait créé l’homme, il fallait qu’il eut un sacré sens de l’humour.

 

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- Pour que le père mute, il faut qu’il permute de temps en temps dans certaines de ses fonctions, fonctions que se sont aliénées ses pairs depuis toujours.

 

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- Pour que les épis murmurent, c’est que le blé sem-blait mûr.

 

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- Paul emploie. Pour que Pôle Emploi ploie sous le poids de l’emploi, il faudrait un exploit. A moins qu’on déshabille Peter, Pedro, Pietri et autres Pierre, pour habiller Pôle.

 

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- Panneau des Danaïdes Pour que tant de monde tombe dans le panneau, ce dernier doit plus ressembler à un tonneau. - De quel panneau s’agit-il, me direz-vous ? - Eh bé.. ! Du panneau des Danaïdes !! (et allez..! avec vous ça n’en fera qu’un de plus..)

 

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- Je vous l’ demande.. Est-ce que pour réussir quelquechose, il ne faut pas attendre qu’il pleuve pour accepter de se mouiller.. ?

 

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- Pour se cacher derrière son petit doigt, il faut le placer très près de l’œil de celui de qui l’on veut se cacher, de l’autre donc. Le problème c’est qu’on ne peut plus s’en éloigner.. Et ça vous attache, en quelque sorte, ce qui n’était pas le but initial.

 

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- Pour tenir sa première réunion publique, il avait été intéressé par une salle de sports. Quelques mois plus tard, il termina sa campagne électorale par une sale dé-faite.

 

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- Pour tout ce qui a trait à l’attrait, méfiez-vous des appâts rances.

 

-

 

- Pour tout vous dire, ce n’est pas parce qu’ils cherchent à vous le dire que certains intellectuels ont quelque chose à vous dire.

 

-

 

- Pour un athée, la mort est un état ; pour un croyant, une étape. L’expression « Il est mort » convient donc mieux au premier, alors que pour le second, on devrait plutôt dire « Il a mouru ». (comme en espagnol, où l’on dit « ha muerto ») (ou « murio », ou « ha fallecido »).

 

-

 

- Pour un citadin, le fait de revenir à la campagne c’est ‘dépaysant’.

 

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- Pour un étudiant, il n’y a rien de plus long que les cours.

 

-

 

- Pour un paysan, même les terres incultes sont déjà chères.

 

-

 

- Volcan Pour un volcan, on ne parle pas d’éjaculation mais d’éruption. Par contre lorsqu’un excité déboule dans votre bureau sans prendre la peine de frapper à la porte, on ne parle pas d’éruption mais d’irruption. (J’en parle parce qu’on a vu souvent rejaillir le feu d’un ancien volcan qu’on croyait trop vieux..)

 

-

 

- Pour une entreprise, il faut distinguer un redémarrage judicieux d’un redressement judiciaire.

 

-

 

- Pour une femme, son amoureux est son ferme amant ; pour un enfant, sa maman est son firmament.

 

-

 

- Brouille Pour raison de revendication filiale, deux œufs s’étaient brouillés entre eux. (La mère avait mis les pieds dans le plat, en discutant avec ses voisines de poulailler..)

 

-

 

- Pour vivre vieux, mieux vaut avoir une double vie.

 

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Eh bé, On a beau être pour, ça fait long !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Passons au pourquoi

 

 

 

 

 

- Midi à quatorze heures Pourquoi aller chercher midi à 14h ? Parce qu’on gagne deux heures..-

 

- Pourquoi, alors que dans le cosmos toutes les planètes sont rondes, sur notre terre ronde il n’y a aucun chiffre rond : du nombre de minutes par heure au nombre de jours dans l’année, en passant par le nombre d’heures dans le jour, de jours dans la semaine, de semaines dans le mois ; sans compter ce fameux ‘pi’ = 3,14 et ses milliers de chiffres après la virgule.. Heureusement qu’il nous reste les rondeurs des femmes..

 

-

 

- Pourquoi dit-on « repasser » et pas « relaver » ou « rebalayer », ou « recuisiner » ? C’est ce qui rend, peut-être, cette tâche ménagère encore plus fastidieuse..

 

-

 

- Imagine Pourquoi donner libre cours à son imagination ? Elle est déjà libre, et n’a pas besoin de votre autorisation.

 

-

 

-

 

-

 

- Pourquoi le nez est-il indispensable ? Parce que le nécessaire.

 

-

 

- Pourquoi les basses-courent ? Je l’ignore. Il faudrait demander aux ténors.

 

-

 

- Pourquoi les enfants aiment-ils faire des choses interdites ? Parce que rien ne les y oblige.

 

-

 

- Pourquoi les guerres civiles seraient-elles plus fratricides que les autres ? Les voisins restent les gens du voisinage, qu’ils soient d’un côté ou de l’autre de la frontière. La langue, elle, ne sert pas davantage à vous unir qu’à vous insulter. Au contraire, les guerres civiles ne sont que les vraies guerres, parce qu’elles opposent vos intérêts à ceux de votre voisin d’en face, d’en face de la rue ou d’appartement, à ceux de vos collègues de travail, de votre famille même, ce qui va dévoiler votre nature profonde, qui n’est que la nature humaine.

 

-

 

- Pourquoi les hommes regardent les jolies femmes ? C’est parce qu’elles ne vont pas le rester longtemps..

 

-

 

- Pourquoi les poules caquettent autant, en alertant toute la basse-cour, dès qu’elles ont pondu un oeuf ?! Y-a pas de quoi en faire un plat ! ..Eh bien si, justement !

 

-

 

- Pourquoi les rutilantes ‘Jaguar’ appartiennent-elles le plus souvent aux retraités ? C’est parce qu’elles servent à compenser le tigre qu’ils n’ont plus dans leur moteur.

 

-

 

- Pourquoi ‘les Montagnes russes’ alors que les nôtres sont si belles ? Pourquoi ‘les Ombres chinoises’, alors qu’on en trouve autant chez nous ? Pourquoi ‘les Capotes anglaises’ alors que les nôtres sont si pratiques ? Vivement que je sois Ministre de la Culture !

 

-

 

- Pourquoi les vasses regardent-elles les trains qui pachent ?

 

-

 

- Pourquoi ne vas-tu pas voir ton médecin pour ton orgelet ? – Parce que l’orgelet, c’est l’argent que je n’ai pas !

 

-

 

- Pourquoi n’y a-t-il que l’auto qui soit ‘mobile’ ?

 

-

 

- Un parce que Pourquoi appelle-t-on parfois un autobus un car ? Parce que.

 

-

 

- Prédateur : pré avec horodateur, pour faire payer la location du pré en fonction du temps de pacage.

 

-

 

- Prendre la vie du bon côté, d’accord, mais de quel côté ?

 

-

 

- Presbyte : qui habite au presbytère.

 

-

 

- Préservatif, le bien-nommé : Le préserv-âtif peut être une protection hâtive, vis-à-vis d’une grossesse ou d’une MST ; le préserv-à-tifs, une protection capillaire, - capillaire incluant les poils - , vis-à-vis du morpion. (mais là, c’est moins garanti.)

 

-

 

- Présomptueux, il se plaisait à répéter : « L’homme qui me fera cocu n’est pas encore né ! ». Un jour, il reçut une lettre anonyme libellée sobrement : « ..encore né, en deux mots, il l’est depuis longtemps ; en un seul, tu l’es depuis peu. »

 

-

 

- Prévoyant, il a attendu d’être vieux pour mourir.

 

-

 

- Procréation assistée : méthode conviviale de procréation où le couple demande la présence d’une tierce personne, un homme en l’occurrence, en cas de panne du futur père.

 

-

 

- Profitez de vos enfants, en attendant qu’ils ne profitent de vous.

 

-

 

- Progéniture : projet comme un autre, mais qui dure généralement plus longtemps que les autres. Il ne se termine pas souvent comme on l’aurait souhaité.

 

-

 

- Propolis : corps spécialisé d’abeilles-soldats, qui protègent la reine de la ruche dans ses déplacements officiels.

 

-

 

 

 

-

 

- Propriétaire (le) : (ou le poids de la plume)

 

 

 

-« A qui appartient cette terre ? », demanda le juge.

 

-« A moi, » s'empressa de dire l'indien, « Nous étions là les premiers. C'est la terre de nos ancêtres ! »

 

-« Non, elle est à moi, » enchaîna l'homme blanc, « Mes arrière-grands-parents et mes grands-parents se sont battus pour la conquérir ! »

 

Une petite voix fluette s'éleva dans la salle du tribunal.

 

-« Je vous demande bien pardon, » lança le ver-de-terre, « Cette terre me nourrit depuis toujours, et je le lui "rends" bien ! Et donc cette terre m'appartient ! »

 

-« Je suis désolée de vous contredire, » surenchérit la pomme-de-terre, « mais moi j 'y ai mes racines depuis bien avant vous. Cette terre me revient ! »

 

On convoqua alors les avocats des plaignants, ..mais seul l'homme blanc en avait un .. L'avocat de l'homme blanc se leva, prit la parole et dit :

 

-« Dans un pays civilisé, le propriétaire est celui qui est en possession du titre de propriété. » ..Et l 'homme blanc garda sa terre.

 

Les jours suivants, le Grand Manitou convoqua l'avocat.

 

-« Dis-moi, ..à qui appartient la plume qui a permis de signer l'acte de propriété ? », lui demanda-t'il.

 

-« ..A l'oiseau ! » répondit l'avocat.

 

-« Alors la terre appartient à l'oiseau. »

 

Et il révoqua l’avocat..

 

 

 

 

 

 

 

Piperade :

 

 

 

 

 

- Soit dit en passant.. Il avait soit-disant soixante-dix-ans, disaient de lui les médisants. Pourtant il les paraissait. C’est bien la preuve que les soi-disant médisants ne l’étaient pas, soit-dit en passant..

 

- Moineau : petit moine. (et non ‘petit du moine’, comme certains anti-cléricaux médisants s’amusent à dire.)

 

- cadeau Celui qui offre un cadeau est toujours sûr de faire au moins un heureux, celui à qui il l’a acheté.

 

- Un champ de pommes de terre peut s’avérer très harmonieux. Cela dépend avant tout par qui c’est chanté.

 

- Quand on sue, porter c’est supporter.

 

- L’avenir est d’autant plus long qu’il est long à venir.

 

- Un pantalon étroit ne serre qui si l’on s’en sert.

 

- A livre ouvert Même si son œuvre n’est pas autobiographique, un écrivain se livre quelque part.

 

- L’incendie fait feu de tout bois ; l’alcoolique se fait fort de tout boire.

 

- Arrière-goût Evitez de consommer la partie arrière de certains animaux, l’arrière-train si vous voulez. Cela donne un arrière-goût.

 

- Citadin Un citadin est quelqu’un qui confond les mamelles d’une vache avec les couilles d’un taureau.

 

- Mignonne : demi gnonne. (mais il faut savoir se contenter de peu.)

 

- Il est des gens qui roulent tellement lentement qu’ils devraient mettre leur warning. A moins ce qu’ils nous donnent inconsciemment une leçon, ou qu’ils nous posent indirectement une question, à savoir à quoi nous sert de nous presser.. A part aux ambulances et aux pompiers. Aux flics, je ne sais pas. Ils n’ont pas toujours intérêt à se presser..

 

- Loto N’en déplaise aux anarchistes, l’ordre est bien indispensable dans certains domaines, comment dans le fait de jouer au Loto. Bien qu’on peut gagner quelque chose dans le désordre..

 

- Salle-à-manger Salle-à manger ne veut pas dire impropre à la consommation.

 

- Prendre les devants S’il y en a qui prennent les devants, c’est bien la preuve qu’il y a ceux qui prennent les derrières. Quant à savoir comment, ce n’est plus mon problème.

 

- Blues Lorsqu’il fait un temps pourri et qu’on a le blues, on ne demande pas la lune ! Juste un peu de soleil.

 

- Somme constante Dans la vie, les jours qui passent rajoutés à ceux qui restent sont à somme constante. Dommage !

 

- Nul mais pertinent Quand vous dites : « Il n’a pas voulu des navets que sa femme lui avait préparés.». Si vous ajoutez : «..C’est bien fait. Il « n’avait » qu’à pas les cultiver ! », c’est un jeu-de-mot, nul, certes, mais ç’en est un. Par contre si vous remplacez par : « S’il n’est pas content, il n’a qu’à se préparer le repas lui-même ! ». Ce n’est plus un jeu-de-mots mais une remarque pertinente. (et qui vaut bien mon jeu-de-mot, nul, on est d’accord..).

 

- Morte-panteau Si celui qui porte manteau peut très bien tomber patère, celui qui morte panteau ne peut tomber matère. Ou alors, ‘par-dessus’. (mais je ne sais pas si la mater appréciera..)

 

- Doubles VC Les WC ne sont pas des doubles VC, qui ne sont pas eux-même des toilettes pour personnes obèses.

 

- Plus ou moins On consommerait davantage si, au lieu que les produits qu’on achète s’ajoutent sur le ticket de caisse, ils se retranchaient. (..ou comment se retrancher derrière la logique pour affronter la réalité du quotidien..) (et comme dirait le bon-sens : Plus on ajoute, moins on retranche, sauf du compte-en-banque.).

 

- Quenouilles Les quenouilles ne sont ni des quenelles, ni des nouilles. Ceux qui ne le savaient pas, comme moi, ne sont ni des quenouilles, ni des nelles..Peut-être des nuls.. ?

 

- Un chenil n’est pas l’endroit où vivent les chenilles.

 

- La pomme représente à la fois la possession, l’avoir, (‘gelée’), et la perte, la dépossession, (‘pommé’). Elle associe même les deux, ‘gelée pommée’, pour résumer la vie et la mort. En dehors du fait qu’elle résume l’être (‘pour ma pomme’..). Sans compter la symbolique de la tentation, chez nos illustres parents Adam et Eve..(mais ça, c’est de l’histoire ancienne.)

 

- Divorce Le divorce n’est qu’une erreur de casting. J’ignore à qui la faute, mais Cupidon ferait bien de se contenter de n’être que cupide, au lieu de s’évertuer à essayer de nous montrer son parcours fléché.

 

-

 

- Etre intelligent devrait servir avant tout à se comporter intelligemment. Qu’on se le dise.

 

- Il n’y a pas que les religieuses qui avaient la bonne idée de se mettre un moine dans le lit pour se réchauffer.

 

- De celui qui hésite avant de boire un pastis, on dit qu’il antésite. (verbe peu usité vu le peu de cas observés.).

 

- Le comble d’une salle, c’est d’être propre, surtout quand elle est comble.

 

- Question de degrés Vaut mieux boire un vin frais à douze degrés quand il en fait trente dehors, que l’inverse.

 

- Patrimoine : moine ayant eu une progéniture sans de réels projets.

 

- Peupleraie Est-ce qu’on ‘peut pleurer’ dans une sapinière ? (Si les souvenirs d’enfance de Noël vous émeuvent à ce point, je n’y vois aucun inconvénient.).

 

- Ce qu’on trouve le plus facilement quand on cherche, ce sont des justifications à ses actes.

 

- Quand les orties collent, c’est que les légumes sont mûrs.

 

- Quand un argument fait mouche, on ne peut pas l’éliminer d’un coup de tapette magique.

 

- Il est des gens qui gardent une odeur même après s’être douché. Et pourtant ils ont fait ce qu’ils ont ‘pu’..!

 

- Un chêne qui tombe se retrouve comme un gland.

 

 

 

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Q de : Quelle imagination !! Quel talent ! Quel travail ! ..Tous ces quels et toutes ‘ces Quelles’.. ! Qualité, Qui mieux que lui ! Quintescence, Quichottesque, Quiproquo..

 

 

 

- Q.I. : je propose d’autres définitions : Quotient Imbécile ; Question Infondée ; Querelle Interminable ; Quesaco Inextricable ; Qualités Inutilisées ; Question Imparfaite ; Qualificatif Inapte ; Quelle Imbécillité ; Querelle Inutile ; Question Inopportune ; Quolibet Insultant ; Quiproquo Injuste ; Quasi Impropre..

 

-

 

- Qatar : rhume, en arabe.

 

-

 

Qu’est-ce qui rapproche un enseignant d’une péripatéticienne : les deux professent.

 

-

 

- Qu’est-ce qu’un raciste ?

 

C’est soit un simpliste, daltonien de l’esprit mais pas de la vue,

 

soit quelqu’un de mauvaise foi, le pire, car non seulement non guérissable mais contagieux pour les simplistes non racistes.

 

-

 

- Qu’on ait une bonne ouïe ou pas, on ne peut entendre la mer que vaguement.

 

-

 

- Qu’on le veuille ou non, consciemment ou pas, le fait d’enseigner, d’apporter le savoir aux ‘ignorants’, me semble incliner nombre de personnes concernées à généraliser leur fonction de maître, de supérieur, à des domaines étrangers à leur spécialité, ou du moins à vous le faire sentir..(Et je ne dirai pas, hypocritement : « J’espère n’avoir heurté personne .. ». J’espère, au contraire, en avoir heurté quelques uns. Je leur dois bien ça..).

 

-

 

- Qu’on ne vienne pas me dire que le tag peut être un art, en tous cas pour ce que j’en vois. Celui qui te dit ça se fout de ta gueule autant que le tagueur.

 

-

 

- Pour rester dans le beau, Qu’y a-t-il de commun entre un paquebot, un lavabo, et un corbeau ? .. Les trois peuvent être môches. Et pour rester dans le laid, entre un valet, un balai, et un châlet ? .. A part que le valet a pris le balai pour nettoyer le châlet ? C’est que les trois peuvent être beaux.

 

-

 

- Caillou Y-a-t-il plus vieux qu’un caillou ? Sa carrière. Et de moins vieux ? Sa poussière.

 

 

 

 

 

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Quand etc.. : panneau de signalisation pour annoncer une suite impressionnante de ‘Quand..’.

 

Donc : « Quand vous voudrez.. C’est parti ! ».

 

Si en cours de route, vous n’en pouvez plus, remplacez par « Lorsque ».

 

-

 

-

 

- Quand c’est pas Tatie et pas Tata, c’est que c’est peut-être Tonton.. ?

 

-

 

- Quand c’est vrai et vérifié, c’est very vrai.

 

-

 

- Quand ça part d’un bon sentiment, on ne sait jamais quand ça revient.

 

-

 

- Quand ça tonne, en automne, rien ne m’étonne.

 

-

 

- Quand ça va pas, il faut le dire. Mais quand c’est la voix qui ne va pas, il faut pouvoir le dire.

 

-

 

- Quand certains s’en mêlent, les choses s’emmèlent.

 

-

 

- Louche.. Quand dans un texte assez court vous retrouvez les termes de ‘couche’, ‘touche’, ‘bouche’, à part si vous retrouvez les mots ‘mouche’ et ‘douche’, c’est assez louche..

 

-

 

- Quand deux personnes sortent ensemble, elles finissent toujours par rentrer ensemble. (J’allais prolonger ma phrase, mais non.)

 

-

 

- Quand elle lui a donné la vie, La Vie, elle ne lui a pas demandé son avis. Et quand elle a voulu sa mort, La Mort, elle ne lui a pas demandé son accord.

 

-

 

- Colombe Quand elle perd son aile, la colombe tombe ; lorsqu’elle perd son L, elle coombe. Et quand elle personnel, ..je ne vous le dirai pas, c’est indiscret.

 

-

 

- Quand elle perdit son époux, elle fut marrie de rester veuve.

 

-

 

- Quand elles seront reparties, envolées comme chaque année, à l’approche de l’hiver, qui sait ce que les hommes diront d’elles ?

 

-

 

- Quand est-ce qu’il s’est mis à prier ? Cela lui a ‘pris hier’ ..!

 

-

 

- Quand il confessait, le Père Clément était dans son élément.

 

-

 

- Quand il en avait marre de l’avoir sur son dos, il rouspetait. Conciliante, elle le prenait sur elle.

 

-

 

- Quand il n’y a pas d’enjeu dans une course, c’est que c’est couru d’avance.

 

-

 

- Quand il ne te reste rien à Loué, va voir à Louette. Et s’il ne te reste rien là non plus, c’est que tu te l’es fait ‘voler’..

 

-

 

- Quand il ne vous reste plus de pain, c’est vous qui êtes grillé.

 

-

 

- Quand il parlait de ses épreuves passées, il se plaisait à dire : « Je mentirais si je vous disais que je ne m’en tirais pas ! ». Et l’interlocuteur restait perplexe, ne sachant pas s’il parlait de son passé, du présent, ou de l’avenir, ..et s’il était en train de mentir, ou s’il avait l’intention de le faire..

 

-

 

- Quand il pleuvra sur les nuages, c’est que la pomme d’Isaac se sera envolée. C’est pour le coup qu’on l’aura pommée. (N.D.L.R : Isaac ici, n’est pas le fils d’Abraham, malgré qu’il fut la pomme de discorde entre ceux qui allaient donner les Juifs et les Musulmans, mais notre Newton et sa loi sur l’Attraction Universelle..)

 

-

 

- Quand il s’agit d’amour, les preuves sont parfois des épreuves.

 

-

 

- Quand il se mettait au piano, il jouait tellement piano, qu’il s’endormait sur son morceau.

 

-

 

- Quand ils frayent, certains diront quand ils niquent, les gros poissons défrayent la chronique.

 

-

 

- Quand ils vont en boite, les ados vont vous dire que ça ne commence vraiment qu’en milieu de nuit ; c’est un peu vrai, ce n’est pas pour vous mettre en boite..

 

-

 

- Quand j’aurai l’occasion de vous le dire, je ne m’en rappellerai plus. Alors je préfère d’emblée ne pas vous le dire, au moins je n’oublierai pas.

 

-

 

- A force de consommer bêtement, l’être humain finira par se consumer ! C’est doublement bête.

 

-

 

- Quand j’étais jeune et qu’on parlait de tourtereaux, il y avait toujours, sur les deux, une tourterelle. De nos jours, on trouve de drôles d’oiseaux, je veux dire des tourtereaux sans ‘elles’.. Mais je n’ai rien, Madame, Mademoiselle, Monsieur, contre les Mademoiseaux ! Le tout c’est qu’ils s’aiment, avec ou sans zèle.

 

-

 

- Quand ‘je m’introvertis’, je réalise à certains moments que je suis le seul à n’être pas les autres. Et je reste forcément et définitivement seul à le ressentir. C’est l’expérience à la fois la plus banale et la plus extraordinaire qui soit, et qu’on ne pourra jamais partager, même si on se doute que les autres la connaissent. Dans ce monde, il y a donc deux mondes : vous, à l’intérieur, et les autres, à l’extérieur de vous, et quelque soit l’attachement que vous leur portez. On a beau être identiques, on est seul à être unique, même si on n’est pas unique à être seul.

 

-

 

- « Quand je me remémore mes morts, je n’ai pas de remords » dit l’homme à la conscience tranquille.

 

-

 

- Quand je métamorphose, je me sens curieusement mieux que lorsque je mets la mienne.

 

-

 

- Quand je pense qu’à une époque on se plaisait à dire : « Il ne me sied guère d’accéder à votre requête » pour dire « non », on imagine le raccourci que représenterait l’interprétation actuelle d’une pièce de théâtre de ce temps-là ! Et en langage SMS, alors !! Mais le temps d’antan n’est plus le notre..

 

-

 

- Quand je serai grand, j’espère ne pas avoir à le regretter.

 

-

 

- Quand je serai petit, je serai bébé.

 

-

 

- Quand l’Aligator fait sa sieste et qu’il tombe dans les filets des Capturators, même s’il s’agite alors, il s’agite à tord, car les Capturators ils sont trop forts.

 

-

 

- Quand l’eau de la rigole se jette dans la mare, est-ce qu’elle rigole, est-ce qu’elle se marre ? Je dirais plutôt qu’elle en a marre, et qu’elle se dit qu’il est temps qu’elle arrive à son étang.

 

-

 

- Quand l’escale y est, profitez-en pour descendre et vous dégourdir les jambes.

 

-

 

- Quand l’hiver la météo est au gris, sortez vos grisgris, vos amulettes, et éventuellement vos allumettes si vous avez du bois.

 

-

 

- Quand l’infirme rit, c’est qu’il est bien soigné.

 

-

 

- Quand l’infirmière rentre de ses gardes de nuit pour partir au lit, dites-lui plutôt bonjour.

 

-

 

- Quand la belle-fille est une vraie belle fille, ça peut poser des problèmes pour celui envers qui elle est la vraie belle-fille.

 

-

 

- Quand la condescendance d’un interlocuteur à votre égard commence à vous ‘chatouiller grave’, vous pouvez couper court à la conversation, d’un : « Bon, je ne vous en dirai pas plus, vous avez très bien compris.. ».

 

Et s’il s’étonne : « ..Compris quoi ? »,

 

concluez gentiment d’un :

 

« N’ajoutez pas la modestie à l’intelligence.. ! »

 

-

 

- Quand la fontaine est lointaine, sot qui oublie le seau.

 

-

 

- Quand la frontière est en haut d’un col, on ne vous demandera pas un passe-montagne mais un passeport. Alors que pour passer de l’autre côté du port, le passe-montagne sera autorisé, alors que nul ne vous demandera un passeport.

 

-

 

- Quand la gastro dit-:-« Arrêt !», profitez-en et prenez la au mot.

 

-

 

- Quand la guerre ne concernera que ceux qui la décident, et éventuellement que ceux qui la font, à savoir les militaires, la maladie ne concernera que ceux qui la soignent.

 

-

 

- Quand la jeune servante réalisa que le Comte prenait le terme de ‘bonne-à-tout-faire’ au pied de la lettre, comme elle n’avait pas la langue dans sa poche, ni le reste non plus, elle se permit de lui dire :

 

- Monsieur le Comte, vous confondez bonniche et ..beaux-nich’s ! ».

 

Il souria, sensible à son trait d’esprit, et répondit :

 

- J’en ai pleinement conscience, et c’est la raison pour laquelle le Comte ..compte sur vous ! ».

 

Nullement décontenancée, elle répliqua, en souriant malicieusement :

 

- Vous pouvez tout à fait compter sur moi, sans avoir à le faire sur mon dos, ni sur quelqu’autre partie de mon anatomie ! »

 

-

 

-

 

- Quand la neige du Sahara aura fondu, j’irai y cultiver mon jardin.

 

-

 

- Quand la passion vous habite, revoyez le loyer.

 

-

 

- Quand la question mérite d’être posée, c’est qu’elle est lourde.

 

-

 

- Quand la rivière a beaucoup d’eau, on dit qu’elle a un bon débit. Donc, lorsqu’elle n’en a plus, qu’elle est à sec, elle devrait passer en crédit. Mais les banquiers vous diront que c’est l’inverse. C’est vrai qu’ils connaissent mieux les cours de la Bourse que les cours d’eau.

 

-

 

- Quand la Sécu s’occupe de médecins, disait-elle, je fantasme..

 

-

 

- Quand le bouillon qui bout bouillonne, c’est qu’on n’est pas loin du bout, couillonne.. !

 

-

 

- Quand le camp de nudistes fut interdit par décret préfectoral, et que les gendarmes vinrent demander la fermeture du lieu, les campeurs n’eurent plus qu’à aller se rhabiller.

 

-

 

- Quand le cantonnier prit sa retraite, il avait plus de soixante balais.

 

-

 

- Quand le cœur n’y est pas, mettez-l’y ! On trouve toujours de la place.

 

-

 

- Quand le condor, il paraît qu’il dîne, qu’il soit de la cordillère andine ou pas.

 

-

 

- Quand le cours d’eau est à court d’eau, il ne rigole plus.

 

-

 

- Quand le fleuve sort de son lit, les riverains aussi.

 

-

 

- Quand le fond de l’air est frais, évitez de respirer profondément.

 

-

 

- Quand le hareng sort, le marin-pécheur part à sa poursuite.

 

-

 

- Quand le jeu ne vaut pas la chandelle, changez de jeu, ou attendez qu’il fasse jour.

 

-

 

- Quand le lait a tourné, n’essayez pas de le récupérer en le retournant.

 

-

 

- Quand le moustique erre, c’est qu’il a évité la moustiquaire.

 

-

 

- Quand le navire chavire, tout le monde se tire.

 

-

 

- Quand le parcours est long, parlons court, et bien.

 

-

 

- Quand le parking sonne, c’est qu’il ferme.

 

-

 

- Quand le percepteur, le fiscal.

 

-

 

- Quand le père-sonne à la porte, essayez quand-même d’aller ouvrir, au cas où il y aurait quelqu’un.

 

-

 

- Quand le poisson exhale son odeur pour ne pas se faire manger, c’est trop tard. Il est déjà mort.

 

-

 

- Quand le printemps revient, les prai-ries.

 

-

 

- Quand le salarié de l’entreprise de maçonnerie, qui avait plus de gueule que de cœur à l’ouvrage, fut convoqué au bureau de son patron pour se voir notifier son li-cen-ciement, il répliqua, croyant faire de l’humour, comme moi ici : « Je ne prendrai que le lit ; quant au ciment, ce n’est pas la peine, je m’étais déjà servi.. ».

 

-

 

- Quand le teint hâlé, ça allait. Maintenant qu’il s’en est allé, ça va moins bien.

 

-

 

- Quand le torchon brûle entre deux pompiers, ne leur faites pas l’affront de leur proposer vos services.

 

-

 

- Quand le voisin râle après vos chiens, la meilleure façon de vous en sortir c’est encore de les rentrer.

 

-

 

- Quand les bras vous en tombent.., le problème c’est qu’on ne peut plus se les ramasser.

 

-

 

- Quand les cuisiniers s’absentent trop longtemps, il faut les faire revenir à la poêle.

 

-

 

- Quand les faibles auront des coffre-forts, y-en aura plus besoin.

 

-

 

- Quand les hommes accepteront de porter des jupes, c’est qu’on aura atteint l’égalité parfaite. Si ce n’est qu’ils n’auront jamais d’aussi jolies jambes qu’elles.

 

-

 

- Quand les Inspecteurs des Impôts auront de l’humour, je me ferai humoriste. D’ici là, j’aurais aimé avoir eu à payer beaucoup d’impôts.

 

-

 

- Quand les lycéens de notre époque s’amusaient à dire que la censeur était en panne, c’était pour signifier que la responsable de la discipline était en maladie. (NDLR : Il n’y a plus de censeur dans les lycées, de nos jours.)

 

-

 

- Quand les poules avaient des dents, les coqs pondaient les œufs. De là, d’ailleurs, nous vient la formule et recette « un œuf à la coq ». Depuis l’émancipation des poules, ce sont elles qui les font, non sans quelques difficultés et fatigue d’ailleurs, ce qui a donné l’expression : « la poule aux œufs, dort ».

 

-

 

- Attention ! Quand les résultats sont biaisés, vous risquez de vous faire.. avoir.

 

-

 

- Quand les volets sont peu entre-ouverts, vous pouvez dire qu’ils sont entre-fermés. Encore faut-il s’adresser à quelqu’un d’ouvert.

 

-

 

- Quand ma fille atteindra sa matûrité, j’aurais atteint ma saturité.

 

-

 

- Quand on a du mal à s’endormir, en dehors de la méthode classique de comptage des moutons, réservée à ceux qui ont une bergerie, il existe une autre méthode.. (encore faut-il qu’il pleuve..).

 

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- Quand on a le pied marin, autant les avoir tous les deux.

 

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- Quand on a un père écolo, éviter de dire qu’on a un père vert.

 

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- Quand on aime on ne compte pas, sauf sur ceux qu’on aime.

 

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- Quand on déterre Minisme, on peut s’attendre à tout, sauf à une surprise.

 

-

 

- Quand on dévisage quelqu’un, on fait quelque part un devis de son âge.

 

-

 

- Quand on dit de quelqu’un que : ‘c’est bien fait pour sa pomme’, on veut dire plutôt que c’est une bonne poire.

 

-

 

- Quand on est cantonais, on se cantonne pratiquement à son riz, et on s’en contente.

 

-

 

- Quand on est grand, il faudrait se rappeler qu’on ne l’était pas au départ. Ce qui devrait nous rendre plus humble ; surtout qu’on n’a aucun mérite à l’être devenu.

 

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- Quand on le fit monter sur le billard pour l’opérer, il avait vraiment les boules.

 

-

 

- Quand on n’est pas matheux, dans la vie de tous les jours les problèmes n’ont pas toujours une solution.

 

-

 

- Quand on n’y voit que du bleu, c’est parfois qu’il n’y a que des gendarmes, ou les agents d’EDF.

 

-

 

- Quand on ne supporte pas l’échec, on peut se rabattre sur la carte bancaire.

 

-

 

- Quand on ne voit pas le temps passer, c’est soit qu’il ne s’est rien passé, soit que ça s’est bien passé.

 

-

 

- Quand on ‘part avant’, c’est toujours plus discret.

 

-

 

- Quand on pense que le coton est blanc, alors que ce sont les noirs qui l’ont produit, à la sueur de leur front d’esclave.. ! Il en faudra de l’eau sur du coton, pour leur laver l’affront !

 

-

 

- Quand on pense que le mauvais temps c’est juste une petite et ridicule épaisseur de nuages ! Et c’est surtout quand on prend l’avion qu’on remarque à quoi ça tient. Ca donne envie de le prendre plus souvent, juste pour ça, pour réaliser que le moral tient à peu de chose.

 

-

 

- Quand on pense que pour être pilote d’avion il faut faire toutes ces études ! Alors qu’il s’agit de conduire tout droit pendant des milliers de kilomètres !!

 

-

 

- Quand on peut peu, on puet-puet..

 

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- Quand on prend de l’âge, on aimerait bien pouvoir le rendre.

 

-

 

- Température Quand on prend la température à un petit Touareg, ou à un petit Eskimo, il faut se dépêcher de lire le résultat.

 

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- Quand on réalise tout ce qui peut vous traverser l’esprit, on se dit qu’en comparaison, les comètes dans le ciel ou les étoiles filantes, c’est rien.

 

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- Quand on reçoit des invités, on met les petits plats dans les grands, et les petits fours dans le grand.

 

-

 

- Quand on reçoit des liasses, on est en liesse..

 

-

 

- Quand on roule trop sa bosse, il arrive qu’on se la cabosse ; mais ça arrive même à ceux qui bossent.

 

-

 

- Quand on s’appelle Lévêque, on risque de se faire appeler Monseigneur, chose encore supportable, mais les pince-sans-rire préfèreront ‘Pince-monseigneur’, ce qui est moins flatteur. On risque aussi d’essuyer quelques sarcasmes lors de son mariage, mais surtout de voir ses rejetons rejetés. Comme quoi, quelque part, on traîne un péché originel..

 

-

 

- Quand on suit trop la mode, elle finit par vous perdre en chemin. Vous devenez modelé, ou pire, modélisé. C’est pas le top.

 

-

 

- Quand on termine une lettre, il faut bien distinguer sa considération de l’expression qui va avec. Quant aux sentiments, ne veuillez pas constamment agréer à tout prix, même respectueusement. Vous risqueriez de vous tromper de formulation et de finir par respecter de manière considérable les distinctions profondes d’une expression sentimentale à bout de souffle.. Signez et basta !

 

-

 

- Quand on trouve une salamandre dans sa salle-de-bains, c’est qu’elle fait sa toilette. (elle a toujours été complexée côté propreté..).

 

-

 

- En vain Quand on voit tout ce que les gens dépensent en vain, on se demande comment il n’y a pas plus d’alcooliques.

 

-

 

- Allez savoir ! Quand on vous dit « ..Allez savoir ! », allez-y, on sait jamais !

 

-

 

- Quand on vous interpelle par un ’’Mon cher Monsieur’’, méfiez-vous, c’est mal parti..

 

-

 

- Quand on vous invite à ‘boire un verre’, il ne s’agit pas du contenant mais du contenu. Vous ne risquez pas de vous retrouver à l’hosto pour étouffement. Par contre, pour ceux qui ont bu la tasse, c’est pas impossible.

 

-

 

- Quand on vous « laisse entendre.. », profitez-en pour bien écouter, car ‘ils’ ne vont pas vous le répéter.

 

-

 

- Quand on vous met sous le nez une erreur attribuée, c’est vrai qu’elle sent plus fort ; non pas que je sois de nature enrhumée, mais j’ai l’odorat peu développé.

 

-

 

- Cocagne et Pérou Quand on vous parle d’un pays de Cocagne, quand on vous dit qu’ailleurs c’est le Pérou, méfiez-vous, il y a à boire et à manger. ..Ou plutôt, il y a peut-être à boire, mais pas forcément à manger..

 

-

 

- Quand on vous parle de l’aine, ou des aisselles, d’accord ; mais quand on parle des seins, y-a pas besoin de faire un dessin.

 

-

 

- Quand on vous parle du sort du hareng, c’est vrai que pour un sort triste, ‘ça l’est’ !!

 

-

 

- Quand on vous ressort la polémique des trous du gruyère ou de l’emmental, bouchez-leur un coin, en arguant que ce qui importe c’est qu’on vous le vende au poids. Tout le reste, c’est du vent.

 

-

 

- Quand on vous traite de ‘moins-que-rien’, dites-vous que c’est rien, que vous ne risquez rien, puisque c’est vraiment rien. C’est même moins que vraiment rien.

 

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- Quand ses enfants étaient petits, le pharmacien leur racontait des contes d’apothicaire.

 

-

 

- Quand ta peau s’ex-folie, c’est pas forcément un dermatologue qu’il te faut. Ou alors d’un certain genre..

 

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- Quand tout part à vau-l’eau, et que même l’amour vous lâche, dites-vous qu’il vous reste au moins l’eau fraîche.

 

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- Quand tu auras mon âge, j’aurai le tien, disait le jumeau à son frère.

 

-

 

 

 

 

 

- Malabar Quand tu en as marre et que t’as pas de malabar, tu te barres. C’est ce que fit Jean Bart, quand il reprit la barre, cap Zanzibar. (Cette phrase anodine et apparemment futile est chargée en réalité de références historiques sérieuses :Jean Bart fut, en effet, un corsaire français du 17ème siècle ; et Zanzibar, une île de l’Océan Indien, partie de la Tanzanie, ancien comptoir marchand sur la côte orientale d’Afrique. Quant à savoir si notre ami Jean y accosta, je ne me prononcerai pas, ayant moi-même quelques petits problèmes de prononciation.) (J’en profite pour vous signaler que Malabâr est une partie de la côte sud-ouest du Deccan, sur l’Océan Indien aussi.). Ne me remerciez pas.

 

-

 

- Cool ! Quand tu es stressé, fais comme la rivière. ‘’Cool’’ ! Mais ne coule pas !! Et ne va pas elle, comme elle, te jeter dans la mer. Ou alors, juste pour prendre un bain. Cool !

 

-

 

- Quand tu permutes ‘permute’, tu mère-putes..

 

-

 

- Quand tu te mets à penser à la notion d’infini, ‘in fine t’es si mal’ que tu te demandes s’il vaut mieux être mathématicien ou philosophe !

 

-

 

- Quand un athée vous dit : « Je vous en prie », méfiez-vous..

 

-

 

- Quand un bien est ‘acquis’, il n’est plus ‘à-qui..le-veut’, ou alors c’est que c’est un mal.

 

-

 

- Quand un blanc parle de faire la peau à un noir, c’est faute de pouvoir la lui refaire. On se refait pas.

 

-

 

- Garbure Quand un canard marche vite, on dit qu’il garbure.

 

-

 

- Quand un chanteur engagé plaide pour de nobles causes, il se fait l’avocat de la justice mais il ne l’est pas ; sinon ce serait un « maître-chanteur ».

 

-

 

- Quand un compromis ‘tourne’ à une compromission, c’est que vous avez raté le virage.

 

-

 

- Déformation professionnelle Quand un curé « vous prie de croire », il faut lui pardonner. C’est une déformation professionnelle.

 

-

 

- Quand un homme vous parle de fo-lies, mesdames, il y a toujours, derrière, un vrai lit.

 

-

 

- Quand un imitateur plagie un homme d’Etat, on touche aux limites de l’imitation.

 

-

 

- Quand un patron dit à sa secrétaire qu’il aimerait pouvoir compter sur elle, celle-ci est en droit de se poser des questions, surtout s’il est gros.

 

-

 

- Quand un pékinois vous ‘jappe au nez’, c’est qu’il s’est aperçu que vous n’aviez effectivement pas le même que celui de ses maîtres d’origine.

 

-

 

- Quand un problème financier est insoluble, ce n’est pas tant une question de solvant que de solvabilité.

 

-

 

- Quand un schizophrène, prenez garde de ne pas l’emboutir ; surtout par derrière..

 

-

 

- Quand une femme enceinte a un fort grossissement, ce sont des jumelles.

 

-

 

- Quand une mise-en-rime n’est pas de mise, elle ne rime à rien.

 

-

 

- Quand une phrase commence par ‘Un beau jour’, vous pouvez être sûr que ça se termine mal.

 

-

 

- Quand une pierre se détache d’un mur, scellage.

 

-

 

- Quand une raison n’est pas valable, c’est-à-dire quand elle n’en est pas une, on a tord de l’appeler ‘raison’ ; on devrait donc parler de ‘tord’. En attendant on s’y est habitué, à tord ou à raison.

 

-

 

- Quand vos espoirs sont déçus, l’espe est rance.

 

-

 

- Quand votre ‘acolyte’ se plaint de maux de ventre, prenez-le très au sérieux, ça peut être doublement grave.

 

-

 

- Quand vous aurez à faire à des hommes d’affaires, ne vous laissez pas faire. Ne vous en laissez pas conter parce qu’ils croient savoir compter. Faites fi de leur défi, et montrez-leur votre valeur. Malgré leurs comptables et leurs dessous-de-table, ils ne pourront pas vous impressionner. Poil au nez ! Et ne vous avouez jamais vaincu ! ..

 

-

 

- Marre ! Quand vous avez suffisamment, vous en avez assez, mais sans en avoir marre. Mais quand vous vivez dans le besoin, vous finissez par en avoir marre, mais de ne pas en avoir assez.

 

-

 

- Quand vous comptez les points sur un ring, lors d’un match de boxe, ou bien quand vous comptez les coings, dans un cajot, il faut en rajouter quatre.. (me permettrais-je ? Il y a points et poings, comme il y a coings et coins..)

 

-

 

- Quand vous constatez le désordre qui règne dans certains presbytères, vous vous demandez comment le prêtre a bien pu être ordonné.

 

-

 

- Pas terrible.. Quand vous dites « Elle n’est pas terrible » pour ne pas avoir à dire « Elle est nulle », vous faites une litote. Mais quand vous dites « Elle est nulle ! », vous faites une maladresse. Sinon, ne dites rien, ou faites la moue..(mieux encore, faites l’amour, si ce n’est pas celle dont vous parliez.. ; et si c’est « pas terrible », c’est peut-être de votre faute.)

 

-

 

- Quand vous écrivez Ruth, n’oubliez pas le ‘h’, par pitié !! ..et par pudeur.

 

-

 

- Consonne Quand vous entendez consonne, si c’est féminin, allez lui ouvrir ; ça peut pas être une voyelle. Si c’est masculin, ne lui ouvrez pas ; ça ne peut être qu’un con, ou alors un voyou.

 

-

 

- Quand vous entendez dire « ..qu’il ment, pure-ment et simple-ment.. », vous pourriez être améné à croire qu’il y a trois menteurs, même s’il est vrai qu’on ne connaît pas beaucoup de Mme Pure ou de Mr Simple..

 

-

 

- Quand vous êtes black ou beur, et que vous tombez sur des flics, vous avez trois chances sur deux qu’ils vous tombent dessus.

 

-

 

- Quand vous êtes horrifié, il est de ‘règle’ de ne pas dire : ‘C’est menstruel’, mais ‘C’est monstrueux’.

 

-

 

- Quand vous imitez volontairement ce que dessine spontanénement un enfant en bas-âge, vous risquez de créer un style promis à un brillant avenir. Comme quoi, n’attendez pas d’être gâteux pour revenir en enfance..

 

-

 

- Quand vous jetez un pavé dans la mare, gare ! Vous risquez des éclaboussures, sûr !

 

-

 

- Quand vous laissez l’encrier ouvert, l’encre seiche.

 

-

 

- Quand vous laissez tomber en désespoir de cause, c’est plutôt en désespoir d’effet, ou alors c’est que la seule cause, c’est « Cause toujours.. ! ».

 

-

 

- Nase ! Quand vous levez un lièvre, regardez bien en-dessous. Il se peut que ça n’en soit pas un, mais que ce soit une hase. (NDLR : le lièvre comme son hase « vagissent », ainsi que le crocodile, et le nouveau-né ! ) (Si ce dernier le savait, il embêterait moins souvent ses parents..)

 

-

 

- Quand vous ne savez pas comment vous arrêtez, faites appel à des pros : demandez les gendarmes.

 

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- Quand vous ouvrez les guillemets, pensez à les refermer, sinon on ne sait pas qui parle.

 

-

 

- Quand vous pensez qu’il y en a qui hésitent encore entre ‘Chat l’Ange’ et ‘Tcha-lindge’.. ! ça vous fiche le spleen pour tout le week-end !

 

-

 

- Quand vous prenez un exemple, pensez à le remettre à sa place ; ça permettra à celui qui en cherche un de le retrouver plus facilement.

 

-

 

- Quand vous ratez la préparation de vos yaourts, ou de votre lait caillé, il y a effectivement de quoi en faire un fromage.

 

-

 

- Quand vous signez un chèque, évitez de saigner un tchèque.

 

-

 

- Quand vous sortez un poisson de l’eau, vous réalisez combien il a besoin de sa mer.

 

-

 

- Quand vous tomber dans le panneau, c’est pas forcément que vous êtes innocent, c’est souvent parce qu’il n’y avait aucun panneau.

 

-

 

- Quand vous transpirez dans vos chaussures, elles commencent par vous pomper la transpiration, avant de vous pomper l’air.

 

-

 

- Quand vous utilisez un tout nouveau produit, c’est l’épreuve par neuf.

 

-

 

- Quand vous vous faites allumer, c’est votre moral qui s’éteint.

 

-

 

- Quant à être saoul, il vaut mieux que ce soit entre le 31 décembre et le 1er janvier, qu’entre le 1er janvier et le 31 décembre.

 

 

 

 

 

Fin des ‘Quand..’

 

 

 

Laissez décanter..

 

 

 

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- Quartier Latin : quartier chinois de Paris où l’on ne trouve que des Romains.

 

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- Que ce soit dans votre vie familiale ou professionnelle, dans le domaine social ou politique, avant même que ce qui vous concerne ne vous intéresse, il faudrait déjà que ce qui vous intéresse vous intéresse vraiment.

 

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- Que ce soit en Terre-de-Feu, à proximité du Cap Horn, ou aux alentours du Cap de Bonne-Espérance, l’Océan Atlantique n’est pacifique que ça.

 

-

 

- Que celui qui se prend une veste ne se bile pas, ne s’obnubile pas, mais se dise que l’important est tailleur.

 

-

 

- Que ceux qui ne veulent s’occuper que de leurs propres oignons, et pas de ceux des autres, se méfient : même vos oignons finiront toujours par vous faire pleurer.

 

-

 

- Que dire à un chapelier qui fait bien son boulot ?!…

 

-

 

- Que les écolos se rassurent, on n’a pas encore trouvé l’arbre qui cache la forêt, ni l’herbe qui cache la prairie.

 

-

 

- Que les yeux soient bleus ou marron, ça saute pas toujours aux yeux.

 

-

 

- Que faire contre le machisme ?! Je ne vais pas mâcher mes mots : il faut que les femmes deviennent macha !

 

-

 

- Que le grand ne regarde pas le petit de haut. Sa descendance risquerait d’être marquée du sceau de la ‘con-descendance’

 

-

 

-

 

- QuE suis-je ?

 

 

 

Les phrases qui vont suivre sont celles que s’est posées ‘le Penseur’ de Rodin, lorsqu’il a été immortalisé dans le marbre dans la position qu’on lui connaît, c’est-à-dire assis sur un rocher, le coude sur son genou, son menton reposant sur le poing refermé.

 

Je vous demande beaucoup de concentration parce que ces phrases sont, ou paraissent, effroyablement banales. Merci.

 

 

 

On pourrait l’intituler : ‘Incroyable banalité’ :

 

« Pourquoi suis-je moi ?

 

Et pas quelqu’un d’autre ?

 

Pourquoi suis-je en moi, et pas dans la peau d’un autre ?

 

Pourquoi suis-je le seul à avoir conscience de moi-même, différent de tout ce qui m’entoure, à savoir les autres humains et le monde qu’ils habitent, l’univers ?

 

Pourquoi, en étant dans le monde que je perçois, j’en suis à l’extérieur puisque je ne suis pas ‘lui’ ?

 

Pourquoi cette particularité unique, singulière, que doit pourtant partager chacun d’entre nous !?

 

 

 

Une fois qu’on a dit que c’est la caractéristique de tout être humain, - la condition humaine ? -, on n’a rien répondu du tout. La question reste en suspens, insoluble.

 

Je reste le seul humain de la terre, de la terre géographique, c’est-à-dire dans l’espace, comme de la terre historique, dans l’histoire de l’humanité, c’est-à-dire dans le temps, à être moi.

 

Je suis unique, unique et seul.

 

 

 

Incroyable banalité.

 

Pourquoi suis-je le seul à être moi, alors que chacun l’est, quand il ‘se’ pense ?

 

Ça vous laisse de marbre ?

 

Le penseur de Rodin, aussi.».

 

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- Trouvère ou Troubadour ? Quel est ce parolier célèbre, pour ne pas dire de génie, qui trouva cette rime riche qu’on appelle « rime d’Eugénie » ? Cette rime en « la, la, la » ! On l’ignore.

 

Par la suite il rajouta cette variante inspirée qui fit le tour des cercles raffinés des poètes de l’époque, variante en « tra, la, la. ».

 

Quant à « Tra, la, la, la-lère », c’est un trouvère qui la trouva.

 

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- Quel est l’animal qui se torture le plus l’esprit (si l’on peut dire..) ? La tortue, car elle croit, à tord, que le tord tue.

 

Alors que c’est le cri qui tue !

 

D’autant que sous sa carapace, elle ne craint ni les cars, ni les rapaces.

 

-

 

- Quel rapport entre le responsable du harem et les femmes dont il a la charge ? Aucun, justement. C’est bien pour ça qu’il a été nommé.

 

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- Quelle est la péremption des dattes ?

 

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- Quelle extraordinaire épopée que celle de l’invention de la roue.. !

 

Bien avant notre civilisation occidentale, des peuplades d’Indonésie avaient déjà essayé de faire tourner un carré, après que l’expérimentation du triangle ait échoué. Ce ne fut guère plus concluant.

 

Un millénaire plus tard une civilisation du centre de l’Europe de l’Est entreprit de le faire avec un pentagone mais sans succès.

 

Des ancêtres de notre ancienne Gaule essayèrent l’hexagone, mais la rotation était encore laborieuse, saccadée.

 

Des contemporains des premiers pharaons expérimentèrent alors l’heptagone, puis l’octogone mais abandonnèrent assez vite pour se consacrer aux Pyramides.

 

A l’époque grecque, un essai d’antigone faillit réussir.

 

Il fallut attendre l’An zéro de notre ère, autrement dit l’An 0, pour qu’un dénommé Le Roux trouve enfin le principe de la roue, après avoir voulu occuper son fils en lui fabriquant un cerceau.

 

Comme quoi cette année-là n’a pas été aussi nulle qu’on veut bien nous le faire croire. Depuis, la roue tourne.

 

Remarquez, avant aussi, mais on n’employait pas cette expression.

 

 

 

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- Quelle différence entre une fin de semaine et des toilettes ? Pas grand chose ; une lettre. La différence entre WE et WC.

 

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- Quelqu’un d’à moitié endormi l’est souvent un peu moins qu’on ne le dit, c’est-à-dire un peu moins que la moitié ; quelqu’un d’à moitié barjo l’est généralement un peu plus.

 

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- Quelqu’un qui pontifie, en parlant avec emphase et prétention, ne fait pas de ‘pontifs’, mais il peut dire des poncifs.

 

-

 

- Quelqu’un qui reconnaît ses limites, les a souvent beaucoup plus loin qu’il veut bien le faire croire.

 

-

 

- Quelque part, les gens qui n’ont pas pris part à la richesse de leur collectivité sont des gens de ‘nulle’ part.

 

-

 

- Quelque part, les psychiatres sont des ‘porte-mentaux’, et presque des ‘patères’, puisqu’ils vous portent un regard condescendant mais affectueux.

 

-

 

- Qui aime les OGM, à part OG ?

 

Roger ?!

 

T’es bien le seul..

 

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- Qui trop embrase mal éteint ; et qui trop embarque ..mal en bateau.

 

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- Qui veut arriver loin remplace sa monture ; et avec le temps, ses lunettes.

 

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- Qui veut tuer sa dent l’accuse de la rage (de dents).

 

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- Qui vi-tu-père ne perd pas sa vie ..mais son temps.

 

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- Quitte à avoir quelque chose qui se termine en psychose, autant que ce soit une métempsychose, même si vous vous réincarnez en psychiatre..

 

-

 

- Quoiqu’on en dise, ou plutôt, quoiqu’on n’en dise pas, l’art gaulois était très développé. Certes rudimentaire, rupestre, agraire, il n’en était pas moins riche et multiforme. On pouvait même parler d’arts au pluriel. Mais face à l’art romain, ces-arts avaient peu de chance de passer à la postérité.

 

-

 

- Quoi qu’on dise, une bête ne fait jamais de bêtise. Eventuellement une erreur. Et l’âne est loin d’être le plus sot.

 

-

 

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Ming telpot :

 

 

 

- Si les attestations « pour servir et valoir ce que de droit » commencent toujours par « En foi de quoi », il n’est jamais précisé de quel foie il s’agit, alors que l’auteur qui les délivre semble lui-même perplexe sur la question, trahi par son ‘quoi’.

 

- Le temps passe plus vite que nous, à en juger par notre éternel étonnement à s’apercevoir qu’on en est déjà là..

 

- La Palisse avait tellement d’humour, que même après sa mort il lui en restait encore.

 

- Paradoxalement, les racistes sont rarement tentés par le vote blanc.

 

- Il y a les compt-ines, et les cont-extes. Et il faut toujours replacer les premières dans les secondes, ce qu’indique bien, d’ailleurs, les ‘préfixes de la fin’ des deux mots. (puisqu’on ne dit pas les ‘postfixes’..)

 

- On distingue la voie à double sens, la voie à sens unique, et la voie à sens issu, dont je n’ai jamais su de quoi elle était issue.

 

- Un chauve qui sourit est un sage ; un chat qui sourit est un mage ; un serf qui sourit est un page.

 

- Deux kimonos ne feront jamais un kiduo, même en kit.

 

- Il ne faut pas se laisser griser par le succès, car on peut passer successivement du gris clair au gris foncé, puis au noir. Ne pas se laisser griser non plus par l’âge, puisque les cheveux s’en chargent très bien tous seuls.

 

- S’il y a une chose qu’on ne peut pas reprocher à ceux qui ne veulent jamais rien faire, c’est leur constance, pour ne pas dire leur persévérance. Mais je n’irai pas jusqu’à dire leur volonté..

 

- Ne pas confondre le spa et la SPA. On n’y voit pas le même genre de bêtes, « n’est-c’ pas.. !? ».

 

- On peut couver des yeux, comme on peut couver des œufs, mais pas avec le même sujet, ni avec le même objet. Et à couver des œufs, ne couvez pas ceux de Pâques.. !!

 

- Quand les scientifiques auront réussi à localiser le système qui permet aux pigeons-voyageurs de se localiser dans l’espace au cours de leurs déplacements, on aura encore délocalisé un peu plus la poésie et le mystère, qui font le charme de la nature.

 

- Quand on laisse partir les choses à volo, faut pas s’étonner qu’elles finissent par se prendre les pieds dans les pédales.

 

- Un archer qui va et vient sur le manche de son violon fait office de lime à sons.

 

- Un bureau alloué n’est pas un bureau à louer ; c’est même tout le contraire.

 

- Dans le temps, les secondes ne seront jamais les dernières. Si, à part une..

 

- Le moral, c’est important. Faut pas le faire râler, faut le faire-aller.

 

- Pierre et Paul sont dans un bateau. Jean tombe à l’eau..

 

- Dans le domaine de l’occasion, on tombe souvent sur des cas. Heureusement dans l’ensemble ce sont des cas potables.

 

- Les diplomates n’ont pas le droit à la colère, mais à la dissuasion protocolère.

 

- J’ai beaucoup de respect pour les musulmans qui vont prier dans leur mosquée, mais je me demande toujours comment ils font pour retrouver leurs chaussures en partant ?

 

- Même s’il est parfaitement légitime et souhaitable de s’informer auprès de son notaire de l’incidence du décès de son partenaire sur la succession, n’empêche, c’est un peu « la question qui tue »..

 

- On ne dit pas ‘des oranges sanguinaires’, mais ‘sanguines’. (sauf pour les ‘mécaniques’ de Stanley Kubrik..)

 

- Devenir avocat est le fruit d’un long travail.

 

- Ne soyez pas antigone par principe.

 

- Si le volailler est bien le marchand de volailles, le poulailler n’est pas le marchand de poules, ni le coquetier celui de coqs.

 

- Origines En attendant de prouver qu’Adam et Eve sont bien nés en France, qui nous dit que nous ne sommes pas des étrangers ?

 

- Anti-conformiste Un anti-conformiste n’a pas d’idées reçues. Ou du moins les idées reçues ne lui étaient pas destinées. Le facteur n’a pas réussi à lui faire signer l’accusé de réception.

 

- Un mariage peut concerner une personne âgée. Une naissance concerne plus généralement un enfant jeune.

 

- Un monde sine cure : un monde sans curé.

 

- Un noyer ne devrait pas se retrouver au fond d’un lac. Pourtant les journaux en parlent parfois, peut-être parce qu’ils font feu de tout bois.

 

- Quand ça peut aller, c’est que ça peut revenir. Et d’ailleurs ça n’a même pas besoin de revenir puisque ça va.

 

- Il n’est pas interdit de se faire entuber par son chirurgien, son anesthésiste ou son infirmière, même s’il leur est plus coutumier de vous intuber à l’occasion. Mais dans les deux cas, il faut que ça reste exceptionnel.

 

- Peut-on passer une nuit torride avec une inuit ? Il faut vraiment qu’elle soit douée ! Surtout que les nuits pôlaires sont plus longues que les notres..

 

- Par définition, les indi-gênent quelque soit le pays colonisé, c’est connu. C’est bien ce qui justifie la notion d’action pacificatrice des colonisateurs, en dehors de leur apport civilisateur.

 

- Pour les racistes, seuls les gens d’ici ont des droits légitimes. ’’D’ailleurs’’, ..ils vous diront que non. ( !!)

 

- Faut-il accepter que les oiseaux migrateurs viennent manger nos graines et coloniser nos campagnes ? Est-ce-que les hirondelles qui reviennent chaque année au printemps sont bien de chez nous ? Qui vous dit que les cigognes ne sont pas de nationalité étrangère ? Et ce n’est pas parce qu’on a de drôles d’oiseaux chez nous qu’il faut laisser entrer n’importe qui !

 

- Les moutons mérinos ont de la toison à foison.

 

- Un illusioniste complexé ne se fera pas d’illusions sur son avenir. Sur le mien non plus, d’ailleurs.

 

- Prestidigitateur.., rien que le mot déjà vous décourage de vous lancer dans la profession. D’ailleurs, je ne m’amuse jamais à le prononcer.

 

- Monsieur Lacantonade demande qu’on ne lui lance plus rien, même si c’est sans méchanceté. Ce n’est pas un primate.

 

- Mariage pluvieux, mariage gay.

 

 

 

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R de : Rappelez-vous en !

 

Rafraichissant, Ramène-sa-fraise, Rebelle, Réfléchi, Recommandable, Redoutable, Régal, Remarquable, Renommé (pas encore..), Repartie-Réplique-Riposte, Réprobateur, Réussi, Revigorant, Royal..

 

 

 

 

 

 

 

- Rabougri : rat très vieux.

 

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- Racaille : rat à plumes qu’on trouve dans les quartiers et les banlieues.

 

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- Rachitique : rat cachectique.

 

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- Radiateur : rat qui a toujours chaud. On dit aussi ‘rappelé’, puisqu’il se rend régulièrement chez l’esthéticienne pour se faire tondre. Vit généralement en bande de quatre, avec deux autres pelés et un tondu.

 

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- Radiologie : monde opaque du milieu journalistique.

 

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- Ramasseur de pêches : celui qu’on encourage à être dans le péché toute la journée. Ramasseur de balles : civil qui n’a pas demandé à en recevoir.

 

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- Rancune (Sans rancune) :

 

 

 

Par les temps qui courent, ..si vous devez faire un malaise hors de chez vous, autant le faire dans un magasin, où le responsable de rayon, ou le patron, se sentira obligé de vous ramasser, pour peu que vous n'ayez pas encore réglé vos articles.

 

Ou alors choisissez carrément un couloir d'hôpital ; là ils sont payés pour ça ! D'autant plus que vous gênez le passage !

 

Mais évitez les rues piétonnes, les boulevards fréquentés, les galeries marchandes, les bouches de métro ou les gares aux heures de pointe.

 

Là, paradoxalement, vous ne dérangez personne. Les gens vous contourneront sans rouspéter, au pire des cas ils vous enjamberont. Mais n'ayez crainte, personne ne vous piétinera, on n'est pas des bêtes !

 

Par contre, c'est pas la peine d'appeler à l'aide, de crier "au secours", ça sert à rien ; pire, çà fait mauvais effet ! D'abord la plupart des gens ne vous verront pas ! Quant aux autres, ils auront une moue de contrariété, ou de répulsion si vous êtes moche ! Au mieux, ils vous plaindront à demi-mot !

 

Il faut dire que, entre ceux qui sont pressés, et ceux qui ne sont pas médecins !

 

Le plus dur, c'est d'attendre, ..que çà vous passe !

 

Ce qui peut vous arriver de mieux c'est qu'un médecin passe par là, ou les pompiers ! Le problème c'est que les pompiers, à pied, ça court pas les rues ! Encore faut-il qu'ils soient pas pressés, qu' y' ait pas l' feu !

 

Sinon, en dernier recours, y' a un truc qui marche bien, c'est de choisir un passage-piétons ! Pas parce que les piétons s'arrêteront, mais parce que les voitures n'oseront pas vous écraser ! Et là, une fois l'embouteillage créé, on finira bien par trouver quelqu'un d'assez pressé, ou bien qui s'emmerde, pour avoir l'idée d'appeler le SAMU de son portable.

 

C’est vrai quoi, on vit dans un pays civilisé, quand-même !

 

 

 

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- Rassurons les parents, l’éthymologie du verbe ‘professer’, c’est-à-dire dispenser un enseignement, n’a rien à voir avec celle de ‘fessée’. Même si parfois on le regrette..

 

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- Recevoir régulièrement des recommandés n’est pas très recommandé.

 

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- Recrudescence : s’écrit en un seul mot, s’il ne s’agit pas d’un nouvel adepte du plus vieux métier du monde. Mais rien ne permet de cumuler les deux sens, en envisageant une recrudescence de ces recrues-là.

 

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- Réflexion féminine : Combien vaut un homme ? Cà vaurien !

 

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- Réflexion masculine : Combien vaut une femme ? Cà volage qu’on lui donne.

 

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- Réflexion : réflexe d’intellectuel. Genuflexion : réflexe de religieux.

 

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- Régulièrement, la population est censée être recensée. Mais ça donne l’impression qu’on la compte deux fois. Il faudrait donc diviser le résultat par deux, à chaque fois, pour garder le bon chiffre. Mais alors, autant ne compter que la moitié de la population, ce serait deux fois plus rapide. Ou le dixième, dix fois plus vite.. A ce train là, autant n’en compter qu’un et multiplier par le nombre d’habitants qu’on est.

 

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- Rendez-vous manqué :

 

 

 

Quand on verra l’Exemple au rancard,

 

On rang’ra la Morale au placard.

 

En attendant, ceux qui la proposent,

 

On peut les envoyer sur les roses.

 

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- Renonculacées : famille de belles plantes qui en ont assez qu’on .., comment dire ?

 

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- Requin avait perdu son poisson pilote.

 

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- Retraité : personne qui se plaint de ne pas avoir le temps alors qu’elle en a plein, qu’elle est déjà assurée d’avoir vécue, et d’avoir une retraite.

 

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- Révolution : rêve d’évolution.

 

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- Rhum, unique objet de mon ressentiment..(extrait d’une tirade prononcée par le grand Marnier, dans le Grand Meaulnes).

 

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- Rhume de cervau : rhume des intellectuels, par opposition au rhume des foins, qui est celui des paysans.

 

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- Rien de nouveau sous le soleil, mais sous la lune aussi.

 

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- Rien de mieux que d’équeuter vos haricots, pour méditer. (Ne cherchez pas de blague, il n’y en a pas..).(c’est ma femme qui me l’a faite découvrir.)

 

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- Rien n’est plus bête que d’avoir une maladie idiopathique ! Et pour le coup c’est pas une blague, puisque c’est une maladie dont on ne connaît pas la cause ! Mais il est plus facile de dire que c’est la maladie qui est idiopathique plutôt que le médecin..

 

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- Rien ne ressemble plus à un policier qu’un flic, surtout lorsqu’ils sont en uniforme.

 

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- Rien ne se décrète sans raison. Le coq non plus.

 

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- Rien ne se perd, rien ne secret.

 

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- Rien ne vaut une petite dépression pour vous faire tomber la pression.

 

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- Rikiki, riz à petit grains.

 

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- Rira bien qui s’en ira le dernier.

 

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- Rocambolesque : rock déjanté.

 

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- Roland et Laurent se regardaient en chien de faïence.

 

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- Ronfler : se remettre à onfler.

 

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- Rom : boisson alcoolisée des gens du voyage.

 

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- Rossignol : éructation réussie, par son côté musical et poétique, après une bonne lampée de gnole.

 

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- Rudes-be-men : adaptation française de ‘rugbymen’, et qui traduit bien la devise : « Soyez des hommes rudes ».

 

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Papi russe :

 

 

 

- De tous temps le sage est désabusé. Il sait qu’user nous conduit à abuser. Ce qui est la plus sûre façon de s’user.

 

- Lupanar : repaire d’anarchistes. (Ne serait-ce que parce qu’ils sont bordéliques..)

 

- Pour un physicien, neutraliser quelqu’un de négatif ne peut être que positif.

 

- Cas ne s’écrit avec un k que lorsqu’il pose un problème. On parle alors d’un cas particulier. Idem pour ‘conscience’, auquel cas on parlera d’un « k » de conscience.

 

- Ce pianiste original a voulu mettre au goût du jour les Nocturnes de Chopin.

 

- Quelque soit le type de bas que vous proposerez à une jolie fille, ça lui fera une belle jambe.

 

- Quand un homme à femmes rencontre une femme à hommes, cela ne préjuge en rien de la pérennité de leurs relations, ni de leur fugacité d’ailleurs.

 

- Il y aura toujours des gens pour naître sous la bonne étoile, malgré l’infinie multitude de ses dernières, ou peut-être grâce à elle. Ils ont choisi le bon moment pour naître, le bon lieu, la bonne famille ; ils ont trouvé le bon job, la bonne épouse, le bon milieu social. Ils ont même trouvé le bon Dieu.

 

- Ne pas dire à une fille avec qui l’on a prévu de faire, par exemple, une sortie en vélo : « Je passe te prendre », mais plutôt : « Je passe te chercher ». Même si avec certaines personnes, quand on les cherche on les trouve.

 

- Après la nuit, l’obsède la place au jour.

 

- Combien y-a-t’il d’hyperactifs par rapport aux actifs ? En tous cas moins que d’hypoactifs, dont on ne sait pas grand-chose tous comptes faits, hormis qu’ils sont difficilement repérables par les caméras de sécurité.

 

- Jean’s évangile : évangile selon St-Jean.

 

- Inquisition : détail de l’Histoire, avec perquisition des âmes, et réquisition des corps qui allaient avec.

 

- Le bolet préfère sa première syllabe. Qu’il sache qu’on l’apprécie surtout pour sa saveur.

 

- Gain de temps : temps qu’on a réussi à économiser sans trop savoir ce qu’on allait en faire, et ce jusqu’à ce qu’on le perde à ne rien faire. Mais doit-on systématiquement en faire quelque chose ?

 

- Culture : mot à vérifier sur le dictionnaire.

 

- Temporiser : attendre que le temps passe pour vérifier à quel moment il passe le mieux.

 

- Génie : peut rien.

 

- Soupape : nom méprisant donné aux papes d’Avignon, jugés inférieurs vis-à-vis du pape de Rome. La preuve c’est que tous les chemins ne mènent pas à Avignon.

 

- Survivre : vivre au-dessus de ses moyens.

 

- Trop de conscience pose problème aux personnes concernées. Trop peu de conscience pose un problème aux autres.

 

- Jupiter : jupe qui descend jusqu’à la cuisse, contrairement à la jupe normale qui, elle, monte jusqu’à la cuisse, et la mini-jupe, qui monte un peu plus haut. (on ne dit pas jusqu’où..)

 

- Faute d’orthographe : piège que l’on tend à celui qui lit, afin de vérifier s’il s’en apercevra.

 

- Le problème avec les jours qui allongent c’est que les nuits raccourcissent.

 

- Il faut éviter que le dénommé Killvomieuquntien tue Laura. Elle n’y est pour rien dans cette histoire idiote.

 

- Un tiers-payant vaut mieux que deux tiers-à-crédit.

 

- Un ‘tiens’ vaut mieux que deux ‘tu l’auras-dans-l’os’.

 

- Un entretien vaut mieux que deux rendez-vous manqués. (remarquez, çà dépend avec qui..)

 

- Les mamelles sont jumelles, au point que le nouveau-né a du mal à choisir.

 

- Quand je serai dans ma bière, buvez la votre à ma santé, ou plutôt à la votre.

 

- Il ne faut pas prendre les enfants sauvages pour les canards du Bon Dieu ; ni les connards sauvages pour les enfants du Bon Diable.

 

- Son frère avait un père jumeau.

 

- A table, évitez de passer du coq à l’âne. Il y a davantage à manger, mais c’est moins bon.

 

- Parfois, quand la pluie commence, elle ne s’arrête plu.

 

- Sur la tombe anodine d’un cimetière anonyme, une inscription à demi effacée disait : « Ci-gît ‘Sui’, l’étranger de service, mort de désespoir. ». Et pour cause, la phrase qu’il avait le plus entendue à son encontre n’était autre que : « Va voir ailleurs.. ». Il a fini par y aller.

 

- Un acte gratuit peut revenir cher. L’acte d’amour est chair d’emblée.

 

- Est-ce que la cordée est l’envers du décor ?

 

- Kyoto n’est pas le verlan de Tokyo. Mais peut-être que ‘vers l’an’ 3000, elle sera son versant ouest.

 

- Vaut mieux rater un raccourci que d’attraper un court-circuit.

 

- Sculpteur de bois au départ, Pierre Dubois s’est reconverti en tailleur de pierre.

 

- La ‘nestcepasie’ est la forme française de « l’isintite », affection verbale bénigne mais très courante dans les pays anglo-saxons, qui trahit un désir de convaincre son interlocuteur dans le moindre domaine de la conversation.

 

- Celui qui est intelligent sait qu’il l’est. Celui qui ne l’est pas ne sait pas qu’il ne l’est pas. Par contre celui qui l’est un peu ne sait pas s’il doit se satisfaire de ne l’être qu’à moitié. Mais comme dirait la bouteille à moitié pleine : « Heureux es-tu de pouvoir boire le reste d’eau qu’il me reste ! »

 

- L’homme a deux extrémités (cinq, diront certains.). (six diront les femmes..) (auquel cas les hommes diront d’elles qu’elles en ont sept.).

 

- Le propre de l’homme ne se voit qu’après le bain.

 

- Peut-on s’estimer sans se sur-estimer ? Par contre, on ne peut que se sous-estimer. (je veux dire, avec ce même raisonnement..).

 

- Pour un enfant débutant en équitation, pas besoin d’un grand poney pour avoir à se cramponner.

 

- L’homosapiens était-il hétérosexuel ? En tout état de cause, il devait être plus sapiens qu’homo, sinon je ne serais pas là pour poser cette question idiote.

 

- Quand on voit les dérives auxquelles il a abouti, le FBI a été une Fausse Bonne Idée.

 

- La dernière demeure est celle où l’on se rend quand on meurt. Au demeurant, rien à voir avec la mise en demeure, mais plutôt avec la mise en bière, même si la fermentation reste à faire. Par contre, pour la mise en boite, ou incinération, pas besoin d’une stérilisation comme pour les conserves, mais d’une crémation. (qui elle-même n’a aucun rapport avec la mise en crème). Tout cela reste une sorte de mise en scène ancestrale à respecter, sans prétention de spectacle, au sens actuel.

 

- Le jour où je serai suivi par les femmes, c’est que je serai allongé dans ma bière, pas ivre mort mais mort tout court. Trop tard.

 

- Un rat court si vite qu’il n’a pas besoin de prendre un raccourci.

 

 

 

 

 

 

 

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S de : Soyez bon public..

 

Sagacité, Sardonique, Sensationnel, Singulier, Sociétal, Spontané, Sensible, Sentimental, Sublime, Super, Surprenant..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Consultation psy S’adressant à l’enfant, tout en réfléchissant à la manière dont il allait le lui dire :

 

- Dis-moi..

 

- Moi, lui répondit aussitôt l’enfant.

 

- Oui, je sais, reprit le psychiatre, c’est là le problème..

 

-

 

- Au revoir S’il avait fallu revoir toutes les personnes à qui on a dit ‘au revoir’, on n’aurait pas eu le temps de voir grand-chose d’autre.

 

-

 

- S’il est parfois un peu tôt

 

Pour le cuistot,

 

Il n’est jamais trop tard

 

Pour le fêtard.

 

-

 

- Jumeaux S’il est souvent difficile de faire la différence entre deux jumeaux, il est encore plus difficile d’en faire la somme.

 

-

 

- Qui paie ses dettes.; S’il est vrai que ‘’Qui paie ses dettes s’enrichit’’, les riches sont les gens les plus honnêtes qui soient. Je m’en doutais un peu.

 

-

 

- S’il fallait appeler sa fille Isabelle uniquement parce qu’on la voit belle, ou son fils Thibault parce qu’on le trouve beau, ou Ange parce qu’il est gentil.., que penserait-on alors des Théodore, Armand, Elisabeth, Barbara, Véronique, ou bien encore des Ninon, Médard, Béranger, Géraud, Luc, Crépin, pour peu qu’on soit dyslexique ..!

 

-

 

- S’il faut regarder la réalité en face, il n’est pas mal, non plus, de la voir parfois sous un autre angle.

 

-

 

- S’il le faut, il ne me le faudra pas !

 

-

 

- La couleur de la Liberté S’il me fallait choisir une couleur pour peindre la liberté, je ne la peindrais ni en bleu, ni en rose, mais en vert et contre tout.

 

-

 

- Refaire le monde S’il me fallait refaire le monde, je le ferais en huit jours au lieu de sept, histoire d’avoir un jour de congé de plus. Ou plutôt en onze jours, en intercalant un jour de congé entre chaque jour ouvré de la semaine. (Ne comptez pas pour vérifier, c’est fait..)

 

-

 

- S’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n’y a aussi pire sot que celui qui ne veut pas comprendre. (mais c’était sous-‘entendu’..)

 

-

 

- S’il vous avait fallu écouter tous ceux qui vous ont envoyés vous faire cuire un œuf, vous auriez beaucoup de cholestérol. D’ailleurs une bonne partie des responsables sont devenus médecins. Prémonition ou préméditation.. ?

 

-

 

- S’il y a bien une remarque qu’il n’est pas besoin de formuler à l’encontre de ceux qui jouent au ballon, c’est ‘Qu’ils s’en footent’ ; sauf s’ils n’ont pas marqué un but de toute la saison.

 

-

 

- S’il y a un ‘oi’ sur lequel j’aurais bien mis un accent circonflexe, c’est bien ‘toît’ (on m’a dit que c’était de l’anthropomorphisme).(je ne me savais pas si fort !)

 

-

 

- Racistes anti-cons Plus il y aura de racistes anti-cons, moins il y aura de racistes anti-arabes .

 

- Racistes anti-cons S’il y avait autant de racistes anti-cons que de racistes anti-arabes, il y aurait moins de ces derniers.

 

-

 

- Sa copine avait une belle angine ; son copain, un bel engin.

 

-

 

- Sa mère finit par lui avouer texto que son mobile lui était insup-portable.

 

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- Sa recette au riz-pilaf était horripilante tellement elle l’avait poivré !

 

-

 

- Saccharose ne s’écrit pas ‘sac à roses’ comme les frustres auraient tendance à le faire, lorsqu’ils savent écrire.

 

-

 

- sagesse, en minuscule, n’est peut-être que retour au ‘Bon sens’, si l’on s’en est écarté ; et ‘Sagesse’, avec un S majuscule, que la conscience du ‘Non-sens’, conscience de ce que les religieux des textes sacrés appellent Vanité (Vanitas, vanitas,..).

 

-

 

- Saint-Dicat : saint patron des ouvriers.

 

- S.. bien raisonnable ? A y être, dans les S, quelques définitions à corriger sur votre Lablonde, ou abrune ?

 

- - Salopette : sorte de pantalon à bretelles prolongé par une bavette, qui prête non pas à rire, en soi, mais à des jeux-de-mots faciles et scabreux.

 

- - Salpingite : saleté à ne pas attraper, ni avec les mains, ni autrement.

 

- - Saltimbanque : banquier qui a mauvaise mine.

 

- Sangsue : méthode ancienne de transfusion sanguine.

 

-

 

- Blague : Pourquoi pas une blague à blagues, c’est-à-dire un sac à mettre des blagues, comme un fumeur met son tabac dans une blague à tabac. Ici, ce serait plutôt une ‘corbeille’ à blagues, comme sur son ‘bureau-écran’ d’ordinateur, où l’on éliminerait les blagues médiocres..(je ne parle pas de celle-ci..)

 

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- Colle Sans défendre les pots-de-colle, qui d’ailleurs n’ont pas besoin de moi, l’invention de la colle, j’y adhère.

 

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- Ils ont tété marqués à vie Sans être psychanalyste -et heureusement, j’en serais malade..- je pense que les humains aiment les rondeurs par intériorisation, par mémorisation, dans leur toute petite enfance, des seins de la maman qu’ils ont tétés. Si l’on peut dire, ils ont ‘têté’ marqués à vie par ce souvenir charnel, chaud, sensuel et vital, et dans lequel passait en plus un amour infini. Merci maman. (..Merci papa, chaque jour je voudrais qu-ça-r’commen-en-en-en-ce, Ouy-ka-di, ka-di, ..)(voir Pierre Perret)

 

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- Couleurs de nuit Je souhaite plus à un noir de vivre une nuit blanche qu’à un blanc de mourir une nuit noire.

 

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- Sans faire appel aux sexologues et autres conseillers conjugaux, on peut affirmer d’une certaine manière que, dans toute relation sexuelle aboutie entre deux personnes de sexe opposé, la femme est toujours comblée.

 

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- Renaissance Sans faire dans la spiritualité, je me dis parfois que, si on est né une 1ère fois, on doit pouvoir le faire une 2ème , vu que c’est toujours la première fois, qui coûte. Le hasard, si c’est lui, n’est pas à un hasard près. Et la copie est toujours plus facile à faire que l’original. Remarquez, même si on me propose autre chose, je signe.

 

-

 

- Sans vouloir jouer le père-siffleur, quand le sau-ci-sson est bon, ça-se-sait.

 

-

 

- Sapristi : sorte de juron désuet qu’utilisaient les sacristains quand ils étaient en retard pour l’office religieux.

 

-

 

- Satyre : homme qui tire un coup sur tout ce qui bouge.

 

-

 

- Saule : arbre bien enraciné, mais souvent triste.

 

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- Saut en hauteur : discipline sportive complémentaire du saut en profondeur.

 

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- Sauter la suivante si vous êtes pâlichon..

 

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- Scalp : perruque inventée par les Indiens d’Amérique. Peu de Blancs leur en achetaient, peu d’hommes arrivant à l’âge où l’on en a besoin, à cette époque.

 

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- Se douter de la vérité revient à se douter du mensonge.

 

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- Se fier à quelqu’un, c’est risqué ; se confier, c’est pire encore.

 

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- Se méfier des « C’est parti.. ! » enthousiastes. C’est pas toujours parti pour une partie de plaisir. De toutes manières, c’est souvent partie remise.

 

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- Se méfier des coups de mains. Certains font très mal.

 

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- Se payer la tête d’un riche, c’est le seul luxe que peut s’offrir un fauché. La guillotine s’en est fauché quelques uns déjà. (désormais, il faut trouver un autre moyen..)

 

-

 

- Se recycler dans les cycles n’est pas évident, malgré les apparences. Il faut déjà s’y connaître un rayon.

 

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- Se rendre à l’ennemi nécessite au préalable de se rendre à l’évidence.

 

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- Séborrhée, c’est pas si beau que ça.

 

-

 

- Selon le profil de la personne, le look comme on dit, si on dit d’elle qu’ : « elle a fait les mines », vous comprendrez vite s’il s’agit de l’école ou des galeries. (je ne parle pas des ‘Nouvelles’..)

 

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- Semeurs (les) :

 

Les semeurs, par définition, sont des gens qui sèment, mais la concurrence là aussi est devenue tellement rude, tellement impitoyable, qu'ils ne s'aiment plus vraiment !

 

Vous m' direz, qu'on s'aime ou pas, on récolte toujours ce qu'on sème !

 

Le problème, c'est que, de nos jours, ce ne sont plus eux qui sèment, ce sont les machines ! Et c'est bien parce que les machines sèment, que les semeurs ..se meurent !

 

Même les semeurs d’espoir se font rares !

 

Comme les terres à cultiver.

 

Prenez-en de la graine..(mais évitez les OGM)

 

 

 

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- Sens dessus dessous : position particulière dans le kamasutra. Ne pas confondre avec ‘Sans dessus dessous’ : complètement nu. Les deux peuvent s’associer..(je parle des expressions.)

 

-

 

- Echec sans mat Seul l’échec permet une deuxième chance.ce n’est pas une raison pour en abuser.

 

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- Sexagenaire : personne perturbée au-dessous de la ceinture.

 

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- Chérif : Policier marocain

 

 

 

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Si vous avez un moment à perdre..

 

 

 

 

 

- Si avec des si, on peut mettre Paris en bouteille, avec des sots, on peut la mettre en boite.

 

-

 

- Si avec elle tu veux avoir ton ticket, soigne ton es-thétique.

 

-

 

- Si c’est de la nourriture que vous avez avancée à quelqu’un, à moins ce que ça vienne de lui, n’insistez pas pour qu’il vous la rende.

 

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- Enrhubé Si ça ne débandait que de moi.. (..je ne me serais pas enrhubé ! ) (c’est un exemple comme un autre.)

 

-

 

- Si certaines bûches vous mettent l’eau à la bouche, certaines bouches vous mettent le feu à la bûche.

 

-

 

- Si certains parlent en connaissance de cause, beaucoup parlent en ignorance de cause, et d’effet.

 

-

 

- Si chacun faisait son boulot, il y aurait beaucoup de professions qui deviendraient inutiles, des contrôleurs aux inspecteurs, en passant par tous ceux qui doivent refaire le travail des autres parce qu’il a été mal fait, ou pas fait du tout.

 

-

 

- Si, comme sa touche de clavier l’indique, Astérisque se prend pour une étoile, Obélisque va finir par se prendre pour la Grande Ourse.

 

-

 

- Si ‘consensuel’ était un nom au lieu d’un adjectif, il pourrait être pris dans les deux sens (je veux dire en un, ou deux mots). Alors qu’un contrarié, a contrario, est quelqu’un qui a été pris à contre-sens (je veux dire, à rebrousse-poil..).

 

-

 

- Si d’aventure il vous arrivait d’en avoir une, sachez qu’elle est plus facile à gérer avant qu’après. D’ailleurs on devrait écrire « avanture ».

 

-

 

- Biaisé Si dans certains cas il ne faut pas hésiter à mettre les points sur les « i », dans d’autres occasions il ne faut pas non plus oublier de mettre les « i » tout court, sinon le sens en est « biaisé » ..

 

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- Si dans la vie il faut savoir ce qu’on veut, il faut savoir aussi ce qu’on vaut.

 

-

 

- Si dans le viol d’une femme il n’y a pas mort d’homme, dans la perpétuité non plus.

 

-

 

- Si dans une poésie, vous avez besoin d’un ver qui rime avec « ..se ratatine », prenez plutôt « tartine », ou « tétine » éventuellement, mais évitez « rétine », sinon c’est que vous avez des démêlés avec la DMLA.

 

-

 

- Si Dieu n’existe pas, tout mène à rien. C’est nul !

 

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- Si est vieux celui qui se dit, tôt ou tard, qu’il est né trop tôt, on doit pouvoir en compter plus que ne le font les statistiques officielles..

 

-

 

- Si ‘exportance’ était le contraire du mot ‘importance’, signifierait-il ‘futilité’, ‘insignifiance’ ? A vrai dire, c’est sans importance. Je dirais même que c’est exportant.

 

-

 

- Si ici-bas, là-bas haut..

 

-

 

- JiJi Rousseau Si j’ai bien compris, Jean-Jacques Rousseau a pu trouver le temps de s’intéresser aux problèmes de l’enfance en confiant l’entière éducation de son fils à d’autres personnes..

 

-

 

- Règles de grandmère Si j’aurais su les règles de grandmère.. ! Mais elle ne me les a jamais apprises ; d’ailleurs elle n’en avait pas. Elle me disait que vu son âge, c’était normal..

 

-

 

- « Si Jaurès.. » ne se prononce pas « si j’aurais », lequel de toutes manières serait incorrect puisqu’il faudrait dire « si j’avais ».

 

-

 

- Si j’avais inventé la poudre, ça aurait été la poudre d’escampette.

 

-

 

- Le fond de ma pensée Si je ne vous ai jamais dévoilé le fond de ma pensée, c’est qu’à cette profondeur elle est un peu trouble.

 

-

 

- Si je puis me permettre, ‘Si je puis me permettre..’ vous permet de vous dispenser d’une permission.

 

-

 

- Si je te dis : le saut, le seau, le sot et le sceau, dis-moi quel le mot que tu utilises le plus, je te dirai qui tu es. Un sportif, un ouvrier, un professeur ou un aristocrate. (j’ai bien dit ‘utiliser’.) (je le dis pour le professeur.)

 

-

 

- Si la chance tourne, tournez vous aussi, mais dans le même sens si possible.

 

-

 

- Si la métaphysique est la partie de la philosophie qui s’intéresse à la connaissance de l’être absolu, aux premières causes, la métachimie doit être celle qui s’intéresse à la connaissance de l’amour absolu, aux premiers émois..

 

-

 

- Vrais mensonges ? Si l’on parle de vrais mensonges, c’est qu’il y en a de faux ; ce qui est vrai. Et si un vrai mensonge peut s’appeler une contre-vérité, une fausse vérité devrait pouvoir s’appeler un contre-mensonge. Mais comme une fausse vérité est un vrai mensonge, il n’y a pas de contre-mensonge, hormis la vérité.

 

-

 

- Si l’on pouvait ré-embobiner le film de sa vie, on s’y énerverait, comme un chat quand il joue avec une pelote de laine.

 

-

 

- Si le frottis cervical ne s’applique qu’aux femmes, ce n’est pas lié à leurs capacités intellectuelles.

 

-

 

- Si le mensonge pouvait faire pousser autre chose que le nez de Pinocchio, tous les hommes se feraient menteurs..

 

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- Arrêt sur image Si le pilote d’avion profite d’un aéroport pour faire un ‘aré-o-sol’, le marin bronchiteux, lui, profite de l’ ‘aré-o-port’ pour se faire un aérosol.

 

-

 

- Si les absents ont toujours tord, les présents n’ont pas toujours raison.

 

-

 

- Si les évènements concourent parfois à votre perte, les hommes, eux, concourent pour réussir.

 

-

 

- Jogging et sentiments Si les gens ‘ordinaires’ étaient des gens ‘courant’, (mais il faut le faire en moyenne une demi-heure par jour) les cardiologues n’auraient plus que leurs propres problèmes de cœur.

 

-

 

- Si les marins expérimentés sont de vieux loups de mer, les chasseurs expérimentés ne sont pas de vieux loups de terre.

 

Il faut dire que ces derniers passent moins de temps à chasser que les premiers à pécher. Est-ce à dire qu’on prend goût à « pécher » ?

 

Certains mettront « l’accent » sur la subtilité de la différence. (à moins ce que vous ne soyez pas très forts en orthographe..)

 

-

 

- Si les patrons ne veulent pas donner l’impression de céder à la pression, les syndicats, eux, veulent mettre la pression, de peur de voir se confirmer leur impression.

 

-

 

- Si, lors d’érections, l’érecteur met son burretin dans l’ulne, c’est que le typographe est grave.

 

-

 

- Si les femmes ont plus de patience que nous, c’est parce qu’elles ont été à bonne école en attendant leurs bébés.

 

-

 

- (Avant tout, une définition pour éviter tout malentendu : Indigène, par opposition au touriste ). Si les indigènes étaient moins indigestes, pour ne pas dire indignes, les étrangers seraient moins étranges.

 

-

 

- Passé simple pas si simple.. Si le faire, lui le put, mesdames, j’en déduis que vous aussi, vous le pûtes..

 

-

 

- Méphis à moi Si Méphisto-phé-lès, tôt ou tard Méfille-tard feront le thé.

 

-

 

- Modestie mise à part Si un jour on me traitait de modeste, j’aurais l’élégance de dire que ce sont mes moyens qui sont modestes. Mais on ne me le dit jamais..

 

-

 

- Mérite Si l’on n’avait que ce qu’on méritait, beaucoup de ce qui ont n’auraient pas grand chose.

 

-

 

- Si on ne vous donne pas les médicaments à la pharmacie, n’en faites pas une maladie ; vous en avez déjà une.

 

-

 

- Si on pouvait consigner les cons, je serais le premier à signer, si c’est dans le sens du militaire consigné dans sa caserne ; mais pas dans le sens où l’on paye un emballage dans l’attente de sa restitution..

 

-

 

- Si on pouvait photographier avec ses yeux, on aurait des instantanés magnifiques.

 

-

 

- Si on sort les sponsors du sport, j’ai bien peur qu’il n’y en ait plus, de sport. Je devrais plutôt dire, « j’ai bien ‘‘courage’’ qu’il n’y en ait plus ». Mais ça ne se dit pas.

 

-

 

- Si partir c’est mourir un peu, rester c’est pourrir peu à peu.

 

-

 

- Si pour les Français le premier homme sur terre fut Adam, pour les Ecossais, c’est Mac Adam.

 

-

 

- Si, pour ses mérites, vous êtes amené à encenser quelqu’un, prenez garde qu’il ne soit asthmatique. Et si c’est un pudique, ne le portez pas aux nues.

 

-

 

- Si, quand t’es végé ..t’as rien, change de régime et mange autre chose !

 

-

 

- Si quelqu’un devait compter sur moi, j’aimerais autant que ce soit une jolie jeune-femme, et pas trop lourde si possible.

 

-

 

- Richelieu Si Richelieu se fût appeler Pauvrelieu, je doute fort qu’il eût acquis le titre de Cardinal auprès de Louis XIII.

 

-

 

- Si ta femme n’a pas été sage lors des séances de massage, c’est que ton kiné l’a taquinée.

 

-

 

- Si tant est que je sois tenté de le refaire, j’y réfléchirais à deux fois, mais ne le ferais qu’une.

 

-

 

- brevet Si tu inventes une nouvelle crevette, il serait prudent que tu la brevettes.

 

-

 

- Métamorphose Si tu veux être vrai, tombe le masque, mets ta morphose, et oses.

 

-

 

- Si tout vous est égal, c’est que vous êtes indifférent à la différence.

 

-

 

-

 

-

 

- Si un jour ne dure que vingt-quatre heures, combien dure une nuit ?

 

-

 

- Si un tailleur vous fait un costume sans façons.., méfiez-vous quand même.

 

-

 

- Si un temps vous fûtes fûté, Dubois, vous ne l’êtes plus !

 

-

 

- Si une personne vous fait confiance, ne la laissez pas tomber, surtout si elle a une ostéoporose.

 

-

 

- Pairs et maires Si vos pairs sont vos maires, c’est que vous êtes un grand électeur.

 

-

 

- Si votre ami râle, c’est que vous l’avez sûrement mené en bateau.

 

-

 

- Si votre amour pour votre partenaire préféré est dans de beaux draps, c’est peut-être parce que vous l’avez confondu avec votre amour-propre.

 

-

 

- Si votre mère avait eu autant de prétendants à sa porte que son ovule a eu de spermatozoïdes à son entrée, vous seriez plus riche.

 

-

 

- Si vous allez à San Francisco, vous y verrez des gens doux et gentils.. (c’est ce qui se disait à l’époque, mais je n’avais pas les moyens d’aller vérifier.) (maintenant non plus, d’ailleurs ! J’aurais dû être chanteur.)

 

-

 

- Si vous avez des problèmes pour trouver un logement, où que ce soit, renseignez-vous auprès de ‘La même enseigne’ ; il paraît que tout le monde y est logé.

 

-

 

- Si vous avez un don pour le pardon, vous n’êtes pas fait pour être juge.

 

-

 

- Si vous avez un jour à essuyer quelques sarcasmes, je souhaite que ça ne vous chiffonne pas trop. Car leur motivation première est la jalousie, jalousie qu’il suffit de prendre pour une persienne. Et une persienne ça se ferme. Sinon, prenez la porte.

 

-

 

- Si vous avez dans l’idée de ne pas attendre la mort pour vous suicider – c’est vrai qu’après c’est trop tard - n‘attendez pas d’être vieux, sinon vous n’en aurez plus la force, alors que vous en aurez encore plus envie.

 

-

 

- Si vous avez des tics au visage, n’allez pas voir un dermatologue mais plutôt un psychologue.

 

-

 

- Si vous avez l’habitude de laisser un bon pourboire au serveur, on ne parlera pas de largitude mais de largesse, preuve d’une noble attitude.

 

-

 

- Vraie occasion Si vous avez l’occasion d’en acheter une, occasion, vérifiez quand-même qu’elle ne soit pas neuve. Sinon ça ne serait vraiment pas une occasion ! Ou plutôt si !! Enfin, je m’entends..

 

-

 

- Si vous coupez l’herbe sous les pieds d’un emmerdeur, assurez-vous quand-même, au préalable, qu’il a gardé les chaussures. Ce n’est pas parce que vous voulez lui faire un pied-de-nez qu’il faut en faire un pied-bot.

 

-

 

- Si vous croyez avoir une migraine alors que vous avez mal-de-tête des deux côtés, détrompez-vous, c’est une graine.

 

-

 

- Si vous croyez avoir vu passer une espadrille d’avions de chasse au-dessus de votre tête, n’appelez pas la gendarmerie mais votre professeur de français.

 

-

 

- Si vous demandez à une dame si elle préfère un homme physiquement banal mais spirituel à un beau ténébreux sans esprit, elle n’osera peut-être pas vous répondre que ça dépend pour faire quoi..

 

-

 

- Si vous entendez dire, par hasard, que le curé du village portait une culotte sur la tête, ne prévenez pas les gendarmes, ou l’asile. C’est probablement un lapsus ; il doit s’agir d’une calotte. (NDRL : un lapsus n’est pas un chapeau). Dites lui, par contre, mais gentiment, que çà ne se porte plus. S’il y tient, offrez-lui une casquette.

 

-

 

- Si vous entendez parler de patrons qui partent à la retraite avec un char-à-putes doré, pensez plutôt à une contrepèterie. ( je la dois à une copine pharmacienne du prénom de Catherine.)

 

-

 

- Si vous êtes d’humeur à faire la gueule, faites la à votre chien ; c’est le plus bel hommage que vous puissiez lui rendre.

 

-

 

- Si vous étiez né sur le trottoir d’en face, vous ne seriez pas là, aujourd’hui, à le regarder, mais peut-être en face, à regarder le trottoir où vous êtes.

 

-

 

- Lèche-vitrine Si vous faites du lèche-vitrine, profitez-en pour vous faire payer, même si vous faites un peu de concurrence déloyale aux laveurs de carreaux.

 

-

 

- Si vous fumez comme un pompier, évitez de passer devant leur caserne ; vous risquez de vous faire allumer, ou plutôt éteindre.

 

-

 

- Si vous lisez que vous avez été lésés, le choix de la consonne concernée est peut-être voulu.

 

-

 

- Mauvais goût Si vous n’aimez pas quelque chose, raison de plus pour ne pas en faire un plat.

 

-

 

- Auberge Si vous n’êtes pas sortis de l’auberge, profitez-en pour bien y manger, bien boire, bien dormir ..et plus si affinités.

 

 

 

- Si vous n’y entendez rien en musique, ça vous fait au moins deux raisons de ne pas en écouter.

 

-

 

- Si vous ne l’êtes pas, méfiez-vous de ne pas trop agréer l’expression de sa considération très distin-gay..

 

-

 

- Coq Licot Si vous ne savez pas comment appeler votre coq, appelez-le ‘Licot’.

 

- Et la poule, me direz-vous ?

 

- Si vous ne savez pas comment l’appeler ? ..Allez la chercher, c’est plus simple !

 

-

 

- Si vous ne savez plus ce que la maladie, redemandez-lui.

 

-

 

- Vous vous le voyez.. Si vous prenez les devants, méfiez-vous de ne pas vous faire rattraper par derrière. Enfin, vous vous le voyez..

 

-

 

- Si vous refilez la patate chaude à un SDF en plein hiver, je vous fiche mon billet (comme dirait Brassens) qu’il ne va pas la refiler à quelqu’un d’autre.

 

-

 

- Si vous voulez conserver de bons ‘rapports’ avec votre partenaire, ne confondez pas amour et charité, ..par pitié !

 

-

 

- Si vous voulez mon avis, je ferais mieux de me taire.

 

-

 

- Si vous vous trompez en amenant votre mioche insupportable, insolent et capricieux, chez le podologue au lieu du pédiatre ou pédo-psychiatre, ne le regrettez pas s’il reçoit un coup-de-pied-au-cul de la part du thérapeute-bien-placé-pour-cela. C’est peut-être ce qui peut lui arriver de mieux. Mais peut-être que ça ne vous ferez pas de mal à vous aussi.

 

-

 

- Si vous voyez, en bordure de route de campagne, un panneau : AV CU, ne vous imaginez pas être tombé sur un pervers en saturation de sexe et en panne d’orthographe. Il ne fait que prévenir que le terrain concerné a obtenu un certificat d’urbanisme.

 

-

 

- Sosie Si vous voyez quelqu’un qui me ressemble, vous aurez une idée de ma tronche. Mais j’ai des sosies, aussi. Merci de ne pas me confondre.

 

-

 

- Zèbre Si vous voyez un cheval en pyjama, c’est un zèbre.

 

-

 

- Si vous voyez un crabe marcher droit, c’est qu’il a bu.

 

-

 

- Sied-il à un mondain d’appeler son épouse « ma biche » ? Dans ce cas, elle devra se l’affubler de « mon daim ».

 

-

 

- Sirène : femme qui séduit les pompiers.

 

-

 

- Slogan des lobbies de la diététique industrielle : « L’aliment ment ; la diététique est éthique »

 

-

 

- Société Lacroix :

 

 

 

La grande Société Lacroix,

 

Des frèr’s Lacroix et Labanières,

 

Venait de connaître, je crois,

 

Des difficultés financières.

 

C’était une belle entreprise

 

Qui s’était fait beaucoup de fric

 

En fabriquant diverses prises,

 

Des prises pour câble électrique.

 

Mais entre elle et la réussite

 

Le courant ne passait plus trop ;

 

Il leur fallut fermer le site

 

Remettre’ le compteur à zéro..

 

Ils eur’nt une idée ingénieuse

 

En se lançant cette fois-ci,

 

Dans les nouvell’s croix lumineuses

 

Les croix vertes pour pharmacies.

 

Ils s’installèr’nt donc à Bagnères,

 

Ne me demandez pas pourquoi,

 

Créant « Lacroix et Labanières »,

 

« Les spécialistes de la croix ».

 

Et le succès fut si total,

 

Qu’après les croix pour pharmacie,

 

Ils fir’nt des croix pour pierres tombales

 

Illuminées elles-aussi.

 

Et tout le monde’ fut dans la joie,

 

En admirant ce beau décor,

 

A part quelques vieux rabat-joie

 

Pour qui ça réveillait les morts..

 

Comme’ quoi ‘Lacroix et Labanières’

 

Que ce soit à Bagnères ou pas,

 

C’est sûr’ment pas, de tout’s manières,

 

Ce que les gens veulent qu’on croit.

 

-

 

-

 

- Socrate était-il un aristocrate ? Non, je dis comme ça. Cà rimait bien.. Par contre la remarque, elle, ne rime à rien.

 

-

 

- Son amant profita d’une nuit sans lune pour s’éclipser.

 

-

 

- Chat botté Son chat était tellement beau qu’elle aurait dû l’appeler son chat-beauté. Il aurait fait un beau couple, avec mon isa-belle. Sa patronne, elle, c’était pas pareil. Enfin, oui et non, car elle avait du chien..!

 

-

 

- Son ‘gros lapin’ n’était qu’un petit galopin. Et c’est vrai que je lui aurais bien tiré ses grandes oreilles avec plaisir, mais il courait décidément comme un lapin.

 

-

 

- L’Iliade et L’Odyssée Son père s’appelait Homère, sa mère, Liliane, mais ses collègues de travail l’appelaient Liliade. Par contre leur vie n’avait rien d’une Odyssée ; ils étaient profs au lycée.

 

-

 

- Sophisme : Comme en tout homme il y a un cochon qui sommeille, et que tout est bon dans le cochon, l’homme est forcément bon.

 

-

 

- Sot à la perche : personne qui n’a pas compris qu’on voulait l’aider

 

-

 

- Flic-floc C’est pas parce qu’on peut dire : « Le fric est à l’argent ce que le flic est à l’agent », qu’on dire « Le fric est à l’agent ce que le flic est à l’argent ». Quoique..

 

-

 

- Souvent le courage politique est aux politiciens ce que la clairvoyance est aux décideurs.

 

-

 

- Souvent le contenant, l'enveloppe, l'emballage, le récipient, valent plus que ce qu'il y a dedans.. Mais c'est généralement parce qu'il n'y a rien dedans, ou pas grand-chose, comme la tête ..d'un insensé, ou le coeur ..d'un riche, ou bien le ventre ..d'un affamé, ou alors ..non, je n'irai pas plus bas !

 

-

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Spirale (la) :

 

 

 

Si, à la maison ou à l'école, au boulot ou dans la rue, il y a parfois des gifles qui se perdent, il y en a d'autres, gifles, qui ne se perdent pas souvent : ce sont celles qu'on rend. Je veux dire par là que, chez les petits comme chez les grands, dès qu'une première gifle part, y' en a toujours une deuxième qui suit, en retour !

 

Je reconnais qu'on a parfois plus de plaisir à donner qu'à recevoir ! C'est vrai aussi qu'on n'aime pas devoir à quelqu'un !

 

 

 

Mais j'ai remarqué qu'il y en a qui donnent beaucoup plus qu'ils ne reçoivent ! C'est pas équitable ! Y' en a même qui en donnent tellement, qu'ils ne savent plus pourquoi ils les donnent !

 

 

 

Dans cette logique infernale, la seule solution, faute de pouvoir casser la gueule au casseur, c'est de casser la spirale.

 

 

 

Mais comment casser une spirale !?

 

Y taper dessus serait la pire des choses, puisqu'une spirale n'est autre qu'un ressort ! Et chacun peut deviner ce qui arrive lorsqu'on tape sur un ressort ! En plus, ce serait utiliser la méthode que l'on condamne !

 

..S 'y asseoir dessus, en plus d'être méprisant, ne serait pas judicieux, car on transforme la spirale en cercle. Et y' a rien de pire qu'un cercle pour tourner en rond ! C'est pas pour rien, que les cercles sont vicieux !

 

Couper la spirale aurait l'inconvénient de transformer une spirale en deux, même si elles deviennent plus petites. Mais les spirales n'aspirent qu'à grandir ..

 

..Finalement, plutôt que de la casser, cette spirale, est-ce qu'il ne vaudrait pas mieux l'utiliser !? Par exemple, en fixant à l'une des extrémités un bout de bois, on la transformerait en tire-bouchon, ce qui permettrait d'ouvrir une bonne vieille bouteille pour fêter la réconciliation !

 

..Même s'il faut bien que quelqu'un l'offre, la bouteille ! Mais, ça revient quand-même moins cher ! Et c'est tell'ment plus agréable ! Et qui sait, peut-être que la fois suivante, c'est l'autre qui paiera la tournée ! On peut toujours rêver ! Il faut rêver !

 

D'ailleurs la réalité n'est autre que le rêve "cru" !

 

Et en parlant de bouteille, pour peu qu'on tombe sur un bon cru.. !!

 

-

 

-

 

- Spiritualité : ou comment concilier l’amour de Dieu et l’humour de l’Homme ? Ou comment parler de Dieu avec humour, sans passer par le blasphème ou la grossièreté, c’est-à-dire avec le respect qu’on doit aux hommes et au-x dieu-x auxquels ils croient, quelqu’en soit la couleur (de leur-s dieu-x).

 

-

 

- Stérilet : accessoire féminin qui ne tient qu’à un fil. (ne pas confondre avec le lait stérilisé)

 

-

 

- Stricto-sangsue : sangsue qui ne se nourrit que du nécessaire, sans vider entièrement son hôte de son sang.

 

-

 

- Subtilité de la langue française, le simple fait de mettre l’accent sur une ‘re-flexion’ vous transforme un phénomène purement mécanique en processus intellectuel. Et comme dans chaque région de France, ‘on a l’accent’, nous sommes tous des intellectuels. Mais davantage dans le sud, quand-même.. ! Et alors les Marseillais !!

 

-

 

- Suicide : meurtre d’un Suisse.

 

-

 

- Suite à l’erreur médicale qui lui avait valu l’amputation de sa jambe, le client raccourci avait eu du mal à poursuivre son chirurgien.

 

-

 

- Suite à la recrudescence de cas de tuberculose, son médecin lui avait conseillé de se faire faire le BCBG.

 

-

 

- Suite à une entorse, le mille-pattes ne se rappelait plus exactement quelle était la patte concernée.

 

-

 

- Suite à une faillite, le patron de l’entreprise, voulant mettre la clé sous la porte, ne l’a pas trouvée. Il demande instamment aux salariés de bien vouloir la lui ramener.

 

-

 

- Sujet : le fait d’en effleurer certains peut parfois soulever un lièvre. Objet : le fait d’en effleurer d’autres peut soulever la queue d’un chaud lapin.

 

-

 

- Sur le chantier, le contre-maître, qui était un peu bègue, avait toujours quelque chose à redire.

 

-

 

- Sur le Pont Mirabeau, les parisiens pouvaient assister à la Seine.

 

-

 

- Sur les couvertures de magazines, il paraît que les photos publicitaires des top-models ont toutes été retouchées. Quand vous savez le mal qu’elles se donnent pour arriver à être décharnées, vous vous demandez pourquoi faut-il, par-dessus, les retoucher !! (Je parle des photos. J’admets que l’adverbe ‘par-dessus’ n’est pas très heureux. La prochaine fois, je mettrai ‘en outre’.)

 

-

 

- Sur les pares-brises des voitures mal garées, les gendarmettes dressaient les P.V. les uns contre les autres.

 

-

 

- Sur sa vieille barque amarrée au ponton, le marin prenait l’air, tandis que son bateau prenait l’eau.

 

-

 

- Sur ses dessous affriolants, elle ne portait qu’un discret pardessus. Je me serais bien glissé entre les deux, ce qui m’aurait mis sens dessus dessous..

 

-

 

- Synonyme : quartier chinois de Nîmes

 

 

 

 

 

Pelmot ting :

 

 

 

- Ecrasés menus, les haricots en grain permettent de préparer une soupe épaisse mais qui garde le même pouvoir de flatulence. C’est la poudre d’escompette. (qu’on écrit sans point d’interrogation à la fin.)

 

- Frères jumeaux

 

- Son frère jumeau avait deux ans de plus que lui, mais ça ne paraissait pas.

 

- Test-ticule :

 

- petit test, pour vérifier que vous n’êtes pas ridicule.

 

- Si tu veux être beau, ‘laisse tes tics’.

 

- Dure, dure, la quadrature du cercle ! (A réserver aux quadras.)

 

- Un pe-neu ne-peut rouler sans sa roue. (on peut dire aussi ‘sans son chien’, si la voiture ‘chasse’ un peu..)

 

- Un optimiste s’attend à une tombola, là où un pessimiste s’attend un tombeau là. Ce qui est sûr, c’est que le second finira par avoir raison.

 

- Un parti-pris n’est pas prêt d’être rendu. Par contre, un compte-rendu peut facilement être repris.

 

- Un petite fourchette peut également s’appeler une fourchette à café.

 

- Un plat, même chaud, doit se consommer frais. Un homme, pas forcément.

 

- Un poivrot avec son rouge finira par avoir l’air d’un poivron rouge.

 

- Une expression que ne s’autorise pas l’agent immobilier, c’est « Dieu soit loué ! ».

 

- Une mite qui a la pêche est une dynamite ; une mite qui a la grosse tête, une mythomane.

 

- Vaut mieux être un gai moche qu’un beau triste.

 

- Vaut mieux éviter d’être dans l’œil du collimateur.

 

-

 

 

 

- Marche à l’amble.. Peut-on marcher l’amble, comme la girafe ou le dromadaire ? Il y a un cas de figure où l’on s’en rapproche, c’est quand vous utilisez des cannes anglaises. Même s’il vous manque une jambe, la saine..(!). Par contre, cannes et bras marchent l’amble. Sinon, il vaut encore mieux que vos membres marchent ensemble que l’amble..

 

- Vénéré des vétérans, c’est ainsi que Néron fut incinéré.

 

- Vis-à-vis d’elle, la tutelle est-elle utile ? Peut-être. Mais, fût-elle futile, je l’accepte telle quelle.

 

- Ornithologue Vis-à-vis de quelqu’un qui se fait traiter de tous les noms d’oiseau, je doute fort que les ornithologues aient répertorié toutes ces espèces, et en l’occurrence « ces espèces de » ! D’ailleurs, est-ce que ces « espèces » se rattachent toutes au « genre » oiseau, étant donné qu’il existe de drôles d’oiseau.. ?!

 

- Amitié

 

- Amitié

 

- Vos amis, vous vivriez avec eux, vous en perdriez les trois-quarts : la moitié, parce qu’ils ne vous supporteraient plus, l’autre moitié, parce que vous ne les supporteriez plus. (la moitié des trois-quarts ça fait combien, au fait ?).

 

- Vous aurez remarqué qu’il y a plusieurs manières de manger une orange.. En découpant la peau en colimaçon, ou en ‘méridiens’, avant de la manger en en détachant les côtes, à moins ce que vous préfériez la couper en deux moitiés, en deux hémisphères à croquer sans le zeste, bien que certains n’en enlèvent que la partie la plus centrale, après avoir directement couper l’orange en deux, sans avoir enlevé la peau au préalable. Vous pouvez au contraire préférer la presser pour en extraire le jus, et là aussi, en gardant ou non la pulpe. Cela a-t-il une signification psychanalytique.. ? Je n’irais pas jusque là. Mais peut-être est-ce une façon d’interpréter les différentes manières de croquer la vie.. De la manière la plus primaire à la plus élégante, de la plus simple et spontanée à la plus subtile et sophistiquée. En tout état de cause, aucune n’est plus ‘normale’ que l’autre. D’ailleurs, on peut en changer un beau jour pour la conserver définitivement, ou en changer régulièrement pour les y passer toutes. La dernière que j’ai trouvée, c’est, arrivé à l’orange entière dépouillée de son zeste, de la partager en deux moitiés puis d’en découper chacune au couteau et à la fourchette pour en faire des demi-tranches que je mange à la fourchette.. Et là, il me reste encore le choix de les découper en respectant la séparation des côtes entre elles, ou de ne pas en tenir compte.. C’est fou comme on est fou. Ou plutôt non, tout ça est foutaise.

 

- Vous êtes enceinte et n’arrivez pas à cesser de fumer ? Cessez d’être enceinte.

 

- Y-a-t-il plus d’incontinents dans le continent européen que dans le continent africain ? En tous cas, chez eux ça se voit moins, vu les moindres contraintes vestimentaires, et le mode de vie plus naturel..

 

- Faux-semblants

 

- Y-a-t-il plus de faux-semblants que de vrais-semblants ? Vraisemblablement, puisqu’on ne parle jamais des seconds.

 

- Quand l’amant est lamen-table, cherchez plus confortable, prenez-vous un amant-lit.

 

-

 

- Poison rouge

 

- Ne jamais mettre de poison rouge dans un bocal. Ca perturbe les poissons.

 

- Le fromage de chèvre était vachement bon.

 

- Il n’y a aucune corrélation entre un légionnaire et un coreligionnaire, même si on entre dans la Légion un peu comme en religion.

 

- La personne qui ouvre une porte d’un côté est souvent la même que celle qui la referme de l’autre. Par contre celle qui la ferme d’un côté n’est jamais celle qui l’ouvre de l’autre.

 

- Clé de sous-sol

 

- Ne pas confondre clé de sol et clé de sous-sol, une octave plus bas, ce qui est plus grave.

 

- L’égo des grands hommes n’est pas toujours égal à leur taille, surtout chez les petits.

 

- On ne peut pas se fier aux sportifs des sports collectifs, ils changent toujours de camp, à la mi-temps.

 

- Le meilleur nom qui conviendrait aux fées c’est Nomène.

 

- La mort n’est pas une fin en soi, mais de soi.

 

- Sixe appel

 

- Je n’ai jamais eu de succès auprès des femmes. Au loin non plus, d’ailleurs, mais c’est moins frustrant.

 

- Le navire ne peut prendre la mer que s’il ne prend pas l’eau.

 

- En ces temps de sécheresse, plût au ciel qu’il plût !!

 

- Quand il y a trop de bruit, c’est que le tinte a marre.

 

- Tolérant, je le suis ; j’admets tous les avis. Il n’y a que celui des Impôts qui me gêne. Impossible de concilier les deux avis.

 

- Fille des maisons closes échangerait maquereau contre micro.

 

- Echangerais haricots secs contrepèterie.

 

- Les femmes sont parfois animales, mais rarement bêtes. Quant aux hommes, de la manière dont ils se conduisent souvent en amour, ils savent être les deux à la fois.

 

- A voir certaines œuvres réputées d’art, le goût du beau n’est pas donné à tout le monde, même aux créateurs. Ce n’est pas inné.

 

Par contre le goût du sucre lui, ‘ça l’est’. C’est comme le goût du sel, c’est univer-sel. Reste plus qu’à faire des œuvres en pâte à sel. Les enfants savent faire. Mais le génie des enfants est comme leur innocence, ils le perdent en grandissant.

 

- Les gens craintifs ont toujours peur du courage. Les courageux ont parfois le courage d’avouer leur peur.

 

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T de : Tenez le coup..

 

Talentueux, Tonique, Transcendant, Trop..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- T : chiffre le plus souvent cité, puisque de nos jours tout est ‘numéro-T’.

 

-

 

- Taboulé : sorte de lait cachère (on écrit aussi : cachere, cacher, casher, kasher)(NDLR)

 

-

 

- Tambour : instrument à percussions très salissant, et qu’on retrouve très souvent dans les lave-linges.

 

-

 

- Tant qu’à faire : véhicules blindées destinés aux gros hommes d’affaires dans certains pays sensibles.

 

-

 

- Tant qu’il existera des âmes de mouton, il y aura des peaux de vache.

 

-

 

- Tant qu’il y aura, dans les champs de tournesol, un ou deux d’entre eux qui ne se sentiront pas obligés de se tourner vers le soleil, il y aura de l’espoir.. (ils feront de la bonne graine.).

 

-

 

- Tant qu’ils ne m’auront pas fait boire la coupe jusqu’à la lie, mes adversaires ne pourront pas sonner l’hallali ! Lalalère.. !!

 

-

 

- Tant que le temps pourri est temporaire, je temporise ..!

 

-

 

- Tant que..

 

 

 

Tant que l’industrie

 

Fait son tri

 

Pour les débouchés

 

De marché,

 

Elle ne sert à rien

 

Qu’aux vauriens,

 

Qui tous ont un air

 

D’actionnaires.

 

Tant que les banquiers,

 

Ces inquiets,

 

Ne feront crédit

 

Qu’aux nantis,

 

On pourra toujours

 

Faire un tour,

 

Aller voir ailleurs

 

Si meilleur.

 

Tant que les élus

 

Qu’on voulut,

 

Ne tiennent leur rôle

 

Qu’en paroles,

 

On n’obtiendra guère

 

Mieux qu’hier,

 

Et peut-être moins

 

Que demain.

 

-

 

-

 

- Tarte :

 

- gâteau plat qu’on préfère donner que recevoir.

 

-

 

- Tel est phone qui croyait fun.

 

-

 

- Tendre la perche : dans une poissonnerie, proposer un certain type de poisson au client qui a du mal à choisir.

 

-

 

- Terre (Ver de)

 

 

 

De nos jours, les sectes attirent beaucoup d'illuminés, qui y adhèrent, comme les lampadaires illuminés attirent beaucoup d'insectes.

 

Mais, à qui la faute ?

 

C'est pas la faute aux lampadaires !

 

 

 

C'est la faute aux papillons !

 

C'est à cause de leurs ailes, de leur excès de zèle ! Trop de zèle nuit ! Ils le feraient le jour, encore ! L'ennui, c'est que c'est la nuit !

 

Mais après tout, ils ne l'ont pas volé ! Ils n'avaient qu'à pas voler, impunément !

 

 

 

Demandez-le à la fourmi, parlez-en au ver-de-terre !

 

Ils auraient bien aimé, eux aussi, avoir les ailes du papillon ! Même que le ver-de-terre, il se serait contenté des pattes de la fourmi !

 

Pourtant le ver-de-terre, il est bien le seul à avoir la chance, le privilège, de ne pas risquer de tomber, ou de se casser une patte ! Il est bien le seul à pouvoir se nourrir de terre ! Il n'est pas prêt de crever d' faim !

 

Eh bé non, ça lui suffit pas ! Il en veut plus !

 

Il a tord, d'être en-vieux, si jeune !

 

 

 

C'est comme l'alligator , qui envie son cousin, le crocodile, alors que ce dernier va finir sa route dans un cul-de-sac !

 

 

 

J'ai envie d' leur dire, à tous, qu'on peut être "bête" sans être ingrat !

 

Car après tout, des cadeaux, y' en a eu pour tout l' monde ! Chacun a eu sa part ! Les autres n'ont rien de plus que vous, ils n'ont pas la même chose, c'est tout !

 

Vous croyez qu'ils possèdent des trésors particuliers, mais ce ne sont que des "trésors- dinaires" !

 

 

 

Oui mais, allez dire ça à un ver-de-terre ! Il va vous rire au nez !

 

..Est-c' que ça rit, au fait, un ver-de-terre ?! Je sais qu'un "cana-rit", mais un ver-de-terre !? Je dirai pas que ça "rigole", parce que ça vole bas.. (pas le ver-de-terre!). D'ailleurs les hirondelles aussi, ça vole bas parfois, comme quoi, y'a pas que moi !

 

 

 

Non, j' rigol' pas ! Vous ne verrez jamais rire un ver-de terre !

 

Pourquoi ? Parc' qu'il n'a pas envie de rire ! Et s'il n'a pas envie de rire, le ver-de-terre, c'est parc'-qu'il a le cafard ! Et il a le cafard parc'-qu'il est complexé, complexé d'être en bas de l’échelle.

 

 

 

Mais comment lui faire comprendre qu'il n'est pas fait pour gravir les échelles, qu'il va s'emmerder sur un barreau, à regarder la terre de haut ! Et le ciel sera toujours aussi loin.

 

Pour qu'il n'envie pas les autres, il suffirait qu'il croie que les autres l'envient !

 

Mais comment l'en persuader ? Qui aurait enVie d'enVier la Vie d'un Ver, à Votre aVis !? Y'a plus personne en-dessous de lui !!

 

Comme il dit: "Plus terre-à-terre que moi, tu meurs !"

 

 

 

 

 

Pourtant, qu'on ne s'y trompe pas, comme dirait l'éléphant. Tout petit qu'il est, c’est lui qui aura le dernier mot !

 

Il sait que l'homme est éphémère, qu'il ne fait que passer, et qu'il retourne à la poussière ..

 

Sa revanche à lui, c'est qu'il a vu défiler mes ancêtres, et qu'il verra passer, je l'espère, mes descendants ..

 

..bien avant que les poules aient des dents.

 

 

 

-

 

- Thé ‘Rapie’ : thé qui soigne, et pas que les rapiats.

 

-

 

- Timidité : Cela me gène toujours d'être invité chez les gens ; je dois me faire violence, ce qui, pour un pacifiste, avouons-le, est déjà contre-nature ! Alors si en plus, avant même d'entrer chez quelqu'un, il faut "frapper", on n’en sort pas ! Vous m' direz, tant qu'on n'est pas entré !

 

 

 

- Tin : compliment, quand on dit de vous, par exemple : « C’est un sacré tin !! »

 

-

 

- « Tire-toi ou je tire »

 

(ne pas confondre avec une autre expression célèbre et récente) :

 

 

 

Lorsque votre vie se tire,

 

Il faut se tirer avec.

 

Ce serait d’un ennui mortel

 

Que la vie se tire sans vous.

 

-

 

-

 

- Tombe : le seul endroit où l’on tombe sans pouvoir se relever.

 

-

 

- Torticolis : colis de nouilles en torsettes.

 

-

 

- Tourisca : assurance Tous Risques pour touristes.

 

-

 

- Tourista : danse du ventre africaine, mais dont le succès populaire fait qu’on la danse partout dans le monde (populeux), de nos jours. Les touristes adorent. Les conquistes aussi..

 

-

 

- Tout a un sens, même le non-sens puisqu’il a quelque part une signification. (pas très glorieuse, certes..)

 

-

 

- Tout ce qu’on connaît existe. Je n’invente rien.

 

-

 

- Tout ce qui est Loir est cher.

 

-

 

- Tout ce que peuvent emprunter les vagabonds, ce sont les chemins.

 

-

 

- Tout chemin est un parchemin sur lequel chacun écrit sa route. Mais même avec un bon crayon, tout finit par s’effacer.

 

-

 

- Tout est relatif, et inversemment, surtout quand c’est hâtif.

 

-

 

- Tout et rien : expression tout-terrain pour dire pas grand-chose.

 

-

 

- Canne sur vauteuil

 

- Tout le monde connaît la recette du ‘Veau sur canapé’. On connaît moins, en revanche, celle de la ‘Canne sur veauteuil’. Le veauteuil n’est autre que l’ancêtre du fauteuil, dérivé lui-même du ‘teuil’, mot ancien signifiant ‘siège’. Au cours des siècles, les tentatives d’imitation de ce siège amenèrent à distinguer le vrai teuil, du faux. Mais ce dernier se révélant d’un prix plus modique, on finit par adopter le ‘faux-teuil’, qu’on écrit actuellement en un seul mot. (NDLR)

 

-

 

- Tous les hommes accepteraient de se faire corriger les devoirs conjuguaux par une maîtresse.

 

-

 

- Tous les verbes gagnent à être suivis de l’adverbe « bien », sauf « aimer » - comme dans « je l’aime bien » - auquel cas il perd une grande partie de sa signification.

 

-

 

- Tout ordre reste valable et justifié jusqu’à son contre-ordre, qui, dès lors, devient ordre et peut donc subir le même sort.

 

-

 

- Tout tissu s’use, au fil du temps.

 

-

 

- Toute gloire mal gérée est un talent d’Achille.

 

-

 

- Toute mode s’autodétruit à moyen ou long terme, pour s’alimenter à court terme.

 

-

 

- Toute noce entraîne, avec le temps, une nos-talgie ; le tout c’est qu’elle n’entraîne pas d’algies tout court.

 

-

 

- Toute personne qui accepte de s’offrir, sauf pour de l’argent – et encore - , accepte de souffrir.

 

-

 

- Toute petite déjà, la fille du brigand avait des menottes.

 

-

 

- Toute règle a une exception, ou plusieurs, jusqu’à ce que l’exception devienne la règle. Exemple : « Tous les hommes naissent libres et égaux ».

 

-

 

- Toutes les mères veillent sur leurs enfants ; c’est bien la raison pour laquelle elles sont toutes ‘mères veilleuses’.

 

-

 

-

 

-

 

- Trois fois rien c’est mieux que rien ; alors que mathématiquement parlant, trois fois zéro ça fait toujours zéro. Comme quoi il suffit d’un rien, ou plutôt, de trois fois rien.

 

-

 

- Trombone : petit instrument qui sert à réunir des partitions.

 

-

 

- - Tu avais remarqué que « lycée » prend un « e », alors que c’est masculin ?!

 

- Je te signale que le lycée est mixte depuis plusieurs décennies !

 

-

 

- ‘Tuer le temps’ est une expression inexacte, puisque le temps est immortel.

 

‘Perdre son temps’ est prétentieux, car il ne vous appartient pas.

 

‘Passer le temps’ est une expression imprécise car ça ne dit pas à qui vous le refilez. (Vous me direz : On peut bien passer le temps avec quelqu’un ! ..Oui, mais alors ne rentrez pas trop tard.)

 

-

 

- Tu veux le faire, ou tu préfères que je te le laisse ? (genre de phrase qui échappe souvent de la bouche des maris)

 

-

 

- ‘Tuyau’ n’a rien de romantique en français. Par contre en espagnol, ‘Tu y yo’ signifie ‘Toi et moi’.

 

Mais dans ‘Toi et moi’ il y a ‘Moi’, invariable, je veux dire immuable, et ‘Toi’, que la réalité des rapports humains définit comme une variable (je n’irai pas jusqu’à dire ‘d’ajustement’).

 

C’est donc déjà moins romantique.

 

De là à revenir au simple ‘tuyau’ serait, pour un esprit mal tourné, d’une vulgarité désolante.

 

 

 

 

 

 

 

Pou pirot :

 

 

 

- L’humour ne remplace pas l’amour, même s’il vous console un peu.

 

- Le danseur classique habitait à deux pas de l’Ecole de Danse.

 

- Comment neutraliser un électron libre ? Cela peut être un problème de physique comme un problème physique.. A moins ce que ce ne soit un problème politique.

 

- Elle faisait de la confiture, dans son coing.

 

- Vaut-il mieux se retrouver gros-Jean comme devant, ou petite-Jeanne comme derrière ? Ça dépend comment on aborde le problème.

 

- Ne pas confondre « aller bras-dessus bras-dessous », et aller « main-dessus main-dessous ».

 

- Quand un despote est rappelé par son Patron Eternel, il est parti pour passer un sale quart d’heure. Et quand je dis ‘un sale quart d’heure’, je veux dire ‘une sale quart d’heure éternel’.

 

- Quand le poisson a mordu à l’hameçon, il se demande comment son agresseur a pu devenir un mordu de pêche.

 

- L’invention du réveil, c’est bien. A quand l’invention de l’endormeur, pour programmer son sommeil ?

 

- Un homme d’action est un peu un Robin des Bois, alors qu’un artiste, un Rodin des Doigts.

 

- Vaut mieux être un fumeur qui s’en boit un de temps en temps, qu’un buveur qui s’en fume une de temps à autre.

 

- Le chat teigneux n’est pas le fruit du chataigner.

 

- La frappe de balle est à la raquette ce que le tir de balle est au racket.

 

- Si avec un œuf de poule on peut faire une omelette, avec un œuf de coq, on ne fera jamais une femmelette.

 

- Un impuissant peut être puissant par ailleurs, « l’ailleurs » n’étant pas très loin d’ailleurs, et forcément situé plus haut..

 

- Mettre une casquette à une pastèque est un vrai casse-tête !

 

- Espoir, il en vaut mieux ‘un’ que ‘des’.

 

- Une divergence de vue avec quelqu’un peut se terminer, si elle dure, par un strabisme. Remarquez, une trop grande convergence de vue, aussi ! Je propose une alternative : la tergivergence.

 

- On ne propose pas la Légion d’Honneur à un rebelle, si on ne veut pas avoir droit à un bras d’honneur.

 

- L’hiver, la couette c’est chouette ; la mouette aussi, mais différemment, plus en bord de mer.

 

- Quand les feuilles jaunissent, c’est l’automne qui rit jaune. Les carabins parlent d’ictère, mais c’est moins poétique.

 

- Mélancolique, il lançait des cailloux dans le lac, pour faire des carrés dans l’eau. En vain. Décidément, il n’avait pas de chance.

 

- On peut gentiment dire d’une mamie qu’elle est trop aimée, ou trop mémé ; mais pas d’un papi qu’il est trop-épais.

 

- S’en faire, c’est s’enfermer, mais sans fers.

 

- Les hommes qui regrettent leur mariage se le sont cherché, puisqu’ils se la sont cherchée..

 

- Un ‘e ‘ dans l’ ’o’ ça fait ‘oe’, comme dans ‘œuf ‘. Par contre des ‘e’ dans l’ ’o’, ça fait des œufs à la coque.

 

- Chez un cheval, le trot, c’est trop joli. Chez une fille, la queue de cheval aussi. Les dents, c’est différent.

 

- Dans tout homme se cache un apache.

 

- Si parfois il faut dire les choses sans ambages, il vaut quand-même mieux garder son langage.

 

- Je le lui ai dit sans détour, surtout que je n’avais aucune envie de marcher, ce jour-là.

 

- Beauté

 

- La seule beauté à la portée de tous c’est celle du beau joueur.

 

- Piano

 

- Quand un musicien va piano, il peut jouer d’un autre instrument à la fois.

 

- Vu son profil, et son état, tout ce qu’il pouvait caresser c’était un secret espoir.

 

- Quand on n’est pas métis quelque part, on est métèque tôt ou tard. Mais on peut être les deux.

 

- Mauvais souvenirs

 

- Il vaut mieux écrire sa vie au crayon, pour mieux pouvoir en effacer les mauvais souvenirs.

 

- Dans un couple, il ne faut pas s’attendre à s’entendre dans tous les domaines, sinon il n’y a plus qu’à se regarder dans la glace. Et là, plus on s’en rapproche, plus on se trouve des points noirs.

 

- Les défunts, c’est pas très fun, surtout quand c’est vous.

 

- Comme on disait en parlant d’Emma, n’ayons pas peur d’Emmo.

 

- De ‘profiter de la gentillesse’ à ‘en abuser’, il n’y a qu’un pas, pas très sympa.

 

- Maxime

 

- Une maxime peut se révéler très minime. (et je ne citerai personne..)(et j’espère que vous non plus.)

 

- Strabisme

 

- Il faisait souvent des allusions douteuses, en ponctuant ses phrases d’un « Suivez mon regard.. ». Le problème c’est qu’il avait un léger strabisme.

 

- Evitez les prises de bec avec un bègue. On a du mal à s’en sortir. Et lui aussi.

 

- Stalag-mites : mites des camps de prisonniers en Allemagne lors de la Seconde Guerre Mondiale.

 

- L’exercice de l’autorité des parents est plus difficile que l’exercice de mathématiques des enfants, d’abord parce qu’il n’y a pas d’énoncé, ensuite parce qu’il n’y aura pas de corrigé.

 

- Quand une jolie femme vous pose problème, il faut le prendre à bras-le-corps.

 

- Ne pas se mettre les enfants ‘à dos’. Ils vont le devenir assez tôt.

 

- C’est pas parce que terrien que t’es nul.

 

- Confitoure : confit de canard espagnol.

 

- Oranges-outans :

 

- femelles des orangs-outans.

 

- Un voyeur peut être un con. Comme un con peut être un voyeur. Un convoyeur peut être ni l’un ni l’autre, ou les deux à la fois.

 

 

 

 

 

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U de : Un dernier pour la route.

 

Ubuesque, Unanime, Unique, Universel, Utile..

 

 

 

 

 

 

 

- Un abri côtier n’abrite pas des abricots mais des touristes à la peau de pêche.

 

-

 

- Assurance

 

- Un agent d’assurance ment avec assurance. Donc, assurément, il assure et ment à la fois.

 

Par conséquent, il vous assure deux fois, pour le même prix : une 1ère fois en vous assurant, une 2ème, en vous mentant.

 

Assurez-vous donc, quand-même, d’être bien assurés au moins, en partant.

 

-

 

- Un agent d’EDF préfère être au courant que prévenu.

 

-

 

- Un athée est quelqu’un qui a peine à croire qu’il a de la peine à croire. Alors qu’un croyant est quelqu’un qui a plaisir à croire qu’il a du plaisir à croire. Par contre on n’ est pas sûr qu’en Bosnie, le corbeau croie qu’il croasse.

 

-

 

- Un athée peut être de bonne foi, quelques fois, et un croyant, de mauvaise foi, parfois.

 

-

 

- Banco

 

- Une banque considère qu’elle n’est pas encore en possession de l’argent que vous lui avez remis le jour même. Et qu’elle vous a déjà donné celui que vous n’avez pas encore reçu.

 

-

 

- Un bateau, même ancré au port, ne peut servir de pied-à-terre.

 

-

 

- Un bébé qui tète distraitement est un bébé ‘tète-en-l’air’.

 

-

 

- Un borgne doit à tout prix éviter de se tromper, s’il ne veut pas se mettre le doigt dans le seul œil qui lui reste.

 

-

 

- Un bouton d’acné, si vous le regrattez vous allez le regretter.

 

-

 

- Un cabillaud n’est pané qu’après sa mort.

 

-

 

- Un cachottier aime faire des cachotteries, des petits secrets, mais pour autant il n’est pas mis au secret dans un petit cachot.

 

-

 

- Un carrièriste a un cœur de pierre ; un affairiste, un cœur de fer.

 

-

 

- Un chien qui rapporte ce qu’on lui lance c’est mieux qu’un gamin qui rapporte ce qu’on lui dit, mais c’est moins bien qui banquier qui rapporte ce qu’on lui confie.

 

-

 

- 99,99

 

- Un chiffre rond n’est qu’un chiffre carré. Il n’y a que les publicitaires pour croire que le chiffre à 99 centimes va vous le faire trouver moins cher que le chiffre qui le suit. Ils doivent confondre avec ‘la preuve par neuf’.

 

-

 

- Oxymore

 

- Un chrétien vous définira plus facilement la ‘Pentecôte’ que le peintre le ‘clair-obscur’. A chacun ses oxymores.

 

-

 

- Un cinéphile n’est pas l’équivalent d’un fil dentaire pour le nez.

 

-

 

- Un coiffeur chauve n’est jamais très crédible, sauf si c’est un coiffeur pour dames, et à condition qu’elles ne fassent pas dans la psychanalyse.

 

-

 

- Un complaisant, malgré son charme, aura tout de même du mal à se faire pardonner.

 

-

 

- Un con testé, malgré le test, ou peut-être à cause de lui, sera toujours contesté.

 

-

 

- Un condamné est plus damné que con, et il préfèrerait l’inverse.

 

-

 

- Coup d'épée dans l'eau

 

- « Un coup de pets dans l’eau » a l’avantage, sur « un coup d’épée dans l’eau », de faire au moins des bulles, même si en fin de compte on en arrive au même résultat, à savoir à rien. Vous me direz alors, que « faire des ronds dans l’eau », c’est pas plus rigolo..! C’est vrai, ça l’est moins, mais c’est plus romantique.

 

-

 

- sGrain de sable

 

- Un désert, tout grand qu’il est, n’est rien sans le grain de sable ; comme la mer immense n’est rien sans la goutte d’eau. La preuve : Le grain qui vient à manquer, c'est celui qui a bloqué l’engrenage et grippé la machine bien huilée ; la goutte qui manque, c'est celle qui a fait déborder le vase.

 

-

 

- Détroit Un détroit est un bras de mer entre deux terres ; une presqu’île, un détroit à l’envers, puisque bras de terre entre deux mers. S’il me fallait ne garder que l’un des deux termes, je ne saurais lequel détroit choisir.

 

-

 

- Diplomate Un diplomate est un élégant qui met les gants.

 

-

 

- Intra-vineuse Un drogué alcoolique doit éviter de se faire une intra-vineuse. De même, un drogué trop gai est sûrement surdosé.

 

-

 

- Un égoïste dira : ‘J’ai déjà donné’ ; quelqu’un de généreux : ‘J’ai beaucoup reçu’.

 

-

 

- Dyslexique Un enfant qui, le matin au petit-déjeuner, prend du lait au cachalot, n’est pas un original ou un farceur mais un dyslexique.

 

-

 

- Epicurien Epicurien : infirmier grec.

 

-

 

- Un esprit jeune est celui qui se dit : « ‘Quand je serai vieux’, c’est ce que je me dirai encore quand je ne serai plus jeune ».

 

-

 

- Un généticien rancunier vous gardera toujours un chien de sa chatte.

 

-

 

- Hippocampe Un hippocampe n’est pas un pré pour chevaux.

 

-

 

- Pieux Un homme ‘pieux’ n’est pas un homme qui passe son temps au lit, mais qui passe son temps à prier. Cela n’empêche pas de prier dans son lit.

 

-

 

- Passage ou repassage ? Un homme qui passe peut intéresser une femme. Un homme qui repasse intéresse plutôt sa femme. (Un homme qui trépasse aussi, parfois).

 

-

 

- Images.. Un homme sans femme, c’est comme une farine sans levain (pour la faire monter..). Une femme sans homme, comme un gâteau sans la cerise (sur le gâteau..).

 

-

 

- Homme-à-femmes Un homme-à-femmes n’est pas un homme qui aime les femmes, mais un homme aimé des femmes. Sinon nous serions nombreux..

 

-

 

- Hypermarché Un hypermarché, même hypertrophié, y perd pas grand-chose.

 

-

 

- Imbécile heureux Un imbécile a du mal à se faire à l’idée qu’il n’en a pas. Mais tant qu’on est heureux..

 

-

 

- Indigène Un indigène qui n’a pas besoin des autres est un autochtone autonome. Il peut même être auto-suffisant. Et pour peu qu’il soit autodidacte, il peut en plus être suffisant.. A l’autre extrémité de la chaîne, l’indigène est un indigent.

 

-

 

- Un intellectuel jaloux médit et médite à la fois.

 

-

 

- Patachon ? Un italien, c’est comme un chat, il retombe toujours sur ses pâtes..

 

-

 

- Un jour, excédé par sa femme, il lui rentra dedans..

 

-

 

- Un lapsus calami n’est pas forcément calamiteux. Même mon chien, quand il ronge son os, lapsus à la fois.

 

-

 

- Un.. Un, le premier chiffre, est à la fois la plus petite différence entre deux chiffres, et la plus grande.

 

Pourquoi ?

 

Parce que c’est ce qui sépare l’inexistence, le non-être, le néant, la « nullité », le zéro,

 

de l’existence, du début de l’être et de son unicité à la fois, donc de sa plénitude, et quelque part de son « infinitude ».. Ouff !!

 

-

 

- Un livre sur les religions ne fera pas de vous un croyant, comme un livre de cuisine ne vous fera pas cuisinier ; mais au moins, vous ne vous ferez pas rouler dans la farine..

 

-

 

- Un mari trompé est celui dont sa chérie varie..

 

-

 

- Un matchiste qui s’essaye à l’humour s’amusera à dire : « Ne demandez pas à une femme ce qu’elle pense. Elle dépense. ».

 

Je pense que c’est lui qui, au lieu de penser, ferait mieux d’aller se dépenser.. !

 

-

 

- Veille Un médecin aurait dit à son client, un ami à moi, de veiller à son sommeil. Je ne sais pas s’il y arrive, mais personnellement , quand je veille je n’arrive pas à m’endormir en même temps.

 

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- Un médecin vous dirait qu’un saint, c’est quelqu’un dont l’affection pour autrui deviendrait presqu’une affection.

 

-

 

- Occis-mort Un ‘mort-vivant’ est un oxymore ; par contre, un ‘occis-mort’ est un pléonasme.

 

-

 

- Bourrique et barrique Un moyen simple de ne pas être tourné en bourrique, c’est déjà de ne pas accepter de tourner. Continuez tout droit, vous verrez bien.. Mais si vous rencontrez une barrique, évitez ; ça n’aide pas à marcher droit.

 

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- Un notaire est un notable notoire.

 

-

 

- Nul en maths Un nul en maths a dit : « Une de perdue, dix de retrouvées » ! Si j’avais su, je me serais fait plaquer plus souvent.

 

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- Un oiseau apprend à voler très tôt ; l’homme, plutôt plus tard.

 

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- Silence Un oiseau qui plane sur la ville, c’est un peu de silence dans un monde de bruit.

 

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- Epitaphe Un opérateur-radio facétieux d’après-guerre avait tenu à laisser sur sa tombe un épitaphe original. Il y fit inscrire : « Ici gît, .. A vous ! ».

 

-

 

- Pain dur Un pain qui dure devient dur. Un homme qui dure se ramollit.

 

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- Auteur-compositeur Un parolier est un intellectuel des mots, qu’il manie de son cerveau.

 

Un musicien est un ‘manuel’ des notes, qu’il manie de ses menottes.

 

Jugeote et menotte, laquelle aura la meilleure note ?

 

La chanson ?.

 

Cela m’en a tout l’air.

 

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- Passage piéton Un passage peut être piétonnier, et un piéton piétiné..

 

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- Phonème Un phonème n’est pas un nom d’emprunt. Mais je n'en dirai pas plus, pour ne pas vous complexer.. En tous cas, c'est ce qui m'est arrivé..

 

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- Un policier siffle quand vous faites un larcin ; un microphone siffle quand il fait un larsen.

 

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- Procréateur Un procréateur a peut-être quelque chose d’un créateur, et encore, mais rien d’un pro. Un simple amateur suffit, et encore..!

 

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- Coup d’envoi Un produit fabriqué a un coût de départ, qui est celui de la matière première, et un coût de revient, qu’il ne faut pas appeler coût de retour, même si vous l’appelez très fort. Et ce coût de revient, ce n’est finalement que son vrai coût de départ, puisque c’est son véritable coup d’envoi. (qui lui, est franco de port..).

 

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- Un radin regretterait presque de vous donner l’heure.

 

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- Ragondin Un ragondin n’est pas un rat dingo, comme un radin n’est pas un rat d’eau.

 

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- J’ai cru voir un ‘ros minet Un robinet qui fuit ne manque pas de courage mais d’entretien. Et la rondelle ne fera pas le printemps, mais la différence.

 

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- Non, rien de rien.. Un rien l’habille. Et quand je dis rien – je veux dire : « quand je dis ’’rien’’ » – je veux dire vraiment rien ( vraiment, ’’rien’’). C’est pas facile d’être clair, vraiment ! En attendant, je ne sais pas si vous avez compris : 1/ Elle est tellement jolie que tout lui va bien. 2/ Elle ne revient pas cher de garde-robe. 3/ Elle n’a vraiment pas besoin de porter grand-chose..

 

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- Un roi tyranique considère ses sujets comme des objets.

 

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- Un routier qui perd sa route, c’est toujours déroutant.

 

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- Un sommelier, même avec le temps, vous ne lui ferez jamais mettre de l’eau dans son vin.

 

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- Souteneur Un souteneur, même propre et net, n’est pas forcément un proxénète ; c’est le cas, par exemple, d’un Etat lorsqu’il soutient une banque en difficulté. Par contre, officieusement, rien n’empêche cette banque de blanchir l’argent sale lié au proxénétisme.

 

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- Un souvenir n’est pas une arrière-pensée.

 

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- Un tabouret bancal à quatre pieds est plus stable qu’un à trois pieds, à condition que ce dernier ne soit pas bancal au départ.

 

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- Un tango, ça tangue ; mais un rock-en-roll, ça roule. La musique, ça balance ; ac’croche’z-vous au bastingage.

 

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- Gros temps Un temps menacée par le temps, la météo s’en est finalement bien tirée.

 

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- Un « tiens » vaut surtout mieux que Deux « tu ne l’auras point ».

 

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- Un vague à l’âme est une vague de mélancolie.

 

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- Un ventripotent n’est pas un vent qui vous tripote mais un ventre de potentat.

 

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- Un vertugadin est un curieux accessoire vestimentaire féminin, maintenant désuet, qui permettait paradoxalement de masquer les rondeurs-arrière de ces dames tout en augmentant leur volume.

 

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- Un vieux marin a presque autant besoin de la mer qu’un poisson.

 

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- Un vrai modeste, c’est souvent celui dont les capacités ne le sont pas.

 

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- Une association d’idées n’est pas régie par la Loi de 1901.

 

-

 

- Une banque, quelque soit son état, c’est-à-dire même bancale, trouvera toujours un Etat pour la consolider.

 

-

 

- Une boisson amère altère le goût plus qu’elle ne désaltère.

 

 

 

- Un bonne rencontre, c’est la bonne personne au bon moment et au bon endroit. Par contre, vous-même venez, en plus, de la rencontre du bon spermatozoïde avec le bon ovule.. (Personnellement, je pense d’ailleurs que tout est bon pour naître.)

 

 

 

-

 

- Une brebis égarée

 

(l’auteur aussi reste introuvable)

 

 

 

Une brebis, lors d'un arrêt

 

De son troupeau, s'est égarée ..

 

.."S'était garée"..dans un parking,

 

A l'heure où l'on fait son shopping ..

 

 

 

Lorsqu' au bout d'un petit quart-d' heure

 

Elle' s'aperçut de son erreur,

 

Elle' décida de s'en aller.

 

Mais on vint lui dire' de régler,

 

 

 

Car le parking était payant.

 

Hélas, elle' n'avait pas d' argent.

 

Alors, en plus d'une ' réprimande,

 

Le préposé lui mit l’amende.

 

 

 

Mais la brebis de dire, acerbe :

 

« Moi, j'ai toujours mangé de l'herbe,

 

‘’L'amande ‘' , je n 'y tiens pas du tout ! »

 

Il répondit, un peu à bout :

 

 

 

« Ton jeu de mots n'est même' pas drôle !

 

Arrête donc de faire la folle! »

 

« La folle', monsieur, ..ce n'est pas moi,

 

Mais l'imbécile' qui-a écrit ça ..! »

 

-

 

-

 

- Une chose que les pas fûtés comprennent mieux que les autres, c’est que ce sont toujours eux les dindons de la farce.

 

-

 

- Une colite est un problème de colon, qu’on n’attrape pas que dans les colonies.

 

-

 

- Une contrepèterie « de quand nous étions jeunes.. », mais néanmoins de mauvais goût, parce qu’elle porte bien son nom, et dont je vous laissraie la chute pour la même raison : « Quand nous étions jeunes, pour nous faire courir, nous avions la chasse. Maintenant, pour nous faire courir, .. »

 

-

 

- Une contre-vérité ressemble plus à un mensonge qu’un contre-mensonge à une vérité.

 

-

 

- Une échelle de valeurs vous permet de vous élever, une échelle de sapeurs, de redescendre aussi.

 

-

 

- Une expression que les cocus n’aiment pas : « Détrompez-vous ».

 

-

 

- Une femme coquette préfère être chassée en tant que proie qu’en tant qu’épouse.

 

-

 

- Une femme préfèrera, je suppose, se faire détrousser que se faire trousser. Mais ça dépend de la somme qu’elle possède.. et de celui qui se propose.

 

-

 

- Une femme qui a une propriété n’est pas forcément une femme qui a une vertu particulière.

 

-

 

- Une fois n’est pas coutume, mais deux fois non plus.

 

-

 

- Une fausse bonne idée n’est pas une bonne fausse idée. La première, ou « FBI », peut vous mettre sur une piste. La seconde, non.

 

-

 

- Une ingestion n’entraîne pas forcément une indigestion. Cette dernière n’est qu’une mauvaise gestion d’une ingestion.

 

-

 

- Une mère à sa fille : « Ton copain, préviens-moi s’il te plaît, s’il te plaît. »

 

-

 

- Une mère peut dire : La chair de ma chair m’est chère.

 

-

 

- Une occasion de bonheur peut être un bonheur d’occasion. Mais ne faites pas la fine bouche ; prenez-la sans attendre d’avoir du neuf.

 

-

 

- Une pensée est censée être sensée, sinon changez-en.

 

-

 

- Une personne atteinte de strabisme n’aura pas le même point de vue que vous, surtout si c’est un strabisme divergent.

 

-

 

- Une personne ‘négative’ n’est pas mathématiquement une moins que rien, pas plus qu’une personne positive n’est une plus que rien.

 

-

 

- Une personne ‘qui a du caractère’ n’est souvent qu’une personne de mauvais caractère, qu’on n’a pas souvent contrariée quand elle était jeune. C’est même, parfois, un cas-réfractaire, quand ce n’est pas un ca-ractériel.

 

-

 

- Une personne de mauvaise foi, c’est par exemple quelqu’un qui refuse d’admettre que le miroir lui renvoie sa propre image. Remarquez, si j’étais le miroir, effectivement, je ne la lui renverrais pas.

 

-

 

- Une personne têtue est plus souvent bornée que volontaire. J’allais le dire aussi pour un enfant, mais les parents vont me tomber dessus..

 

-

 

- Une phrase futile n’est utile que si elle est subtile.

 

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- Une plante que l’on fait pousser grâce à des engrais n‘est pas une plante grasse, même si on peut dire qu’elle a été engraissée.

 

-

 

- Une poésie a toujours quelque chose de musical, puisqu’elle a le ‘si’. Vous me direz qu’alors, le récit en a paradoxalement encore plus, puisqu’il a le ‘ré’, et phonétiquement le ‘si’ aussi. Oui bof, ..‘si’ on veut !

 

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- Une psyché s’écrit sans ‘e’, alors qu’un lycée prend un ‘e’ !! ..Parfois je me dis que les grammairiens en ont tro-phée.

 

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- Une religieuse peut vivre en sainte toute sa vie, mais pas enceinte quelques mois.

 

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- Une sinécure n’est pas une salle de cinéma réservée aux curés. De même, une pédicure n’est pas une cure réservée aux homos.

 

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- Une tempête est un tremblement de mer.

 

-

 

- Une tentacule n’a rien de déshonorant pour la famille. On ne choisit pas d’avoir une tante pulpeuse. Elle non plus.

 

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- Unanimement, alors qu’un animal, non.

 

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- Univers : autre nom du ver solitaire.

 

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- Université : univers particulier, souvent cité par les étudiants.

 

 

 

 

 

 

 

Ting pelmot :

 

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- Entre ceux qui n’ont rien à dire sur rien, les indécis, et les yaqua-fautquon, reste une place pour les politiques, qui ont quelque chose à dire sur n’importe quoi, sans apporter forcément de solutions.

 

- Trop poli-tique pour être honnête.

 

- J’ai une modestie maladive, mais je me soigne.

 

- Même les champignons moisissent, et ça leur reste bien.

 

- Un philosophe vous transmet les valeurs, les parents vous transmettent les leurs.

 

- Que la guerre coûte généralement plus cher aux non-militaires qu’aux militaires, c’est ce que les civils se tuent à nous dire.

 

- L’avantage de la dénomination, scientifique ou populaire, des champignons, c’est que ça permet de les appeler par leur nom, même s’ils ne répondent pas toujours.

 

- On a plus de chance de voir des papis mater des p’tites pépés, que des mamies lorgner des p’tites mémés.

 

- Si on récolte toujours ce qu’on sème, on révolte parfois ceux qui s’aiment.

 

- On peut dire plus facilement : « Rends-toi à ton rendez-vous ! » que « Rendez-vous à votre rends-toi ! » .

 

- L’incontinence est un problème à la source, c’est-à-dire en amont ; l’étanchéité, un problème à l’arrivée, c’est-à-dire en aval.

 

- Dans une démocratie, les grands principes ne restent souvent que des principes, c’est-à-dire qu’ils ne sont respectés qu’en principe, par les représentants des Institutions eux-mêmes vis-à-vis d’elles, à commencer par les domaines de la Loi et la Justice.

 

- Chez l’homme, rien n’est moins sexy que la gentillesse.

 

- Si, pour le patron du bateau, l’avarie s’avérait vraie, on verrait vite son avarice.

 

- Tout se paye. La pauvreté, bien sûr, qui se paie cash, sur le moment, au jour le jour, pour ne pas dire ‘comptant’.

 

Mais qui sait si la richesse ne se paie pas, pas de suite bien sûr, mais à crédit, à long terme, ou plutôt ‘à échéance’, et avec beaucoup « d’intérêts ». Mais ça, c’est une autre histoire.

 

- La partie comprise entre les deux pôles s’appelle ‘Interpole’.

 

- Quand les agriculteurs manquent d’herbe pour leurs vaches, en hiver, il leur suffit d’en faire un foin.

 

- Quand l’épi-taphe, c’est que le blé était mûr, et que le moissonneur est passé.

 

- L’intérêt de bien se soigner, c’est de pouvoir mourir en meilleure santé possible.

 

- Si les mots ont un sens, les maux n’en ont pas. Ou alors il y a un jeu-de-maux qui m’échappe.

 

- La majorité des hommes sont fiers de leur attribut pour la simple et bonne raison qu’ils ne connaissent que le leur. Les homos sont déjà plus modestes.

 

- Pendant que la quincaillerie, la quadragénère, et la sexa garde les petits.

 

- Durant la guerre, les grands-parents ne mangeaient que des tanpinambours.

 

- Quand, à l’époque de nos parents, l’instituteur traitait l’enfant d’âne, avec le port du bonnet qui allait avec, il méprisait à la fois et l’enfant et l’âne. Il ne méritait même pas le qualificatif qu’il octroyait à son élève, non pas par le fait qu’il était lui-même responsable, en premier lieu, de ce résultat, mais par le fait que l’âne mérite mieux.

 

- Quelque soit son âge, il vaut mieux, à l’aspect, ‘en faire’ au plus dix de moins, qu’au moins dix de plus.

 

- Il faudrait dire à ceux qui naissent ce qu’on demande aux clients des WC publics : « Prière de laisser cet endroit comme vous aimeriez le trouver en rentrant. ».

 

Mais comme ils ignorent comment ils doivent le trouver en arrivant, - et il vaut mieux.. - il serait déjà pas mal de se contenter de leur dire « .. aussi propre que vous l’avez trouvé en rentrant. ».

 

- Le droit d’aînesse est pour les premiers qui naissent. Pour le cadet, rien de prévu, à moins ce qu’il ait un droit des farfadets, s’il a l’esprit lutin ! Quant aux autres gamins, pas de droit de benjamin.

 

- L’ennui, avec les principes, c’est qu’ils se sentent obligés d’être grands.

 

Dès lors, ils en restent au stade de principe, ‘stade’ où l’on ne voit courir que les faux-culs, hypocrites et donneurs de leçons de tout genre.

 

- C’est pas tout d’être reçu par son examinateur, encore faut-il être reçu à son examen.

 

- Il paraît que je dois mourir.

 

Déjà je n’aime pas ce verbe, pas ‘mourir’, quoique, mais ‘devoir’. « Je dois ! » .. comme si c’était le doigt de Dieu !!

 

Bon, c’est ce que dit tout le monde, à leur propos bien sûr, mais même au mien. Primo, je les prierai de ne parler que pour eux, et deusio, ce qui est bon pour eux ne l’est pas forcément pour tout le monde.. Il ne faut pas généraliser.

 

Ceci étant, s’il s’avérait, par le plus pur des hasards – mais je n’aime pas le hasard non plus, surtout le pur - que cette hypothèse se réalisât, je suis chagrin de ‘réaliser’ le nombre de toutes ces remarques pertinentes et humoristiques qu’il me reste à citer, et que vous perdriez à jamais!

 

Vous le regretteriez plus encore que moi, moi qui ne serait plus là pour le faire.

 

Mais je compte sur vous pour me regretter.

 

Vous ne le regretterez pas.

 

Signé : Moi.

 

(D’ailleurs je n’aime pas non plus le verbe ‘Signer’, surtout le pronominal, vous savez, celui qui se conjugue avec ‘se’.)

 

- Croire que le changement d’heure nous a fait réaliser des économies est un leurre.

 

- Ceux qui croient que le rhume se soigne avec des antibiotiques se mettent le doigt dans le nez.

 

- Quand une chatte a de l’allure, on dit qu’elle a du chien.

 

Par contre, quand un chien a de l’allure..

 

- Les insignes honorifiques sont souvent insignifiantes.

 

- Un prêt juteux pour la banque peut s’avérer un pré-judice pour le client.

 

- On peut prendre son pied en n’en faisant qu’à sa tête.

 

- Pour être couché sur un testament, parfois - je parle au féminin - ce n’est pas des pieds et des mains qu’il faut faire..

 

- En voulant le fermer, il fut happé par son canapé.

 

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V de : Voilà, ça s’ termine..

 

Vif, Vigoureux, Vital, Vivant, Vlan, Volubile, Vox populi, Vibrant, Vice-versa, Viatique, Vérité, Verve, Va donc.., Vaudevillesque..

 

 

 

 

 

 

 

- Vache-à-lait : nouvelle variété de vache, issue d’un croisement avec un laitier, et qui présente la particularité de produire du lait de ferme.

 

-

 

- Valse-hésitation : valse à deux temps, mais qui hésite à choisir entre les deux.

 

-

 

- Van de Nordeste : célèbre météorologue belge qui, chez lui, à l’époque, faisait la pluie et le beau temps. Depuis, le vent a tourné.

 

-

 

- Vaut mieux fréquenter un croque-mort gai qu’un clown triste.

 

-

 

- Vaut mieux recevoir un éclat de rire en plein visage qu’être touché par un éclat de pleurs, en plein coeur. Les éclaboussures sont moins dures, et ne laissent pas de blessures. C’est sûr.

 

-

 

- Vaut mieux toucher les fonds que de toucher le fond.

 

-

 

- Vaut mieux un célibataire endurci qu’un marié ramollo.

 

-

 

- Veaux, vaches, cochons, hiboux, cailloux, genoux.. Cherchez l’erreur.

 

-

 

-

 

- Veilleur (le) :

 

 

 

Le problème du veilleur, le vrai problème du veilleur, du veilleur de nuit, c'est pas qu'il risque, à la longue, de devenir lunatique ou insomniaque, mais c'est la pérennité de sa motivation !

 

Vous m' direz, il n'est pas le seul, d'accord !

 

 

 

Et donc en effet, comment se persuader de sa propre utilité quand on n'a qu'un rôle dissuasif, quand la seule chose que vous ayez à faire c'est acte de présence, à l'heure où tout le monde est absent, où tout le monde dort, où tout le monde s'en fout ! Vos voisins ne vont pas se priver de dire que vous êtes payés à ne rien faire !

 

Ceci dit, il y a plusieurs manières de veiller. ..

 

On peut veiller sans être veilleur, comme on peut être veilleur sans veiller, en dormant sur ses deux oreilles (ce qui demande, entre parenthèses, un "profil" assez particulier !)

 

On peut veiller à deux, à tour de rôle, comme sur un navire. Mais si on est deux à "prendre le quart", il ne va plus rester que la moitié du salaire pour un !

 

On peut veiller au grain, chez un meunier qui dort, ou veiller "funèbre", si le meunier est mort, ce qui demande moins de surveillance !

 

..On peut veiller "moderne", avec caméras-vidéo, alarmes électroniques, lasers, ultra-sons, infra-rouges et compagnie (..de C.R.S ! ).

 

Ou alors à l'ancienne, avec une lampe à l'huile, à condition d'avoir prévu également l'huile qui va avec !

 

A l’époque, un bon veilleur veillait en surveillant à sa veilleuse !

 

 

 

-

 

- Veilleuse : femme du veilleur.

 

-

 

- Venir ajouter de l’eau à son moulin, c’est pas malin quand on a un moulin à vent.

 

-

 

- Verlaine est le verlan de Rimbaud.

 

-

 

- Vicelard : personne chez qui l’on trouve moins de lard que du cochon.

 

-

 

- Vieillesse : erreur de jeunesse que vous traînez toute votre vie. On finit par s’en remettre.. (mais à qui ..?)

 

-

 

-

 

 

 

- Ville (la)

 

(ex chanson)

 

 

 

Qui-est-c’ qui m’a dit qu’on est en ville ?

 

J’ai vu des troupeaux de moutons ;

 

La tête basse, le geste vil,

 

Ils se laiss’nt mener au baton,

 

Se laissent tondre et entasser sur les trotttoirs ;

 

Quand ils sont gras, se font conduire à l’abattoir,

 

Après s’être mis à la file..

 

Qui-est-c’ qui m’a dit qu’on est en ville ?

 

 

 

Qui-est-c’ qui m’a dit qu’on est en ville,

 

J’ai vu des renards et des loups ;

 

Dans ce lugubre vaudeville,

 

Ce qui n’ s’achète’ pas, ils le louent ;

 

Ils ont des amis à la cour du roi Lion,

 

Qui les soutiennent de leur prestige et leurs millions,

 

Mais qui les tiennent par le fil..

 

Qui-est-c’ qui m’a dit qu’on est en ville ?

 

 

 

Qui-est-c’ qui m’a dit qu’on est en ville ?

 

J’ai vu des ours solitaires,

 

Quelques vieux pingouins imbéciles,

 

Des taup’s et même’ des vers de terre ;

 

J’ai vu l’hirondelle fuir les vents hivernaux ;

 

Celui qu’on chasse toujours autant c’est le moineau ;

 

Entre les blés il se faufile..

 

Qui-est-c’ qui m’a dit qu’on est en ville .. !?

 

 

 

-

 

- Vincent, le seul prénom qui peut s’écrire en chiffres.

 

-

 

- Vis-à-vis de l’avenir, l’optimiste est comme mon chat. Il croit toujours que ce qui reste à finir de la pâtée du fond de la boite de conserve va être meilleur que ce qu’on vient de lui servir.

 

-

 

- Vis-à-vis des femmes, il s’intéressait plus à la forme qu’au fond.

 

-

 

- Vivre à Paris, pour un parisien, c’est capital.

 

-

 

- Voiture-ballet : voiture qui ramasse les petits rats de l’opéra.

 

-

 

- Voleurs (les) :

 

 

 

Les voleurs, ça s'arrange pas, malgré nos systèmes de sécurité sophistiqués, alarmes en tous genres, vigiles. Rien ne semble pouvoir les arrêter, dans tous les sens du terme !

 

Que vous soyez en ville ou en rase campagne, en centre ville ou en banlieue, que vous habitiez un appartement ou une maison individuelle, une caravane ou un camping-car, tout est bon !

 

Les assureurs en perdent leur assurance, mais pas leurs cotisations !

 

 

 

On en est arrivé à échanger sa maison pour partir en vacances, ou même à l'offrir, à la mettre à disposition de gens de confiance quand on doit s'absenter !

 

Y' en a même qui en sont venus à rémunérer quelqu’un, à payer des personnes pour les faire venir occuper leur habitation les week-ends !

 

Une nouvelle profession, pour les petits retraités !

 

 

 

J'y vois une bonne tendance, comme diraient les financiers : Les riches vont finir par payer les pauvres pour qu'ils viennent habiter chez eux !

 

-

 

-

 

-

 

- Votez, votez, il en restera toujours quelque chose..

 

-

 

- Vous aurez beau retourner une bouteille à moitié vide dans tous les sens, la partie pleine sera toujours en bas.

 

-

 

- Vous aurez remarqué comme l’anglais « cry » est phonétiquement plus évocateur que notre « crier » puisqu’il correspond mieux au cri de douleur ‘aïe’. Sont-ils pour autant plus douillets ?

 

-

 

- Vous connaissez l’histoire de ‘Tô-tô’ qui mange un ‘Tar-tare’ ? ..Non ? C’est pas grave ; on va pas en faire un fromage !

 

-

 

- Vous constaterez que si, dans les rubriques nécrologiques, l’âge du défunt est toujours précisé, dans les annonces de naissance il n’en est jamais fait mention.

 

-

 

- Vous en entendrez dire parfois qu’ : « Il faut appeler un chat un chat ». Mais allez vérifier chez eux, vous n’en trouverez jamais qui les aient appelés comme ça. En attendant moi j’ai appelé mon chat : « Unchien », histoire de leur faire la nique, nom d’un chien !

 

-

 

- Vous les damnés de la terre,

 

les vrais et les faux, - on est toujours le damné de quelqu’un -, faudrait voir de se faire entendre !

 

Puisque ceux qui vous exploitent vous préconisent d’aller vous faire voir, allez-y, prenez- les au mot, allez leur faire voir ce que vous êtes capables de faire ! Mais sortez-vous de devant cette télé. Deux à trois heures par jour, c’est autant de temps pour vous y préparer...

 

Sinon vous continuerez à râler dans le vide, à vous plaindre qu’ils sont tous pourris, alors que c’est vous qui êtes encore trop nourris pour avoir faim d’autre chose que de nourriture.

 

-

 

-

 

- - ‘Vous mériteriez qu’on vous rende la pareille !’

 

- ‘Vous pouvez le garder, je ne m’en sers pas.’

 

-

 

- Vous n’avez pas besoin de faire la gueule à un fanfaron, il n’a que ça, de la gueule..

 

-

 

- Vous ne verrez jamais une brebis avancer à pas de loup. Tout simplement parce qu’elle n’a rien à cacher, ni personne à surprendre.

 

Mais vous le lui proposeriez, elle n’oserait jamais. (où va se cacher le subconscient.. !)

 

-

 

- Vous remarquerez qu’on lâche plus souvent ‘’Ah mince ! ’’ que ‘’Ah gros ! ’’. Cela traduit bien, trahit bien, de nos jours, l’inconscient désir de le rester (mince), ou de le redevenir.

 

-

 

- Vous seriez gentils, quand vous voulez m’expliquer quelque chose, de ne pas me dire: « C’est tout bête. ! », mais plutôt : « C’est tout simple ! ». Merci d’avance.

 

-

 

- Vu mon âge, je risque de vivre encore quelques années ; mais j’accepte le risque.

 

-

 

 

 

Poupée rit :

 

 

 

- Si mon portrait ne vous dit rien, c’est normal. C’est le propre des objets, et plus généralement de tout ce qui est inanimé, ça ne parle pas.

 

- Si quelqu’un vous dit : « Je n’ai pas jeu-né », vous êtes en droit de vous demander soit ce qu’il a, soit ce qu’il n’a pas, soit ce qu’il a déjeuné, ..soit si ce n’est pas vous qui avez trop longtemps jeuné..( !)

 

-

 

- Est-ce un manque d’esprit critique ? Le fait est que le balayeur balaiera devant la porte des autres avant de le faire devant la sienne.

 

- Malgré qu’à la maison ce soit les femmes qui tiennent le balai, le métier des balayeurs est bien au masculin. Peut-être par le fait que c’est un métier rémunéré, alors que chez soi ça ne l’est pas. On dit que la femme ‘vaque’ à ses ‘occupations’. Merci pour elle.

 

- Parmi les professions emblématiques ‘à vocation’, comme celle d’instruire ou de soigner, soit l’Etat vous rémunère quelle que soit la qualité de votre prestation, dans le premier cas, soit il vous paie d’autant plus que vous êtes peu efficace, c’est-à-dire en proportion du nombre de consultations.

 

- Plus on monte haut, plus dure sera la chute. C’est la raison pour laquelle je ne tiens pas à ce que mes blagues soient trop relevées.

 

- Un homme périssable ne revient pas à la poussière mais au sable. Ainsi, un Touareg est périssable.

 

- Quand un père périt, la mère reste amère.

 

- Un moribond est bon pour la mort. Notez qu’on est tous bons pour la mort. Mais lui, il y est près, ce qui ne veut pas dire qu’il y soit prêt.

 

- Un égoïste n’est consterné que lorsqu’il est concerné.

 

- Le voleur, facétieux, lui avait piqué la boîte-à-lettres pour la lui remplacer par une boîte-à-chiffres.

 

- Boîte ne prend un accent circonflexe que si elle porte un couvercle.

 

- En début d’automne, il se murmure que les mûres sont mûres. Et même les mal-entendants l’entendent.

 

- Malgré leurs dons respectifs, il sera plus facile à une sorcière de se cacher dans une souricière, qu’à un sorcier dans un souricier.

 

- Lâchez-lui les poils Je voudrais lancer un appel aux dévots de tous poils, musulmans, catholiques et autres protestantaires :

 

S’il vous plaît, évitez d’égrener un chat pelé. Il est assez abîmé comme ça. Surtout qu’il n’est pour rien dans vos malheurs, même s’il était noir avant d’avoir perdu ses poils.

 

- Quarantaine Il ne faut jamais mettre une femme en quarantaine, elle sait y entrer toute seule, même si ce n’est pas toujours de gaîté de coeur. Pourtant, ça lui va assez bien.. !

 

- Entre prendre et entreprendre, il y a une nuance que les femmes connaissent bien.

 

- ça tire ? Entre satyre et satire, il y a un peu la même différence qu’entre le geste et la parole.

 

- L’avantage, lorsqu’il s’agit de réaliser les dernières volontés du défunt, c’est qu’on sait qu’on n’est pas tenu par le temps.

 

- Un confrère n’est qu’un concurrent qui vous déteste.

 

- Pour celui qui ne maîtrise pas bien l’imparfait du subjonctif, je propose, à la place de « Il eut fallu qu’ils le sussent », la formule plus usitée : « Il aurait phallus qu’ils le sachent »..

 

- Peut-on insulter un sultan ? Non, même si on est raciste.

 

Pas plus qu’on ne doit déprecier un prince, diffamer une femme, ou rabaisser une abbesse.

 

Et surtout, ne pas curer un prêtre..

 

- Quelques petits défauts peuvent faire votre charme. Mais il n’en faut point trop ; sinon ça agace. C’est comme pour les qualités.

 

-

 

- Il paraît que,

 

Si, pour le bonheur,

 

Il faut se lever de bonne heure.

 

Pour se le gratiner,

 

Rien ne vaut la grasse matinée.

 

-

 

- Si vous avez un problème de téléphone, appelez-moi.

 

- Même si c’est vrai, ce qu’on raconte de lui, je ne le croirai pas. Sous toutes réserves.

 

- C’est parce qu’on prend les hommes politiques pour ce qu’ils ne sont pas, qu’ils sont réélus.

 

Si on les prenait pour ce qu’ils sont, ils n’oseraient même pas se présenter.

 

Mais déjà, si on ne les prenait pas pour ce qu’ils ne sont pas, ça simplifierait beaucoup.

 

- Ce que les enfants s’attendent à préférer au palais de Versailles, c’est la Galerie des Glaces.

 

- Les beaux-parleurs ne sont souvent que des haut-parleurs ; ils résonnent plus qu’ils ne raisonnent. Mieux vaut les entendre que les écouter.

 

- L’enseignant a des classes, ‘l’enseigneur’, de la classe.

 

- Ga-barit : gars barraqué.

 

- Après certains audits, quand les chiffres parlent, les faits sont là, et l’effet est désastreux.

 

- S’il vous arrivait d’avoir à retrouver une aiguille dans une meule de foin, commencez par y mettre le feu. Elle sera plus facile à retrouver dans les cendres, après avoir fini de les éteindre avec quelques seaux d’eau. C’est bien la seule chose, dès lors, qui brillera, surtout si c’est de l’or.

 

- Les conséquences du mode « d’administration » est aussi important pour les médicaments que pour les établissements publics. La pilule peut être amère dans les deux cas.

 

- A n’en pas douter, s’endetter pour se doter d’outils est déterminant.

 

- Vous trouverez plus de femmes belles et remariées que de femmes rebelles et mariées.

 

- Enfanter n’est pas enfantin. (à noter que ce n’est pas non plus anodin.)

 

- Fièvre La poule couvait la fièvre. Son œuf attendra.

 

- Son imprécision était impressionnante.

 

- L’ex-pert perd en universalité. (mais il gagne en salaire..).

 

- Jubilation mesquine Voir un médecin malade apporte une certaine jubilation.

 

- Il ne s’y attendait pas. Et même le hasard, non plus.

 

- Loco Y-a pas grand-chose qui le motive, à part la loco.

 

- Un écouteur ne vous écoute pas. Même deux. C’est vous qui écoutez. Et donc, c’est vous l’écouteur. (A bon entendeur, salut.) (J’en profite pour saluer tout le monde.)

 

- Les femmes chez qui le sexe prime s’expriment ouvertement, et parfois vertement. (Quand je dis ‘ouvertement’, n’y voyez aucune vulgarité.)

 

 

 

 

 

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W de : Wait a minute, it’s not all ! Waff, ça va être dur..!

 

WW Bush is still alive, but not president ..(ouf !)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Wagon-lit : wagon réservé à la lecture.

 

-

 

- Wanted : traduction anglaise de notre joli prénom ‘Désiré’

 

-

 

- Water-closed , ou WC, se disait des toilettes à l’époque où elles étaient toujours fermées.

 

-

 

- Waterloo, une défaite pour l’historien, un pléonasme pour le grammairien.

 

-

 

- Waterproof : prof d’anglais à jeter à l’eau.

 

-

 

- Watt : question qu’on se pose devant un appareil électrique qui ne marche plus.

 

-

 

- Week-end : semaine hebdomadaire vers laquelle notre société se dirige inexorablement, grâce à la pression syndicale.

 

-

 

-

 

 

 

- Western : film américain un peu terne, car on y voit beaucoup de visages pâles, malgré leur volonté d’y rajouter un peu de couleur, du rouge en particulier, et plutôt du rouge-sang.

 

-

 

- Winchester : fusil à deux canons, et non canon à deux fusils comme disent les verlanais.

 

-

 

- Whisky : ski écossais.

 

-

 

- White-spirit : humoriste blanc.

 

-

 

- Woaw, le chien, qu’il est beau !!

 

-

 

- Wonderful : foule, public formidable, comme celui qui est amené à me lire.

 

 

 

 

 

 

 

PING MELTOT :

 

 

 

- Exagération Y-a bien dix ans que je n’ai pas exagéré.. !! ..Non, j’exagère ! Un peu moins.

 

- Son âge, il ne faut pas le cacher, car ça va mieux en le dix ans.

 

- Recalé Il a enfin admis n’avoir jamais été reçu à son examen. Il aurait préféré ne pas admettre d’avoir été reçu, car il aurait fini par s’y faire.

 

- Hamsterdame : nom du hamster femelle.

 

- Nul n’est nul, même celui qui le dit d’un autre. Par contre il mérite un zéro pointé..

 

- Le verbe « s’enorgueillir » est à la fois verbe et ‘compliment’ direct.

 

- Saccharose : sac où l’on range les roses des sables, en sucre, ou en chocolat.

 

- Canes anglaises Les canes anglaises fournissent un foie de canard à goût métallique, et qui rappelle un peu l’alu. Mais les Britanniques s’en contentent.

 

- Loi des séries Le seul avantage de la loi des séries, c’est que vous n’êtes pas contraints de vous y conformer.

 

- Attardés Ceux qui tardent à arriver arrivent attardés, pour l’occasion, de même qu’ils arrivent à tarder, plus généralement.

 

- Si les camés sont souvent stupéfiants, les flics sont parfois renversants.

 

- Pour ceux qui y croient, le ‘purgatoire’ est prévu pour se ‘purifier’ comme pour se ‘purger’. (..de ses fautes exclusivement, bien-sûr, sinon ce serait encore plus chiant..).

 

- S’appeler Judas, ou plus récemment Adolphe, peut apparaître comme une provocation. Mais porter le prénom du fils de Dieu, Jésus, peut s’apparenter à un sacrilège. Il faut ‘croire’ que non.

 

- Meuhh !! Il y en a toujours que le sort des bestiaux émeut. Mais toute émotion est respectable.

 

- Tea culpa Quand tu auras fait ton tea culpa, je ferai le mien.

 

- On ne peut pas prétendre, en parlant de la saucisse, que le saucisson est son sosie. Ou alors, c’est qu’on est musulman.

 

- Précision utile On ne dit pas « dépuceler sa chienne » mais « lui enlever les puces »..

 

- L’amorale de l’histoire n’est pas toujours celle qu’on croit.

 

- Le ver est dans le fruit Quand le ver est dans le fruit, mettez le fruit dans le verre. Ca lui apprendra !

 

- Quand vous achetez votre animal au marché aux puces, il ne faut pas s’étonner, en le ramenant chez vous, qu’il en ait.

 

- Glotte La glotte n’a rien à voir avec la langue. Néanmoins, un polyglotte parle plusieurs langues.

 

- Sur le marché sous-terrain des agents secrets, l’agent double se vend deux fois plus cher.

 

- Sucré-salé Si la note est salée, c’est que le restaurateur s’est sucré.

 

- N’attendez rien des autres, ça prend trop de temps.

 

- Le radin ne manque pas forcément de cœur. Lorsqu’il remarque quelqu’un de généreux donner une pièce aux nécessiteux, il ne lui dira pas forcément : « Merci pour eux. », mais je suis sûr qu’il le pense réellement.

 

- Comme disent nos amis portugais : Dimanche, c’est jour de vacanches.

 

- Theodora, reine grecque du milieu d’un certain siècle avant J-C, plus connue sous le prénom de ‘Théo, reine de Pythagore’, habitait un grand et beau palais, original par sa simplicité géométrique, cubique dirions-nous, dans la ville de Lhypoténuse. Ce palais est resté célèbre sous le nom de Carré de Lhypoténuse, dont il ne reste plus aujourd’hui, en somme, que deux côtés du bâtiment. Il fait partie du matrimoine historique.

 

- pi Si ‘pi’ égal trois-quatorze, ‘pipi’ équivaut à six-vingt-huit. Sauf erreur ou ‘émission’ de ma part.

 

- Les machines à sous sont des machinations pour personnes en mal d’imagination.

 

- La vie à deux, c’est d’abord « le grand amour », chacun ne voyant que les qualités de l’autre.

 

C’est ensuite « l’amour » tout court, chacun découvrant les petits défauts du partenaire, avec son côté touchant, attachant, ce qui permet de faire un petit effort pour les lui pardonner.

 

Puis vient le temps de « la moue », les limites de sa moitié agaçant de plus en plus.

 

Enfin vient « la mue », les défauts de l’autre vous devenant insupportables.

 

Il faudra attendre l’absence définitive du partenaire, son départ éternel, pour redécouvrir toutes ses qualités, et regretter tout ce bonheur passé ensemble, ineffaçable.

 

A moins ce que vous ne soyez parti avant, je veux dire, ..parti vous en choisir un autre.

 

- Le B-A-BA d’un médecin de base, c’est de savoir soigner ‘mo-destement’ les ‘maux d’estomac’.

 

- Si vous trouvez des verres-verts sur une ta-ble-bleue, pour peu qu’ils soient posés sur un nappe-ron-rond, il ne vous reste plus qu’à tenter votre chance au Loto-tôt.

 

- Si vous réussissez à tirer votre épingle du jeu, prenez garde de ne pas vous piquer. Ce serait un comble.

 

- Pathétique Se prendre au sérieux dans le domaine de l’humour est le plus pathétique. D’ailleurs je devrais me méfier..

 

- Quand la neige tombe, elle nous fait souvent tomber.

 

- Plus jeune que mon âge On me dit souvent que je fais plus jeune que mon âge. C’est normal, je suis plus jeune que mon âge.

 

- Recevoir en cadeau un balai, même emballé, n’est pas fait pour vous emballer. C’est ce qu’on appelle ‘lui faire le coup du balai’. Mais comme dit l’autre, vaut mieux le lui faire que le lui donner.

 

- Au lit ! ‘’Comme-tu-fais-ton-lit-tu-te-couches’’, dit le dicton. Mais on peut dire : ‘’comme-tu-ne-le-fais-pas, tu te couches quand-même’’. Moralité : Va te coucher et on en reparle demain.

 

- La seule confiture à laquelle je ne tiens pas forcément, c’est celle du mélange figues-raisins.

 

- Quand la pluie mouille, j’espère pour elle qu’elle y prend du plaisir, parce que c’est bien la seule.

 

- Si vous estimez ne pas être bien traité par votre employeur, faite-vous retraiter. Il devrait pouvoir le refaire.

 

- Un artiste moche est toujours un bon artiste. Surtout une femme.

 

- Quand les flamants traversent les vallons, c’est un mauvais présage.

 

 

 

 

 

 

 

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X de X-prime-toi une avant-dernière fois !

 

X-cellent, XL, XXL..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- X : lettre utilisée par les profs de math quand ils ne savent pas, et par les profs de français quand ils ont plein de cailloux, de hiboux, de choux, de joujoux, même de poux, ce qui est désolant pour une classe.

 

Ainsi que pour les genoux, malgré qu’on n’en ait que deux !

 

Et on se demande enfin pourquoi ils viennent enseigner en ayant plein de bijoux !?

 

-

 

- X (film) : film où les acteurs ont les talents dans les talons, plus exactement un peu plus haut, même si ça n’arrive pas très haut. (on peut dire aussi que ça vole bas, mais pas très bas non plus). (on va dire à mi-hauteur, allez !)

 

-

 

- Xénophile : qui aime les étrangères.

 

-

 

- Xénophobe : celui qui considère qu’il n’est pas hostile aux immigrés, mais qui estime que les étrangers sont, par définition, amenés à habiter à l’étranger.

 

-

 

- Xylophage : personne qui aime les bois, les forêts, qu’elle soit naturaliste, promeneur, agent de l’ONF, randonneur..

 

-

 

- Xylophone : ancêtre du téléphone, et où les touches étaient constituées de plaques d’inégale longueur, alignées sur un support horizontal en bois.

 

 

 

RIPOUX POT :

 

 

 

- Auto-portrait Je n’ai trouvé personne pour faire mon auto-portrait.

 

- Je n’ai pas réussi à trouver une litote avec ‘tête de linotte’. Peut-être qu’en partant au lit tôt, j’en trouverai d’ici demain.

 

- Il voudrait se la faire, mais pour ce faire, il peut commencer par se refaire faire.

 

- L’offrande d’une rose est la marque d’une pensée envers quelqu’un. L’offrande d’une pensée n’est pas la marque d’une rose envers autrui.

 

- Qu’est-il plus facile de trouver ? Un parchemin sur une route, ou une route sur un parchemin ? Les deux sont difficiles. Prenez-vous plutôt un GPS.

 

-

 

- Un épilateur, qu’il soit à piles ou non, épile des deux côtés, même si côté face il vaut mieux le laser.

 

 

 

 

 

- Ce n’est pas parce que ‘décousu’ est le contraire de ‘cousu’, ou que ‘déboutonné’ est celui de ‘’boutonné’, que ‘détrempé’ est le contraire de ‘trempé’. Détrompez-vous.

 

Par contre, attention aussi : ‘décéder’ n’est pas le contraire de ‘céder’, sinon il y aurait moins de têtus, ou d’orgueilleux.

 

De même que ‘conner’ n’est pas le contraire de ‘déconner’, sinon je serai loin d’être un con.

 

Par contre, pour ‘coucher ‘avec quelqu’un il faut parfois savoir ‘découcher’ ; pour se ‘déculotter’ en pleine rue, il faut être ‘culotté’. Idem pour ‘foncer’ : il faut parfois se ‘défoncer’.

 

Sinon oui, pour ‘dégueler’, pas besoin de ‘gueler’, ni de se ‘dépêcher’ pour ‘pêcher’ ; ni de ‘déranger’ pour ‘ranger’ (au contraire..), ni de ‘détrousser’ pour ‘trousser’..

 

Que sais-je encore, ‘dé-merdez-vous’..

 

- Un stoïcien traite la douleur non pas par un analgésique mais par le mépris.

 

- Néanmoins, ça reste un clown. Mais avec aussi.

 

- On dit que les extrèmes se rejoignent. Mais parfois les proches s’opposent, comme abhorrer et adorer.

 

Parfois, le même se contredit souvent, comme aimer.

 

- Je ne voudrais pas être de mauvais goût, en faisant dans la scatologie, mais ‘exécrer’ n’a rien avoir avec les excréments. Même si les injures semblent parfois les rapprocher l’un l’autre.

 

- Plus vous exhaussez vos vœux, plus vous aurez du mal à les voir exaucés.

 

- L’aimant L’aimant est à la fois bénéficiaire et tributaire de son magnétisme.

 

Doit-il s’en « éman-ciper » ? Je ne pense pas.

 

C’est à la fois sa force et sa faiblesse, comme l’amour chez l’homme, en tous cas chez « l’homme-aimant ».

 

- Proverbe chinois : Au lieu de te faire de la bile, jubile de te la faire.. » (toute analogie avec des couleurs est purement fortuite.).

 

- Pour vivre ne serait-ce que dix ans de plus, je donnerais bien ma vie.

 

- Que ce soit par pleine lune, ou même vide, il était irrémédiablement lunatique.

 

- Il vaut mieux que ce soit l’eau que le bateau, qui coule. Pour l’eau, c’est son destin. Pour le bateau, c’est un pépin.

 

- Lorsqu’on appellera une jeune-homme ‘mondamoiseau’, selon qu’il est puceau ou pas, qu’il est marié ou non, je trouverai normal qu’on appelle une fille ‘mademoiselle’.

 

En attendant, il m’appartient à moi seul de l’appeler ‘madame’, même si elle ne m’appartient pas.

 

- Il était perdu dans ses pensées, le jardinier.

 

- Le train qui en cachait un autre Il aura fallu attendre le coup du passage-à-niveau en 68- celui du train qui peut en cacher un autre - pour que l’homme s’aperçoive que la femme était à la fois singulière et plurielle.

 

Jusque là, cela ne lui avait posé problème que dans le domaine de la conjugaison.

 

- Bémol Dans une condition, il y a toujours un ‘si’, et donc toujours un bémol. Dans une partition, il y a au moins un ‘si’, mais ce peut être un dièse.

 

- Tambouille Grenouille qui se débrouille ne rentre jamais bredouille, même s’il faut qu’elle se mouille. Il n’y a que les andouilles qui ignorent le sens de la bidouille.

 

- Plage en ‘grève’ Les plages de gravier c’est pas très grave, mais les plages de galets c’est galère.

 

- Au bénéfils du doute.. Lorsque, pour l’attribution par le juge de la garde de son fils, la mère perd au bénéfils de son ex-mari, c’est bien la preuve que ce dernier peut faire tout-à-fait offils de père.

 

- Merci qui ? Merci Bercy. Pour vos impôts, ne cherchez pas qui remercier. C’est Bercy, merci.

 

- Ver à soie Vaut mieux un ver à soie qu’une bouteille chez les autres.

 

- Génitaux Les hommes sont des ‘génies tôt’. Et ils le restent très tard. (on place son talent où l’on peut..)

 

- Dans certains textes, compte-tenu du ‘conte-nu’, les auteurs feraient mieux d’aller se rhabiller.

 

- Ce qui se mange sans faim se mange sans fin.

 

- Le paradoxe d’une porte, c’est qu’elle est destinée à la fois à être ouverte et fermée. ‘’A la fois’’ et non ‘‘en même temps’’, bien sûr. Quand c’est en même temps, on dit ‘’entre-ouverte’’, mais rien ne vous empêche, si vous êtes plutôt négatifs, de dire ‘’entre-fermée’’..

 

- Il y a certaines choses qu’on a du mal à exprimer. Il est peut-être alors plus facile de les imprimer.

 

- En fin d’année, les comptables font les soldes.

 

- Que vaut le prix, en soi..? Une culotte en soie ça coûte la peau des fesses. Vous me direz, que vaut une culotte, en soi.. ?

 

-

 

- Tout est vin.. Pour l’alcoolique philosophe, tout est vain, sauf son vin.

 

- Les qualités les plus utiles sont celles qui vous aident à supporter vos défauts, à savoir la bienveillance, ou tolérance, et l’humour.

 

- En connaissance de cause La beauté est la qualité la plus utile et la plus futile à la fois. Je le dis sans connaissance de cause, ..ou en ignorance de cause. (j’ignore si ça se dit..).

 

- Goûter la différence Entre un gou-lu et un gou-rmet, c’est paradoxalement sur le ‘goût ’ que se fait la différence.

 

- Asthmatique Il ment comme il respire. Et encore heureux qu’il soit asthmatique !

 

- Quand la muse s’en amuse J’aime le musicien qui joue quand ça lui chante, et le chanteur quand ça l’amuse.

 

- Sol Ce qui est génial avec le sol, c’est qu’on ne peut pas tomber plus bas. C’est pourquoi j’en ai fait mettre un, chez moi.

 

- Il ne suffit pas d’avoir un instrument, un outil, pour savoir s’en servir, même dans le plus simple appareil..

 

- Paule et Mick ne s’entendent plus. Il fallait s’y attendre.

 

- Périgourdin : personne qui tourne autour du pot, avec des intentions belliqueuses.

 

- Anglo-saxon Je pense qu’il vous sera plus facile de trouver un anglo-saxon qu’un angle au saxo.

 

- Ceux qui n’ont pas sû s’accumuler un capital sont ceux, comme disent les Italiens, qui n’ont pas bien ‘capito’.

 

- Les gens de droite ne vont pas jusqu’à supporter les conservateurs dans leur assiette.

 

- Globe-trotter Un globe-trotter ne se déplace pas ‘par ton et par nos’, mais ‘par monts et par vaux’.

 

- Ce n’est pas du machisme, si on appelle les grands-parents ‘grands-parents’. ‘Grands-marents’ ça ne faisait pas sérieux..

 

- Dé à coudre Il ne faut pas un D à coudre, il faut un C. Après, avec l’expérience, on peut s’en passer. Par contre à passer, il ne faut pas un C mais deux S.

 

- Bon don A Sancho, peu lui chaut de ne pas être noble. Il a le bon ‘sens’ pour lui, même si son maître Don Quichote n’a pas toujours la bonne ‘direction’. Il n’aura pas droit à un titre un peu pompeux, non parce qu’il peut peu, mais parce que le don du ‘Don’ n’est pas donné à tout le monde.

 

- L’adage du sage N’enrage pas sur ton âge, tel est l’adage du sage.

 

- Bandage herbniaire Accessoire orthopédique qui rien de très glorieux chez l’homme, ni de honteux d’ailleurs. Le tout c’est que le deuxième terme de l’expression ne vous gâche pas le premier.

 

- Pas de bol Il n’a pas pu prendre son petit-déjeuner ce matin. Pas de bol.

 

 

 

Yémen : expression triviale anglophile traduisant une certaine décontraction de bon aloi, mais qui désigne aussi un pays où la décontraction n’est pas toujours de mise.

 

 

 

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Y de : Y-a d’la joie.. Ca s’ termine !

 

Yeh man, Yes we can, You’re great ..

 

Ye souis désolé qu’y-é pas gran chose en françès..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Y : ‘i’ grec : seule lettre que les Grecs nous auraient donnée. Prière d’en prendre soin ; ils n’en donnent pas à tout le monde.

 

-

 

- Y a que les jeunes, et à l’approche des vacances, pour dire que le temps qui s’écoule, c’est cool..

 

-

 

- Y-a les trains de sénateur, et les papa-mobiles.

 

-

 

- Yac (ou Yack) : ruminant d’Asie, qui rumine le peu d’herbe des hauts-plateaux du Tibet pendant que son maître rumine son acrimonie à l’égard des envahisseurs chinois.

 

-

 

- Yalta : conférence d’après-guerre où les grands de ce monde se partagèrent équitablement le gateau en parts proportionnelles à leurs intérêts respectifs, et en ce disant : « Y-a l’ temps de voir venir ! ».

 

-

 

- Yankee : états-unien pure souche, par opposition aux indigènes autochtones à la peau rouge, qui eux n’avaient pas à être là, et par opposition aux immigrés à la peau noire, qui ont été invités, et qui eux ont bien fait d’être là, pour bien faire le sale boulot..

 

-

 

- Yaourt : lait qui a pris froid, après s’être caillé les miches. (Allez voir ailleurs si le yogourt y est.)

 

-

 

- Yapafoto : inventeur japonais du concept de ‘Non-doute’, lorsqu’une réalité saute aux yeux. Il préconise, néanmoins, le port du masque-lunettes de protection jaune, vendu avec notice en français.

 

-

 

- Yaqua : variété de faucon.

 

-

 

- Yatch : véhicule flottant qui ne fait pas partie de mon vocabulaire, ni du votre, je pense.

 

-

 

- Yahvé : terme ‘imparfait’ pour signifier ce qui, pour les Juifs, signifiait l’Eternel, et donc ce qui Est .

 

-

 

- Ybère : Ibère grec.

 

-

 

- ydille : erreur d’orthographe. On écrit : idylle.

 

-

 

- Yémen expression triviale anglophile traduisant une certaine décontraction de bon aloi, mais qui désigne aussi un pays où la décontraction n’est pas toujours de mise.

 

-

 

- Kilo Il y en a qui ne savent toujours pas si un kilo de plumes pèse moins qu’un kilo d’enclumes ! Qu’ils ne se posent plus cette question idiote. Vous n’aurez jamais une enclume à moins d’un kilo, ni des plumes pour plus d’un kilo..

 

-

 

- Yen : mammifère carnassier japonais, qui ressemble à un loup mais avec des pattes arrière plus courtes qu’à l’avant, et qui s’attaque au dollar américain et à l’euro.

 

-

 

- Yé-yé : ringard musical qui yé plus.

 

-

 

- yeux : somme de deux oeils, ou multiplication d’un œil par deux. (l’œil permettant à la fois de voir, et d’exprimer une certaine méfiance dans l’expression : « Je vous ai à l’œil.. ! » ou « Je vous ai aux yeux.. ! », si la méfiance est plus grande encore..)

 

-

 

- yiddish : langue germanique parlée par les Juifs portugais.

 

-

 

- ygnare : ça se voit de suite !

 

-

 

- yguane : iguane grec.

 

-

 

- ylang-ylang : bègue qui a des problèmes de langue.

 

-

 

- Yllusion yllusion : le fait de prendre un i grec pour un i latin.

 

-

 

- ymparfait : je vous l’accorde.

 

-

 

- ynculte : aussi

 

-

 

- yndigne : n’exagerons rien.

 

-

 

- yndigène : quelque part.

 

-

 

- yndigeste : ça va finir par l’être si ça continu..

 

-

 

- ynexact : c’est vrai. Mais bon, on va s’arrêter là.

 

-

 

- Yogourt : lait qui s’est caillé les miches et a pris froid. (Allez voir ailleurs si le yaourt y est.).

 

-

 

- Yoga : zénith du zen.

 

-

 

- Yom Kippour : fête juive de pénitence célébrée dix jours après le nouvel an, et dite aussi ‘jour du Grand Pardon’. (pardon qui peut s’avérer très restrictif selon à qui il s’adresse.)

 

-

 

- york : petit chien qui mange le jambon du même nom.

 

-

 

- You goslave. Moi, français.

 

-

 

- youpi : sert à marquer la joie, l’enthousiasme. Ex : Youpi, je n’ai plus un roupie*. (*monnaie indienne)

 

-

 

- Yo-yo : égoïste espagnol.

 

-

 

- Yucca : nom de mon lapin, ou plus exactement de celui de notre fille Pauline. (il ne ressemble pas à l’original, sinon on ne l’aurait pas pris.)

 

-

 

- Yvelines : département qui peut servir de prénom, au singulier. Mais plus connu alors avec un E. (dans ce cas, penser à enlever le 78.).

 

 

 

 

 

 

 

Pot melting :

 

 

 

- On a beau dire, quoiqu’on fasse, histoires de fesses ne passent.

 

- Quoiqu’ils fissent, les pères n’eurent que des filles.

 

- Peut-on interdire d’interdire, comme le prônait l’un des slogans emblématiques de mai 68 ?! Déjà, l’affiche apposée sur une vitrine, pour interdire de mettre une affiche sur cette même vitrine.. ! Comment peut-elle être crédible !!

 

- Est-ce qu’un factotum peut rester sans rien faire ?! Ça dépend quoi.

 

- S’il vous arrive de lire, dans un texte : « Va t’ faire cuire un neuf ! », c’est une coquille.

 

- Peut-on corriger un dictionnaire ? Oui, s’il sème à tous vents, vu la dispersion des caractères d’imprimerie que ça entraîne. Il mérite une correction. Sévère même, pour le dissuader de recommencer.

 

- Celui qui perd patience n’est pas prêt de la retrouver.

 

- Quand un tourneur se retrouve au chomage, on peut dire qu’il passe son tour.

 

- L’envolée de flamants roses est une envolée lyrique.

 

- Qu’à cela ne tienne, je te lâche !

 

- Pleurs Chacun pleure ce qu’il peut. Le nuage, sa pluie, comme le malheureux, ses larmes. Quant à la grêle, vos yeux vous sauront gré de ne pas vous associer au chagrin du ciel.

 

- Peine Ça ne vaut vraiment pas la peine de garder sa peine, quand on en a à peine. Et lorsqu’on en a beaucoup, ça vaut encore moins le coup.

 

- Patience Celui qui n’a jamais rien perdu ne perd rien pour attendre.

 

- Quand le soir, on rentre fourbu d’une journée de travail, la première étape pour se ‘délasser’ c’est de s’enlever les chaussures.

 

- Qu’un chat noir me passe devant, sous une échelle et en pleine nuit, ne me dérange pas. Un chanoine, si.

 

- Il paraît qu’une accusation d’acte de violence est d’autant plus lourde que vous avez réalisé ce geste dans des conditions qu’on appelle « l’après méditation ». Comme quoi, il vaut mieux ne pas trop y réfléchir.

 

- Un conducteur qui vous double n’est que quelqu’un qui n’aime pas être suivi.

 

- Pop-corn Ne pas confondre pop-corn et coq-porn, ou maquereau.

 

- Si l’on sait si prendre assez tôt, un divorce peut durer plus longtemps qu’un mariage.

 

- Quand l’entrée est gratuite, la sortie l’est généralement aussi.

 

- Dans une pièce on peut faire entrer le soleil mais pas le faire sortir.

 

- Certains tableaux tiennent plus de l’ar-naque que de l’art abstrait. Ou alors il faut faire abstraction de tout esprit critique.

 

- Je n’y entends rien en mécanique, à part l’emplacement des quatre pneus.

 

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- L’amour-propre est la seule chose de propre qu’on puisse avoir besoin de laver.

 

- Elle a été mise en trope, mais elle s’en est sortie.

 

- L’habit cyclette est la tenue que l’on met pour faire du vélo.

 

- La guerre de Sécession ne se termina qu’après la cessation des hostilités.

 

- Caviarder signifierait supprimer un passage dans une publication, un manuscrit !! Cela me donne presqu’envie de le faire, uniquement pour pouvoir y prétendre..

 

- Crise La crise, ceux qui en parlent intellectuellement le mieux sont ceux qui en souffrent le moins.

 

- Ignorant Je suis un grand ignorant, et j’en sais quelque chose !

 

- Je vous sais gré de m’avoir fait part de vos regrets.

 

- Regretter n’est pas le fait de gretter deux fois. Une seule suffit.

 

- Ration : terme né en période de crise.(ainsi naît ration..).

 

- Sustenter : se nourrir de peu.

 

- Milord : demi-Lord. C’est l’explication de la célèbre chanson d’Edith Piaf et de son emblématique première phrase : « Allez venez ! Mi-lord, Vous asseoir à ma table, Il fait si froid dehors, Ici c’est confortable.. ». Un Lord entier n’aurait jamais pu s’asseoir à une aussi petite table, et aussi modeste.

 

- Ergonomie : air qu’on respire dans un milieu quantitativement et qualitativement adapté à une bonne activité.

 

- Dans la langue française, on retrouve souvent le paradoxe-allemand.

 

- Quand les Ramsès C’est sur le cours du Nil qu’on s’aperçut pour la première fois que lorsque les Ramsès le bateau s’arrête.

 

- Pour ce qui est de la nourriture, mon chien n’aimait Patou.

 

- Vaut-il mieux, vis-à-vis de son fils, avoir à lui remonter le moral plutôt que les bretelles ?

 

- A l’intérieur d’une habitation, si on parle de l’air qui court c’est plutôt le courant d’air ; à l’extérieur, c’est plutôt l’air courant.

 

- Dans l’Atacama, région désertique du Nord du Chili, s’était constituée un groupe de résistants au général Pinochet, et qu’on appelait l’AA, ou l’Atacama Armée.

 

- Les femmes préfèrent un amant empressé à un amant pressé.

 

- Un mille-pattes n’en a réellement que quarante-deux, puisque vingt-et-une paires. Mais les premiers scientifiques ne savaient pas compter. (le millefeuille aussi en a moins, mais comme pour le prix, ils ont arrondi.).

 

- Body-building : architecte d’immeubles anglais.

 

- Diable vauvert : diable très éloigné de vos préoccupations.

 

- Corriger ce qui est imparfait est parfois un impératif.

 

- Quand une anglo-klaxonne, c’est que vous roulez à droite dans leur pays.

 

- Les belliqueux ne sont pas, comme l’orthographe pourrait le suggérer, des hommes favorisés par la nature sur le plan de leur anatomie.

 

- Conserve avariée n’est pas à varier mais à jeter

 

- Lorsqu’un non-flic marche dans une flaque, ça fait floc quand-même.

 

- S’il y a un ‘si’, c’est qu’il y a un souci.

 

- Herzé bovine : race de vache bosniaque.

 

- Y a la boule Quies, la boule puante, et la boule ‘quies-quia-jeté la boule puante’..

 

- En écriture, les caractères gras ne tachent pas.

 

- Tea culpa : thé mexicain de la région d’Acapulco, paradoxalement sédatif, et pour tout dire, un peu déprimant.

 

- Comme dit l’autre, on ne sait jamais qui c’est, l’autre.

 

- Quelle différence entre un gascon et un saxon ? Cescon se demandait avec Gaston !

 

- Le concurrent est un conquérant courant.

 

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- Double-casquette Un auteur-compositeur ne fait pas que composer. Il aute, aussi. Et moi je leur dis « chapeau ».

 

- Brainstorming Quand un intello se met à réfléchir, ça déméninge !!

 

- Superficiel Il avait le rythme dans la peau. Mais le dermato n’a rien pu faire.

 

- C’est pas parce qu’il faut appeler un chat un chat que vous ne pouvez pas lui donner un autre nom.

 

- Noël au balcon Noël est une fête religieuse, mais pas que.

 

- Demi vérité Les femmes ont plus envie des hommes qui n’ont pas envie.

 

- Aura Arriver à acquérir l’aura de quelqu’un qu’on admire risque de le lui faire perdre.

 

- Option Si vous n’êtes pas obligés d’en passer par là, essayez d’en passer par-ci, pour voir si.

 

- Plus ou moins Quand on a moins de projets que de souvenirs, c’est qu’on a plus de passé que d’avenir. En tous cas plus ou moins..

 

- Académie Française Il faut savoir distinguer les ‘Immortels’ des e-mortels, même si les premiers ne sont pas les plus doués en informatique.

 

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Z de : Zut, alors ! Cà commencait à me plaire..

 

Zapez, Zeste, Zieutable, Zinzin, Zanpeutplus, Zarrête..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Zanzibar : port d’Afrique orientale d’où sont importés les carambars.

 

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- Zèbre : personne sortie de prison. Drôle de zèbre : drôle de personne sortie de prison, ou personne sortie d’une drôle de prison, ou personne sortie drôlement de prison. (finalement c’est pas très drôle..)

 

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- Zébu : drôle de zèbre, ou plutôt de bœuf, ce qui revient au même puisqu’il n’est pas normal. Sa chair n’est pas consommable car très sèche, vu que c’est un animal qui se refuse à boire, au grand étonnement des scientifiques.

 

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- Zélote : personne zélée. (Remarque : chez les animaux, on parle d’ « oiseaux »)

 

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- Zen : méthode de méditation, et par extension, attitude de celui qui cherche à relativiser ses Zoucis, à les mettre entre parenthèZes.

 

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- Zéro : note préférée des nuls.

 

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- Ziggourat : HLM irakien

 

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- Zigouiller : tuer, massacrer, égorger de manière barbare.

 

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- zigounette : accessoire intégré, télécommandable à distance par la pensée, mais aussi manuellement.

 

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- Zigzag : hésitation de l’automobiliste devant un flic qui se présente devant lui en voulant l’arrêter, et trahissant un pathétique dilemme de la part du chauffeur.

 

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- Zinc : comptoir préféré des buveurs invertébrés.

 

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- Zizanie: période de six ans, chez les ‘zigotos’, au bout de laquelle on décide d’une trève de quelques heures. Chez les ‘lustrés’, c’est cinq ans. Chez les ‘baillés’, trois, six ou neuf selon qu’ils ont sommeil ou pas.

 

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- Zizi : condition nécessaire mais pas suffisante pour faire un enfant mais pas un homme.

 

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- Zona : première période de vacances.

 

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- Zoophilie : attirance pour les visites des zoos, les dimanches.

 

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- Zoroastre : partisan de Zorro, et plus généralement de sa technique de vengeance masquée.

 

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- Zouave : drôle de zébu.

 

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- ZUT : sigle de Zone Urbaine Temporaire, terrain vague attribué aux gens du voyage, et qui reste temporaire, jusqu’à leur évacuation définitive.

 

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- Zygomatiques : muscles préférés des humoristes. (c’est pas mal comme chute finale ! ça me plaît !!) (ça m’est venu comme ça.., comme une conclusion ! ..Mais peut-on conclure !!??)

 

 

 

 

 

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- Z ; dernière lettre de l’alphabet (pour ceux dont les cours de grammaire sont loin.)

 

- ZZ : dernier des mots et onomatopées de l’alphabet à 2 lettres, et à deux balles.

 

- ZZZ : ronflement discret

 

- ZZZ Z : sommeil léger

 

- ZZZ ZZ : sommeil profond

 

- ZZZ ZZZ : sommeil très profond

 

- ZZZ ZZZ Z : sommeil éternel

 

- Amen (les premiers seront derniers..)